Ce qui s'est passé pendant que j'aidais ma belle-sœur dans la cuisine.

Récit érotique écrit par mazaudier le 28-02-2025
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Catégorie Infidélité

Aujourd'hui était le jours ou j'allais rendre visite à mes parents et je savais qu'en plus de les voir, j'aurais l'occasion de croiser Cynthia, ma belle-sœur.

Ma belle-sœur m'a toujours impressionné, même après plusieurs années de mariage, elle dégage toujours une élégance et un charme indéniable. Quand j'étais célibataire, je me disais souvent, « Tu as vraiment de la chance mon frère, c'est sûr. » Mais aujourd'hui, je ne peux que la respecter en tant que membre de la famille.

Lorsque je suis arrivée, C'est ma belle-sœur qui m'a ouvert la porte. Ah, Cynthia, le genre de femmes dont j’ai toujours rêvé. Je me disais que mon frère avait beaucoup de chance de l’avoir. Quand j'étais célibataire, je me disais souvent.

« Tu as vraiment de la chance mon frère, c'est sûr. »

Mes parents étaient aux champs et mon frère était au travail, ce qui signifiait que la maison était calme, sans personne autour.

Elle a ouvert la porte avec un large sourire et pendant un instant j'ai ressenti une étrange sensation. Elle était vêtue d’une courte jupe, et d’un chemisier, sans soutien-gorge dessous. Je ne savais exactement ce que cela signifiait, mais quelque chose dans son expression m'a surpris. Elle me semblait être intouchable par le passage du temps, toujours élégante et sereine, avec beaucoup d’humour.

- Ça fait un moment Julien, a-t-elle dit, m’étreignant chaleureusement, sans réfléchir.

Je sentis sa ferme poitrine s’écraser sur mon torse, mais ne m’écartais pas.

- Ma belle-sœur est toujours aussi belle dis-je comme un compliment.

Rien de plus, mais pendant un instant, j'ai senti que ces mots pouvaient avoir plus de poids que je ne l'imaginais. Elle ne devais pas souvent entendre cela.

- Merci, répondit-elle avec un sourire...t’es pas mal non plus tu sais.

Il n'y avait rien d'étrange à ça, mais quelque chose dans l'air semblait différent. Alors que je rentrer, la conversation se déroulait naturellement. Nous avons parlé de mon frère, mes parents, de Sandrine, des dernières nouvelles du quartier.

- Il paraît que tu était le loup du quartier, certaine femmes en parlent encore.

- Faut pas exagérer non plus, répondis-je modestement.

Nous étions dans le salon, discutant, tandis que Cynthia se levait préparer le dîner.

Pour une raison quelconque, ma conscience m'a poussé à la suivre. Cela faisait tellement de temps que je n'étais pas venu ici. Je ne pouvais pas simplement rester là à attendre. En m’approchant, j’ai involontairement frôlé ses hanches. Ma belle-sœur m'a regardé avec un léger sourire, un peu surprise et a dit.

- Et bien Julien, tu sais vraiment comment te faire remarquer, je porte rien dessous.

Elle éclata de rire, tandis que le rouge me montait aux joues. Je ne sais pourquoi, mais je me suis demandé à quel point je devais habituellement être réservé pour provoquer ce genre de réaction. Quoi qu'il en soit, j'ai commencé à aider ma belle-sœur avec les préparatifs. Ce n'était rien d'extraordinaire, quelques tâches simples, comme éplucher des oignons et couper des carottes en petits morceaux.

- Et bien, tu es vraiment doué pour ça aussi.

Je lui adressé un sourire un peu gêné, ne sachant pas trop quoi répondre, et finalement j'ai écarté le sujet, et laissé échapper.

- Ma femme m'oblige à cuisiner à la maison. Je ne suis un grand chef, mais avec le temps, j'ai appris à gérer les petites corvées domestiques.

Mon frère aîné n'a jamais fait quoi que ce soit de ce genre et entendre les compliments chaleureux de ma belle-sœur m'a donné une certaine confiance en moi. J'étais vraiment ravi de pouvoir contribuer, d'être là avec elle, partageant ce moment à la fois simple et profondément spécial. Cela faisait un bien fou d'être dans la maison familiale, de créer ensemble ces petits moments dans la cuisine.

Cynthia et moi travaillons côte à côte, les échange était fluide et spontané pendant ces préparatifs. La soirée avançait doucement et enfin mes parents sont rentrés des champs suivi de près par mon frère qui revenait du travail. Peut-être parce que cela faisait si longtemps que je ne les avais pas vu, mais leur accueil chaleureux m'a touché, me sentant coupable de ne pouvoir leur rendre visite plus souvent, mais j'étais profondément heureux d'être là, entouré d'eux à nouveau. Quand mon frère a ouvert la porte et est entré, il m'a jeté un regard à la fois curieux et amusé.

- Oh, Julien, ça fait un bail, dit-il en me prenant dans ses bras, ça va ?

C'était agréable de retrouver cette dynamique familiale, comme au bon vieux temps. - Frérot je vieillis, ai-je changé ? Un peu de ventre peut-être.

Cela déclencha des rires sincères et suggérais joyeusement.

- Ce soir, pourquoi ne pas prendre un verre ensemble, qu’en dis-tu ?

Mon père qui se tenait à mes côtés acquiesça immédiatement avec enthousiasme . I attrapa une vieille bouteille d'alcool et arborant un sourire éclatant déclara.

- Ah, cela fait un moment que tu n'es pas venu ici, alors célébrons cela dignement.

Je vais te préparer un verre Julien, dit Cynthia.

Ma mère toujours attentive et prévoyante se mit préparer quelques toasts dans la cuisine tandis que Cynthia apportait les boissons. L'atmosphère devint plus chaleureuse, presque magique et incroyablement animée. La soirée se poursuivit avec beaucoup de verres, d'éclats de rire et de conversations légères. Chaque gorgée semblait suspendre le temps, faisant remonter à la surface les souvenirs joyeux et émouvants de notre famille. A mesure que les verres s'enchaînaient, les échanges devenaient de plus en plus passionné et les rires éclataient de manière contagieuse. Mon père emporté par l'enthousiasme, se lança dans le récit de ses aventures de jeunesse, bien que j'ai entendu ces histoires au moins une dizaine de fois. Sous l'effet de l'alcool,elles paraissaient étonnamment nouvelles, captivante. Il racontait avec une énergie débordante quand j'étais jeune, quand toutes les filles du quartier me courraient après.

Je croisais le regard de Cynthia, je pouvais lire de jalousie la ses yeux.

Il était déjà minuit. La soirée avançait, tout le monde commençait à sentir les effets de l'alcool. Mon père et ma mère allèrent se coucher. Mon frère en fit de même, et me suggéra d’en faire autant. Cynthia, quant à elle, ne semblait pas gênée par le désordre et s'activait dans la cuisine pour tout nettoyer. Je l'observait un instant, pensant à ce qu’elle m’avait dit, qu’elle ne portai rien dessous. Elle finit par remarquer ma présence avec un sourire.

- Je te sens pensif Julien,

- Je pensais à ce que tu m’as dit tantôt…

- Que je ne portais rien dessous, et tu voudrais le constater, dit-elle en souriant.

Je lui dis qu’il serait mieux de l’aider à faire la vaisselle, et à faire du rangement.

- Non Julien, reposes-toi, ça fait longtemps que tu n'es pas venu ici, tu ne devrais pas t'occuper de ça.

- Mais tu sais comment je suis, je ne peux pas laisser un tel bazar.

Je décidais de me lever et de la rejoindre dans la cuisine. Je commençais à l'aider, ensemble nous faisions la vaisselle, discutant tranquillement de choses et d'autres sans nous presser. Ce n'était rien d'extraordinaire, mais d'une certaine manière, ça devint le moment le plus paisible de la soirée. Nous parlions de mon frère, de ses progrès au travail et d'autres petites choses de la vie. Profitant de ce silence confortable, la conversation continuait légère, simple, avec des questions comme, et la santé de tes parents, tout va bien puis soudain ma belle sœur poussa un profond soupir. Elle semblait ailleurs et d'un ton plus bas.

- En vérité ma vie de couple est assez compliquée en ce moment, ce n'est pas facile. Pris au dépourvu, je lui demandais pourquoi, si elle avait fait quelque chose de mal. Elle secoua la tête comme si la réponse était bien plus complexe.

- Non ce n'est pas ça répondit-elle.

En l'écoutant, je ressenti un léger pincement au cœur. Je l'avais toujours vu comme une femme lumineuse, pleine d'énergie et savoir qu'elle traversait des moments difficiles m'inquiéta profondément. Ne sachant pas vraiment quoi répondre, je laissais

échapper spontanément.

- Mon frère peut-être tellement bête parfois, il est beau, sympa, et tu es si belle.

Je voulais juste lui faire un compliment, mais ça sonnait un peu comme une tentative de consolation. Ma belle-sœur me regarda en silence, l’expression sérieuse et cela me mit mal à l'aise. Que venais-je de dire, pensais-je. Peut-être que l'alcool ou mon envie d'être sincère m'avait poussé à dire un peu plus que je n'aurais dû.

- J'ai toujours eu un faible pour toi, mais tu t'es marié avec mon frère, dis-je sans vraiment comprendre pourquoi.

A l'instant même où ces mots franchirent mes lèvres, je réalisais qu'il n'était pas approprié, mais en même temps, j'éprouvais le besoin d'être honnête. Quand je regardais Cynthia, elle était figée comme si elle ne savait pas comment réagir à ce que je venais de dire. Finalement elle parla d'une voix douce mais ferme.

- Julien tu me voyais comme une femme.

Mon cœur se serra. A cet instant, je ne savais absolument quoi faire ni quoi penser.

C'était comme si le monde autour de moi s'était arrêté un court instant et une vague de gêne m'envahit. Était-ce une plaisanterie de sa part, ou prenait-elle mes paroles plus au sérieux que je ne l'aurais imaginé.

Je savais que j'avais dit quelque chose d'étrange et pour essayer de me rattraper, je dis rapidement.

- Je suis désolée Cynthia.

Je pensais que parler davantage ne ferait qu'empirer la situation alors, j'essayais de m'excuser simplement en remplissant nos verres pour changer de sujet, mais à ma grande surprise, elle sourit légèrement.

- C'est bon, tu devrais plutôt me remercier de l'avoir dit, parfois moi aussi je veux que les gens me voient comme une femme.

Je ne savais pas si elle était sérieuse ou si c'était l'effet de l'alcool, mais quoi qu'il en soit, le malaise était indescriptible. Nous restâmes silencieux un moment et pour alléger l'atmosphère je tentais de changer de sujet. J'ai fini de laver la vaisselle.

- Reposes-toi, je vais m'occuper du reste, dis-je en essayant de calmer la tension.

Elle hocha la tête sans rien ajouter. Après l'avoir aidé, je l'accompagnais jusqu'à sa chambre, et me dirigeais vers la chambre d'amis.

- Alors tu ne sauras jamais, sourit-elle, faisant allusion à ses dessous.

Je lui souris, tirant la porte sur moi. Je tombais sur le lit épuisée. Le trajet en voiture, et la soirée alcoolisée, m'avait laissé confus et vidé. Cette situation étrange avec Cynthia continuait de me troubler. Je ne avais pas quoi penser de tout cela, je

voulais simplement dormir et laisser le temps apaiser les choses. Je fermais les yeux mais comme pour contrecarrer mon besoin de repos, on frappa à la porte.

Ce bruit me fit ouvrir les yeux incrédule. Qui pouvait bien être là à cette heure-ci.

Lorsque j'ouvris la porte, je fus stupéfait de voir que c'était ma belle-sœur. Sans un mot, elle entra dans la pièce.

- Ah, murmurais-je reculant instinctivement d'un pas.

Ce n'était pas vraiment elle qui me mettait mal à l'aise, mais la situation en elle- même. Je ne savais pas quoi dire, ni comment réagir face à ce qu'elle faisait.

Tandis que je bafouillais, elle s'allongea sur mon lit et poussa un profond soupir, comme si elle cherchait un certain soulagement. Puis d'une voix tremblante, elle dit.

- Juste pour cette nuit, je te veux, juste une nuit, être vu comme une femme par un autre homme. Prends-moi.

Ces mots résonnèrent dans mon esprit et je ne savais pas quoi répondre. La confusion m'envahissait et en même temps j'étais tellement abasourdie que je n'arrivais pas à analyser correctement la situation. Le silence emplit la pièce, tandis qu'elle restait là immobile sa respiration lourde étant le seul son perceptible.

La nuit fut torride, Cynthia s’offrant sans retenue. Elle m’avoua n’avoir jamais connu pareille nuit, avoir autant joui. Elle m’avoua aussi avoir bravé des interdits, des faveurs que j’étais le seul à avoir obtenu. Le lendemain matin, j'ai tenté de reprendre ma routine comme si de rien n'était. J'ai salué mes parents et mon frère avec un sourire décontracté essayant de dissimuler tout malaise.

- Papa, maman, grand frère, belle-sœur, prenez soin de vous. Je reviendrai bientôt, dis-je feignant une légèreté habituelle.

- Quand tu veux Julien, me saluant en cœur.

Cynthia n’accompagna à ma voiture garée derrière la maison. Là, à l’abri des regards, on se donna un sulfureux baiser.

- Merci pour tout, souffla-t-elle à mon oreille.

Je suis parti de chez eux avec une certaine sensation de soulagement, comme si je cherchais à effacer les événements de cette nuit. Je pensais que Cynthia avait probablement agi ainsi à cause de l'alcool, et j'essayais d'avancer, de tirer un trait sur ce moment inconfortable.

De retour chez moi, je me suis allongée sur mon lit, espérant que le sommeil effacerait les souvenirs troublant de cette nuit. Même seul dans ma chambre, la relation avec Cynthia me revenaient sans cesse en tête. Il semblait impossible de ne pas y penser, même si je savais que je devais avancer comme si rien ne s'était passé.

Avec le temps, Cynthia continua à vivre sa vie avec mon frère, toujours souriante lorsqu'elle croisait mon regard lors de repas de famille, comme si cette nuit n'avait jamais eu lieu, Le temps passa et malgré l'étrangeté de cette nuit, tout semblait revenir à la normale. Je poursuivais ma routine, me concentrant sur mon travail et essayant de garder un équilibre. Ma femme, toujours absorbée par ses obligations professionnelles et moi nous nous accommodions de cette distance émotionnelle occasionnelle.

Lorsque je rendais visite à mes parents, une étrange sensation persistait toutefois, comme si un changement imperceptible s'était produit, bien que personne ne mentionna jamais ce qui s'était passé.

Ma belle-sœur, de son côté paraissait encore plus aimable qu'auparavant avec ce

sourire chaleureux et cette gentillesse qui parfois me mettait mal à l'aise. Je ne savais pas ce qui s'était réellement passé entre nous cette nuit-là. Se souvenait-elle de tout ou était-ce seulement l'effet de l'alcool.

j'essayais d'éviter de trop y réfléchir, mais de temps en temps ces pensées fugitives

refaisaient surface. Un matin, comme à l'accoutumé, j'ai décidé de rendre visite à mes parents. A mon arrivée je trouvais Cynthia seule dans le salon, occupée à ranger quelques affaires. Lorsqu'elle leva les yeux et me vit elle m'adressa ce sourire familier, mais il y avait quelque chose de différent dans son regard. Ce n'était pas de la tristesse à proprement parler, mais plutôt une sorte de compréhension silencieuse. Je suis resté figé sur le pas de la porte, incertain de ce que je devais faire ou dire jusqu'à ce qu'elle brise le silence.

- Drôle de mine, dit-elle doucement, sa voix teintée de sérénité. Je sais que tu te

sens mal à l'aise à cause de ce qui s'est passé. Moi non plus je ne m'y attendais pas, mais parfois certaines choses arrivent sans raison. Nous n'avons pas besoin d'en parler si tu ne le souhaites pas, mais ne mettons pas ça sur le compte de l’alcool. Si un jour tu as besoin je serai là pour écouter.

Ces paroles me prirent de cours, je ne m'attendais pas à une telle franchise.

Ces mots simples et sincères allégèrent légèrement le poids que je portais, tout en ajoutant une nouvelle couche de confusion. Pourquoi disait-elle cela maintenant, que voulait-elle dire exactement. Je l'ignorais, mais d'une certaine manière, j'avais le sentiment qu'elle voulait ramener les choses à la normale, tout comme moi. Je pris une profonde inspiration, essayant de rassembler mon courage pour répondre.

- Merci Cynthia, je je ne veux pas que cela rende les choses malsaines entre nous.

Elle hocha simplement la tête, son sourire toujours présent, et la tension entre nous sembla disparaître, du moins pour l'instant. La conversation continua sur un ton léger, comme si rien ne s'était passé, mais au fond de moi, quelque chose avait changé. La situation n'était pas réglée, mais peut-être fallait-il laisser le temps apaiser les blessures que je ne savais même pas avoir. Malgré tout, je sentais que Cynthia

faisait preuve d'une maturité bien supérieure à la mienne. Moi, de mon côté, j'essayais simplement de comprendre où tout cela pouvait bien nous mener.

Cet après-midi-là, alors que la conversation se déroulait de manière décontractée,

quelque chose dans l'atmosphère commença à changer. La tension qui avait plané

dans , même sans être exprimé, semblait se dissiper. Mais quelque chose de nouveau émergeait. Cynthia, toujours si rayonnante et chaleureuse, paraissait plus consciente de sa présence, de ses gestes et de la façon dont elle me regardait.

Soudain elle se rapprocha légèrement de moi. Ce n'était pas un mouvement évident, mais suffisamment subtil pour que l'espace entre nous se réduise.

La distance entre nous devenait plus lourde de sens. Je tentais de garder mon calme, mais je sentais mon corps réagir à cette nouvelle dynamique. Le parfum délicat qu'elle portait, léger mais envoûtant, envahissait mes narines, chaque mots qu'elle prononçait semblait plus proche, plus engageant.

- Julien, dit-elle son regard plus profond qu'auparavant, es-tu vraiment à l'aise avec tout cela, parce que tu sais, la vie est courte et pleine de surprises.

Je ne savais pas quoi répondre, mais sa proximité commençait à me troubler d'une manière inattendue. Sa main auparavant posée sur la table, s'était rapprochée de la mienne au point de la toucher. La façon dont elle me regardait sans détourner les yeux ressemblait à une invitation implicite, un signal que je ne savais pas s'il fallait suivre ou ignorer. Il y avait une sensation électrique dans l'air comme si toute la pièce était chargée d'une énergie silencieuse prête à éclater.

Chacun de ces mouvements semblait calculés comme si elle testait des limites invisibles, tandis que moi incertain de mes réactions, sentait ma respiration s'accélérer et mon cœur battre plus fort. La conversation continuait, mais il était difficile de me concentrer sur les mots. Tout ce que je pouvais percevoir, c'était la manière dont elle se déplaçait, l'intensité de son regard et ce sentiment que tout semblait plus intime, plus proche que cela n'aurait dû l'être. Je ne savais pas si cette situation était le fruit de la tension accumulée, ou si quelque chose de plus profond se jouait entre nous. Elle se pencha, murmura à mon oreille.

- Je vais te rejoindre cette nuit...le veux-tu ?

Ce qui était sûr, c'est qu’après cette nuit, tout semblait possible. Les visites chez mes parents ne seraient plus les mêmes.



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