Carol 2 ( Imaginez)

Récit érotique écrit par mazaudier le 10-02-2025
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Catégorie Infidélité

Je m’appelle Karl, vingt quatre ans, célibataire, et, je dois l’avoué, plutôt beau gosse, d’après mes multiples conquêtes. Même les femmes mariées succombent à mes charmes. Bref, là n’est pas le sujet. Je faisais parti des invités de Steph et Élodie, lors de la pendaison de la crémaillère.

A cette occasion, j’ai fait la connaissance de Carol, une femme d’une beauté à couper le souffle. J’avais, au cours d’un slow, tenté ma chance, malgré la présence de son mari. Mais, même si elle n’a pas été farouche, j’ai de suite compris que c’était une femme très fidèle. Je n’avais donc pas insisté, même si j’étais persuadé que si son mari n’avait pas été là, les choses auraient évoluées d’une autre façon. Le couple était parti précipitamment, le lendemain matin.

Ce matin là, en allant aux toilettes, je tombe sur une trousse de toilette. A l’intérieur, je découvre des affaires intimes réservées aux femmes. Parmi ces affaires, une carte de visite, avec un numéro de téléphone personnel, au nom de Carol Verdier. Serait-ce un signe. Il me faut à tout prix trouver un moyen d’emmener cette femme dans mon lit. Pour ça, il me faut élaborer une stratégie.

Je laisse passer quelques jours, et décide de l’appeler. Ça sonne, puis une voix me répond.

« Allô »

-Allô, dis-je, bonjour, c’est Karl, vous voyais qui je suis ?

« Bien sur, répond-elle, que me vaut cet appel »

-Ben…voila, vous êtes partis sans nous saluer la dernière fois. Rien de grave j’espère.

«Pas du tout, mais vous étiez à l’écart avec Guy et son épouse. Vous connaissez les tensions qu’il y a entre eux et mon mari. »

-Mais nous pourrions nous revoir, prendre un verre.

« A l’occasion, pourquoi pas. Désolé, j’ai énormément de travail, on se rappelle. »

J’apprends que tous les jours, elle prend le café dans un bar tout près de son travail. Un jour, je décide de m’y rendre. Je l’aperçois au comptoir, perchée sur un tabouret, jambes haut croisées. Une tuerie.

Un soir, j’attends qu’elle soit rentrée chez elle, pour l’appeler.

« Allô, répond-elle d’une voix douce »

-C’est Karl, je ne vous dérange pas, j’ai envie de vous parler ce soir.

« Vous avez de la chance, mon mari n’est pas encore rentré. Allez-y Karl.»

-Voila, depuis ce fameux slow, je n’arrête pas de pensez à vous.

« A bon, n‘exagérez pas Karl, ce n’était qu’une danse. »

-Je sais Carol, mais sentir vôtre corps contre le bien…j’ai terriblement envie de vous.

« Reprenez vous Karl, je suis mariée, et j’aime mon mari. Du reste, il arrive. Au revoir »

J’attends quelques jours, toujours pas de nouvelles. J’en déduis qu’elle n’a rien dit à son mari, au sujet de mon appel. Je décide de faire une autre tentative. Soudain, mon téléphone sonne. C’est Carol.

-Allô…« C’est Carol, désolé l’autre soir, j’ai été obligé de raccrocher. »

-C’est à moi de m’excuser de vous avoir importuné.

« Mais non…nous en étions ou déjà. »

-Je vous disais que j’avais terriblement envie de vous…écoutez ce que j’ai à vous dire.

« Allez-y Karl, je vous écoute. »

-Imaginez qu’on ait une relation tous les deux.

« Mais Karl…je vous rappelle que je suis mariée, et j’aime mon mari »

-Je n’en doute pas, mais une petite aventure sans lendemain, ça ne veut pas dire que vous n’aimez pas vôtre mari. C’est pour savoir jusqu’où vous pouvez aller. Imaginez…nous deux dans une chambre d’hôtel, allongés nus sur le lit, en train de faire l’amour.

« S’il vous plaît Karl…arrêtez »

-Imaginez mes doigts caresser vos seins, vos hanches…ma bouche couvrir vôtre corps de baisers…je vous sentirais frémir sous mes vicieuses caresses, imaginez mon visage enfouit entre vos jambes, ma langue lécher vôtre chatte, mes lèvres aspirer vôtre clitoris, que j’aurais pris soin de décalotter… imaginez tout ça… avouez que ça vous excite, que vôtre petite chatte est toute mouillée…avouez Carol. « Vous êtes fou Karl…arrêtez…je vous en prie… raccrochez.»

-Avouez…soyez honnête…

« Oui…j’avoue que ça m’excite…heu…et que ma petite chatte est toute mouillée. Oh mon dieu, qu’est-ce que vous me faites dire…ayez du respect pour mon mari. »

-Imaginez qu’il soit dans la chambre…qu’il voit vôtre chatte empalée sur ma queue, qu’il vous entendrait hurler de plaisir quand je vous ferais jouir…imaginez tout ça Carol.

« S’en est trop Karl…s’il vous plaît…raccrochez…moi je n’en suis pas capable. »

J’entends son souffle saccadé au bout du fil. Si elle me demande de raccrocher, c’est qu’elle ne veut le faire, que son attitude est en train de changer. Serait-elle tentée par ma proposition. Autant de questions qui me poussent à poursuivre mes investigations. Il me faut m’armer de patience. La balle est dans son camp. A peine raccroché, que le téléphone sonne.

-Allô...Carol…

« Karl…je voulais vous dire…je suis libre cet après-midi. »

-Voulez-vous que je réserve une chambre à l’hôtel ?

« Oui…j’ai trop envie de vous…j’y serais à quatorze heures.

Arrivé dans la chambre, je la prends par la taille, l’embrasse tendrement dans le cou. Je la sens tendue. On se déshabille, et nous allongeons sur le lit. Je me colle contre elle, l’embrasse partout. Je la sens frissonner sous mes baisers. Je passe une main, caresse les magnifiques seins, descends plus bas, frôle la chatte. Je suis surpris quand je sens une main saisir ma queue en érection

-Mon dieu, fait-elle.

-Que vous arrive-t-il, Carol ?

-Vôtre queue...comme elle est grosse.

-Comme celle d’un homme normalement constitué.

-Faut croire que non, celle de mon mari, est beaucoup plus petite.

L’après-midi a été torride. On a fait l’amour pendant trois heures. Carol s’est offerte sans retenue, dans toutes les positions. Elle m’avoue n’avoir jamais connu ça avec son mari, qu’elle m’avait accordé des faveurs aux quelles il n’avait jamais eu droit. C’était la première fois, par exemple, qu’elle tailler une pipe, qu’elle connaissait le goût du sperme. Tout comme la sodomie, c’était une première pour elle. Je tombe par cul quand elle me dit que, finalement, elle aurait aimé que son mari assiste à nôtre relation, pour qu’il voit comment se servir d’une femme.

On quitte l’hôtel séparément. Il est dix sept heures trente.

A peine arrivé chez moi, j’appelle Guy, pour connaître le planning de son mari.

Il me dit qu’en ce moment, il reste au bureau, et qu’il rentre tous les soirs chez lui. Par contre, il me donne une info très intéressante. Il me dit qu’il doit partir tout un week-end à la chasse avec des potes. Ça tombe pour le mardi gras.

Ce week-end, mes parents ne sont pas là, j’aurais la propriété que pour moi. Je décide d’organiser une fête. Bien évidemment, j’en informe Guy. Le lendemain, j’appelle Carol.

-Allô, Carol, tu vas bien ?

« Oui, et toi… »

-Je t’appelle parce que j’organise une petite fête pour mardi gras. Je tiens à tout prix que tu y assistes.

« C’est sympa...ou ça ?

-Dans la propriété de mes parents, ils sont absents ce week-end là.

« OK, mais…il aura Guy et sa femme ? Tu sais que je les ai en horreur ces deux la. »

-Tu n’auras qu’à les ignorer, ma chérie, et puis je serais là. D’autant que tous les invités devront porter un masque. Il y a à peu près cinq couples, Je compte sur toi ?

« Bien sur, comment refuser. »

Mon plan se déroule comme prévu.

Il fait une journée exceptionnelle pour un mois de mars. Seul le sud de la France connaît ça.

La réception à lieu sur l’immense terrasse. Tout le monde a mis son masque. A ma demande, celui de Guy est rouge, celui d’Angelina représente un aigle.

Il est dix sept heures quand Carol se gare sur le parking de la propriété. Elle aussi, porte un masque. Noir, en forme œil de chat. Elle est vêtue d’une mini-jupe, d’une chemise nouée sur le ventre, et des chaussures à talon compensé. Une bombe !Les invités, hommes, femmes, n’ont d’yeux que pour elle.

Après de brèves présentations, j’invite les couples à se rendre à la piscine. Je retiens Carol, pour lui donner un torride baiser. Elle se pend littéralement à mon cou.

Je la prends par la taille, et nous dirigeons vers la piscine. Soudain, elle marque un temps d’arrêt, en voyant le spectacle qui se déroule devant elle. C’est l’orgie. Tous les invités sont entièrement nus.

Guy est assis sur un banc, la bite en érection. Angélisa, son épouse, est à côté de lui, empalée sur l’énorme bite de Fred, un black taillé en hercule. Elle tend la main, saisit la bite de son mari, commence à la branler. A côté, deux femmes se bouffent la chatte, dans un soixante neuf de folie…elles gloussent de plaisir. Plus loin, c’est Élodie qui suce son mari, pendant qu’elle se fait baiser par Arnaud, qui n’est autre que son beau frère.

-C’est quoi ça, demande Carol.

-C’est mardi gras. Chez nous, c’est la journée du libertinage, du sexe. Ce qui explique le port du masque…personne ne reconnaît personne. Ton mari est absent, autant en profiter ma chérie…

Elle acquiesce en souriant. Je me dis que nôtre relation, à peut être réveillé la cochonne qui sommeillait en elle, et que son époux n’a su réveiller.

Je prends Carol par la taille, dénoue le nœud du chemisier, libérant sa superbe poitrine. Ne sentant aucune résistance, je passe à la mini-jupe. Deux minutes après, Carol est entièrement nue, devant des invités scotchés par tant de beauté. Je devine le regard vicieux de Guy, derrière son masque, qui doit préparer sa vengeance.

Je me colle derrière elle, lui caresse les seins, descend entre ses jambes, passe mes doigts sur la chatte, la caresses, puis la pénètre avec deux doigts. Carl se cambre, gémit de plaisir.

-Salaud…tu sais que j’aime ça…-Tant mieux ma chéri, tu ne vas pas être déçue.

Après l’avoir copieusement baisée, sodomisée, après m’être fait sucer jusqu’à me vider les couilles, je la lâche en pâture aux autres invités, sans la perdre de vue.

Mais le pire rode. Un masque, représentant une aigle tournoie autour de Carol, tel un animal qui cherche à coincer sa proie. C’est Angelina.

Elle saisit Carol par la taille, et l’entraîne sur la terrasse. Là, elle lui demande de s’allonger sur un matelas gonflable. Angelina se tient à genoux à côte d’elle, commence à la caresser. Elle saisit le bout des seins un à un, les fait rouler entre ses doigts. Puis ce sont deux doigts qui descendent sur le ventre, caresse la chatte, excite le clitoris. Carol commence à s’agiter.

-Chut, dit Angelina, calmes toi…t’aimes ça, hein, petite salope.

-Oh oui madame…c’est bon ce que vous faites à ma petite chatte…allez-y…

-Tu sens comme je te branle…oh putain, comme tu mouille.

-C’est vous qui me faites mouiller…ha…ha…je vais jouir…je jouis…oui…oui…

-Si ton mari savait quelle chienne tu es…sale pute…tu veux que Guy te baise.

-Oh oui…s’il vous plaît Guy, j’ai envie que tu me niques…j’ai envie de sentir une grosse queue dans ma chatte…je veux qu’on m’encule aussi. Après je vous taillerais une bonne pipe…s’il vous plaît…

-Dis salope, répond Guy, il dirait quoi ton cocu de mari, s’il savait que tu te fais baiser par son pire ennemi, que tu lui tailles des pipes, que tu avales tout…

-Je m’en fou, pleure Carol, c’est ta grosse queue que je veux…S’il te plaît Guy, encules moi…

Impassible, je suis la scène, assis à table devant un verre de whisky. Angelina tombe à genoux devant moi, et entreprend de me sucer la queue.

Quant à Guy, il la tient sa vengeance. Carol est entièrement soumise à tous ses caprices. Angelina s’approche de Carol, lui prend les lèvres

-Souvent on organise des soirées de ce genre. Alors chaque fois que ton mari sera absent, tu participeras, OK…Bon, Guy, on y va. ?

-Non Guy, s’il te plaît, reste, j’ai envie de toi.

-Comme tu voudras, poursuit Angelina. Fred, tu me raccompagnes, moi aussi j’ai envie de baiser…Guy, j’espère que tu vas bien la défoncer cette salope.

Guy, qui veut assouvir sa vengeance, rejoins Carol sur le matelas. Il s’agenouille à côté d’elle, embrasse les seins, caresse la chatte, Puis c’est sa bouche qui prend la place des doigts. Carol ne reste pas inactive, elle saisit la queue de Guy, la branle lentement. Les doigts de Guy font un travail dévastateur dans la chatte de Carol, il accélère ses va et vient. Carol gémit de plaisir devant l’assaut de ces doigts pervers. Guy déclenche un orgasme terrible. Les gémissements se transforment en cris.

-Alors, dit Guy, c’est bon d’avoir d’autres mains sur ton corps, une autre queue que celle de son mari dans la chatte, hein ?

-Oh oui…c’est bon, souffle Carol, surtout quand elle est plus grosse.

-A bon, c’est vrai ça quelle est plus grosse, s’amuse Guy.

-Oui c’est vrai, s’il te plaît, baise moi…

Il est six heures du matin, quand Carol me rejoint dans ma chambre. Câline, elle se blottit entre mes bras, s’assoupit.























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10-02-2025 0 354

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