Il faut je vous raconte un truc incroyable. J’ai rencontré une nana… qui est amoureuse de ma queue. Elle n’est pas amoureuse de moi – elle est mariée, a deux enfants, et je crois qu’elle aime son mari. Elle n’est pas amoureuse de moi – je crois même que, si nous devions passer du temps ensemble, elle me trouverait rapidement chiant. Et je ne suis pas amoureux d’elle – je suis marié, j’ai une fille et j’aime ma femme. Je ne suis pas amoureux d’elle – et si nous devions passer du temps ensemble, je ne la supporterais pas longtemps.
C’est juste que, quand on s’est rencontrés, on traversait tous les deux des moments orageux de nos couples respectifs, et qu’on avait besoin d’un dérivatif. On se plaisait, on a baisé. Jusqu’ici, rien d’extraordinaire, l’adultère classique, pas très glorieux.
Mais…
Elle est tombée amoureuse de ma queue, et ma queue est tombée amoureuse de sa bouche. C’est une suceuse de compétition. Et ma queue lui plaît tellement qu’elle me dit en avoir besoin, tandis que moi, j’ai besoin qu’elle me suce.
En général, elle comme par me mordiller ou à me lécher à travers le jean, histoire de voir dans quel état se trouve l’engin. Elle attache ses longs cheveux pour qu’ils ne la gênent pas, me regarde en même temps que sa langue vient évaluer la bête, aime croiser mon regard sur elle, aime m’aguicher des yeux. Puis elle défait les boutons du jean, et reprend son petit jeu à travers mon boxer. Ce qu’elle préfère, ce que j’adore, c’est quand elle attaque alors que je suis franchement mou. Elle dégage ma bite dans sa version la plus réduite, et la prend en bouche, sa langue venait la mouiller de salive. Elle me suce alors longuement, m’aspirant en me léchant les couilles, ou en les pressant avec la main. Elle tire sur ma bite molle, l’allonge doucement, sa langue tournant autour du bout l’agaçant. En général, elle me relâche une fois ma bite allongée, mais pas encore durcie. Elle l’aime mi-molle, la caresse, la prend entre les dents, la lèche de nouveau comme un sorbet. Elle la regarde avec appétit, elle savoure à l’avance ce morceau qui va grossir au fur et à mesure qu’elle le mange. Parfois, elle obtient la dureté la plus grande simplement en me murmurant des mots doux et en regardant ma bite. Ses yeux sur ma bite, ses lèvres et sa langue. J’adore ses lèvres. Puis elle reprend mon sexe en bouche, elle le trempe de salive, fais dégouliner sa salive tout le long de ma hampe maintenant dressée, la lèche depuis la base des couilles jusqu’en haut, et gobe le bout, le fais tourner dans sa bouche, redescend, me massant en même temps de la main, me branlant. Elle sait quand je me tends vers l’arrière que je commence à ressentir du plaisir, que ses caresses m’excitent, me font monter dans les tours. Elle glisse une main entre mes cuisses et me caresse entre la bite et l’anus, et elle reprend son travail, elle pompe goulument, serre ses lèvres autour de mon mât, apprécie la rigidité maintenant atteinte, me relâche, lèche la veine principale, reprend le bout, le gobe de nouveau voluptueusement avec ses lèvres, son regard plongé dans le mien.
J’aime quand elle a mis un peu de rouge à lèvres, quand elle le laisse sur mon sexe, puis le fait disparaître de me lécher avec tant d’appétit. Elle me branle maintenant vigoureusement, de plus en plus vite, mon sexe dans sa bouche, qu’elle tente d’avaler entier – ce n’est pas qu’il soit gros à ce point, mais sa bouche est petite… Elle monte et descend sur moi, sa bouche me glisse dessus, ses joues sont déformées, elle aspire, elle avale, elle crache, elle ferme les lèvres, les rouvre, elle y prend un tel plaisir que je me demande parfois si elle ne préfère pas que je la pénètre là plutôt qu’ailleurs. Elle jouit de me tenir à sa merci, elle jouit de sentir ma bite frémir dans sa bouche. Et elle me relâche. C’est insupportable. Elle sait exactement quand accélérer, quand freiner, elle sait comment jouer avec ses doigts, avec ses lèvres, avec sa langue, et comment faut durer le plaisir en le faisant d’abord durcir. Elle est sur sa proie. Elle sait où elle veut en venir, ce qu’elle en attend. Elle va choisir le moment de me faire jouir, elle va choisir si elle avale, si elle me fait gicler sur elle, ou dans le vide. Elle va choisir si elle me doigte l’anus en même temps, si elle se caresse ou pas, si je devrai me contenter d’une pipe ou si elle m’en offrira davantage (j’avoue bien aimer gicler sur ses seins, elle sait, mais ne me les offre pas souvent, pas le temps, dit-elle).
Il lui arrive de me laisser redescendre, ramollir, avant de reprendre son travail d’endurcissement, et en général, je bande encore plus fort. Elle attend que j’en aie presque mal, la bite tendue, violacée, la peau totalement lissée par l’afflux de sang dans le sexe, elle aime sentir le battement des veines, des plus fines à la plus grosse, elle aime sentir les premières gouttes venir, me serrer brutalement à la base du sexe, m’emprisonner les couilles. A l’évidence, il y a chez elle comme un jeu de pouvoir. Je jouis, elle ne jouit pas, mais c’est ainsi qu’elle garde le pouvoir. Je lui ai déjà fait remarquer qu’on pourrait tout à faire lire ça à l’envers : je jouis d’elle, sans m’occuper de son plaisir. Chacun y verra midi à sa porte. Moi, je vois sa bouche sur ma bite, putain, comme elle est chaude autour de moi, comme elle sait m’envelopper de sa langue, c’est divin ou démoniaque, je ne sais pas, mais c’est totalement jouissif. Suivant son humeur, la chose dure de cinq minutes – pas le temps, je suis super pressée – à près d’une heure – et là , c’est presque une torture, et la délivrance est toujours abondante, je gicle très fort. En général, plus ça dure, plus elle prend de plaisir à tout avaler, et à me lécher soigneusement, et plus c’est rapide, plus elle me relâche au dernier moment, me faisant gicler dans sa main, ou au sol.
Elle prétend que ma bite est belle, que c’est la plus belle qu’elle ait connue. Je n’en crois absolument rien. D’abord, je ne la trouve pas belle – une bite en général, je ne trouve pas cela très beau… Et ensuite, je ne suis pas du tout modeste, mais je ne vois vraiment pas en quoi la mienne serait plus belle qu’une autre. A mon avis, rien d’exceptionnel. En revanche, sa bouche, je ne sais pas si c’est la plus belle, mais je n’en ai pas connu de plus experte. Elle aime sucer, j’aime quand elle me suce. Elle aime me faire jouir, j’aime qu’elle me fasse jouir. Arrangement optimal.
J’atteins l’orgasme de plus fort quand elle me regarde en même temps qu’elle me caresse et me pompe. Elle le sait : elle sait l’effet de ses yeux dans les miens, l’effet de ses doigts sur ma prostate, et l’effet de sa bouche qui m’aspire, de cette sensation de chaleur intense autour de mon sexe. Comment parvient-elle ainsi à bouger la langue, alors que mon sexe est entièrement en elle, comme cette langue s’enroule-t-elle comme un serpent autour de ma bite, je ne sais pas, mais soudain elle coordonne l’ensemble, sa main me caresse plus fermement, sa langue s’enroule en me serrant et ses yeux me pénètrent, et là , je jouis, je jouis, je jouis par longues giclées, je jouis avec un mouvement du bassin qu’elle contrôle de son autre main, pour m’empêcher de me retirer, je jouis dans une sorte de grognement pas très classe – enfin, moi, je trouve que manque un peu de finesse… Et elle continue, jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte, jusqu’à ce qu’elle sente ma bite ramollir. Souvent, dans ces cas-là , elle se lève, s’essuie dans un kleenex qu’elle me fourre dans la poche en me disant que ça me fera un souvenir, et hop, elle disparaît.
Aucun amour là -dedans, mais quand je n’ai pas ma dose, je suis en manque. Elle prétend qu’elle aussi… Pourvu que ça dure, très dur…
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