C’est dans une ambiance festive que j’étais en train de faire mon ménage, profitant de l’absence de mon mari et de mon fils. J’étais simplement vêtue d’une courte nuisette transparente, sans rien dessous. Le casque sur les oreilles, je passais l’aspirateur et le balaie entre les pieds de chaises et autres meubles, tout en dansant. Prise par la musique, je n’entendis pas la sonnette. En me retournant, j’aperçus Lucas, le meilleur pote de mon fils Kevin, debout à la fenêtre.
Surprise, je ne cherchais même pas à me cacher. Lucas dût remarquer mes seins nus et ma fente épilée sous ma nuisette. J’ôtais mon casque, demandais au jeune garçon ce qu’il y avait. Il venait ramener la tondeuse que Marc, mon mari, avait prêtée à son père. Il sourit maladroitement, certainement gêné par tenue. Il me dit qu'il ne voulait pas me déranger. Alors il allait laisser la tondeuse dans le jardin. Pour détendre l'atmosphère je plaisantais.
- On aurait dit que tu m'espionnais.
Il rit, mais son rire semblait nerveux. Je lui proposais de prendre un verre, car il faisait chaud. Il a accepté, et l’ai invité à entrer. Nous nous sommes assis, et lui ai servi un verre de jus d'orange. Lucas commença à parler de la façon dont il m'avait vu danser, disant que j'étais très belle et très excitante dans cette tenue. Ces mots m’ont surprise, et me suis senti flatté, tout en tirant sur ma nuisette. En discutant, j'ai remarqué une lueur dans ses yeux, une intensité qui me mettait à la fois mal à l'aise, et curieuse. Je savais que je devais changer de sujet pour éviter une conversation trop profonde, mais une partie de moi voulait explorer ce qui se passait. Aussi, ai-je été directe.
- Rassures-moi, tu as déjà vu une femme toute nue ?
- Euh...non, jamais en vrai, répondit-il gêné, que dans des films pour adultes.
- Et Kevin, demandais-je.
- Non...on regarde les films ensemble.
Je savais que mon fils m’avait surprise nue dans la douche en train de me caresser. Je pensais qu’il en aurait parlé avec son copain.
- Et ça vous stimule, tu peux me dire, je sais ce que c’est.
- Ben...on se fait plaisir manuellement, avoue Lucas.
- Et Kevin a une grosse bite ?
- Moins que la mienne, j’ai une photo, vous voulez la voir ?
- J’aimerai bien, dis-je...oh là, c’est vrai qu’elle est plus petite, comme celle de son père. Son père en plus, il a de toutes petites couilles. Je peux voir la tienne ?
Lucas hésita, puis baissa son bermuda. J’ouvris grand les yeux en voyant son énorme queue.
- Je peux la toucher, me surpris-je à dire.
- A deux conditions, répond-il sûr de lui. Que vous ôtiez vôtre nuisette, et que vous me suciez.
En deux secondes, je me retrouvais entièrement nue, à genoux, en train de lui faire une fellation. Au bout de trois minutes, il essaya de me repousser, mais il était trop tard. Il jouis dans ma bouche et j’avalais tout sa semence. Puis Lucas s’assit sur le canapé, m’attira à lui. Je fus obligée d’écarter les jambes pour éviter ses genoux. Il me saisit par les hanches, m’obligeant à m’empaler sur son énorme queue.
- Oh putain, gémis-je...quel calibre...vas-y, baises-moi, fais moi jouir…
je voulais faire des comparaisons avec la bite de mon fils, savoir s’il m’apporterait autant de plaisir. S’il était monté comme son père, j’en doutais.
- La queue de vôtre fils est trop petite pour vous donner un tel plaisir, dit-il, tout comme celle de vôtre mari. Vous savez quoi, un jour je passerai avec Rachid, un pote marocain.
Je ne sus quoi répondre, mais me faire baiser par deux mecs, m’a toujours fait fantasmer. Il me fallait choisir le week-end ou mon mari était sorti, et que mon fils soit chez ses grand-parent.
Un soir ou j’étais seule, la sonnette retentit. Je me trouvais pour ouvrir, et me trouvais face à Lucas, accompagné d’un copain. Rachis, supposais-je.
J’étais vêtue d’un court peignoir, sans rien dessous. Pour eux, j’avais peaufiné l’épilation de ma petit chatte, bien dégagé mon clitoris. Lucas ne tarda pas à faire sauter mon peignoir, me présentant entièrement nue à con copain maghrébin, admiratif devant mon sublime corps.
Nous allions ru le canapé, commençant à nous caresser. Je leur expliquais ce qu’aime les femmes, la façon de les faire jouir. Je saisit la main de Lucas, pris son majeur, et le posa sur mon clitoris.
- Tu vois les femmes adorent quand on leur caresse le bouton. C’est facile, il faut juste faire tourner le doigt dessus.
- Comme ça madame, dit Lucas...vous me dites si je fais mal…
- Oh oui salaud...c’est comme ça...hum...comme tu me doigtes...putain…
Pendant cet instant, Rachid avait ôtait ses vêtements. Lui aussi était monté comme un dieu. Il appuya sur ma tête pour que je le prenne en bouche. De l’autre main, je décalottais la queue de Lucas, alors que j’avais décalotté celle de Rachid avec mes lèvres. Rachid ne tarda pas à vider son plaisir dans ma bouche, tandis que Lucas s’allongeait sur le canapé, sur le dos, sa jeune mais virile queue dressée au plafond. Il m’attira, m’obligea à m’empaler sur lui. Rachid, découvrant ma croupe exposée. Il s’accroupit, taquina mon petit trou avec son gland. Puis, lentement, il me sodomisa. Je ressentis une certainement douleur, mais elle s’estompa quand le plaisir prit le dessus.
Tous les deux se vidèrent en moi, leur sperme chaud envahissant mes entrailles.
La douche qui s’en suivit fut intense. Ils s’amusèrent avec moi, me faisant des choses que je n’avais jamais faites avec mon mari. Autant je n’étais pas satisfaite avec mon mari, autant avec ces deux adolescents, j’atteignais les sommets.
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