Cours de surf
Le cri rauque des mouettes la réveille. A côté d’elle Léa est allongée. Tôt ce matin avant que sa mère se réveille, elle est venue se glisser sous les draps en attendant le déjeuner, puis s’est endormie contre sa mère. La petite fille dort. Christelle se lève doucement pour ne pas la réveiller. Elle prépare un déjeuner avec quelques tartines de beurre et de confiture ainsi que des céréales. Le café passe à la machine tandis qu’elle respire l’air frais sur la terrasse. L’odeur iodée la vivifie. Peu de temps après Léa se réveille. La mère et la fille déjeunent ensemble.
La toilette faite, Christelle et sa fille marchent dans le village en bordure de la plage. La brune est habillée d’un petit short en jean et d’un crop top vert laissant son nombril à l’air ce qui ne laisse pas les hommes qui la croisent indifférents. A proximité du port, un bungalow indique “cours de surf”. La mère et la fille entrent.
Le moniteur de surf, un homme aux cheveux blonds, longs qui lui arrivent aux épaules, de trente-cinq ans, rasé de près, ne peut s’empêcher de sourire à la jolie maman. Christelle n’est d'ailleurs pas indifférente au charme indéniable du jeune homme. Sous le t-shirt moulant elle peut deviner les pectoraux bien dessinés du professeur, et son teint hâlé lui donne un air exotique qu’elle apprécie tout particulièrement. Quand elle sort de la petite boutique, ce dernier ne peut que regarder ces jolies fesses moulées dans ce short si court qu’il atteint les limites de la décence. Il a hâte de la revoir cet après-midi.
La journée continue sur la plage. Christelle alterne entre bronzage et baignade sans quitter Léa des yeux. Juste une petite pause à midi pour acheter un hot-dog. En ce milieu d'après-midi, mère et fille sont allongées sur leur serviette et en profitent pour préparer leur peau au soleil de cet été. Christelle badigeonne sa fille de crème solaire avant de prendre soin de la sienne. Elle passe sa main délicate sur toute les parties de son corps n'omettant ni sa poitrine, ni ses fesses. A quelques pas de là, un groupe de jeunes étudiants profitent du spectacle, chacun s’imaginant remplacer les mains de la mère de famille. Quand la belle brune s’allonge sur la serviette, ils ne peuvent quitter le cul rond, parfait, de la quadragénaire.
Un peu avant dix-sept heure, Christelle et Léa quittent la plage pour aller à leur cours de surf. Le moniteur les attend. Six autres personnes sont là. La distribution des combinaisons commence, suivie de celles des planches de surf. Le moniteur est ravi. La combinaison suit les courbes de Christelle à la perfection. Pendant une heure, le moniteur explique à ses élèves les béabas du surf. Comment prendre une vague, monter à genoux sur la planche. Il a une attention toute particulière pour la beauté brune. Son sexe se raidit, heureusement la fraicheur de l’eau réduit la bosse qui se forme dans la combinaison. Le cours terminé, chacun repose sa planche, rend sa combinaison.
Marc est très heureux, il ne pensait pas qu’une femme si belle puisse accepter de l’accompagner au restaurant. Il s’affaire à sa besogne afin de ne pas faire languir ses deux invités d’un soir.
Quelques dizaines de minutes plus tard, Christelle est avec sa fille au bureau de l’école de surf. Pour la soirée, elle a revêtu une petite robe d’été à imprimé floral, dos nu, tenu juste par de fine bande de ruban de quelques millimètres. Le tissu masquant sa poitrine indique clairement qu’elle ne porte aucun soutien-gorge dessous. Les trois compagnons marchent d’un pas décidé vers le restaurant.
Tom fait un clin d'œil à Marc. Ils s’installent à la table indiquée. Elle est dans un coin de la terrasse à l'abri du léger vent marin qui a commencé à souffler. Tom apporte les cartes et prend commande des apéritifs. Christelle en profite pour le dévisager. Le patron du restaurant est du même âge que Marc, une carrure de rugbyman aux cheveux noirs coupés très court pour masquer une calvitie naissante compensée par une petite barbe bien entretenu. Un pastis pour Marc, un mojito pour Christelle et un coca pour Léa sont distribués et la commande passée. Marc raconte la création de son affaire à Christelle qui l’écoute en dévorant ses paroles. Soudain le téléphone de la femme sonne.
Alors que Christelle est au téléphone, Marc plaisante avec Léa.
Marc est un peu attristé en apprenant que Christelle est en couple. Mais la façon dont elle boit ses paroles lui dit qu’il a toutes ses chances. Marc à l’habitude des mères parisiennes esseulées loin de leur conjoint. Il est sûr de ses charmes et compte bien ne pas passer la nuit seul. La conversation reprend. Les plats arrivent. Des moules pour Marc, des crevettes pour Christelle tandis que Léa a un steack haché frites.
Catherine rosit sous l’insinuation, et renchérit.
Les deux adultes se sourient. La conversation devient plus intime, chacun racontant sa jeunesse, sa famille. Il est vingt-deux heure. Léa commence à bailler et demande à sa mère de rentrer. Marc paie le repas dans son entièreté malgré les protestations de Christelle.
Dehors il fait frais avec l’air marin. Marc prête sa veste à Christelle et les raccompagne à leur appartement.
Christelle couche sa fille et rejoint Marc qui prend l’air sur la terrasse.
Christelle revient avec deux cafés. Marc la regarde. Sous la robe, les tétons de la brune ont durcis par la fraîcheur de la nuit. Son sexe gonfle légèrement devant ce spectacle. La discussion continue. Christelle faisant remarquer qu’elle a froid. Marc vient la serrer dans ses bras.
Christelle se love contre lui. Elle est bien et son esprit a totalement oublié Vincent. Les mains puissantes de Marc massent les épaules de la femmes. Elle minaude contre lui accentuant la pression.
Une fois à l’intérieur, Marc saisit Christelle par la taille et dépose un baiser sur sa bouche. Elle se laisse faire. La langue du moniteur pénètre la bouche de la brune qui répond en faisant danser sa langue avec celle de son amant. L’homme qui dépasse Christelle d’une tête, lui caresse le dos, les fesses. Christelle ne résiste pas et s’accroche au surfeur. Leur bouche sont solidaires. Christelle ferme les yeux. Marc relève le bas de la robe et ses mains se posent sur les fesses charnues de la brune. Il tâte la fermeté de ces chairs.
Marc suit la femme. Elle retire sa robe, ne gardant son string. Marc ôte son t-shirt et baisse ses bermuda et caleçon. Christelle voit le pénis à demi érigé de l’homme. Elle sourit intérieurement il est déjà au moins deux fois plus gros que celui de Vincent quand il est au maximum de son érection. Elle se lèche les lèvres d’envie. Christelle s’approche du beau blond et pose une main sur le sexe de son amant. Celui-ci tressaille de plaisir. Elle caresse ce sexe qui grossit dans sa main. Elle sourit. Depuis tout ce temps, elle sent que ce soir elle va enfin éprouver du plaisir. Marc la pousse sur le lit. Elle est face à lui, ouverte. La bouche de Marc se place sur le fin duvet qui protège l’intimité de la brune. Il retire le string tandis que sa langue titille le clitoris et remonte sur la fente de la femme. Elle gémit. Pour la première fois depuis sept années, elle ne simule pas. Elle sent la langue de Marc écarter ses grandes lèvres pour s’inviter dans son intimité. La tête de Christelle bascule en arrière.
Les mains de Marc remontent sur les côtés pour s’attarder sur les seins ronds de la brune qui halète de plaisir. Elle sent son intimité s’humidifier. Ses seins durcissent de plaisir. La bouche de l’homme remonte par le nombril, sa langue glisse entre les deux seins de la femme avant de s’attarder sur son cou. Une main caresse la poitrine de la brune tandis que l’autre joue avec son antre d’amour. Christelle ferme ses bras dans le dos de Marc. Ses ongles pénètrent la peau du moniteur de surf. La bouche de Marc continue de monter. Elle rejoint celle de son amante.
Marc ne se le fait pas répéter deux fois. Il prend son sexe et l’avance à l’entrée de sa partenaire.
Le blond s’enfonce doucement dans l'intimité de la brune qui grimace. Cela fait si longtemps qu’elle n’a pas connu un membre aussi viril. Elle accélère sa respiration pour ne pas ressentir de douleur. Marc à l’habitude avec les mères de famille qui s’offrent à lui depuis tant d’été. Il y va lentement mais sûrement. Christelle halète.
Surpris que cette femme arrive a encaisser son sexe, il continue. Il entre entier provoquant un cri de jouissance mêlé d’une légère douleur passagère. Marc commence ses va-et-vient. Christelle ne peut se retenir. Elle laisse échapper des cris de plaisir qu’elle tente d'étouffer du mieux qu’elle peut. L’homme la secoue, l’utilise comme une poupée. La femme a les yeux fermés, sa tête se balance de tous côté. Le plaisir est trop grand, elle crie sa jouissance. Le surfeur lui n’a pas encore jouit. Il retourne la femme, la saisit par les hanches et force la porte de derrière.
Marc la pénètre sans préparation. Christelle émet un cri de douleur avant de ressentir le sexe emplir entièrement ses entrailles. L’homme recommence ses va-et-vient. La plaisir remplace rapidement la douleur. Christelle jouit une nouvelle fois. Cela faisait si longtemps qu’un homme ne l’avait sodomisée. Elle veut contenir son plaisir tandis que Marc accélère ses coups de butoir contre les fesses de la brune. Elle crie, elle jouit. sa tête retombe sur le lit. Marc le retourne à nouveau. Au bord de la jouissance, il se masturbe face à son amante. Le sourire angélique de Christelle finit d’exciter l’homme qui jouit à son tour, de puissant jet maculant le visage et la poitrine de la femme. Marc évacue ses derniers centilitre dans un râle rauque. Il approche son sexe de la bouche de Christelle.
L’insulte excite la femme qui met le sexe en bouche et s’applique à bien retirer toute trace de semence. Elle avale le tout avec appétit. Les deux amants s’endorment alors côte-à-côte.
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