Mon éducation
D’abord une présentation s’impose
Ma maman, jolie femme dont je tairais l’âge, une charmante femme aux cheveux mi-long blond vénitien je dirais même presque roux. Physiquement 1m59 petite mais sublime créature entre 47 et 52 kg dépend des saisons, 80b de tour de poitrine je pense, la peau tres blanche laiteuse, des seins fermes avec un aspect bleuté, de jolies auréoles d’un rose pâle, des tétons roses plus soutenus toujours pointant, 65 centimètres de tour de taille environ et 85 de hanches. De belles jambes musclées au niveau des mollets et des cuisses bien pleines et rondes, pas un bodybuilder quoi. Ma jolie créature exposée au soleil ne bronze pas elle ne fait que rougir.
Papa un homme toujours hyper occupé, qui vient de prendre en gestion une entreprise de transport international dans laquelle il travaillait avant d’en assurer cette gestion, mais qui continue à voyager et qui c’était vu à devoir se passer de vacances d’été.
Moi, 1.70 m pour 65 kg, sportif (judo et karaté) un garçon tres ordinaire à mon avis. Très amateur de lecture que je n’aurais jamais dû avoir dans les mains à l’âge ou j’ai commencé à m’interesser à ces ouvrages. Livres obtenues chez le papa d’un copain qui était bouquiniste, échange, rachat et vente de livres en tout genre, de la BD aux livres plus qu’érotique, (Justine et les malheurs de la vertu) par exemple sur les marchés, des livres stockés dans une réserve qui était accessible sans effort.
LE JOUR DU DÉPART
Déroulement du sujet que j’ai envie de vous conter.
Apres l’obtention d’un diplôme en formation professionnelle en alternance, maman et moi partons en vacances alors que papa lui reste pour régler la prise en charge de cette entreprise.
Maman est très dépressive, suite au désintéressement de son mari à son égard et sa solitude quasi permanente. Bon je passe sur les détails qui font son état d’esprit à ce moment.
On est au début du mois de Juillet, tres grosse vague de chaleur presque caniculaire, après la neige et le froid de Mars, au matin je charge la petite voiture de maman, une Floride, petite décapotable pour une petite femme, normal. Maman s’installe au volant en tenue très légère, petite robe bain de soleil qui lui permet d’etre assez ventilée, sans soutien gorges ses seins n’en non aucun besoin réel. Bien sur cette tenue laisse une bonne partie de ses cuisses très visibles et le tissu léger laisse deviner ses superbes tétons, ce qui n’est pas pour me déplaire, bien au contraire, c’est très érotique. Moi juste en short de toile et un tee-shirt
On part pour 8 heures de route pour nous rendre dans le sud Finistère dans une maison que mon père a hérité de sa grand-mère. Tout le long de cette route les mouvements de jambe de maman font remonter la robe en découvrant d’avantage ses cuisses, un spectacle extrêmement excitant pour moi qui suis sur le siège passager à côté d’elle, J’ai comme un problème dans mon short.
Le voyage se passa sans trop de problème sauf au moment où je dois sortir de la voiture pour le déjeuner le midi par exemple ou pour faire les pleins ce que je ne peux décemment pas laisser faire à ma mère, noblesse oblige.
Bon enfin on arrive, je décharge les bagages, maman se repose un peu apres ce trajet. Puis je pars chercher de quoi faire à manger pour le soir, soirée ou je décide qu’elle reste tranquille devant la télé. Je prends le porte-monnaie, et je me rends chez le presque seul commerçant du patelin, deux bon KM à pied pour dégourdir les jambes, une grosse épicerie qui fait aussi boucherie et charcuterie. J’opte pour du tout près bien sur moi faire cuire, ça veut dire risquer de bruler.
J’achète aussi pour faire plaisir à ma belle créature et quelle oublie un peu ses soucis qui la dépriment, un Crémant de Bourgogne, je ne bois pas de vin mais avec les conseils de l’épicier ça baigne. C’est un pétillant pour faire un apéro avec un sirop de violette par exemple, ça sert aussi de vin avec les volailles une pintade farcie précuite à réchauffer, cool.
Je rentre à la maison sans bruit si toute fois elle dort, discrètement je regarde dans le salon, elle est assise sur le bord du canapé, une main qui s’active entre ses cuisses, elle se fait un plaisir, je re-bande. Je rentre doucement dans le salon et je dis
--- Je vois que tu as besoin de plaisir m’am
(M’am c’est comme ça que je dis maman). La panique, elle rabat sa robe tres vite et elle rougie comme une pivoine. Je retourne dans la cuisine salle à manger pour préparer la table, mettre la pintade au four disposer les quelques amuse-gueules dans un plat, je lui prépare un petit cocktail avec le Crémant et la violette, moi juste une bière brune seul alcool que je bois. Je lui apporte cela dans le salon, elle n’ose pas me regarder.
Je lui dis
--- Ce n’est rien m’am c’est naturel, ça fait partie de la vie, je le fais souvent aussi.
Elle répond
--- Excuses moi, je ne t’ai pas entendu rentrer, j’ai honte, mais ça a été plus fort que moi.
Une fois l’apéro pris, direction la salle à manger pour le soupé, maman se grise un peu avec la boisson, pas saoule mais un peu joyeuse, surtout avec la chaleur, même si elle a pris une douche pendant que je faisais les courses.
Après le soupé, retour dans le salon devant la télévision. Comme à l’habitude maman est tres câline elle colle sa tête dans mon épaule mon bras autour de son cou. Mais après le déroulement des événements de la journée, surtout de la soirée et non état d’excitation, ma main se pose sur son sein et pas sur son bras. Aucun geste de reproche, apres ce que j’ai vu en rentrant elle ne se sentait pas trop le courage de dire quoi que ce soit.
Du coup je frôle son téton, cette jolie tétine qui m’excite tellement
Je lui dis
--- ça aussi ça fait du bien m’am chérie.
Je fais glisser la bretelle pour avoir le sein sans le tissu, et je roule ce petit bout de chaire dans mes doigts
Elle
--- Oohh oui c’est agréable mais tu ne crois pas que tu abuses un peu, je suis ta mère pas t’as nana.
Moi
---Ben je ne savais pas qu’une maman qui se masturbe devant son fils peut dire qu’elle ne se considère pas comme sa nana. Un silence.
Enhardi par ce silence, de l’autre main je descends, l’autre bretelle sans qu’elle ne bronche davantage. Le bustier de sa robe tombe sur ses cuisses et ses seins sont à nu, totalement exhibés.
Je dégage mon épaule et mon bras de derrière sa tête pour libérer mes mouvements alors que mon short recommence à me gêner monstrueusement. Son dos repose sur le dossier du canapé, je gobe l’un de ses tétons qui est à ma portée, je le titille l’aspire, le suce tout en reprenant la masturbation de son autre téton. Un doux son parvient à mes oreilles.
--- Humm oui c’est bon, t’es un petit salaud tu vas aller jusqu’où comme ça.
Je continue à m’occuper du téton que j’ai en bouche, je lâche l’autre pour caresser l’intérieur d’une cuisse.
Elle
--- Ben voyons ça ne te suffit pas mes seins
Comme réponse je remonte ma main plus haut, pas directement mais par des caresses en partant du creux du genou. Ses cuisses ne se resserrent pas sur ma main, elles me laissent le passage et mes doigts explorent cette toison soyeuse qui couvre son pubis.
J’arrête de sucer sa tétine et je lui dis
--- Hum ma jolie m’am n’a pas remis sa petite culotte.
Elle a les yeux fermés, je reprends son téton en bouche et le mordille
Elle n’émet que des soupirs de satisfactions
---Oh ouich oui, cochon ça me fait du bien, continues
Je pense qu’elle serait surement mieux sur son lit, alors je la prends dans mes bras et la monte dans sa chambre à l’étage, je m’offre le plaisir de la déshabiller complètement, c’est-à -dire faire tomber la robe et l’enlever puisque le slip n’est déjà plus là elle est totalement nue.
Une superbe toison rousse m’apparait, quelle splendeur, un mal de chien à me calmer.
Je m’exclame
--- Oohh m’am qu’est ce que tu es jolie, une vraie déesse.
Le fait de la porter jusqu’à son lit, puis l’apparition de cette superbe toison rousse je ne tiens plus, j’ai bien trop envie d’elle, alors je précipite les choses aux risques d’essuyer un refus, à causes des tabous. J’écarte ses superbes jambes blanches et je plaque ma bouche sur ce mille-feuille déjà sérieusement humide, pour pratiquer un cunnilingus au joli joyau de ma maman, le nez dans ce sublime buisson roux si parfumé, ma langue recherche ce petit bouton assez saillant qui se trouve à la commissure des petites lèvres, elles même d’un rose assez pâle. Je le tète, suce, lèche, et fouette avec la pointe de ma langue le mordille très légèrement. Elle émet que des expressions et soupirs de plaisir.
--- OOHH oui continue c’est trop bon c’est bon plus fort,
---je suis une salope de te laisser faire ça.
Je suce ses petites lèvres, plonge ma langue dans son fourreau soyeux et plein de cyprine légèrement crémeuse, et ce sublime parfum de sa chatte enivrant un délice.
--- Salaud c’est trop bon continue encore, encore vas plus loin dedans, j’adore
Je sens ses deux mains appuyer sur ma tête et son joyau venir plus en contact avec ma bouche, il coule de plus en plus, il m’abreuve de cette cyprine crémeuse, des vibrations animent ses superbes cuisses, je les ressens contre mes joues. Ça n’est qu’un concert de gémissements.
--- Salaud !!! salaud oohh oui c’est Boon encore
Je n’en peux plus du tout, j’ai mal à force de bander, je remonte entre ses jambes en déposant des baisés sur son pubis, son ventre son nombril entre ses seins, une lèche sur chacun de ses tétons. En même temps je descends mon short et slip. Je suis tendu à mort, moi qui n’ai eu jusqu’à aujourd’hui que des caresses de touche pipi avec mes relations féminines, je n’ai jamais été dans cet état. Ma bitte arrive directement au contact de sa chatte et sans même y mettre la main je pénètre son puit d’amour sans difficulté tellement elle est lubrifiée. Elle dit
--- Salaud tu me baises oohh oui j’en crève d’envie oui baise moi fort.
Mais je suis incapable de me retenir plus longtemps c’est beaucoup trop bon, je sens sa chatte m’aspirer, me malaxer elle me suce littéralement, rien à voir avec mes masturbations manuelles.
Moi
---Je vais jouir c’est trop bon.
Je pistonne dans son sublime fourreau deux ou trois vas et viens. Surement inconsciemment elle croise ses jambes dans mon dos, même si je voulais me retirer je n’aurais pas pu assez rapidement alors je lâche mon foutre bien au fond de sa chatte contre son utérus avec un râle de plaisir.
Mort de honte de ne pas avoir résisté plus que ça, je me sauve dans ma chambre.
Elle dort avec mon offrande, puisqu’je ne l’entends pas descendre aux toilettes.
LE LENDEMAIN
Le matin, maman dans la même tenue, que la veille (même type de robe) prépare le petit déjeuné. Son accueil est plutôt glacial, tendu. Je suppose qu’elle ressent mal ce qu’elle m’a laissé faire la veille
Je m’assois à la table, comme je ne sais pas vraiment quoi dire, elle est debout à côté de moi, je pose ma main sur l’arrière de sa cuisse en la remontant, doucement en caresse, sa réaction est brutale, je me prends une gifle très cinglante, la première de ma vie.
Ma réaction
--- T’es pas bien, elles commencent male ces vacances, alors qu’hier c’était cool.
Je quitte la table et remonte dans ma chambre, prends mon sac, mon fric, une petite veste et en redescendant je lui crie
--- Bon ben je me barre j’en ai marre.
Je parts. Malgré ses essaies de me retenir.
Elle
--- Je ne voulais pas faire ça, mais bon je suis ta mère tout de même.
Moi
---- A oui pourquoi hier soir tu ne l’étais pas peut être.
Je prends la porte et je traine dehors pendant trois bonnes journées, je vois bien qu’elle me cherche partout, il y a plein de cachettes pour passer mes nuits, par ce temps chaud pas vraiment besoin d’une maison, puis des sandwichs pour me nourrir.
Dans la matinée du quatrième jour je reviens et lui dis
--- faut quand même que je me lave si je ne veux pas en plus d’être SDF, être le fils a crado » »
Elle me saute dessus en pleure, elle m’embrasse, elle a eu la frousse de sa vie semble-t-il.
Moi toujours dans mes envies qui ne me quittent pas et pendant qu’elle me tient, ses bras passés autour de ma poitrine, ma main va directement sur un de ses seins, elle a un léger recul, un sursaut quoi, mais elle me laisse continuer. Je prends son visage dans mes mains, pose mes lèvres sur sa bouche et je lui roule un patin fougueux avec la langue, comme si j’étais son amant, je lui dis
--- Hier c’était tres bon, j’espère que nos vacances vont continuer comme ça, ci non je me tire ».
Elle a bien compris quoi je fais allusion, je la caresse, puis descends mes mains sous sa robe bain de soleil que je remonte, j’attrape l’élastique du slip le descends et l’enlève. Je la pousse et l’allonge le dos sur la table à manger. Je descends mon short en même temps que mon slip.
Elle me regarde dans les yeux, je prends ses cuisses dans mes bras en les écartant, et sans autre préliminaire je pénètre dans ce sublime joyau bouillant, rien que le patin ardent a suffi pour me mettre dans un état d’érection insupportable, mais aussi à faire qu’elle mouille un peut.
Elle accompagne cet accouplement d’un gros soupir en fermant les yeux. Quelques va et vient dans ce sublime fourreau tres rapide et j’entends.
Elle
--- Oohh oui salaud, humm c’est bon, j’en ai trop besoin, tu profites que ça me manque salaud.
---Oohh oui continues oui oui plus fort
Le tout accompagné de tres gros soupirs et des gémissements, j’accélère le va et vient, malheureusement je ne sais toujours pas me retenir, mon plaisir monte à grande vitesse.
Elle
--- Ne jouis pas dans ma chatte stp, retire-toi.
Dans mon esprit il n’en est pas du tout question, je compte prendre le même plaisir que la première fois, je m’enfonce donc à fond dans son vagin en tirant tres fort sur ces cuisses, je râle en lâchant mon sperme bien au fond de son fourreau.
Elle
--- salaud je t’ai dit de sortir.
--- ça ne te gêne pas de jouir dans ta mère
J’ai répondu
--- Surement pas je prends mon plaisir dedans et le prendrai dedans autant que j’en aurai envie, surtout que tu aimes être baisée par ton fils à entendre tes gémissements et ce « c’est trop bon ».
Le reste de la journée je le passe à la caresser, la peloter. Puis le soir je la surprends puisque je m’installe dans son lit et je lui fais l’amour, je suce, mordille ses seins, mais c’est sur tout de sa chatte que je n’arrive pas à me rassasier, je la lèche, aspire ses belles lèvres vaginales, son clitoris, puis je la prends, je m’arrête à chaque fois que mon plaisir veut sortir, je reprends mes caresses et je lui dévore sa chatte jusqu’à ce que mon calme revienne un peu, dans la mesure du possible. Je réinvestis son divin fourreau sans la moindre retenue je me libère de ma semence bien au fond de son vagin à chaque fois. A part exprimer son plaisir qui constitue surtout à me traiter de salaud aucun rejet bien au contraire elle me demande de jouir en elle, le contraire de la demande du matin.
--- oui oui c’est trop bon va plus fort oouiichhh
Puis elle tremble elle se crispe pousse sa chatte en avant pour mieux me recevoir
--- oohh oui oui je t’aime mon chéri, oui jouis dans maman c’est trop bon Baiiise moi fort.
Elle a des jouissances qui ne sont pas dû à la dimension de ma bitte qui est de taille moyenne mais c’est plutôt le fait de braver l’interdit le défendu qui les accentues beaucoup plus, ainsi que par ce qu’elle est en manque de sexe.
Puis par la suite elle participe tres activement, elle me provoque, des strip-teases, des fois même en pleine journée, des fellations divines ou elle me fait voir qu’elle avale, elle me chevauche. Une fois ou je les pressée pour aller chercher du poisson, directement sur le port à l’entrée des bateaux, on rentre de la plage comme d’habitude elle met son petit linge à tremper, puis elle prend une douche.
Moi je la pousse aux fesses faut être tôt labas si non toutes les godailles des marins seront déjà vendues. Alors elle s’habille toujours le même type de robe vu la chaleur, moi je ramasse un sac le porte-monnaie les clés de la voiture et je la pousse littéralement dehors. On arrive, je veux la faire venir au bord du quai de déparquement, puisqu’une petite marrée les bateaux sont bas, on ne peut les voir qu’en approchant. Je sens qu’elle ne veut pas trop me suivre, elle me dit
--- Je ne peux pas je n’ai pas mis de culotte avec toi à me presser.
Cette révélation m’a excité et du coup je lui prends la main et je la force à être au plus près du bord juste au-dessus d’un bateau en déchargement je voyais bien et elle aussi d’ailleurs les marins qui s’affairent à accrocher les bas au palan qui se rinçaient l’œil. Bien sur au retour j’en ai profité pour glisser une main entre ses cuisses puis un bon durcissement dans mon short.
Je n’ai presque plus de bizous d’une maman a son fils mais souvent des baisés hyper passionnés. Moi j’apprends à me retenir un peu plus, à me contrôler un peu plus en variant les cadences du coïte. Enfin plus rien à voir avec celle qui disait ne pas être ma nana.
Humm la première fois, qu’elle m’a chevauché moi assis sur le bord du canapé elle me fait une super fellation, grimpe face à moi les un genou de chaque côté de mes cuises et elle s’empale elle-même sur ma bitte puis elle ondule des hanches je dis
--- oohh c’est top bon
Elle
--- Oui un ca te décalotte bien mon chéri.
Moi
--- m’am chérie, je vais encore jouir vite et te remplir encore, j’ai trop envie de toi bordel.
--- Putain que c’est bon arch.
Et je crache mon foutre dans son vagin en la tenant bien empalée contre moi un délice.
J’adore sa façon de faire dans cette position ou la femme décide.
Un matin une petite crispation sur son visage, apres trois semaines environs ou un peu plus, période pendant laquelle à chacune de mes envies je me suis vidé dans son vagin, dans toutes les positions y compris celles ou je rentre tres profond et que son utérus est obligatoirement tapissé de mon foutre. Par exemple je la couche sur le dos, la fais jouir avec ma bouche en lui dévorant sa chatte puis je lui relève ses cuisses que je dépose sur ma poitrine, je m’encastre dans ce sublime fourreau que j’adore, je pilonne jusqu’à gicler au plus proche de son uterus. En plus elle reste bien souvent avec mon sperme dans son vagin, sperme qui lui coule dans les cuisses. Depuis qu’elle m’a fait le coup de sortir sans slip, pour que ça m’excite, je juge qu’elle n’en a plus besoin, alors je l’empêche d’en mettre un.
Pareil je l’empêche d’aller aux toilettes la nuit elle reste au lit avec moi, pleine de mes offrandes, juste mon plaisir cérébral.
Apres cette crispation que j’ai remarquée sans qu’elle m’en parle, rien n’a changé dans nos relations.
On rentre de nos vacances, on va chez la grand mere de ma maman dans le nord, puis en Belgique, voir une personne que m’am connaît et elle prend un rendez-vous.
Elle y retourne seule pendant une journée, je ne sais pas pourquoi.
Elle m’expliquée à son retour que si elle n’a pas paniqué alors que je jouissais en elle, c’est par ce qu’a 8 ans j’ai fait les oreillons, puis à 10 ans une varicocèle m’a été diagnostiquée, des maladies qui en plus cumulées rendent stérile. Les dires de notre médecin de famille. Ça l’a contrarié un peu de se retrouver fécondée, mais d’un autre côté heureux que je ne sois pas stérile. Apres ce constat, ça ne servait plus à rien de faire attention. Puis surtout qu’elle a pris un énorme plaisir cérébral à braver les interdits ; et aussi à obéir à mes demandes incessantes.
Sa journée en Belgique c’était pour qu’on la débarrasse du problème. Un endroit qu’elle a déjà fréquenté avant de se marier avec mon père. Puis elle va tres régulièrement voir sa mère, surtout pour se rendre en Belgique pour se fournir de ladite pilule contraceptive qui est à cette époque légale chez eux, alors qu’en France on ne fait qu’aborder le sujet. Pilule contraceptive que je dois cacher dans ma table de chevet, pour que m’on père ne se pose pas de question sur l’utilité de cette chose.
Une fois rentré à la maison, bien sur mes envies sont toujours là , elle me fait remarquer que je ne devrais plus la regarder avec des yeux gourmands plein d’envie par ce que papa est là , si pas souvent, surtout les jours ou justement moi je suis là aussi, le dimanche et des fois le samedi. J’apprends à partager l’amour de ma vie, avec je dois l’avouer une pointe de jalousie au cœur quand il est dans le lit avec elle.
AUJOURD’HUI
Aujourd’hui à 74 ans, pour ceux qui ne l’ont pas remarqué à la lecture de ce texte, a l’époque j’étais amoureux fou de cette divine creature, ma femme l’avait tres bien compris, cette période est restée gravée dans ma mémoire, pour cela que je peux la raconter, et au fur et à mesure que je couche mes souvenirs sur ce texte je m’aperçois que ma maman a jouée, semblant de rien l’esclave sexuelle, puis qu’elle obéissait à mes demandes comme chose que je n’avais pas compris à l’époque. Je me souviens de tout cela comme si c’était arrivé hier …
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