Cette histoire se passe dans la petite commune du

Récit érotique écrit par le camionneur le 13-01-2008
Récit érotique lu 19000 fois
Catégorie Gay


Cette histoire se passe dans la petite commune du Morne Vert située un peu au Nord de la Martinique. Il y fait bon vivre avec son environnement très verdoyant et frais. Un endroit très campagnard où les gens se connaissent plus ou moins.

Pas loin du bourg vivait chez ses parents Eddy, 27 ans, un jeune black, assez musclé, et plutôt beau mec. Torse nu, luisant de sueur, il était en train de s’occuper des animaux de son père.
- Eddy n’oublie pas de donner aux poules, la noix de coco râpée que j’ai laissé dans un récipient à l’entrée du poulailler.
- Ouaiiiis.

Après avoir terminé avec les moutons, il est allé directement faire ce que son père lui avait demandé.
Une fois rentrée à la maison où ça sentait bon le colombo de porc et le bouillon d’ignames blanches, Eddy décida de se prendre un grand verre de jus de goyave et alla s’asseoir sur la véranda afin de se reposer de la matinée passée à nourrir les bêtes.

Assis à regarder les alentours, on voyait son caleçon qui dépassait du jean sale, ce qui lui donnait un air vraiment sexy. On apercevait également ses poiles pubiens et une ligne sombre qui sortait du caleçon pour monter jusqu’au nombril. Ses abdominaux et ses pectoraux bien dessinés et ses muscles de bras lui donnaient une allure de jeune étalon.

Il scrutait le paysage en se disant qu’aujourd’hui, le temps était très ensoleillé et que la brise fraîche et douce qui lui caressait le torse lui procurerait un agréable plaisir. Jusqu’au moment où il aperçu le voisin d’en face sortir en slip sur sa terrasse.

C’était un homme d’une cinquantaine d’années, musclé, avec un peu de ventre mais néanmoins aux muscles bien dessinés et gonflés par les nombreuses charges qu’il devait porter dans son métier de maçon.
Le regard d’Eddy descendit jusqu’au niveau de son sous vêtement pour constater que l’énorme paquet qu’il avait devant lui laissant en tous points penser qu’il devait avoir une grosse queue. Cette pensée fît aussitôt réagir son membre dans le caleçon, si bien qu’il passa sa main droite dans son entre jambe comme pour sentir un début d’érection.

Le voisin se dirigea pied nu vers un manguier se dressant juste à côté de la clôture séparant le jardin des parents d’Eddy et le sien pour vérifier la maturité de certaines de ses belles mangues juteuses et gorgées de soleil. Disparu sous le manguier, Eddy ne pouvait le voir caché pas les branches basses de l’arbre. Ce n’est qu’en sortant de dessous le manguier pour uriner que l’homme posté juste devant le grillage sortit un bite épaisse et surmonté d’un gland énorme. Bien qu’elle devait être au repos, cette queue devait au moins faire 18 cm. Le cinquantenaire pissa sans gêne et ce n’est quand levant sa tête et regardant en face qu’il aperçu Eddy en train de le mâter. Se sentant gêné, le jeune homme fît mine de regarder ailleurs.

Secouant son engin pour en faire tomber les dernières gouttes d’urine, Mr Marcelin, s’en retourna chez lui.
Plus tard dans la journée, le père d’Eddy lui demanda de remettre une enveloppe au voisin.
- Tiens Eddy, tu lui remet l’enveloppe en lui disant merci pour le travail qu’il a fait pour moi. Juste pour infos, à l’intérieur, il y a 200 Euros.
- OK.

Il partit immédiatement chez Mr Marcelin.
En arrivant au abord de sa maison, il semblait n’y avoir personne. Comme on fait habituellement en Martinique, Eddy appela pour vérifier si le voisin était présent :
- To, to to, il y a quelqu’un. Mr Marcelin ?!

Eddy savait qu’il pouvait être derrière la maison occupé à faire quelque chose donc il contourna la bâtisse. En effet, il trouva assis sur un petit tabouret Mr Marcelin en train de tourner une préparation de ciment.
- Bonjour Mr Marcelin.
- Comment vas-tu ?
- Ca va bien, merci.
- Mon père m’a demandé de vous remettre ceci en vous remerciant pour le travail que vous avez fait.
OK. Tu lui diras merci de ma part.

Tout à l’heure, lors de la poignet de mains pour dire bonjour, Eddy avait ressentit comme une avance faite. Mais en lui tendant l’enveloppe, l’homme lui caressa la main du bout des doigts. Ce qui troubla un peu Eddy mais pas plus que cette grosse bosse bombée qui paraissait dans son jean usagé et salie par le mortier. La position assise et jambes écartées mettait en évidence cette protubérance qui donnait envie qu’on se face défoncer l’anus par ce quinquagénaire.
Voyant du coin de l’œil qu’Eddy le matait, il prit son paquet entre ses mains et lui dit :
- C’est ça que tu veux ?

Un peu étonné et surpris, car ne pensant pas que son voisin jouait dans la cour des gays, surtout qu’en Martinique, on ne le crie pas sur les toits, Eddy, décida de jouer le jeu.
- Ouais, c’est ça que je veux, en plus, elle a l’air bien grosse.

L’homme se leva, déboutonna son jean, descendit la braguette puis sortit sa queue. En décalottant son membre, il dégagea son énorme gland qui mit à genou Eddy suçant déjà ce gros champignon de plaisir.
- Ouais, comme ça. Mmmmm !!! Bouffe moi la bite. Ouais !!!

Sa queue qui sentait l’urine et la sueur doubla de volume pour atteindre très vite au moins 23 cm. Une vraie aubaine pour Eddy, qui se l’imaginait à l’intérieur de ses entrailles.
Lubrifier entièrement et dégoulinant de salive, Mr Marcelin enfonça sa bite au plus profond de la bouche d’Eddy qui s’étouffait presque avec. Retenant son pénis à l’intérieur, il voulait comme lui montrer que c’est lui qui commande et qu’il n’allait pas le ménager quand il s’agira de l’enculer.
Reprenant son souffle Eddy lui dit :
- Défonce moi, défonce moi.
Il baissa son jean et se cambra sur un vieu tapis au sol de telle manière à présenter ses fesses bien proportionnées et bombées à souhait.
- Allez, vas y, défonce moi.

Le voisin se mis à genou et se mit à lécher l’anus d’Eddy. Son petit trou était si serré, quand y faisant pénétrer son gros majeur, il eu un sursaut et lâcha un cri. Son doigt énorme rentrait jusqu’au fond et sentait la chaleur de son rectum déjà presque dilaté à force de va-et-vient. Après avoir craché à l’intérieur de son trou, l’homme y introduisit sa grosse verge et tout en continuant à descendre dans ce conduit rectal, il prit soin de mettre sa main sur la bouche d’Eddy pour l’empêcher de crier. C’était si douloureux mais le phantasme de ce faire prendre par une grosse bite était trop forte. Le quinquagénaire allait et venait avec une telle force qu’un mince filet de sang coulait de l’anus d’Eddy. Les gémissements de satisfaction du voisin à l’idée de défoncer un jeune cul bien étroit laissaient penser qu’il en rêvait depuis longtemps. Soudain, il sortit sa queue, regarda l’ouverture bien élargie, y cracha un coup et remit sa bite à l’intérieur. C’était bon et Eddy ressentait de plus en plus de plaisir.

Un râlement puissant s’échappa de la gorge du voisin qui sentant le plaisir monter serra de plus en plus fort les hanches d’Eddy et libéra à l’intérieur de lui une purée abondante blanche et chaude.
En retirant son sexe, le sperme s’écoula lentement pour descendre le long de la cuisse d’Eddy. Il reçu une tape sur les fesses en guise de remerciements et tout en sueur, approchant sa queue luisante de foutre d’où s’échappait un filet de sperme, il dit à Eddy :
- Suce moi.

L’érection était retombée mais sa bite était encore longue et veineuse, Eddy le suça en le regardant droit dans les yeux, sa langue enroulant et léchant ce gros gland, en souhaitant renouveler l’expérience une prochaine fois.
Le quinquagénaire, tout en continuant à lui caresser la tête, lui lança un petit sourire de satisfaction.

J'aime 32
13-01-2008 0 19000

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques de la même categorie

Récits / Histoires érotiques du même auteur

Voir la suite des récits erotiques écris par le camionneur

Settings