Pour moi David est un peu plus qu'un voisin!

Récit érotique écrit par le camionneur le 13-04-2009
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Catégorie Gay


Pour moi, David est un peu plus qu'un voisin!

Mais, jusqu'à hier, il ne s'était encore rien passé,- hormis le plaisir de nous rencontrer.

Nous habitons dans la même résidence,

Nous sommes, jeunes, mariés et nous n'avons rien de garçons dévergondés,- même si à beaucoup d'égards, - on est décomplexé.

- Je suis allé le voir hier,- c'est lui qui m'a ouvert.

Il sortait de la douche et avait noué une serviette autour de sa taille et il émanait de lui un érotisme à la fois déconcertant et excitant.

Son corps dénudé aux hanches étroites et cambrées, se mouvait avec aisance et sa bouche pulpeuse, ses dents très blanches et son regard étrange,- d'un vert très clair, exerçaient sur moi, une incroyable attirance.

Il a servi deux J&B bien tassés et après avoir trinqué, il a voulu me faire écouter le dernier CD dont il s'est entiché.- de la musique africaine.

Dès les premières mesures, au rythme du gros Ka, il a commencé à danser devant moi, en faisant virevolter son pagne improvisé.

C'est là, que je me suis aperçu que sous sa serviette,- il était nu.

A cause de la danse, on a fini par avoir chaud, tous les deux,- lui à se tortiller et moi à le regarder.

Et, lorsque nos regards se sont croisés,- j'ai lu dans ses yeux, qu'on avait la même idée.

Moi, en principe,- je suis pas comme ça...

Mais, quand on me pousse,- je ne répond plus de rien ! ...

C'est lui qui a commencé,

En guise de préliminaire, il s'est jeté sur ma queue et m'a sucé comme un damné.

Très vite, je me suis retrouvé avec une érection d'enfer.

Excité, la bite en feu,- je ne savais plus à quel Saint me vouer!

J’ai plaqué contre moi son corps incandescent et mes lèvres sur les siennes, en le caressant, j’ai dénoué la serviette qui est tombée à nos pieds.

Haletants, nous luttions corps à corps, en nous embrassant.

Et brusquement, il s’est empalé sur ma queue en criant.

Il m’a mordu la lèvre et dans ma bouche,- j’avais un goût de sang.

Je m'enfonçais en lui, de plus en plus profondément et les muscles qui enserraient mon membre accentuaient le contact brûlant de ses muqueuses avec ma queue.

J'étais à l'agonie,- lui aussi,

On n’arrêtait pas de se toucher et de jouir à se prendre, à se donner.

Je ne sais plus qui a dit : “lorsque les bornes sont dépassées,- il n’y a plus de limite !”.

Et bien, nous,- on dépassait les bornes et on cherchait nos limites.

Bref, on s'est aimé longuement, comme on a voulu,- sans penser à rien et sans retenue.

L’amour est profondément animal : c’est sa beauté !

J'ignore le temps que nous avons mis à assouvir nos désirs,

Je me souviens seulement de son gland,- qui butait au fond de mon ventre, de ma verge qui lui labourait les reins et des orgasmes, bien plus tard,- qui nous ont dévasté et laissé hagards.

Et, longtemps après,- nous sommes restés ainsi : allongés à plat ventre, inertes, les jambes ouvertes,

Submergés par une sensation intense de jouissance, de vacuité et de béance.

Lorsque je suis parti,- sa semence maculait le parquet et il me disait ressentir encore, par rémanence,- ma verge, abuser de lui et affoler ses sens.


Nestor

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13-04-2009 0 7161

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