Je me met donc à préparer le dîner entièrement nue.
La mouille me coule le long des cuisses.
J'ai envie d'y goûter mais mon Père est assis sur une chaise au bout de la table et me regarde faire la popote pour lui. Je ne sais pas si il me laissera faire.
Je prépare des lasagnes et une mousse au chocolat, je sais qu'il adore ça.
Il s'amuse avec les télécommandes des vibros et me met des petites tapes sur les fesses de temps en temps.
Il se tient maintenant derrière moi, sort sa bite par la braguette de son pantalon, et frotte son sexe contre mes fesses nues.
Il est si dure...
L'envie est trop forte, tant pis, je me risque à récupérer la mouille sur mes cuisses et me lèche les doigts.
Il prend alors la spatule en bois, pleine de mousse au chocolat, posée à côté du saladier, et me demande de la lécher entièrement puisque apparemment j'ai envie de manger.
Je presse ma langue contre la spatule et la lèche, du haut du manche jusqu'à son extrémité. Mon père s'amuse à me la rentrer toujours un peu plus loin en bouche.
Une fois mon travail achevé, il me demande de poser mon buste contre la table et de bien écarter les jambes.
Il tapote mon fessier avec la spatule et n'oublie pas mon clito. Il accroît petit à petit la force de ces gestes, frappe mes fesses et l'intérieur de mes cuisses. Il alterne entre caresses avec ses mains et coups de spatule.
Mes jambes tremblent, il me fait du bien et du mal à la fois, il me rend folle.
Il me retourne et frappe maintenant mes seins.
Mes tétons durcissent sous les coups de spatule.
Mes seins sont rouges, et violacés à quelques endroits.
Je grimace et le supplie d'arrêter, cela devient trop douloureux.
Étonnamment, il s'arrête.
« J'aime te voir comme ça. Supplies moi de nouveau.. Dis-moi je t'en supplies Papa, arrêtes. Dis-moi que tu as compris ta leçon et que tu seras ma petite pute docile maintenant.»
Je lui répète donc mot pour mot ce qu'il veut entendre, pour qu'il arrête de me torturer. J'ai tellement mal. Mes seins, mes fesses, mes cuisses... tout me brûle.
Satisfait, il se retire dans le salon, me demande de le retrouver avec un verre de whisky, après avoir fini de faire à manger.
Je finis donc de préparer la mousse bien docilement, et je verse un verre de whisky pour mon père qui m'attend sur le canapé.
Quand j'arrive dans le salon, je le vois, en train de se masturber.
Il me demande de faire le chemin à 4 pattes comme la bonne chienne que je suis.
Le faire à 3 était encore plus difficile et il ne fallait surtout pas que je renverse une seule goutte de son précieux whisky.
Je réussis tout de même à atteindre la table. Il me caressa la tête et me félicita. Pensant ce geste affectueux, je me laisse aller.
Il m'appuie alors sur la tête en direction de son pénis bien tendu.
Je tente de résister, mais il me l'insère profondément jusqu'au fond de ma gorge comme à son habitude.
Je me met alors à le sucer en gorge profonde puisqu'il aime ça. C'est ce que veux mon Papa chéri, et je n'ai pas envie de recevoir une nouvelle correction.
Je le pompe comme une reine.
Je veux qu'il me sperme de nouveau dessus. Je veux avaler son foutre, et peut être qu'alors, j'aurai le droit de jouir.
Je continue donc à le sucer, je lui caresse ses testicules encore bien lourds de semence.
Ils sont gros et poilus, ça m'excite de les tenir entre mes mains, de les malaxer, de savoir qu'ils appartiennent à mon père et que c'est de là que je viens. C'est tellement mal..
Il m'appuie encore un peu plus sur la tête, il veut que je mette ses testicules dans ma bouche avec le reste de son membre.
Je m'y applique et j'eus un haut le cœur épouvantable.
Mais mon Papa est fière et me dit que ma chienne de mère n'en est pas capable.
Néanmoins, je ne réussi pas à le soulager.
Il me demande alors de rester à ses pieds, de me mettre sur le dos, dans la position où il m'avait trouvé un peu plus tôt dans ma chambre.
J'obéis très rapidement.
Il commence à me caresser le clito avec son pieds, tout en se masturbant. Cette pratique est nouvelle pour moi, mais je commence à apprécier cette caresse. Il chatouille mon clito avec ses orteils et me les rentre dans la chatte. Il s'amuse alors à remuer mes boules de geishas. Ma chatte est plus qu'humide.
Il me retire les boules de geishas et les remplace par deux de ses doigts, ceux de sa mains cette fois.
Il me fait manger ma mouille, je ne pouvais pas rêver mieux.
Il me fouille la chatte sans tendresse, rajoute deux doigts de plus et me branle très rapidement. Mon trou est grand ouvert. Mes lèvres sont gonflées, et mon clito est plus que sensible.
La main de mon Père est remplie de cyprine. Il peut à présent insérer entièrement sa main dans ma chatte. Je sens son poing à l'intérieur de mon ventre. Il le sort et le rentre sans trop de difficulté.
Son sexe est devnu énorme.
Le gland ,gonflé, très rose. Hum, j'ai envie de le prendre en bouche..
Je sens la pression de mon god anal contre la paroi de mon rectum à chaque fois que mon père viole l'intimité de mon antre vaginale.
Je sens que je vais avoir un orgasme.
Mon père me fourre la chatte d'une main, et de l'autre me pince les tétons, à en avoir les larmes aux yeux.
Ça y est, je viens.
Je vais enfin avoir l'orgasme tant attendu.
J'éjacule un énorme jet de cyprine, le plaisir est trop intense.
J'ai un peu honte mais mon père a l'air ravi !
Il me demande de me mettre à genoux, de m'appuyer contre la table basse, dos à lui, et de lui montrer mes jolies fesses.
Je lui présente. Je sais ce qui l'intéresse à présent.
Le god que j'ai logé, dans mon rectum.
Il prend la poignée, le fait tourner dans mon cul, puis essaie de le retirer.
Ma rondelle résiste, je sais que je vais avoir mal surtout si il le retire d'un coup sec.
Et, c’est ce qu'il fit.
Il m'administre une bonne claque sur les fesses et retire le god sans ménagement.
Je ne peux retenir un cri de douleur.
Il me dit de me taire, et que c’est ça de vouloir jouer aux grandes.
J'aimerais pouvoir resserrer mon anus, le temps que la douleur s'estompe, mais il crache dans mon cul et insère profondément sa bite en moi.
Il entame de longs va-et-vient, me lime l'anus à une lenteur folle. Sa queue est tellement gonflée..
Il répète sans cesse la même action : il s'amuse à sortir sa bite entièrement et la rentrer de nouveau, jusqu'à ce que ses couilles viennent buter contre mon cul en terminant par une fessée. Il prend son temps, enfonce sa bite et la ressort centimètres par centimètres.
J'ai envie qu'il aille plus vite, qu'il me démonte.
J'écarte mes fesses pour lui montrer que j’aime ça et effectue des mouvements de va-et-vient avec mon bassin pour accélérer le rythme.
Il me met une énorme claque sur le cul et de puissants coups de reins.
Oui, c'est ce que je veux, parfait !
Désormais, sa bite sort et rentre à une vitesse inimaginable.
Mon anus est cette fois plus que dilaté.
Il me pilonne et me chevauche comme une vraie putain.
Il me tire les cheveux et me serre la gorge.
Il me laisse à peine respirer.
Il me lime la raie et perfore mon trou comme si j'étais une vulgaire poupée gonflable.
J'aime ce sentiment de soumission, être rabaissée et prise pour une moins que rien.
Offrir mon corps sans retenue, lui laisser me faire ce qu'il veut...
Je suis sous son emprise.
Je sens que mon orgasme va être encore plus intense que le précédent. J'aime tellement jouir par le cul.
Il me demande de lui dire que je suis sa salope et je m'empresse de lui répéter.
« Oui, Papa, je suis ta salope. Mon corps est à toi, je suis ta fille, je t'appartiens. Jouis en moi, inonde mon cul de sperme, je t'en supplie, finis moi comme une sale chienne ! »
Il reprend alors de plus belle, je jouis, secouée de tremblement, une sensation de bonheur et de fatigue m'envahit.
Mais, il ne compte pas s’arrêter là .
Il continue à me besogner.
Je suis affalée sur la table, je n'en peux plus et malgré tout je ne cesse de pousser des râles de jouissance, ce qui encourage mon père à poursuivre ses assauts.
Dans coup, il me frappe violemment sur les fesses avec la tapette à mouche. Presque avec rage.
Je n'avais rien vu venir, aveuglé par mes orgasmes répétés.
Ma fesse me brûle, il recommence, je sens l'empreinte de la tapette sur mes fesses. Il m'en met plusieurs coups, j'ai l'impression d 'être fouettée jusqu'au sang.
J'ai mal..
Je le supplies, il arrête.
Retire sa bite, me lèche l'anus et dépose des baisers sur mes fesses.
Ses caresses me font du bien, soulagent quelque peu la douleur.
Mais je sais qu'il ne s'est pas encore vidé et qu'il n'en a pas encore fini avec moi...
Il enfonce alors sa queue d'un coup sec et me demande de me redresser.
Il m'aide en me tirant par les cheveux et me pilonne sauvagement l'anus, de nouveau.
Sa queue glisse facilement en moi, il me sodomise à merveille.
Je vais atteindre l'orgasme, une fois de plus.
« Je t'en prie Papa, ne t'arrêtes pas ! Je suis ta petite salope, je veux que tu gicles bien au fond je t'en prie ! Remplis moi ! »
Ni une ni deux il me penche et me déboîte le cul.
« Oui, Papa c'est ça que je veux. Je vais venir.»
« Moi aussi ma fille ! Je vais envoyer mon foutre bien au fond de ton cul ! »
Toute sa musculature se contracte. Un flot de sperme inonde mon orifice.
Je tremble de tous mes membres.
Il se retire.
Son sperme sort de mon cul et coule le long de mes cuisses.
Il le récupère avec son verre de whisky, me dit de pousser fort pour que le sperme sorte.
Je m’applique donc à tout faire sortir.
Il me dit d'ouvrir la bouche.
« Bois le lait de ton Papa ma chérie. »
Je me délecte alors de ce verre bien rempli, en le regardant droit dans les yeux.
Je me connecte ou je m'inscris