Il passa derrière moi Ses mains chaudes posées su

Récit érotique écrit par le camionneur le 13-03-2008
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Catégorie Gay


Il passa derrière moi. Ses mains chaudes posées sur mes hanches et sa queue tendue sous mes couilles m’invitaient à écarter un peu plus les jambes.

Sa bouche collée sur mon cou et son nez soufflant un air brûlant sur mon oreille m’aida à me dilater un peu plus. Mon anus devenait plus sensible.

Ses deux mains enveloppantes quittèrent mes hanches pour se saisir de la pointe de mes seins. Il les titilla un moment jusqu’à ce qu’ils devinrent plus durs. A cet instant la raideur de ma verge me faisait mal. De peur d’en finir d’une seule caresse, je n’osais pas me toucher. Je voulais que cet instant d’abandon dure des heures. Je me sentais en sécurité dans ses bras. J’étais prêt à faire tout ce qu’il voulait.

Il s’attaqua à ma queue. Sa main gauche enveloppa délicatement mes couilles. Il les caressa tendrement et, de l’autre main, il commença à branler ma queue tumescente prête à se répandre. Sa queue à lui, toujours sous mes fondements, entama un discret va et vient voluptueux. Je la sentais de plus en plus dure.

Au faîte de mon excitation je l’imaginais en moi, long manche raide me labourant les muqueuses intimes électrifiées par son contact. Il lâcha ma queue. Une main posée plus fermement sur ma nuque, m’invita à me pencher plus en avant pour qu’il puisse avoir accès à l’inaccessible passage de mon corps et lui offrir une position de soumission féminine mais ô combien facile et pratique pour une sodomie intégrale et puissante. J’ai fait preuve d’obédience en me penchant plus en avant et en lui présentant grande ouverte ma raie ornée de ma fleur tant désirée qu’il convoitait depuis un bon moment.

Il posa dessus son gland que je discernais fébrile et impatient. Ses mains puissantes me tenaient par les hanches, il les dirigea contre lui. Le gland n’eut aucune difficulté à entrer. Tout le reste non plus. Une chaleur enivrante se répandit dans mon rectum, elle parcouru à la vitesse de la lumière mon échine et explosa comme une ogive impétueuse dans mon cerveau.

Une autre chaleur, plus brûlante celle-là, engonça mes couilles et incendia ma queue. Ses savoureuses allées et venues de plus en plus rapides accéléraient mon plaisir et mon empressement à vouloir jouir. Je souhaitais que nous puissions le faire ensemble. Je contrôlais la situation en surveillant avec ce qu’il me restait de conscience, son comportement et surtout la pression de ses mains sur mes hanches, les seuls contacts que nous avions, sa queue en moi et ses mains sur mon corps.

J’imaginais le triangle que faisait ses mains sur mes hanches et la pointe de sa bite dans mon intérieur représentait le point « G », la source de la grâce, l’île du délice, le sommet de l’extase, le foyer incandescent de l’orgasme céleste qu’il labourait vaillament au rythme de ses appétences propices à ma gourmandise. La pression de ses mains se précisait et son basin stabilisé contre mon cul m’indiqua les prémices éjaculatoires. Excité par l’idée de sentir enfin en moi la vigueur de ses jets libérateurs, je sentais mon orgasme arriver lentement et consumer mes sens délicatement, franchement et inévitablement, soulageant ainsi ma libido la plus exigeante et la plus extravertie de mon ego.

Ses mains empoignèrent fortement mes épaules, et tel un objet de plaisir, j’étais coincé dans un étau humain, en bas par son bassin, empalé par sa queue et en haut, bloqué par ses mains. Son premier jet herculéen qui me fit chavirer dans l’extase accompagna le mien qui alla mourir nulle par, puis le deuxième et enfin le troisième synchronisé lui aussi nous firent basculer dans une autre dimension. Puis vinrent les derniers jets saccadés au rythme de la descente suave de la résignation du retour sur terre et de la regrettable séparation des deux corps instables perdants l’équilibre un instant et se soutenants mutuellement dans une éteinte affectueuse à la recherche d’une position stable. Il me roula une pelle.

J’étais ravi de pouvoir lui masser sa queue chaude et endolorie à moitié débandée et lubrifiée par mes muqueuses. Il s’agenouilla devant moi, goba ce qu’il restait de ma queue pour pomper l’ultime nectar de ma sève finissante, tirant ainsi le dernier relent orgasmique qui tardait à venir et je crois, pour son plaisir a lui de me sentir enfin dans sa bouche.

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13-03-2008 0 7375

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