Mon histoire se passe dans le quartier de Terresai

Récit érotique écrit par le camionneur le 13-05-2007
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Catégorie Gay


Mon histoire se passe dans le quartier de Terresainville à Fort de France, capitale de la Martinique.
Nous étions mercredi et ce jour là, j’avais rendez-vous chez la coiffeuse à 10h00. Il faisait très beau, le soleil brillait formidablement dans le ciel d’un bleu magnifique et presque sans nuages.
Après avoir tourné pendant au moins dix minutes dans la zone, j’ai fini par trouver une place où stationner.
Au moment où je descends du véhicule, j’aperçois un mec d’à peu près 30 ans assis sur une marche d’escalier non loin de ma Peugeot.

Il attira sensiblement mon attention car il était très noir de peau, torse nu, mince, assez musclé plutôt sec, un peu poilu sur la poitrine et avec un style plutôt mec de la rue que j’affectionne particulièrement.
Mais ce n’est que en passant près de cet inconnu, que mon attirance s’accentua. En effet, assis dans une position très désinvolte les jambes écartées, il exposait un sacré morceau de bite dont on distinguait nettement la forme à travers son pantalon.

D’ailleurs, j’ai vite fait de tourner la tête face à cette vision de rêve, surpris par son regard qui avait croisé le mien.
Je me demande si il s’est aperçu que je mâtais son entre jambes ?
Un peu gêné et déçu de ne pas voir davantage, j’ai donc continué ma route étant sur qu’il ne portait rien sous son pantalon.
Même en étant chez la coiffeuse avec le bruit de la tondeuse sur la tête, je n’arrêtais pas de penser à cet inconnu. Je souhaitais même qu’il soit encore là rien que pour mâter à nouveau son entre jambe.
Souvent on dit que lorsqu’ils sont très foncés de peau et « racaille » de la rue, ils ont une grosse queue et qu’ils défoncent bien.

Après avoir payé la coiffeuse, je suis donc retourné à ma voiture avec un désir certain de croiser le gars en question. Malheureusement, il n’était plus là.
Au moment d’ouvrir la porte de mon véhicule, j’entends une voix.
- Oh !
Je feins de répondre.
- Oh ! T’entends pas que je t’appelle !
En me retournant, quel ne fût pas ma surprise de voir l’inconnu juste derrière moi.
Le cœur battant très fort et adoptant une attitude méfiante car ne connaissant pas ses intentions, je lui est donc demandé ce qu’il voulait.
- Tout à l’heure, qu’est ce que tu regardais ? me dit dit-il d’une voix très grave.
- Rien, pourquoi ?
Puis il s’approcha d’avantage, si prêt que j’ai sentis sa queue contre ma cuisse.
- Ouais, tu la sent ? C’est ça que tu veux ? Hein ? Tu veux me sucer ?
Je dois vous dire qu’à cet instant, mon cœur s’est mit à battre dans ma poitrine à deux cent à l’heure. Mais le contact de sa bite sur ma jambe me confirma qu’il devait avoir un bon « matosse », ce qui m’excita et me poussa à vouloir aller plus loin.
- Ouais, je veux te sucer, dis-je en le défiant.
- OK, viens avec moi.

Toujours avec méfiance de peur qu’il ne m’emmène dans un lieu sordide et ne sachant ce qui m’attendais, je lui ai donc emboîté le pas.
Nous sommes entrées dans une des nombreuses maisons abandonnées de Terresainvilles. Elle semblait être vide et sentais le renfermée. Là, il s’est adossé à un poteau, à « dézippé » son pantalon et sortit sa queue.
- Vas-y. Fais ton travail.
J’avais vu juste. En effet, même au repos sa bite devait faire au moins 17 cm.
Pendant qu’il retira de sa poche un briquet pour allumer un pétard, je me suis accroupi, prit sa queue bien noire que je me mis à renifler. Son odeur de pisse et son gros gland légèrement crasseux m’excitait à mort. J’ai donc commencé à le sucer.
Très vite, son sexe devint plus rigide mais ne semblait faire que 22 cm. Mais, pour moi c’était déjà bien suffisant.

Je suçais et léchais longuement son énorme gland et ma langue descendait et remontait tous le long de son manche raide comme la justice. Parfois, je me frappais le visage avec sa grosse verge et je la remettais dans ma bouche en prenant soin de la faire entrer jusqu’au fond de ma gorge.
Je sentais bien que mon inconnu aima ça car sa bite était tellement dure et si chaude, dégoulinante de salive que j’accélérais mon mouvement de va-et-vient.
Avant de le faire jouir, je voulais voire ses testicules. J’ai donc baissé son pantalon et son caleçon jusqu’aux genoux pour les libérer.
Elles pendaient comme de grosses prunes que j’ai vite fait d’engloutir dans ma bouche tout en le masturbant. Puis j’ai enfoncé sa bite dans ma gorge jusqu’à me retrouver le nez dans sa toison noire sentant la transpiration.

Après 20 mn, j’ai sentis que sa queue devenait plus rigide et sentant son souffle s’accélérer, j’ai ouvert ma bouche pour recueillir les nombreuses giclées de sperme qu’il m’y envoyait.
Sa semence était chaude et fluide. Je ne l’ai pas avalé mais recraché. Je voulais juste savoir ce que cela faisait d’avoir du foutre dans la bouche.

Même si sa bite perdait de sa vigueur, je continuais à le sucer. Surtout son gland.
Ensuite, il a remonté son pantalon, rangé sa queue et il est partit sans dire un mot, me laissant seul.
Sachant que ce genre d’aventure finit toujours comme cela, j’étais quand même satisfait de l’avoir pompé. Néanmoins, il m’a quand même laissé un souvenir… Le goût de son sperme dans la bouche.

Steeblack

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13-05-2007 0 6137

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