Dans cet embouteillage à n’en plus finir, mes idées revenaient inexorablement à Carole. Deux années de couple avec ma copine n’avaient en rien entamé mon attrait physique pour elle. Faut dire qu’elle avait un physique envoûtant.
Je ne sais si c’est vraiment le mot, mais une chose est sûre, c’est qu’après ces années, j’étais toujours aussi subjugué par sa proximité physique.
En ce lundi, je repense à nôtre soirée de samedi, ou je l’avais persuadée de sortir dans ce petit restaurant, en oubliant de se munir de l’ensemble de ses sous-vêtements.
Ses sourires, ses mouvements, le moindre de ses croisements de jambes, m’avaient émoustillés. Nous étions rentrés et avions fait l’amour. Intensément.
J’étais encore étonné de la facilité avec laquelle elle avait accepté de sortir nue sous sa robe légère. Surpris aussi avec quelle facilité elle avait laissé la main de ce jeune inconnu glisser sous sa robe, et ouvrir ses jambes, pour faciliter l’accès à sa chatte.
Cela m’avait mis inconsciemment dans un état intense d’excitation. Je le fus d’avantage quand elle m’avouait avoir joui sur ses doigts. Mon esprit me projetait l’image de Carole se tordre sur le tabouret du bar, ignorant le regard des autres clients, tandis qu’elle atteignait l’orgasme. Sans doute parce que je sais ce que l’on peut ressentir d’avoir le fantasme de voit sa copine prendre du plaisir avec un autre homme.
A propos de fantasmes, il s’en dessinait un en moi depuis quelques temps, concernant Carole. L’ombre de mains qui n’étaient pas forcément pas les miennes, parcourant son corps en ses lieux les plus secrets, traversent parfois de façon fugace mon imaginaire, et en tire plaisir.
Parmi les petits évènements du quotidien, l’annonce du passage de Karl, un copain d’enfance, se profile pour la fin de la semaine, et Carole et moi nous réjouissons de sa venue. Nous le connaissons depuis très jeune, et son couple et le nôtre étions très complices. Nous regrettions juste que sa compagne ne soit pas avec lui, car avions avec elle un réel lien d’amitié. Je me plaisais de voir sa gaieté qui s’emparait de son corps, quand je glissais une main entre ses jambes, et tentais d’atteindre sa chatte.
J’attendais avec hâte ce week-end, que je devinais coquin.
Carole et moi passons une semaine relativement calme, multipliant les sorties, l’un et l’autre jouant du regard des autres. Peu avant l’arrivé du week-end, je lui avais demandé de me rejoindre à cette brasserie non loin de chez nous, pour satisfaire l’une de ses envies.
Elle s’assit près de moi, alors que nous étions en face un autre couple, et me donna un long baiser. Elle prit ma main pour la poser sur son genoux, et me dit qu’elle se sentait légère, envieuse, qu’elle était passé se changer à la maison avant de venir.
Je compris à ses yeux pétillants, qu’elle devait être particulièrement légère de lingeries, et cela me mis en éveil, de la savoir sans culotte, son intimité à fleur de peau en ce lieu.
Nous parlons de tout et de rien, alors que ma main remonte du genoux vers l’intérieur de ses cuisses, et sentais cette douce chaleur que son corps dégageait.
Nôtre long baiser avait attiré l’attention du couple, et l’homme n’arrivait plus à détacher son regard de Carole. Il était devenu voyeur, et je le voyais parcourir son corps du bas, et remontant le long des jambes fuselées. Je le dis à Carole, qui me dit l’avoir remarqué, et sciemment, ma main s’anima vers le haut des cuisses, remontant sa courte jupe.
Elle écarta un peu ses jambes, et jetais un regard discret à nôtre voisin.
Elle se leva et se dirigea vers les toilettes. L’homme la suivit.
Je jouissais de la situation, m’imaginais ce que cet inconnu faisait subir à ma chérie.
Carole revint demi-heure plus tard, le regard livide, avala une longue gorgée d’eau. L’avait-elle sucé ? Elle me jura que non, mais qu’il l’avait faites jouir à deux reprises.
Cela m’excitait et me faisait bander de savoir cet inconnu jouer avec son clitoris. Je lui demandais si elle avait aimé, elle ferma simplement les yeux, se pinçant les lèvres et baissant sa tête de bas en haut.
C’est ainsi que ma main remontait sous sa jupe, écartais légèrement les cuisses, pour m’apercevoir que sa chatte était toute mouillée. Je saisis le clitoris, le fis rouler entre deux doigts. Je ne résistais pas à aller plus loin, j’avais envie d’elle, ma queue prenant des proportions gênante dans mon pantalon. Nous étions tous les deux dans un état d’excitation extrême, et j’avais bien conscience que ce n’était pas juste le fait que Carole se soit faite doigter par un inconnu. Je sus lire dans son regard, quelque chose de particulier dans son extase, quelque chose dont le mystère n’avait d’égal que la jouissance que cet inconnu lui avait provoquée.
Je me refis le film de ces dix derniers jours, tentais de retracer le fil du cheminement de mes sens qui vivaient a fleur de peau depuis cette sortie avec elle au restaurant.
Ma soirée entière avait été rythmée par des fantasmes qui se développaient autour du fait qu’elle était sans culotte, que seule la mince épaisseur du tissu de sa robe séparait mon regard, mes mains parfois, de sa totale nudité et que seulement moi le savait.
Puis je ne pouvais oublier l’aspect uniquement ludique de nos réactions à tous les deux lors de l’anecdote de la brasserie, ou cet inconnu lui avait donné du plaisir.
Il y avait comme “un tout” qui se formait, auquel s’ajoutait la fantasque idée de mains autres que les miennes caressant son corps, sous mon regard, j’allais dire, sous ma bienveillance.
La venue de Karl parmi nous, me ramenait le souvenir de cette période libertine que nous avions eue avec son couple. Avec sa compagne et lui, voilà maintenant trois ans, nous avions été au bout de ces fantasmes mélangismes, merveilleuse période ou nous allions tous les quatre de désirs en plaisirs, sans vraiment déceler les limites de nos envies d’attouchement. Puis naturellement, un peu comme ces situations s’étaient créées, elles s’en sont allées peu à peu. Carole et moi avions pris plaisir a toucher d’autres corps, il est vrai, des corps que nous connaissions bien, et ces baisers et caresses étaient devenus naturels, entre nous quatre.
De cette complicité formidable dont les seules limites, mélangisme oblige, avaient été de ne faire l’amour qu’à nos copines, ou pendant ces caresses échangées, il en était sorti, vis à vis de Karl et Valérie, un renforcement de notre amitié, ainsi qu’une sorte d’indifférence mêlée d’un certain plaisir lorsque Kart toujours discrètement embrassait Carole au coin de la bouche, ou que moi même faisait une caresse rapide a Valérie entre ses cuisses, lorsque la vue de certaines de ses mini-jupes devenaient insoutenable.
C’est ainsi que le temps qui passe nous amena à ce Vendredi, jour de la visite de Karl, qui arrivait par le train à Austerlitz en début de soirée, vers vingt heures.
Ainsi donc, ce Vendredi là, passais-je prendre Carole en voiture à l’appartement vers dix neuf heures pour nous rendre à la gare d’Austerlitz et passer la soirée avec notre ami.
Nous décidâmes dans la voiture d’enlever Karl à la gare et de lui proposer ce restaurant de fruits de mer qu’il appréciait tant avant de continuer la soirée à ce fameux Piano-Bar où nous passions ensembles des moments inavouables de coquineries avec Valérie, lorsque bien plus qu’une bouteille de champagne se mêlait à nos fins de soirée..
Puis il y avait ce Patron de Boite, comment s’appelait-il déjà ?… ah, impossible de m’en souvenir...Charisme bien planté, physique agréable au point de faire Carole nous lâcher un certain soir-avant-champagne, que “ce type est vraiment sexy”. Nous nous étions regardés, étonnés de cette remarque venant d’elle ordinairement plus discrète.
Ainsi le programme convenait-il à Carole, et tout allait bien.
L’opération Austerlitz fut rondement menée…Embouteillages, problèmes de parking, moi qui reste au volant, Carole qui descend, Top chrono le train qui est arrivé à l’heure . Carole et Karl qui reviennent, lèvres soudées, joyeux et rieurs, Bref, Synchro d’enfer.
Nous voilà donc tous les trois dans la voiture, relatant nos souvenirs. Karl, installé à l'arrière arrivait a nous serrer dans ses bras par derrière les dossiers des sièges avant avec l’énergie que nous lui connaissions. Un vent de bonheur traversa Paris ce soir là depuis la Gare jusqu’au restaurant, et même après, car nous passèrent effectivement un agréable moment.
Pas moins d’une heure d’embouteillage, de ceux où la voiture ne se stoppe qu’une minute a peine, mais se déplace lentement de feux rouges en feux de la même couleur.
L'intérêt de Karl se porta peu a peu sur le corps de Carole, séduisante comme jamais. Il le lui dit, tout en plaçant ses mains sur le haut de son décolleté, nous entraînant dans un rire coquin. Ses doigts sur le haut des seins de Carole la caressait plus qu’ils ne l’effleuraient, et c’est sans m’en rendre compte tout a fait que je posais ma main sur le haut de son genou gauche.
Elle écarta légèrement ses cuisses, et quand ma main remonta lentement jusque sous sa robe, je me dis que le fait de rouler en voiture automatique, évitant les horribles devoirs de changement de vitesse au profit de la disponibilité de ses mains pour caresser sa copine, était une merveille de l’avancée de la technologie automobile.
Je savais combien le contact de ma main sur le haut de sa cuisse lui déclenchait une chaleur sur tout le bas du corps. Je déplaçais ma main, caressant maintenant la partie inférieure de son ventre sous la robe.
Karl lui tordait le cou pour lui prendre les lèvres. Je voyais leur langue se perdre dans un interminable baiser. Je la vis fermer définitivement les yeux, se laissant transporter dans ce monde des sens qu’elle connaissait si bien. Ses jambes s’écartaient davantage, instinctivement sans doute, laissant à ma main le loisir de se transformer en contacts de doigts, plus précis, lorsqu’ils descendirent cette fois-ci sur l’intérieur de ses cuisses.
L’ambiance devenait très chaude, et voyais Carole tour a tour fermer les yeux et les ouvrir, se pincer parfois les lèvres, puis rire en serrant les jambes.
Je lui connaissais bien cet état et savais jusqu’où cela pouvait la mener.
Malgré, justement, notre intimité sans faille, je la savais toujours un peu gênée lorsqu’elle sentait son corps réagir a ce point a mes caresses, quand au simple contact de mes doigts cette humidité se crée malgré elle.
Je lui avais dégagé le bas du ventre, bien visible maintenant, et ses cuisses écartées me laissaient libre de choix de mes mouvements. Le parcours de ma main, depuis son ventre jusqu’au haut de son clitoris en écartant doucement ses lèvres était d’une redoutable précision, et lorsque je m’en saisi entre les doigts elle frémit un peu. Ce contact fait d’un léger mouvement de va et vient m’en faisait sentir la fermeté autant que son degré d’excitation. Je savais qu’elle commençait a mouiller sérieusement, mais je n’avais pas commencé cette exploration plus intime que son corps n’allait pas tarder à réclamer malgré elle. Elle était dénudée jusqu’au bas ventre, son string écarté libérant sa chatte offerte a mes doigts. Karl le regard posé sur ses cuisses, avait sorti les seins des balconnets, en faisait rouler les bouts. .
Elle s’abandonna davantage, les yeux fermés lorsque mes doigts furent plus précis, s’insérant lentement en elle, toujours sous forme de caresse, sans vraiment la pénétrer.
Puis je remontai ma main, dégageant son clitoris jusqu’à le mettre a nu .
C’’est là qu’elle eu son premier gémissement, car le contact de mon doigt maintenant mouillé sur le bout de son clitoris commençait à lui procurer cet indéfinissable plaisir qui ne se quantifie plus, tant il est fort.
Karl lui caressait les joues. D’un réflexe, elle lui happait un doigt, le suçait. Ce doigt qui allait lui donner un plaisir énorme. La caresse du majeur de Karl sur son clitoris, les mouvements de ses doigts sur son extrémité, alternant la lenteur à de petits mouvements rapides, malmenaient ses sens, amenant le désir aux limites de l’orgasme.
Je savais qu’il pouvait l’amener à jouir rien qu’à ce jeu, il savait aussi parfois s'arrêter, la laissant pantelante, presque frustrée, la pousser à le supplier, un désir fou au fond du corps, son intimité ruisselante et ses sens en feu. Je me retirais, laissant seul Karl à la manœuvre. Le doigt dévastateur déclencha un terrible orgasmes. « Oh oui Karl….oui »
Mais je ne me doutais pas que ce jour là, Carole allait donner à mes sensations une dimension nouvelle, par une mise en scène à la fois diabolique, et d’un érotisme en même temps débridé, sans limite, m’amenant bien au delà de mes fantasmes les plus inavoués et les plus profonds.
Nous arrivons à bon port, puis attendons un instant avant de mettre le nez dehors, nous remettant tous les trois des émotions de nos corps. Carole embrassa Karl sur la bouche, insérant ses doigts sous ma chemise, caressant mon torse.
C’est en arrivant au Piano-Bar vers minuit que tout se gâta ….
Nous arrivons guillerets et sommes reçus comme des princes attendus par…Renaud… Voilà…il s’appelait Renaud, ça me revient…
Joie encore différente que celle là, dont Renaud connaissait le détail, coquineries qui se terminaient à quatre dans notre appartement, dans la plus grande volupté. Renaud avait dit. « Un jour, je me la taperais ta copine » Carole lui avait souri.
J’embrassais Carole, un bras délicieusement placée autour de son cou, mes doigts effleurant le haut de sa poitrine mise en valeur par un scandaleux décolleté.
Nous nous installions à la table qui nous était réservée, avec vue imprenable sur la piste. Du champagne nous fut servis, accompagné d’une rose à l’attention de Carole. Je la sentait se trémousser quand la musique fusa dans la salle. Karl, voulant profiter au maximum de Carole, l’invita à danser. Je l’ai vit magnifique sur la piste, lui ses mains sur la taille, elle pendue à son cou. Et leurs lèvres qui se cherchaient, pour se trouvaient dans un sulfureux baiser.
Soudain, je dus m’absenter pour faxer un dossier à mon boss. Le temps d’aller au bureau, une heure aller retour, tout au plus.
« Restez ensembles, amusez vous, je fais vite. Promets moi d’inavouables aventures à mon retour, et tout ira bien », Dis-je.
Je laisse Carole aux douces griffes de Karl, et leur demande de me faire une surpris à mon retour. Mais les recherches s’éternisent, Jusqu’au moment ou Carole, impatiente m’envoie un message, me rappelant que Renaud fermait à trois heures, et que ma surprise m’attendait. Je lui dis que j’y serai.
J’imaginais avec plaisir Karl et Carole dansant seuls sur la petite piste du Cabaret, Renaud ayant volontiers retardé un peu sa fermeture pour un dernier verre ensemble, et la pensée du corps de ma femme ondulant sous les lumières tamisées, et jouant de ses formes se dessinait dans les ambiances cotonneuses créées par mon esprit imbibé d’érotisme fou.
J’entrais doucement, croisant ce qui devait être les derniers couples qui sortaient. C’est en ajustant mes lunettes que je les vis...mais oui bien sûr, près du bar, ou plutôt non un peu à l’écart, près de cette table où était disposées quelques bouteilles d’alcools. Carole était là, Karl juste à côté. Je les croyais seuls dans le cabaret vidés des derniers clients. Elle s’appuyait légèrement d’une main posée sur la table, un verre à la main, fermant les yeux, Karl derrière elle, le visage dans ses cheveux. Le couple formait à mes yeux une image d’un érotisme dévastateur par le fait que Karl avait sa main droite fouillant la chatte de Carole, son autre main relevant légèrement le bas de sa robe et laissant apparaître le haut de ses collants.
Cette image fut pour moi une sorte de choc émotionnel. Son corps sensuel caressé par les mains de nôtre ami, qui la parcourait lentement d’attouchements circulaires, la faisait se cambrer d’avant en arrière, se frottant contre sa queue. La caresse de Karl sur le corps de Carole durait, s’étalait avec délice.
Mais, dans ce tableau, il manquait un personnage...Renaud.
Impassible, il regardait, les mains simplement posées à plat, il parcourait de son regard un peu fixe, chacune des sublimes courbes du corps de Carole
Je le voyais la dessiner des yeux, depuis le bas de ses chevilles, longeant ses jambes jusqu’au haut de ses cuisses dont Karl caressait maintenant l’intérieur, forçant encore ma femme à écarter les jambes davantage…
Puis Karl pivota sur sa droite en un mouvement où son visage se trouva face à elle, et sa main gauche relevant entièrement la robe, faisant apparaître les fesses magnifique de Carole. De là où j’étais, je voyais la ficelle du string qui partait depuis le bas de son sexe jusqu’à sa taille ainsi que le haut de ses cuisses, dont les légers reflets de lumière faisaient apparaître la moiteur. Ses cheveux abandonnés sur son dos, la main de Karl doucement posée sur sa taille, faisant Carole frotter son bassin sur l’autre main donnait à la scène une chaleur des plus torride.
J'étais dans le droit fil de cette réflexion quand je vis Carole faire ôter son string, s’aidant d’un mouvement de hanche circulaire, tandis que Karl se plaçait face à elle et que dans le même temps, pour la première fois, Renaud sortit de son impassibilité.
Je le vis sortir de sa ceinture un sexe énorme sous l’effet de l’érection qu’il manifestait.
Je cru un instant à un curieux effet d’optique, mais il s’avérait bien que Renaud était doté d’un membre des plus impressionnant.
Je vis Carole tourner la tête, se désintéressant de Karl un instant. Elle regardait Renaud, et malgré la distance, je lus sur son visage l’étonnement, plutôt la stupéfaction.
Je ne me trompais pas. Renaud avait des atouts qui n’avaient rien de commun avec les miens sous l’effet de l’érection. Et le moins que l’on puisse dire est que Carole lui faisait un effet incomparable. Cette dernière était maintenant littéralement en arrêt devant le calibre de Renaud. Elle restait ainsi, le regardant. Je la connaissais assez bien pour connaître l’attrait visuel que comportaient certaines scènes pour elle. Carole était de ces femmes qui étaient touchées par l’impact visuel.
Elle préférait même parfois regarder tout en se touchant, ne recherchant pas l’orgasme mais seulement la situation d’excitation, au terme de laquelle elle se jetait sur ma bite, évitant les préliminaires pour s’empaler sans attendre, tout en serrant mon sexe de ses doigts. Elle entraîna Karl par la main, et s’agenouillant devant Renaud, resta un instant figée devant sa queue dressée qu’il avait relâché, le laissant debout sous le seul effet de l’érection.
En cet instant, je me disais qu'elle devait mouiller intensément et me délectais de cette vision tout en me demandant quand elle allait enserrer ce membre qui se faisait désirer devant elle. J'admirais l'apparente impassibilité de Renaud qui semblait avoir compris une partie du jeu qui consistait à laisser Carole choisir de son évolution.
Elle s'approcha, saisit le membre de Renaud. Je vis la pression de sa main sur la bite tendue, n'arrivant pas à l'entourer entièrement tant il était de dimension énorme sous l'effet de l'excitation.
Puis elle entrouvrit la bouche, tout en bougeant sa main dont je connaissais la caresse active pour avoir vu comment elle procédait lorsqu'elle appliquait ces pressions sur son clitoris. Puis elle le prit en bouche, le pressant, provoquant de lents va et vient.
Elle introduit le gland seulement, juste le bout, qui suffisait à lui emplir la bouche.
À l'idée de sa langue qui se faisait active, une vague de chaleur me saisit du bas de mon ventre, contrastant avec le frisson qui parcourut le haut de mes cuisses.
Je luttais un instant contre la sensations qui me prenait le corps entier en voyant la bite entrer dans sa bouche tandis qu'elle fermait les yeux en activant quelques va et vient, alternant la pression de sa main tout en bougeant la tête.
Carole aimait, la dureté et la chaleur d'une queue ressenti sous sa langue. Je savais le plaisir qu'elle avait à parcourir de ses doigts la longueur de cette queue, depuis le bas du gland sous ses lèvres jusqu'aux bourses, qu'elle pétrissait avec un mélange de douceur et de fermeté, en les prenant à pleine main.
Carole s'arrêta assez brusquement.
Elle se leva et fit quelques pas, droite sur ses talons, et de sa démarche altière, elle se dirigea vers le canapé un peu plus loin.
Elle s'agenouilla sur un des coussins. Tandis que Karl se retirait, Renaud la suivit.
L'idée que Carole allait se faire saillir, mon corps s'emparer d'une sorte d'émoi.
Renaud plia les jambes, mettant sa bite à hauteur de la chatte de Carole, et donna un violent coup de rein. Elle poussa un cri, enfonçant la tête dans le dossier du canapé.
Ils restèrent ainsi quelques secondes, je vis les reins de Carole s'animer, recherchant un mouvement, une sensation de glissement que Renaud ne souhaitait visiblement pas encore lui donner en cet instant. Il plaqua ses mains sur le haut des fesses de Carole, les immobilisant, interrompant ses mouvements, la faisant lutter de la force de ses reins, qui réclamaient cette queue impressionnant par sa taille.
Elle était pénétrée profondément. Elle avait le calibre de Renaud entièrement introduit en elle et devait en ressentir la dureté autant que la chaleur, la faisant gémir de plaisir.
Elle émit ce râle demandeur, émettant un son rauque qui ne s'arrêtait pas.
Il enleva ses mains et les plaça autour de sa taille, l'éloignant un peu et retirant son membre centimètre par centimètre, lentement.
Carole s'agitait, le corps sans nul doute en feu à ce moment. Sa croupe avait un mouvement circulaire dont il n'était pas sûr qu'elle contrôlait l'ampleur.
À ce moment Renaud avait retiré presque toute la longueur de son sexe, ne laissant que le gland, à l'entrée de la chatte. Il remontait son doigt plein de mouille, caressant la rosette quelques instant, puis le faisant à peine pénétrer, provoquant au corps de Carole des spasmes et des petits cris.
Renaud engagea son membre doucement dans le petit orifice, entama une sodomie, avec des mouvements rythmés par des va et vient à la fois puissants et réguliers.
Carole, les mains crispées, avait empoigné le dossier du canapé, avait enchaîné une série de « oui, oui, oui, encore» tour en repoussant son corps en arrière de plus en plus fort au rythme des pénétrations de Renaud dont la main droite lui caressait les seins.
Renaud ne s'arrêtait pas, son membre la pilonnait littéralement de toute sa puissance.
Je voyais le corps de Carole livré aux mains de Renaud qui finit par se retirer, se saisit de sa queue, et éjacula copieusement dur son dos. Puis il fit le tour du canapé, pour se nettoyer la queue entre les lèvres et sur la langue de Carole. Il se dirigea vers moi, me donna une tape amicale sur l’épaule.
- Tu vois, je t’avais dit qu’un jour je baiserais ta copine.
Carole pour sa part s'affala sur le flanc, recueillie par les bras de Karl.
Cet évènement donnait à ma relation avec ma Femme une dimension nouvelle, repoussant encore les limites de ce que peuvent ressentir nos corps animés de sens dont les orientations sont souvent dictées par notre inconscient.
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