Ce que je vais vous raconter aujourd'hui, je l'ai gardé en moi depuis plus de 30 ans. J'en ai aujourd'hui 50. Je n'en ai jamais parlé à personne jusqu'à maintenant. Je ne sais pas comment vous racontez sa, mais il va bien falloir... Nos soirées avec ma sœur pendant que les parents regardaient la télé en bas. Tout a commencé un dimanche soir quand nous faisions nos bains pour l'école le lundi, ma sœur et moi avions environ 13 et 14 ans, elle était la plus belle adolescente du monde, elle avait de longs cheveux bruns, des lèvres pulpeuses, un joli cul parfait, mais ce qu'elle avait de mieux, c'était ces jolis beaux seins, bien ronds, de jolis tétons roses qui pointaient souvent.
Ma sœur et moi à l'époque faisions nos bains ensemble tous les dimanches soirs, jusqu'à ce dimanche où ma sœur décide de me frotter le dos puis elle me dit :
— Maman dit toujours qu'il faut se frotter car on fait jamais, après c'est toi qui me frottes.
— D'accord grande sœur frotte.
Elle me frotte doucement le dos et descend sur mes fesses puis passe sa main entre mes fesses, l'insouciance de notre jeune âge, je me laisse faire, c'est ma grande sœur donc c'est elle qui commande, je sentis un frisson m'envahir et mon sexe se met à durcir pour la première fois et elle me dit :
— A ton tour petit frère.
Et je me retourne pour lui frotter le dos à son tour et là elle voit que je bande.
— Pourquoi ton zizi est tout dur ??
— C'est quand tu as passé ta main entre mes fesses, ça m'a fait ça, c'est normal ???
— Faut croire que oui,
me dit-elle en souriant puis à mon tour je lui frotte doucement le dos et comme elle je passe ma main entre ses fesses, et là elle pose un pied sur le rebord de la baignoire et me dit :
— Continue doucement, t'arrête pas.
Elle se recule pour se coller contre moi, ce joli cul dodu était contre mon sexe encore dur et elle prit mon autre main pour lui frotter son petit ventre tout doux puis sa main emmène la mienne sur la jolie poire qui pointait à mort, je sentais ses tétons entre mes doigts et elle continuait à se dandiner pendant que ma main était toujours entre ses fesses et d'un coup elle se retourne en souriant, heureuse, ses jolis seins face à moi...........
— Ca te plaît petit frère ???
— Oui tu es jolie ma sœur, tu es belle, tu as un joli corps.
— Merci petit frère, je t'aime.
Et elle m'embrasse tendrement, je me souviens très bien de ses lèvres charnues....... puis nous allions dîner, moi et ma sœur nous regardions pendant qu'on mangeait........ une fois fini de manger, c'était à nous de débarrasser la table puis la bonne nuit aux parents et au lit, les parents regardaient la télé en bas dans le salon.
Au bout de trente minutes, j'entends ma sœur m'appeler dans le couloir, elle essayait d'entendre la télé d'en haut, mais pas évident, et me dit :
— Reste derrière moi au cas où........
elle était en petite culotte et sa veste de pyjama, je l'écoute, je me colle derrière elle et d'un seul coup je me mis à bander, ma sœur ne disait rien, son joli cul dodu collé contre mon sexe et je lui dis :
— J'ai aimé te laver tout à l'heure, tu frissonnais, tu avais froid ??
— Non non, ne t'inquiète pas, j'ai adoré aussi, on fera tous les dimanches.
— D'accord, mais tes seins étaient durs, pour ça je te demande.
— Mes seins pointaient de désir tout simplement comme maintenant par exemple.
— Comment ça ??
Et là elle se retourne et me dit :
— Ouvre ma veste de pyjama.
Et là ses jolis seins avaient pris de l'ampleur, des tétons bien roses encore plus durs, je les contemplais, ils étaient tellement beaux, d'une petite voix elle me dit :
— Touche-les, caresse-les.
Je ne me fis pas prier, doucement, je les caresse, je les masse, ma sœur accotée à la rambarde des marches penche la tête en arrière, ce corps se donnait à moi, elle me regarde et me dit :
— Mes seins te plaisent ??? Tu les trouves comment ? Tu en as déjà vu ???
— Ils sont magnifiques, trop beaux, c'est les premiers, je vois tu es tellement belle ma sœur je t'aime.
— Je t'aime aussi petit frère, ils sont à toi, si tu veux tu pourras les toucher autant de fois, tu veux ils t'appartiennent, je suis à toi petit frère, tu es ma cher, mon sang, rien ne nous séparera.
Nous étions devenus complices à jamais tous les soirs, j'avais ce privilège de voir ma sœur à demi nue, elle était mienne, nous faisions tout ensemble même quand on partait chez notre grand-mère qui a failli nous griller une fois, mais un soir tous pris de l'ampleur, ma sœur devenait de plus en plus entreprenante, c'était notre rituel chaque soir, je devais la toucher, elle le voulait, un soir elle était en bas de pyjama, la veste ouverte, elle m'attendait, je massais comme d'habitude ses jolis seins qui m'excitaient de plus en plus et là ce soir-là elle prit ma main et la met dans son pyjama........... et là plus de culotte, pour la première fois, je touchais sa petite minette d'une voix tremblotante.
— Chut... viens donne ta main.......... tu aimes......?
— C'est chaud et gluant.
— Oui ma chatte est trempée, excitée à chaque fois tu me touches.
Elle baisse son bas de pyjama, ma sœur était nue à poil complètement devant moi, je la contemplais, émerveillé.
— Ce que tu es belle ma sœur, tu es à moi je t'aime fort.
— Oui je suis à toi, je t'aime aussi.
Et là elle baisse mon pyjama aussi je bande fort comme tous les soirs et là sa main caresse mon sexe, ma sœur me masturbait, m'a branlé doucement.
— Tu es beau aussi mon frère, ton sexe est beau.
— Merci ma sœur, tout comme toi il t'appartient.
— Tu aimes comme je te caresse petit frère ???
— Oui c'est beau, tu es tellement douce.
A cette époque nous ne savions pas que c'était de l'inceste, un amour grandissant entre frère et sœur puis un soir suivant, c'est monté d'un cran, ma sœur me rejoint dans le lit direct, elle retire mon pyjama et me branle et me branle, se met à hauteur de mon sexe, le regarde, elle me prend par la main.
— Viens on essaye quelque chose, j'ai vu les parents faire.
Elle s'allonge par terre, se met à écarter les cuisses, sa chatte ouverte et tellement belle, j'embrassé ces jolies jambes, son entre cuisse, sa peau si douce, sa chatte dégagé une petite odeur, je monte doucement.
— Viens, monte sur moi comme ça.
Mon sexe touché sa chatte trempée comme jamais, elle se dandinait, se trémoussait ces gros seins qui ballotaient dans tous les sens.
— Mon frère mon amour, viens approche.
Mon sexe s'approchait dangereusement de sa chatte humide, j'étais au bord de l'entée, je sentais ses lèvres de chaque côté puis ce coup de reins a fait que je suis rentré en elle ..... juste mon gland est rentée , elle a poussé un léger cri puis brutalement on s'est rhabillé, car on a entendu notre père arriver et demander ce que l'on faisait, on s'est vite endormi et quand on se levait le matin, c'est un large sourire et tendre bisous d'amour ..... on allait à l'école heureux en se tenant la main puis le soir arrivant cette fois-ci c'est moi qui l'appelle pour écouter la télé d'en haut, elle arrive petite culotte veste de pyjama déjà des seins qui pointaient chaque jour, ses nichons grossissaient à vue d'œil toujours à me placer derrière elle, moi en caleçon, elle baisse sa culotte comme d'habitude.
— Viens mon frère, mon homme de ma vie, viens je suis à toi.
Je me mettais à genou derrière elle pour embrasser ses douces fesses, ce joli cul merveilleux en écartant doucement pour découvrir cette petite chatte qui m'appelait, humide puis je glissais mon sexe entre ses cuisses, on se frottait, ma sœur gémissait fortement, elle aimait ça.
— Ho mon frère, j'aime te sentir, je t'aime, je suis à toi, ma chatte est à toi.
J'aurais voulu lui mettre au fond, la sentir baiser ma sœur, lui faire l'amour, la défoncer, la faire la crier, qu'elle crie mon nom à jamais je m'en souviendrai toute ma vie.
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25-12-20240139
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