J'ai fait ça à l'insu de mon mari

Récit érotique écrit par mazaudier le 14-02-2025
Récit érotique lu 842 fois
Catégorie Infidélité

Je n'aurais jamais imaginé que ma vie puisse changer aussi radicalement en seulement une semaine, suite à un stupide pari.Je m’appelle Carole, belle femme de vingt huit ans. J'ai eu un mariage stable avec Luc pendant sept ans. Ce n'était pas parfait, bien sûr, mais nous étions heureux ensemble. Je travaillais depuis quatre mois dans une grande entreprise technique, et j'étais satisfaite de mon travail. Marc, mon patron a toujours été gentil avec moi. Il était connu pour son charme et son charisme, mais je n'y avais jamais prêté attention, jusqu'à ce vendredi fatidique. C'était le jour de la fête annuelle de l'entreprise. Le bureau était décoré avec goût, il y avait de la musique, de la nourriture et diverses boissons. Je portais une robe rouge qui moulait parfaitement mon sublime corps. C’est Luc qui me l'avait offerte en cadeau un mois avant. J'avoue que je me sentais belle ce soir-là, plus confiante que d'habitude. Marc est arrivé vers vingt et une heures, dans son costume gris. Il nous salua avec son sourire caractéristique, mais lorsqu'il me rejoignit, je sentis son regard s'attarder un peu plus longtemps.

- Tu es ravissante ce soir Carole, dit-il m’effeuillant du regard.

Tout avait commencé lors d'une réunion d'équipe où l'ambiance était joyeuse. Marc, le sourire charmeur avait proposé une petite compétition, pour voir qui pourrait obtenir le meilleur contrat ce mois-ci. Je ne voulais pas parier, c'est la première pensée qui m'était venue à l'esprit en regardant le visage confiant de mon patron. Un pari léger, pensais-je.

- Alors Carole, tu es partante, m’a-t-il demandé avec un sourire provocateur.

Normalement, je ne m’impliquerai pas dans ce genre de chose, mais une petite voix, ce soir là, m’a fait accepter le défi.

- Bien sûr, pourquoi pas.

- Si je gagne, dit-il en me fixant droit dans les yeux, je t’invite à dîner.

Je riais, pensant que c'était une simple plaisanterie, la légèreté de la situation me faisait oublier l'ampleur de mes choix. J'acceptais, sûre que j'allais gagner, étant la meilleure dans ce domaine. Mais le sourire de Marc ne m’échappa pas.

Le mois s'écoula rapidement, orchestrée par de tardive réunion. Cependant, le résultat fut clair. J'avais perdu. Marc avait décroché un contrat énorme. Mes efforts avaient été en vain. Je me suis souvenu du pari, et j’ai ressenti une pointe de frustration. Le lundi matin, en arrivant au travail, j’ai trouvé un mot de Marc sur mon bureau.

« Je crois que quelqu’un me doit un dîner, je viendrai te chercher à vingt heures ».

Je suis resté paralysée pendant un moment. Je ne m’attendais pas à ce qu’il suive réellement la mise, et encore moins aussi rapidement. J’ai pensé refuser, à trouver une excuse, mais quelque chose en moi voulait accepter. J’ai confirmé, en sachant que je pourrai toujours changer d’avis. Tout au long de la journée, je me suis mise à penser au dîner. Je n'ai rien dit à mon mari, j’ai juste dit que je travaillais tard.

La culpabilité me rongeait un peu, mais j’essayais de me convaincre qu’il n’y avait rien de mal de dîner avec son patron. Je m'apprêtais à partir, quand Luc s'approcha de moi pour m'embrasser et me souhaiter de passer une bonne soirée.

A vingt heures précises, Marc m’attendait devant l’immeuble dans sa luxueuse voiture.

Il m’a ouvert la porte, toujours en gentlemen. Sur le chemin du restaurant, nous avons discuté du travail, d’autres sujets. Sa présence était intimidante, mais réconfortante.

Le restaurant était vraiment magnifique, avec une vue imprenable sur la ville.

Marc a commandé le meilleur vin, et des plats raffinés. Petit à petit, la conversation est devenue plus personnelle. Il m'a parlé de son enfance, de ses rêves de ses frustrations. J’ai réalisé que je n'avais jamais vu ce côté vulnérable de lui.

- Tu sais Carole, tu es l'une des employée les plus compétentes que j'ai jamais eu, mais ce n'est pas tout. Tu as quelque chose de spécial, une lumière divine en toi, poursuivit-il, me regardant intensément dans les yeux.

J’ai senti mon cœur accélérer, on ne m’avait jamais parlé ainsi. Les heures passèrent, et me rendis compte qu’il se faisait tard, il était déjà minuit passée.

- Je pense que nous devons y aller, dis je à contre cœur.

Marc a accepté et a demandé l'addition. Sur le trajet de retour, un silence tendu régner entre nous. Il a garé la voiture dans une rue déserte, non loin de mon immeuble. Nous étions assis là, à nous regarder.

- Carole, murmura-t-il en s'approchant lentement de moi.

Je savais que je devais l'arrêter, mais mon corps, lui, ne m‘obéissait plus. Nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser intense et passionné. Les choses ont rapidement évolués. Bientôt, nous étions sur la banquette arrière, nos vêtements éparpillés sur les sièges. Après une rapide fellation, nous avons fait l'amour de manière urgente et sauvage. Je sentais son énorme membre s’enfoncer en moi, m’arrachant des gémissement de plaisir avant d’atteindre un puissant orgasme. C'était incroyable, électrisant, contrairement à tout ce que j'avais vécu.

Marc me proposa de continuer la soirée chez lui. Mon cerveau criait non, mais mon corps, déjà sous l'emprise du désir me trahissait. Chaque fibre de mon être m'incitait à accepter. Pendant le trajet, excitée, je laissais sa main se glisser sous ma courte jupe, frôlant mon intimité. Tout cela m’excitait. Arrivé sur le palier, je savais que franchir cette porte serait une erreur, mais je me retrouvais devant son appartement, incapable de dire non. Une fois à l’intérieur, Marc m’effeuilla, se recula pour admirer mon sublime corps. Il se déshabilla à son tour. Tout se passa si vite. Un baiser volé, puis un autre et avant que je ne puisse le réaliser, nous étions enlacés sur le lit, entièrement nus. C'était intense, une urgence de désir et de passion incontrôlable, accompagné d’orgasme interminable. J'avais oublié Luc, oublié mes promesses, je me laissais emporter dans cette nouvelle aventure, comme si cela pouvait m'apporter une forme de liberté.

Le lendemain matin, je me réveillais dans un lit qui n'était pas le mien. Marc dormait à mes côtés, serein. Je me levais en silence rassembla mes affaires, sortis avant qu'il puisse me parler. Sur le chemin du retour, le poids de mes actes s'abattaient sur moi.

Puis la réalité m'a frappé comme un sceau d'eau froide. " Que venais-je de faire "

Quand j'arrivais chez moi, Luc m'accueillit avec un sourire, ne me demandant même pas ou j’avais passé la nuit. Son innocence me déchira le cœur. Je me sentais indigne de son amour. Chaque moment passé avec lui était teinté de culpabilité. Je savais que je ne pouvais lui révéler la vérité, mais cette trahison me rongeait. Les jours suivants furent un véritable enfer. Chaque fois que Luc me touchait, je ressentais un mélange de honte.

Au bureau, Marc agissait comme si rien n'était. Il savais que quelque chose avait changé, mais il continuait à jouer son rôle, comme si cette nuit n'avait jamais eu lieu. Luc, de son côté, continuait à être l'homme parfait, attentionné. La séparation de ma vie me pesait de plus en plus. Je vivais dans la crainte constante que mon mari découvre la vérité. Le fait d'y penser me faisait frissonner.

Une semaine s’est écoulé. J’ai essayé d’agir normalement, mais à l’intérieur, c’était un bouillonnement d’émotion. Je voulais Marc plus que jamais, à même temps que je me détestais d’avoir trahi Luc. Un jeudi après-midi, Marc m’a convoqué dans son bureau.

- Nous ne pouvons pas faire comme si rien ne s’était passé, a-t-il dit dès que j’ai fermé la porte. Je ne peux m’empêcher de penser à toi Carole.

Ses paroles faisaient échos à mes propres sentiments. Avant que je puisse répondre, il m’embrassa, et encore une fois, je n’ai pas pu résister. A partir de ce jour là, nous avons commencé une relation torride.

Au fil des mois, j'ai commencé à remarquer des changements subtils dans le comportement de Luc. il rentrait plus tard, toujours avec de vagues excuses concernant le travail. Son téléphone auparavant toujours en vue, était désormais constamment rangé. Au début, je n'y prêtais pas beaucoup d'attention, après tout je cachais un secret bien plus grand. C'est un samedi après-midi que tout a basculé. Luc a dit qu'il allait retrouver des amis pour regarder un match de football. J’ai décidé d'utiliser le temps pour ranger ma garde-robe. C'est alors que j'ai trouvé caché dans un de ses tiroirs une photo de femme, avec écrit au dos.. « A bientôt, comme convenu. C »..

Mon monde s'est effondré. Est-ce que Luc m'a trompé. L'ironie de la situation ne m'a pas échappé, moi qui le trompais depuis des mois, je me sentais désormais trahi. Mais qui était ce mystérieux C. J'ai passé les jours suivants, obsédé à essayer de découvrir l'identité de l'amante de Luc. J'ai fouillé son téléphone, ses réseaux sociaux, mais je n'ai rien trouvé de concluant. Je décidais de ne pas en parler à Marc.

A partir de ce jour là, nos relation allaient crescendo. Nous nous sommes rencontrés partout, au bureau, après le travail, dans les hôtel, chez moi, dans le lit conjugal quand mon mari n’était pas là. Je me souviens, lors d’une fête d’entreprise, il m’a demandé de le rejoindre aux toilettes. Je profitais de l’inattention des autres invités, pour me faufiler hors de la salle. C'était excitant, dangereux et complètement addictif.

Mon cœur battait si vite, qu’il semblait résonner dans le couloir. Lorsque j’ouvris la porte des toilettes, je trouvais Marc qui attendait, le regard plein de désir. Sans dire un mot il m’attira, verrouillant la porte derrière lui. Le contact de Marc fut immédiat. Il me pressa contre le mur, ses lèvres trouvant les miennes dans un baiser plus intense que je n'avais jamais connu. Le choc initial s'est vite transformé en capitulation totale, mon corps a réagi immédiatement, chaque cellule aspirant à davantage de ce contact, à ce sentiment d'être à nouveau. Les mains de Marc glissèrent sur mon corps, explorant chaque courbe, de mes seins à mon ventre, ma chatte, tout ça avec une urgence qui me coupa le souffle. Il glissa ses doigts le long de la bretelle de ma robe, l'abaissant et révélant la peau douce de mes épaules, de mes seins, qui furent bientôt couvert de chauds baisers et de douces morsures. J’essayais d'abord de garder un certain contrôle, pensant malgré tout à mon mari, mais me laissait emporter par l'instant présent, rendant chaque contacts, chaque caresses comme si c'était la première fois que quelqu'un me touchait de cette façon. Lorsque Marc remonta ma robe jusqu'à sa taille, exposant mes cuisses, je laissais échapper un faible gémissement mêlé de désir et de culpabilité. Mais toutes pensée sur les conséquences fut rapidement oubliée. Alors qu'il me soulevait et me plaçait sur le lavabo, ses lèvres retrouvèrent les miennes dans un baiser profond et exigeant. La froideur du marbre contrastait avec la chaleur émanant de nos corps, rendant la sensation encore plus intense. Marc baissa mon string avec une habileté qui me fit frissonner, ses doigts explorèrent chaque partie de mon corps, faisant remonter des sensations que j’avais oublié. Le désir entre nous était si palpable, qu'il semblait remplir le petit espace. Ses mouvements étaient déterminé, les pénétrations intense et je m'accrochais à lui, nouant mes longues jambes dans son dos, comme si j’étais au bord d'un précipice, sur le point de me jeter dans l'abîme du plaisir qui m’attendait.

Les minutes qui suivirent furent une pure euphorie, le son de nôtre respiration haletante mêlé de murmures et de gémissement de plaisir résonnent sur les murs du local. Je ne m'étais jamais senti aussi vivante, aussi désirée et quand nous atteignirent finalement l’orgasme ensemble, ce fut comme si le monde autour de nous disparaissait, nous laissant tous les deux dans ce moment de pur abandon.

Mais la réalité frappa à la porte, le bruit des pas dans le couloir nous fit nous séparer rapidement, l'adrénaline coulant toujours dans nos veines. Marc m'a aidé à descendre du lavabo, rangeant ma robe, tandis que j’essayais de retrouver mon souffle et mon calme. Il me dit garder mon string en souvenir. Lorsque je le regarda enfin, je vis un sourire satisfait sur ses lèvres, et je sentis un mélange de culpabilité et d'excitation.

Nous regagnons sa voiture et filions chez moi. C'était comme si je cherchais en lui une vengeance anticipée contre la trahison de Luc. Cette nuit là, Marc me prit quatre fois au cours de la nuit, et une fois le matin. C’est épuisés que nous filions à la douche, ou il insistait pour que je lui fasse une fellation. Mais la culpabilité m’envahit à nouveau. Je me rendis compte que j’avais trompé Luc dans le lit conjugal. Cela me fit réfléchir, ça allait trop loin, il me fallait surmonter ma passion, revenir l’épouse que j’étais.

Un soir, après le travail, je donnais rendez-vous à Marc dans un bar près du bureau, bien décidé à rompre. Nos regard en disait long sur l’envie de nous étreindre, mais ma décision était prise. Nous étions dans un coin du bar, quand soudain, Luc apparu. Il se dirigea vers nous, le regard tendu. D’autorité, il s’assit, prit la parole.

- Depuis combien, demanda-t-il.

- Quoi, demande ai-je surprise, soutenue par Marc.

- Depuis combien de temps avez-vous une relation.

Marc tenta d’intervenir.

- Toi, ta bouche, gronda Luc.

- Mais ça va pas, qu’est-ce qu’il te fait dire ça.

- J’ai reçu des photos d’une nommée Carla, en train de vous embrasser, ça vous parle.

Carla était l’épouse de Marc. Elle avait contacté un détective privé, qui avait découvert nôtre relation. Marc, stupéfait, cherchait les mots. J’essayais d’expliquer, de dire que ce n’était pas ce qu’il croyait, que ce n’étais qu’un baiser. J’insistais auprès de mon mari, pour ouvrir une discussion.

- Une discussion OK.? Les conditions que je vais te dire pourront t’aiguiller dans ton choix, et peut-être me faire réfléchir. Démission immédiate de ton travail, et plus aucun contact avec ce connard. Je vais être beau joueur, je te laisse effacer les messages de ton téléphone. Je vais prendre un verre, j’attends ta réponse à mon retour.

Je pris mon visage entre mes mains, me mis à pleurer. Mon regard allait de Luc, l’amour de ma vie, à Marc, la passion interdite. J’informais Marc pourquoi j’étais venu. Marc fut déçu quand je lui dis que j’acceptais les conditions de Luc. Je ne peux pas jeter tout ce qu’on a construit ensemble. Je lui dis que j’étais désolé.

Luc revint, et voyant ma réponse qui tardait à venir, se leva, pensant que j’avais pris ma décision, et choisi Marc.

- Très bien dit-il en se levant, tu recevras les papiers du divorce dans la semaine.

Il se leva, et sans un regard, quitta le bar.

Marc essaya de me retenir, mais je lui dis que ma décision était prise, que ma trahison et ma culpabilité m’avait fait découvrir que Luc, était bien l’homme de ma vie. Je me levais à mon tour, et couru après mon mari. Il était prêt à monter dans sa voiture.

- Luc...s’il te plaît, attends-moi...

Il m’accueillit, le regard froid et tendu.. Je mesurais le chemin à parcourir pour sauver nôtre couple. Mais cette réconciliation fut de courte durée. Malgré la thérapie, les efforts consentis, Luc ne pu jamais pardonner, et la séparation fut inévitable. Nous convenions tous les deux de faire une pause, et laisser le temps faire son travail...et qui sait…

Aucune nouvelle de Marc, si ce n’est qu’il a divorcé, démissionné, et quitté la région.





























,


J'aime 3
14-02-2025 0 842

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques de la même categorie

Récits / Histoires érotiques du même auteur

Voir la suite des récits erotiques écris par mazaudier

Settings