Le chenil

Récit érotique écrit par Adam35 le 17-04-2025
Récit érotique lu 5 fois
Catégorie Zoophilie

Je m’appelle Simon. J’ai 19 ans,  1,80m pour 67 kg. Légèrement musclé mais très frêle et très timide.


Brun aux yeux vert je suis souvent dragué aussi bien par les filles que par les mecs mais beaucoup trop timide pour oser passer à l’acte pour l’instant.


Cet été j’ai trouvé un nouveau taf dans un chenil. Un boulot sympa d’autant plus que j’adore les chiens. La cerise sur le gâteau c’est que j’ai deux de mes potes, Marc et Adrien qui vont également y travailler. Pour eux c’est déjà la deuxième année et je serai donc le petit dernier.


J’avais hâte de commencer et de retrouver mes camarades. Marc et surtout Adrien sont très joueurs et peu pudiques contrairement à moi. Sous les douche de sport ils se promènent régulièrement à poil devant moi sans gêne alors que moi je prends toutes les précautions pour essayer de dissimuler mon intimité ce qui les fait bien rire.


Je crois, avec le recul, que cela ne fait qu’accroitre leur besoin de me taquiner sur la grosseur ridicule de ma bite qui il est vrai mesure à peine 10 centimètres en érection.


Un complexe d’autant plus présent devant la grosseur de leurs bites qui dépassent les 10 centimètres au repos et 20 centimètre en érection.


Lors de nos nombreuses sorties en vacances nous sommes amené à dormir ensemble et à se laver ensemble et régulièrement ces deux lascars me brandissent leurs queues tendues sous le nez au réveil en espérant me la faire avaler. Un jour ils m’ont même supplié de me laisser faire ce que j’ai toujours refusé.


Aujourd’hui c’est le grand jour j’arrive au chenil. Le patron, Charles, un homme d’une cinquantaine d’année me présente la structure et notamment un immense couloir avec des cages des deux côtés dont l’ouverture des portes peut être commandées à distance. Bien sûr une grosse porte se trouve également à chaque extrémité de ce couloir pour assurer la sécurité et éviter toute fugue. Il y a également des caméras un peu partout commandées depuis le bureau de surveillance.


Au fond de ce couloir se trouve une petite porte dérobée avec une douche et un vestiaire pour se changer. Il me présente ma tenue une cote de jean et des gants et me donne les instructions. Il m’explique que mes camarades finiront ma formation au fur et à mesure puis disparait rapidement pour 1 mois.


Marc et Adrien sont déjà au boulot et donnent à manger aux chiens. Sur chaque cage il y a des explications très clairs sur les doses de nourriture à donner et aussi sur les précautions à avoir. Je trouve cela très pratique. 


Marc : bon le petit bleu, va falloir faire particulièrement attention aux cages avec les étiquettes rouges.


Moi : et pourquoi ?


Adrien : parce qu’il s’agit de vrais mâles ! pas comme toi !


(rires)


Moi : très marrant…


Marc : on te taquine mais c’est vrai ils sont très jeunes et très excités car en période de reproduction. Ils sont prévus pour réaliser de nombreuses saillies quand ils seront prêt mais il leur faut un peu d’entrainement…. Si tu vois ce que je veux dire…


J’étais rouge et très gêné


Moi : et on les sort quand même ?


Adrien : oui mais un par un sinon ils sautent sur tout ce qui bouge et c’est le vrai bordel !


Marc : bon la journée est terminée, je vais faire ma douche le premier.


Adrien : ok je te rejoins dans 5 minutes je vais montrer au petit bleu où se trouve les documents de traçabilité.


Marc : ok, oh j’allais oublier voici une bouteille d’eau bois un peu cela va te faire du bien.


Moi : merci Marc


Avec cette chaleur instance j’enfilai la bouteille d’un coup sec.


Marc : Et bien tu avais soif ! Ca va vite te redonner un coup de fouet !


Sur le coup je ne compris pas trop ses insinuations


Adrien : Aller suis moi, bon voici les documents tu signes simplement toutes les cases pour montrer que tu as donné à manger à chaque chien ok ?


Moi : ok c’est simple.


Je sentais comme une bouffée de chaleur au visage qui m’envahissait tout le corps avec une drôle de sensation incontrôlée dans le bas ventre.


Adrien :  ca va le bleu ?


Moi : oui ça doit-être la chaleur !


Adrien : après ça tu vas te doucher, te changer et tu nous rejoins au bureau de surveillance.


Moi : parfait, à tout de suite.


Consciencieusement je commence par remplir les documents mais sans comprendre pourquoi en regardant entre mes jambes je découvris ma cote complètement déformée par une érection incontrôlée. Je rejoins mes deux camarades aux vestiaires. Adrien est déjà rhabillé et Marc sort tout juste de la douche laissant à ma vue son corps magnifiquement sculpté et sa bite bien raide histoire de me mettre bien mal à l’aise.


Marc : Tu ne veux toujours pas toucher mon bâton petite coquine ? Mais à ce que je vois on dirait que je te fais de l’effet ?


Dit-il en regardant ma cote de travail déformée par mon érection incontrôlée

J’étais rouge de honte 


Moi : arrête Marc, t’es lourd ! Je ne comprends pas ce qui m’arrive !


Adrien : c’est vrai ça fou lui la paix et dépêche-toi ! T’inquiète il t’a juste foutu du viagra dans ton eau le petit con n’est-ce pas gros béta ?


Moi : Franchement t’es con ! Et ça t’amuse ?


Marc : oui j’avoue (rires)


Je me déshabille rapidement en posant mes affaires sur le tabouret prêt de Marc. Je me retrouve nu dos à Marc pour cacher mes attributs et surtout cette putain d’érection. Je suis rentré rapidement dans la douche pour essayer de me détendre sans succès. La dose de viagra dans ma bouteille d’eau devait être trop importante.


Marc : tu as vraiment un beau petit cul toi ! Désolé c’est plus fort que moi ! je te laisse tranquille à tout le bleu !


Moi : c’est ça, à tout….


Je détestais ce temps où ils se moquaient de moi mais depuis quelques temps j’avais remarqué que ces scènes d’humiliation provoquaient un drôle de sentiment chez moi que je ne pouvais maitriser et qui faisait réagir ma petite bite au quart de tour. 


Sous la douche j’entrepris d’utiliser le savon à disposition. En le prenant je remarquais la couleur légèrement blanchâtre, la texture gluante et l’odeur très prononcée mais sans me méfier je m’enduisis le corps de ce produit que je pensais être du savon.


Je file sous l’eau qui au bout de 2 minutes s’arrêta brutalement me laissant complètement mouillé avec cette espèce de graisse sur tout le corps et la queue toujours bien raide.


Tout de suite j’imagine un coup de mes deux potes et je sors de la douche pour protester. Les gars sont malheureusement déjà sortis et je remarque rapidement que toutes mes affaires ont également disparus. C’est légèrement énervé que je me précipite dans le couloir en cachant cette pénible érection. Sous mes pas je sens le sol glissant et me retrouve à deux reprises sur les genoux. Je remarque rapidement les caméras bouger et le rire des deux garçons sortir par les hauts parleurs.


Moi : vous trouvez ça amusant ?


Soudain j’entends plusieurs loquets s’ouvrir en même temps. Putain les salauds ils viennent d’ouvrir toutes les caches avec les étiquettes rouges réservées aux chiens en chaleur.


Moi : Hey ho… vous faites quoi les mecs ? c’est bon on a assez joué !


Marc (par le haut-parleur) : tu veux rire on va juste commencer.


Soudain je vois 7 gros chiens sortir de leur cage et se précipiter vers moi/ Je me relève rapidement pour essayer de courir vers le fond du couloir pour sortir rapidement.


Adrien : attention tu risques de te faire mal avec toute cette graisse aphrodisiaque.


Moi : quoi ? putain vous n’avez pas osé faire ça ?


Marc : vu que ton petit kiki est déjà au garde à vous on pensait que tu étais chaud nous ?


Les chiens étaient de plus en plus énervés, me reniflant de partout se frottant à moi. Je n’arrivais même plus à avancer. Le savon était en fait des hormones femelles pour accroitre la libido des chiens et favoriser la saillie. J’étais complètement recouvert de cette substance et transformé en proie sexuelle pour ces 7 chiens en chaleur. J’imaginais déjà le pire et dans la panique je trébuchais sur un chien qui me barrait le passage. Je me retrouvais à plats ventre avec tous les chiens au-dessus de moi.


Ils me léchaient tout le corps en insistant bien sur mes fesses et notamment sur mes couilles et sur mon orifice ce qui me donna des frissons sur tout le corps. En levant les yeux je remarquais de nombreuses tiges rouges suintantes sorties de leur fourreau.


Je me remis vite fait à genoux pour me relever mais très vite une masse de poil arriva sur mon dos par derrière et sans avoir eu le temps de comprendre, la graisse aidant, l’un des chiens donnait des coups de bites sur mes fesses essayant désespérément de trouver l’entrée.


Je bougeais dans tous les sens pour m’échapper mais ce dernier me tenait solidement par les hanches. Je réussis tant bien que mal à me lever le chien restant agripper à moi. Un autre chien en profita pour venir me lécher les couilles et mon gland bien rouge. J’étais dans un état second tellement cette sensation était agréable. Je laissais bien malgré moi échapper un petit cri de plaisir.


J’essayais d’avancer péniblement entre les chiens qui me barraient la route. Le chien derrière moi finit par me lâcher mais c’est pour mieux laisser la place à un autre molosse qui me fit chavirer vers l’avant. De nouveau à genoux ce dernier entreprit de me lécher mon trou très activement ce qui eu pour conséquence de me dilater et de lui offrir une belle occasion.


D’un coup sec il bondit de tout son poids sur mon dos pénétra mon intimité encore vierge. Je lâchai un cri aigu strident de fille venant de se faire dévierger.


Moi : AAAAAH putain stop arrêtez les gars vite vite il va me saillir le con.


Adrien : mais laisse-toi faire le spectacle est trop beau je t’assure.


Marc : je n’ai jamais vu un truc pareil ! Tu vas adorer et nous aussi.


Je pleurais plus de honte que de douleur. Mes deux camarades étaient en train de se rincer l’œil pendant que je me faisais littéralement démonter par des chiens.


Moi : s’il vous plait…. Oh ooooo c’est bon non, non .....


Sous le poids et l’impressionnant gabarit du chien je ne pouvais malheureusement que capituler et me laisser faire. J’étais à quatre patte comme une chienne qui se faisait saillir. Les autres chiens essayaient eux aussi de me monter dessus mais le molosse ne voulait surtout pas laisser sa place. Un chien plus petit s’était glissé sous moi pour me lécher la queue bien raide. Le molosse me serrait très fort par les hanches à l’aide de ses deux pattes et me labourait le cul. Je sentais sa queue prendre du volume et entrer et sortir à toute vitesse. La douleur passée je sentais bien malgré moi une certaine jouissance à me faire prendre de la sorte.


Moi : oh…oh oui…oui 


Adrien : alors tu vois que ça te fais du bien ma petite salope.


En entendant ces mots sortir par le haut-parleur je repris rapidement mes esprits.


Moi : arrêtez les gars c’est…c’est…trop


Marc : c’est trop bon c’est ce que tu voulais dire. Allez fais pas ta chochotte et laisse-toi faire petite chienne.


Soudain je sentis le chien ralentir mais une pression s’accroitre au niveau de mon anus. Au début je pensais que c’était juste ses couilles mais une boules plus grosse qui se trouvait à la base de sa queue progressait inexorablement vers mon orifice. Je mis rapidement la main pour mesurer la grosseur de cette boule qui était aussi grosse que mon poing. Pris de panique je me mis à crier et à me débattre ce qui n’était pas du gout du chien qui se mit à grogner. Par peur je n’osais plus bouger. Je me mis à pleure comme un gamin en suppliant mes bourreaux d’arrêter ce supplice.


Moi : par pitié les gars arrêtez il va me défoncer le cul..


(rires)


Adrien : mais non avec la graisse et ton petit cul bien dilaté ça va rentrer tout seul.


Marc : branle-toi un peu cela va t’élargie le cul tu vas voir.


Je ne sais pas pourquoi je me mis à les écouter et à me branler.


Adrien : c’est bien ça, c’est bon ça…


Moi : oh oui c’est bon…


Tout d’un coup je sentit cette énorme boule me pénétrer comme par magie et disparaitre dans mon fondement. Elle appuyait sur ma prostate me déclenchant un orgasme incroyable et une éjaculation incontrôlée.


Moi : hein, hein…ohohohohoh ouioui encule moi encore plus fort


J’étais dans un état second et le chien en profita pour réaliser un mouvement de rotation pour se trouver cul à cul avec moi comme les chiens lors des saillie de leur femelle que j’étais devenu.


Adrien ; la photo est magnifique. Putain Simon t’es une véritable chienne je viens de jouir en te regardant !


Je sentais tout le sperme chaud du chien se déverser dans mes entrailles. Après 10 bonnes minutes interminable la boules du chien finit par sortir laissant un trou béant rapidement bouché par la queue d’un autre chien qui avait pris sa place. Je pleurais de honte car malgré cela j’étais aux anges et mon excitation ne retombait pas.


Moi : Laissez-moi sortir les gars ils vont me défoncer le cul je vous en supplie je ferais tout ce que vous voudrez.


Adrien : pour l’instant tout ce que l’on veut c’est que tu satisfasses tous les chiens alors au boulot petites chienne. 


Marc : je serais toi j’en sucerais un ou deux pendant que l’autre t’encule comme ça il sera déjà vidé et donc un de moins à te saillir.


Je ne sais pas pourquoi je m’exécutais et me surpris à attraper toutes les bites qui passaient devant moi pour les pomper et extraire tout leur jus que je recrachais.


Adrien : oh…pas bien ça…. Tu dois tout avaler c’est du bon nectar


Sans broncher j’avalais tant par la bouche que par le cul des litres de sperme canin. Au bout de 2 minutes j’eus un nouvel orgasme et ma queue bien raide fit des saccades pour laisser échapper mon propre sperme que je récupérais dans mes mains.


Marc : et on oublie pas d’avaler également son propre jus..


Ce que je fis sans rechigner


Après 5 saillies et 5 orgasmes j’étais usé et au bord de l’évanouissement. Mes deux camarades arrivèrent pour faire rentrer les chiens dans leur cage. J’étais tous à 4 pattes, le cul et la bouche bien ouverts dégoulinants de sperme en train d’attendre le suivant ce qui fit rire mes deux camarades.


Marc : alors ça t’a plu on dirait tu en veux encore ?


Moi : non non, 


Adrien la bite déjà à l’air se positionnais déjà derrière moi sans demander son reste. Marc en le voyant fit de même et se mis à la hauteur de ma bouche pour m’offrir sa belle bite bien raide


Adrien : je vois que tu es déjà bien pleine ma cochonne ça rentre tout seul. 


Moi : c’est bon les gars vous avez bien rigolé …



Adrien : tu veux rire ce n’est que le début avec toutes les vidéos de toi en train de te faire sauter par des chiens on a déjà des milliers de vues sur le net.


Moi : putain vous n’avez quand même pas fait ça ?


Marc : on ne pouvait quand même pas garder ça uniquement pour nous aller tait toi et ouvre ta putain de bouche salope.


C’est comme ça que je suis passé de puceau coincé à chienne dévergondée








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17-04-2025 0 5

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