Christelle, renaissance à Capbreton

Récit érotique écrit par Excalibur le 07-01-2025
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Catégorie Infidélité

Le départ


Han, han. Putain t’es trop bonne.


Vincent fait des va-et-vient avec le plus d’amplitude qu’il peut. Il sent qu’il va bientôt jouir. Christelle est sous lui, sur le dos. Elle regarde son homme, inexpressive. Il a beau trimer du mieux possible, elle ne ressent rien. Cela fait maintenant plusieurs années que Vincent est incapable de la faire jouir. Vincent accélère sa cadence. Il éjacule dans le corps sa compagne.


Ouah, c’était bon. Tu as aimé ?Comment veux-tu que j’ai aimé ? Tu as vu la taille de ton sexe ? Même un bachelier serait plus gros que toi.


Vincent est peiné par la réponse de sa compagne. Il sait qu’elle voudrait qu’il est un sexe bien plus gros, il a déjà pensé à une opération, mais le coût et l’appréhension l’ont toujours bloqué. Christelle se lève et part se nettoyer. De retour dans la chambre, la femme se prépare sous l’œil attentif de son compagnon. La quarantaine à peine dépassée, Christelle reste une jolie femme qui ne laisse pas indifférent les hommes qu’elle croise. Son teint clair contraste avec ses cheveux brun coupés court et ses yeux marrons, surlignés par des ridules en pattes d’oie au coin de l'œil ajoutent une part d’expérience à son charme naturel. Rien qu’en la regardant le petit sexe de Vincent recommence à bander. Son petit short moulant et son t-shirt de running très prêt du corps ne cachent rien des jolies formes de la petite brune d’un mètre soixante. Sa poitrine ronde, un joli quatre-vingt-dix bonnet B, est parfaitement maintenue par une brassière de sport. Ses jambes, longues et fines, parfaitement épilées sont une véritable tentation pour quiconque la croise. Malgré les remarques désobligeantes de sa compagne sur la taille de son sexe, Vincent se dit qu’il a de la chance de l’avoir elle, toujours aussi sexy qu’au premier jour de leur rencontre, elle, qui aime entretenir son corps et le mettre en valeur. 


Dans le parc voisin de leur appartement, Christelle court. Nombreux sont les hommes qui la suivent du regard quand elle les croise provoquant l'ire de leur moitié. Christelle reste impassible et continue sa course. Puis elle entend des pas derrière elle. Un autre coureur qui va la dépasser se dit-elle. Pourtant, non, la foulée de son suiveur se cale à la sienne. Sans même se retourner, elle sent le regard de l’homme sur ses fesses, ses jambes, sa taille. Elle aime se sentir désirée. L’homme derrière elle regarde sans vergogne ce cul moulé dans le short en lycra. Il sourit en voyant les fesses ronde et ferme de la petite brune, imaginant déjà son sexe la transpercer. Il bande, heureusement que son bermuda de sport est large, personne ne peut voir son excitation.


A la fin de son tour de parc, Christelle s’arrête près d’une barrière en bois. Elle croise le regard de son suiveur qui lui sourit en continuant sa route avant d’accélérer sa foulée. La brune commence ses étirements. Face à elle, un jeune homme, entre vingt-cinq et trente ans, s’installe lui aussi pour commencer les exercices qui lui éviteront les courbatures demain. A chaque fois que Christelle se penche, il a une vue imprenable sur l’encolure du t-shirt qui dévoile la poitrine ferme de la femme. Le jeune cadre dynamique se régale de cette vue. Rien qu’avec elle, il ne regrette pas sa journée. Il enregistre les images sur lesquelles il se masturbera ce soir quand il sera seul dans son lit. 


De retour chez elle, Christelle prépare ses affaires et celles de sa fille. Ce soir à la sortie des classes, elle prend sa voiture direction la côte basque pour un long week-end de mai sur la plage. Vincent restera à l’appartement. Elle ne lui a même pas proposé de venir. De toute façon il a du bricolage à faire, le carrelage autour de l’évier de la cuisine doit être arrangé pour la pose des nouveaux meubles. Les valises prêtes, Catherine charge sa mini cooper verte. Elle récupère Léa puis direction l’A10 pour ce long week-end de Pentecôte.


A vingt-et-une heure trente, Christelle s’arrête sur une aire de l’autoroute pour remettre du carburant. Il fait chaud en ce début juin, heureusement qu’elle a opté pour une petite jupe de randonnée beige qui lui arrive juste au-dessus des genoux et d’un chemisier blanc dont elle a laisser les deux premier boutons ouverts. Elle profite du moment pour manger avec sa fille dans le fast-food mitoyen à la station service. Quand elle paye à la caisse, le serveur est sous le charme de ce sourire et par la vue du décolleté. Alors qu’elles mangent en discutant de leur week-end , un quinquagénaire en surpoids s'installe à la table voisine.


Bonsoir, belle soirée.Merci, oui.Il fait chaud, je suis en sueur. Je dois descendre à Bayonne pour affaires.Nous, nous nous arrêtons à Capbreton, je passe le week-end avec ma fille.Elle est très jolie comme ça maman. Vous y êtes déjà allé ?Non c’est la première fois.Vous verrez, c’est très joli.


Tout en discutant, l’homme a du mal à empêcher son regard de s’attarder sur le bas des cuisses dévoilées par la jupe légèrement remonté de la femme, ainsi que par la forme de la poitrine ferme qu’il devine dessous le chemisier blanc. 


Alors que Christelle a repris la route et roule à vive allure vers la cité balnéaire, l’homme d’affaires astique son sexe dans la voiture en repensant à la belle brune, lui faisant oublier pour un instant sa dernière dispute avec sa femme. Le mini cooper verte s’arrête à l’appart-hôtel de la plage. La jeune veilleuse de nuit présente l’appartement loué pour ces trois nuits. un petit séjour, avec cuisine intégrée, ouvert sur un terrasse avec vue sur l’océan juxtaposé à deux chambres, l’une avec deux lits jumeaux où dormira Léa, et l’autre pourvue d’un lit double par la mère de famille. Les papiers réglés, les valises vidées, sa fille couchée, Christelle peut enfin s’allonger sur le lit pour se détendre. De son téléphone elle envoie un message à Vincent pour lui dire qu’elles sont bien arrivées et qu’elles vont dormir avant de profiter du long week-end. Christelle coupe le son du téléphone.


La brune repense à son premier amant, le père de sa fille. Elle le compare avec Vincent. Dommage qu’il soit autant portée sur la bouteille, au lit c’était un champion et son sexe, quel sexe ! Rien à voir avec la taille ridicule de Vincent. Au moins lui il savait la faire monter au septième ciel. Elle l’avait quitté, il y a sept ans déjà, un soir qu’il avait trop bu. Il l’avait giflée comme jamais il ne l’avait fait. Elle en était tombée par terre. Sa décision a été prise instantanément. Elle a téléphoné à son père pour qu’il vienne la chercher. Elle devait protéger sa fille. Le soir même, elle avait fait constater ses blessures au commissariat, ce qui lui a permis d’avoir la garde exclusive de sa fille lors du divorce. Ensuite elle a rencontré Vincent, grand bien bâti. Elle savait qu’il pourrait les protéger. Seul bémol, au lit il n’a jamais pu l’emmener au paradis.


Christelle repense à son premier amour. Sa main glisse entre ses cuisses. Qu’il était endurant, et son sexe énorme qui l’emplissait. Quel régal ! son autre main caresse sa poitrine. Ses tétons se dardent sous ses doigts. Elle se remémore ce sexe qui glissait en elle, lui procurant des sensations divine. Son intimité s’humidifie sous ses doigts qui s'aventurent peu à peu en elle. Elle halète, respire plus fort. Qu’il était bon au lit quand il rentrait toute sa longueur en elle. Elle gémit à ces idées et sous ses propres caresses. Qu’elle voudrait que Vincent lui procure autant de sensations. Son corps se cabre. Le plaisir monte. Que c’est bon de ressentir autant de plaisirs. Elle continue ses caresses. Son corps tressaille. La jouissance lui arrache un cri. Elle se cabre avant de retomber en sueur sur le lit.



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07-01-2025 0 26

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