Mat a découvre par hasard l'infidélité de sa femme.

Récit érotique écrit par mazaudier le 17-02-2025
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Catégorie Infidélité

Mat et sa femme Jess, tous deux âgés de trente deux et vingt huit ans, suivais un parcours classique et satisfaisant. Ils s’étaient rencontrés à l’université, lors d’une fête d’un ami commun. Trois ans plus tard, diplômes en mains, ils ont finalement célébré un somptueux mariage à l'église, avec de nombreux invités et membres de la famille. Leur lune de miel s'est déroulé à Hawaï. Ils ont profit du sable de l'océan, du jus de noix de coco et du soleil éclatant.

Jess était d'une beauté diabolique et aurait pu facilement travailler comme mannequin si elle l'avait voulu. Elle était mince, grande, avait de longues jambes et un corps de rêve.

Mat regardait sa femme, se demandant comment il avait pu gagner le cœur d'une telle beauté. Leur vie de couple était plutôt bonne, peut-être meilleure que celle de beaucoup de ses amis et connaissances. Le couple ne s'ennuyait jamais, passant des nuits torride à baiser.

Un jour, Jess dit à Mat qu'elle voulait invité Claire, sa meilleure amie, à passer l’après-midi à la maison. Claire devait aménager dans une autre région voisine, et tenait à se voir avant le déménagement. Mat, toujours près à rendre service, avait même fait les courses d’après la liste formulée par Jess.

D'habitude, Jess et claire se retrouvaient dans un café ou dans un parc à proximité, mais cette fois-ci, elles ont décidé de passer du temps chez Jess. Jess a gentiment demandé à Matt d'aller rejoindre ses potes, pour que les deux femmes puissent discuter, boire du vin et manger des sushis. C'était tout à fait normal pour lui,

Alors qu’il avait rendez-vous avec se potes, Mat s’aperçut qu’il avait oublier sa sacoche qui contenait ses papiers et se cartes de crédits, dans la voiture. Il se dirigea sans bruit vers le garage, et là, il surprit une conversation entre Jess et Claire, sa meilleure amie. Cette discussion n’était pas anodine, et attira son attention.

C’est au cours de cette discussion, que Mat découvrit l'infidélité de sa femme.

- Je t’avais averti Jess, disait Claire. Tu étais la seule femme du groupe qu’Adrien n’avait pas encore eu une relation. On a toutes passées une nuit dans son lit à le sucer, se faire baiser, sodomiser. Il a toujours dit que la prochaine, ce serait toi. Je t’avais averti Jess.

Jess essayait de se défendre, qu’elle n’avait jamais eu l’intention de tromper son mari. C’est cette fichu soirée qui a tout gâché. On était en groupe, et Adrien me poussait à boire, moi qui ne bois jamais. C’est quand je me suis retrouvé seule qu’il s’est approché de moi.

- Il avait dit qu’il agirait ainsi s’il fallait en arriver là pour t’avoir, la coupa Claire

- Je n’avais aucune intention ce soir là, mais quand j'ai vu Adrien assis seul au bar de l'hôtel où mon mari avait réserver une suite, j’ai subitement senti une attirance envers lui. Il était beau, pas seulement physiquement, non, il dégageait quelque chose de brut de dangereux. Ses yeux d'un vert troublant m'ont scanner comme si j'étais la plus belle femme de la pièce. Peut-être que je l'étais, peut-être que je voulais l'être. Nos regards se sont croisés une seconde de trop, suffisant pour que le feu prenne.

- Un verre, m’a-t-il, m’avait-il proposé d'une voix rauque.

J'ai hésité, j'ai pensé à mon mari qui réglait l'addition du dîner, certain que je l'attendais sagement dans la chambre. J'ai pensé à ces dix ans d'amour essoufflé, à mes nuits passées à fantasmer sur des inconnus, j'ai accepté. Un verre, deux, trois, puis sa main sur ma cuisse, son souffle contre mon oreille...Tu es sûre ?

Non, mais j'en avais envie désespérément. Nous avons pris l'ascenseur, son parfum me rendait folle. Lorsque les portes se sont refermées, il m'a plaqué contre la paroi ses lèvres brûlantes s'écrasant sur les miennes.

Mon corps a répondu instantanément, affamé, en manque d'adrénaline, de passion de . Ce fut brutal, torride, sans retenu. Ses mains glissèrent sous ma robe, explorant chaque parcelle de mon corps avec une avidité féroce comme si j'étais un secret à dévorer. Ma chatte, malgré le faible rempart de mon string fut pénétrée, tout comme mon clitoris fut doigté. j'ai griffé son dos, mordu son épaule, laissé échapper des soupirs que je croyais avoir oublié. Lorsque nous avons terminé, nos cœur battant à l'unisson. J’ai remis mes vêtement en ordre à la hâte.

Mat devait déjà être dans notre suite, m'attendant sans se douter une seconde de ce que je venais de faire. Avant de sortir, Adrien m'a retenu par le poignet. Je me suis dégagée, et je suis parti dans la chambre. Mon mari dormait paisiblement, un sourire léger sur visage. Je me suis glissé sous les draps, le cœur battant encore au souvenir des doigts d'un autre homme sur ma peau, pénétrant mon intimité. Mat ne l'a jamais su.

Le lendemain matin, tout aurait dû reprendre son cours normal, mais quelque chose avait changé. Je l'ai senti dès que j'ai ouvert les yeux, mon corps encore imprégné des caresses d'un autre. Mon mari dormait à côté de moi, serein, inconscient du vertige qui me consumait. Quand il a ouvert les yeux, il m'a souri, m'a embrassé sur le front avant de murmurer.

- Joyeux anniversaire mon amour.

Son amour...je l'étais n'est-ce pas ?

Je suis allée sous la douche. L’eau chaude ruisselant sur mon corps, j'ai fermé les yeux et instantanément l'image d’Adrien s'est imposée à moi, son souffle brûlant sur ma peau, la pression de ses mains sur mes hanches, la force brute avec laquelle il avait caressé les paries intime de mon corps. J'ai soupiré, une chaleur indécente et coupable m'a traversé. J'étais folle, mais pour la première fois depuis des années, je me sentais vivante.

Mon mari et moi avons quitté l'hôtel pour retourner à notre quotidien bien rangé. Lui, concentré sur ses mails dès le trajet en voiture, moi le regard perdu dans le vide, les souvenirs de la veille s'imprimant dans chaque battement de mon cœur. Dans l'ascenseur de notre immeuble,

j'ai senti mon téléphone vibrer, un message inconnu.

« J’ai encore le goût de tes lèvres...si tu veux on peut recommencer ce soir, dis-moi juste. » Mon ventre s'est noué, j'ai levé les yeux vers mon mari absorbé par un appel. L'envie a jailli violente, irrationnelle, non c'était insensé et pourtant, j'ai répondu.

Je suis arrivé au bar un peu avant lui. La robe que je portais était encore plus audacieuse que la veille, décolletée, moulante, une promesse en soi. Quand il est entré, nos regards se sont accrochés instantanément, il n'a même pas souri, il a juste avancé vers moi lentement, d'un pas assuré, comme un prédateur qui sait que sa proie va céder.

- Tu es venu, me dit-il.

- Je n'aurais pas dû, dis-je culpabilisant.

- Mais tu es là.

Il a tendu la main vers mon poignet, la caressée du bout des doigts. Ce simple contact a suffit pour électriser tout mon corps, mon souffle s'est accéléré. Tout juste si nous avons échangé quelques mots avant qu'il ne m'entraîne dans une chambre à l'étage. Cette fois, c'était différent que dans l’ascenseur, plus aboutis, plus lent, plus intense, comme si nous voulions savourer chaque secondes. Ses baisers m'ont fait frissonner, ses mains ont exploré mon corps avec une maîtrise qui m'a fait perdre tout contrôle. Quand j'ai vu cette énorme bite, je l’ai de suite prise en bouche, et tout avalé. La suite ?

Le monde entier s'est effacé quand il m’a pénétrée, sodomisée. Il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. je lui était entièrement soumise. Il ne restait que lui, son odeur, sa chaleur, sa force.

Quand nous avons fini, je me suis allongé à côté de lui, le souffle encore court, un sourire coupable sur les lèvres. Je venais de commettre un adultère, j'étais officiellement devenue infidèle et pire encore, j'adorais ça. Mais pouvais-je arrêter là, revenir à mon rôle d'épouse parfaite, où étais-je déjà allé trop loin. Après cette deuxième nuit d'égarement, j'aurais dû ressentir du remord, une vague de culpabilité, quelque chose, mais non. Tout ce que je ressentais, c'était une ivresse, un sentiment d'invincibilité, comme si j'avais découvert un secret interdit qui rendait la vie plus vibrante.

Je suis rentrée chez moi tard ce soir là, mon mari dormait déjà, la faible lumière tamisée de la chambre projetant des ombres apaisantes sur son visage. Je l'ai regardé, dix ans de mariage, dix ans à l'aimer ou à croire que je l'aimais. Je me suis glissée sous les draps, mon corps encore marqué par les empreintes d'un autre homme, et pour la première fois j'ai eu peur. C’est à ce moment que j’ai compris que j’aimais mon mari, qu’il était l’homme de ma vie.

- Tu...répond Claire, pourtant, tu ne voulais pas entendre parler d’Adrien. Tu savais qu’il nous avait toute menée sans son lit, qu’il nous avait baisée, qu’il avait fait ce qu’il avait voulu avec nous, il ne manquait que toi. Ben tu vois, il t’a eu aussi.

Jess servais les sushis, tandis que Claire servait à boire. C’est en retournant s’installer au salon que le téléphone de Jess se mit à vibrer. « Tiens, un message de Mat ? »

Quand elle l’ouvrit, son monde s’écroula. Elle jeta le téléphone sur la moquette, prit sa tête entre ses mains. Surprise, Claire récupéra le téléphone, resta scotchée devant ce qu’elle vit.

La photo d’Adrien, défiguré, méconnaissable. Sur l’autre lien, apparaissait une vidéo plus que compromettante, présentant Jess et Adrien sur un lit, dans un torride enchevêtrement. Ce salaud d’Adrien avait filmé ses ébats tumultueux avec Jess.

Dessous, juste un mot, terrible.

« Voici ce que tes parents vont recevoir dès lundi, ainsi que tes amis et ton employé. Mat »

Les deux jeunes femmes tombèrent dans le bras l’une de l’autre. Devant l’ampleur de la catastrophe. Claire décide de différer son départ, laissant son mari s’occuper du déménagement. Jess essaya de contacter Mat, mais il restait sourd aux appels et aux messages.




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