Une nuit au gîte.

Seule la lumière des blocs de secours diffuse une faible lumière, ou un quarantaine de personnes sont hébergées pour la nuit. Après une fête bien arrosée, des couples se sont perdus, et se sont couchées dans le premier lit venu, d’une ou deux places. Par les lames de l’aération, le gardien remarque des turbulences particulière sous un couchette. Il y a de l’agitation sous les couvertures, accompagnés de murmure.

- Arrêtes Guy, mon mari est dans le coin, il pourrait nous surprendre.

- Oh, ton mari, te satisfait-il autant qu moi, dit-il en s’enfonçant dans France, ou est-ce qu’il manque de talent dans ce domaine.

- Ne parle pas de lui comme ça, protesta France. Tu sais que s’il me baisait mieux, je ne serais pas en train de baiser avec toi.

- C’est pour ça que tu t’offres à moi, poursuit-il d’un air suffisant.

France émit un long gémissement, son corps frissonnant autour de Guy. Faire ça pratiquement sous le nez de son mari…

- Et ce serait si excitant de te baiser dans le lit de ton mari, un tel frisson. Ce n’est pas seulement le fait de te baiser dans le lit conjugal, mais le fait de revendiquer son territoire.

- Tu sais tu es un salaud de dire ça, répondit France.

Mais ces paroles n'étaient pas vraiment mordantes.

- C'est la dernière fois que nous le faisons ça, même à le maison, c'est trop risqué, mon mari pourrait nous surprendre.

- Il ne pourrait pas y faire grand-chose s'il se rebiffait, dit Guy avec arrogance, tu te souviens la rouste que je lui ai mis la dernière fois. Il se contenterait probablement de pleurer dans un coin comme une petite garce.

- T’es méchant, dit France, je sais pas ce qui m’attire en toi, si ce n’est que tu me baises bien, que tu mes donnes du plaisir.

Malgré la présence de Miche à proximité, France va passer la majeure partie de la nuit à baiser avec Guy, se faire sodomiser, tailler des pipes, avaler. Elle va jouir à plusieurs reprises.

Ce n’est seulement au petit matin que son mai la rejoint, l’enlaçant dans ses bras. Sur le trajet de retour, le hasard veux qu’ils soient tous les trois sur la même banquette dans le bus, Guy choisissant lui même les places. Il place France contre la vitre, lui prend la place du milieu, laissant Miche sur le siège extérieur. Celui-ci ne sent pas venir le danger.

Avant de monter dans le bus, Guy avait exigé de France qu’elle ne porte pas de culotte. Le voyage s’effectuant de nuit, personne ne remarquerait rien dans l’obscurité du bus. Pendant le trajet, la main du Guy de quitta pas l’entre-jambes de France, s’amusant avec le clitoris, pénétrant la chatte qu’il fit mouiller en abondance. France étouffait ses cris de plaisir dans son pullover. Après cent kilomètres, France avait perdu le nombre d’orgasme que Guy avait déclenchés. Gentlemen, il lui passa un mouchoir pour s’essuyer la chatte.

Après un court arrêt à un relais routier, ils reprirent la route. C’est sur le reste du parcours que Miche s’assoupit. Guy en profita pour ouvrir la braguette de son pantalon, libérant une queue colossale. Toujours dans l’obscurité, il guida la tête de France entre ses jambes. Elle entama une douce fellation, qui libéra une considérable quantité de sperme. Elle eu beaucoup de mal à tout avaler. Avant d’arriver, deux autres fellations vidèrent le couilles de Guy.

Il était trois heures du matin quand ils arrivèrent à la maison. Miche étant à moitié endormi, Guy proposa son aide pour monter leurs bagages. Une fois le linge mis en machine, et les valises ranger, Guy se dirigea vers la chambre, tandis que Miche, déjà endormi, occupait la chambre d’amis.

- Je t’avais bien dit que je prendrais sa place, que je te baisserai dans le lit conjugal.

- Salaud...tu es arrivé à tes fins. Tu as prévu de faire quoi maintenant ?

- Là, tout de suite...te mettre enceinte.

France se figea, les mots sortant à peine de sa bouche.

- Mais...tu es sérieux...mon mari qui attends ça depuis des mois…non, je peux pas.

La nuit fut torride, France ne se souciant pas si ses cris de plaisir atteignaient la chambre d’amis. Guy a fait ce qu’il voulait avec elle, la prise dans toute les positions, par tout les trous. S’il y avait eu un tableau noir, il n’y aura pas eu assez de craie pour comptabiliser les orgasmes. Une image, bien sûr.

Au petit matin, Miche rejoint sa chambre, et qu’elle ne fut pas sa surprise en voyant l’énorme queue de Guy coulisser dans la bouche de sa femme. Il referma la porte, s’appuya contre la cloison, en larmes. Il se précipita pour prendre son téléphone, et pris des photos, au cas ou un divorce interviendrait. Et il vint, mais pas de la façon qu’il croyait.

Un mois et demi plus tard, il apprit que son épouse était enceinte, le jour même ou il reçut le résultat de sa stérilité. Le divorce était inévitable.