-" Aaron, qu'est-ce qu'il y a?, tu me rends complètement dingue". Il me répond dans son français maladroit, mais qui me fait chavirer: -"Je envie faire 69 avec toi".
Mon amour veux que nous retrouvions au même moment le goût si magique de nos semences sur nos langues.
Je le fais alors reculer vers le bureau et là je l'allonge, mes mains parcourant tout son corps, son dos et son cou, mes lèvres collées aux siennes.
Puis je me redresse et passe de l'autre côté du bureau pour me placer au dessus de mon cher et tendre.
Aussitôt il commence à me donner de légers coups de langue sur les couilles. Puis j'avance mon bassin, il ouvre la bouche et y glisse mon sexe tout entier.
Je reprends alors en bouche son long pénis qui n'avait pas débandé d'un poil et commencent alors des va et vient qui nous arrachent des gémissements de plaisir de plus en plus longs et intenses.
La chaleur de sa bouche envahit mon sexe de plaisir et je sens sa queue tressaillir à nouveau entre mes lèvres.
Nos mains caressent fougueusement nos fesses puis remonte dans nos cheveux.
Ah! sa peau si douce, si satinée...
Nos corps ne font alors plus qu’un et le mouvement de nos bouches sur nos sexes s'accélèrent.
Je sens qu'Aaron est bientôt prêt à éjaculer.
Sa respiration s'accélère, il gémit de plus en plus bruyamment, je masse doucement ses couilles toutes douces et imberbes, soudain son corps se raidi et la plus délicieuse des gourmandises vient inonder ma bouche.
Mais il n'est pas en reste car au même instant je lui offre la même friandise. Son vœu est alors exaucé…
Nous restons quelques instants dans cette position continuant de lécher goulûment nos sexes, puis je me redresse et vient me mettre à califourchon sur Aaron.
Je me penche en avant mettant mes mains de part et d’autre de sa tête, puis nous nous embrassons dans un long et langoureux baiser afin de mélanger nos semences dans nos bouches.
Cet instant est comme magique où nos langues s’entremêlent sans vouloir s’arrêter, à déguster encore et encore nos saveurs les plus intimes.
Nos sexes encore tout humides sont plaqués l’un contre l’autre sur nos ventres et lorsqu’Aaron agite doucement son bassin en gémissant tendrement, je sens que sa queue est encore aussi dure qu’une barre de fer.
La chaleur du moment et la douceur de ma langue dans sa bouche font remonter l’excitation d’Aaron qui ne semble pas repu.
Tout à coup il quitte mes lèvres et me repousse doucement en arrière en me lançant un regard brûlant de désir.
Nous nous relevons et il me prend par le bras pour m'entrainer vers le mur qui est face à nous.
Tournant la tête, je nous vois alors nus dans le reflet des grandes baies vitrées de cette salle de cours et l’image que je découvre est magnifique, elle est celle d'un jeune couple amoureux et tellement heureux de se retrouver.
Il me fait placer face au mur et je sens le contact de sa peau si douce et de son sexe tout dur plaqué contre le bas de mes reins.
Il agite doucement le bassin en m’embrassant dans le cou, sur les épaules et dans la nuque, tandis que ses mains parcourent délicieusement mon torse, mon ventre, et qu’il saisi à nouveau mon sexe pour lui redonner un peu de vigueur. Soudain je sens sa douce langue parcourir mon dos de haut en bas et me faisant un peu écarter les jambes, ses lèvres humides déposent de doux baisers sur mes petites fesses, mes couilles qu’il attire délicatement vers lui, mes cuisses. Ses baisers parcourent mes jambes jusqu’à mes pieds, et les douces caresses de ses lèvres m’arrachent des gémissements mêlés de petits cris de bonheur:
-"Oh Aaron, Aaron, Aaroooooooooon!!!!!!!!!!!!!!"
Quel bonheur que d'être là dans ce lycée désert où nous pouvons crier notre plaisir sans se soucier du reste du monde. Je comprend que dans la position ou je me trouve Aaron ne va pas se contenter de m'embrasser.
Se redressant en m’embrassant à nouveau dans le cou je sens son sexe toujours aussi brûlant se frotter contre mes fesses. Il se frotte, il se frotte, puis sa main vient délicatement appuyer sur mon dos afin que je me penche en avant.
Il place ses deux mains toutes douces sur mes hanches et son pénis encore humide de plaisir vient petit à petit avec douceur s’immiscer entre mes fesses.
Son gland tout chaud est à présent contre mon anus et je me cambre au maximum pour permettre à mon amour de venir en moi.
Bien que je sois désormais habitué à son pénis, Aaron fait pénétrer très délicatement son sexe en moi centimètre après centimètre.
Cela m’arrache de petits cris de plaisir qui provoquent de doux gémissement d'Aaron. Je sens maintenant son sexe totalement en moi, presqu’au fond de mon ventre et par un léger mouvement du bassin je l’invite à entamer les va et vient.
Son sexe si chaud et dur me provoque un plaisir si intense que je me laisse aller, je m’abandonne totalement à lui.
Que c'est délicieux de me faire pénétrer par le garçon de ma vie dans ce lieu où tous les fantasmes sont possibles.
J'ai vraiment l’impression que le temps est suspendu…
Aaron accélère progressivement ses mouvements en me tenant de plus en plus fermement par les hanches.
Le frottement de son long sexe en moi me fait à nouveau bander et je sens une de ses mains venir me masturber au même rythme que ses si délicieux coups de butoir.
Lançant mes bras en arrière je saisi ses hanches afin qu’il accélère encore et viennent encore plus profondément dans mon ventre.
La respiration d’Aaron est de plus en plus bruyante et saccadée et autre même rythme que chacun de ses va et viens de plus en plus rapide, je gémis, fou du plaisir qu’il me donne.
Il va tellement profondément en moi que je sens ses couilles taper contre les miennes.
Soudain Aaron s’arrête comme pris d’un grand frisson et coulissant profondément en moi, je l’entends gémir longuement, son pénis se met à gicler dans mes fesses et je sens une douce chaleur inonder mon ventre.
Cela provoque en moi une excitation telle que mon sexe se met à tressaillir et je vois un long jet de sperme venir s’écraser contre le mur, suivi d’un deuxième puis d’un troisième.
A cet instant je ne m’entends pas, mais je suis tellement ivre de bonheur que je pousse un long et très fort gémissement, tellement le plaisir que nous nous offrons est intense… Je sens la douceur du torse d’Aaron plaqué contre mon dos, ses deux bras m’enserrant fermement comme si il voulait rester en moi et je savoure cette sensation magique de ce liquide tout chaud.
Il se retire alors délicatement et je sens son sperme se mettre à couler le long de mes cuisses.
A l'habitude, nous utilisons un tee-shirt ou un boxer pour nous essuyer, mais ce coquin d’Aaron a tout prévu.
Alors que je me retourne je le vois sortir un grand mouchoir en tissu d'une des poches de son pantalon, puis il me regarde amoureusement.
Ce regard me fait chavirer à chaque fois, il est si beau et si sexy avec son sourire et ses cheveux en bataille.
Il dépose alors un doux baiser sur mes lèvres, s’agenouille pour m’essuyer, puis il se redresse et nos lèvres fusionnent à nouveau dans un long et voluptueux baiser, passant fiévreusement nos mains dans nos cheveux.
Notre bonheur est si intense que nous en avons complètement oublié l'heure. Mais soudain regardant ma montre, je m'apperçois qu'il est pratiquement 11h05 et nous devons être de retour au véritable lycée avant la sonnerie de 11h20.
Aaron sur le point de m'embrasser à nouveau me fixe avec un regard boudeur car ayant vu l'heure sur ma montre il a compris qu'il nous faut rentrer.
Nous ramassons alors nos vêtements et commençons à nous rhabillés.
Il nous faut nous présser un peu pour ne pas prendre le risque de croiser la classe de Benjamin rentrant du stade municipal. Ou encore mieux, il ne faut surtout pas croiser Grégoire et sa bande de pingouins sortant de permanance, sinon je vous raconte pas les ragots.
Nous vérifions brièvement de ne pas avoir laissé trace de notre passage dans la salle, récupérons nos sacs, puis nous traversons le couloir en nous tenant par la taille et en nous embrassant.
Le bonheur peut se lire dans nos yeux.
Arrivé au rez-de-chaussé, nous faisons malgré l'heure un petit détour par les toilettes...., histoire de nous rafraichir un peu. Heureusement les robinets fonctionnent encore.
Aaron me regarde en souriant tout en passant de l'eau sur son visage.
Evidement ce qui devait arriver, arriva.
Comme deux gamins nous commençons à nous asperger.
Les rires fusent et à un moment pour esquiver l'eau que je lui jete, Aaron glisse et manque de tomber.
Par chance, j'arrive à me précipiter et à le rattrapper dans mes bras.
Nous rions encore plus fort.
Nous voici maintenant traversant la cour.
L'air à comme un parfum de liberté.
Nous nous sentons si léger aprés ce que nous venons de vivre. Main dans la main, nous longeons le ruisseau du chemin ramenant au véritable lycée.
C'est un chemin trés fréquenté en fin de journée par les élèves externes qui rentrent chez eux, mais à cette heure-ci, nous ne devons en principe croiser personnes.
Soudain, une vision me fait peur, à tel point que je m'arrete. Je demande tous bas à Aaron de ne pas faire de bruit.
Face à nous sur le trotoir en train de marcher vers le lycée, Grégoire. En plus, il n'est pas tout seul.
Adrien l'accompagne et....
Ce n'est pas possible, pincez moi, je rêve.
Ils se tiennent par la main.
Bon, me direz-vous ça ne prouve absolument rien, mais quand même. Je n'ai jamais vu Grégoire tenir la main de qui que ce soit, pas même de ses petites amies.
Ou devrais-je plutot dire les filles qui ont réussi à le supporter. Mais là, en plus c'est la main d'Adrien qu'il tient.
Je suis totalement haluciné.
De plus, eux non plus ne devraient pas etre en dehors du lycée puisque demi-pensionnaires.
Ou peuvent t'ils bien etre allé?
Qu'on t'ils pu bien faire enssemble?
Ont t'ils des choses à cacher?
Soudain, je m'apperçois que de l'endroit ou nous sommes ils peuvent parfaitement nous appercevoir.
Et c'est bien la dernière chose que je souhaite.
Alors je fais un petit signe Aaron dans leur direction et je le fais se serrer plus sur le bord du chemin.
De cette façon, ils leur faudraient se placer au millieu de la route pour nous voir.
Nous attandons quelques instants, puis quand je suis sur que nous sommes hors de leur champs de vision, nous reprenons notre route.
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