Sauna libertin

Récit érotique écrit par cerebrox le 29-07-2014
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Catégorie Partouzes-Orgies

ça sent bon l'eucalyptus et le parfum du jasmin. Aujourd'hui jour de congé, j'ai accompagné mon épouse enceinte de 7 mois aux Thermes, un établissement libertin. Les vestiaires, une douche rapide et nous voilà entièrement nus, serviette fixée toutefois autour de la taille, plongés tous les deux dans la brumeuse étuve si relaxante d'un hammam mixte déjà occupé par trois jeunes d'origine africaine. Nous voilà désormais à 5 dans la cabine fermée. Nous sommes visiblement le couple qu'ils attendaient. On s'empresse de faire une petite place à ma femme dont le ventre proéminant attire tous les regards. Ils ne doivent pas en voir si souvent, par ici. Je pose mes fesses sur le banc qui lui fait face. La vapeur chaude qui nous enveloppe ne tarde pas à faire son effet si apaisant. Sylvia me sourit, ses deux mains soutiennent son ventre arrondi. Elle semble encore plus belle et sauvage avec ses longs cheveux mouillés. Je ne l'aime jamais autant que lorsqu'elle est convoitée. L'un des trois jeunes se décide à engager maladroitement la conversation. Je leur fais très vite comprendre à demi mot et en les mettant tout à fait à l'aise qu'ils n'ont pas à se gêner. Je peux constater rapidement qu'ils ne sont pas du genre à se l'entendre dire deux fois. Deux d'entre eux se mettent à caresser les cuisses de Sylvia qui se laisse, étourdie par les nuages de chaleur, volontiers tripoter et embrasser pendant que le plus énergique des trois est déjà accroupi entre ses jambes pour lui sucer la vulve que ma bonne salope de femme doit avoir trempée. Sa grossesse la rend plus demandeuse et réceptive que jamais. Elle est là pour se faire généreusement partouzer. On lui tète les mamelles, je la regarde, en érection, distribuer des pelles à la cantonade, sérieusement échauffée par toutes ses mains noires baladeuses associées au travail de bouche de celui qui lui mange l'entrejambe. Elle s'est laissé glisser sur son siège afin de s'ouvrir et de se donner plus encore, cuisses très écartées, à cet inconnu qui, collé à son bas ventre, lui procure de si agréables sensations. Sylvia soupire et bascule la tête en arrière, appréciant égoïstement le bien qu'on lui fait. Les types ont quitté leurs serviettes. Je peux les voir se mettre en forme et exhiber fièrement sous le nez de ma femme des queues épaisses, ces fameux gros boudins noirs qui font leur réputation. L'un d'eux a un zob monstrueux qui lui pendouille presque jusqu'aux genoux. Sylvia ne s'en effraie pas plus que ça pour autant. C'est une coquine très gourmande qui a hâte de pomper du chibre en se faisant prendre comme la petite chienne qu'elle est, une fois très excitée. J'adore voir mon épouse enceinte s'oublier totalement en ma présence. Notre cérébralité commune fait le reste. Elle a bien du mal à gober plus loin que la base des gros glands suintants qui se présentent à elle et qui lui déforment la bouche, les joues. Sylvia, qui bave, a toujours les yeux plus grands que le ventre. C'est dire, dans l'état de grossesse avancée où elle se trouve ! Curieusement, je la trouve assez souple pour se tenir encore debout, le buste penché en avant, la paume des mains appuyée au mur, pour se faire pilonner en levrette par le plus pressé des trois. Cette fois, je l'entends gueuler, geindre comme une pucelle déflorée. C'est si gros, ce qu'on lui met que je ne peux m'empêcher de venir mater ça de plus près. Putain, ce qu'elle prend ! On se pousse presque pour l'enfiler, à tour de rôle. J'embrasse mon épouse qui, secouée comme un prunier a beaucoup de difficultés à conserver son équilibre. Je la tiens dans mes bras en la câlinant. Les grimaces et les cris de plaisir intense redoublent. A qui des trois, le privilège de la faire exulter ? L'un d'eux est monté sur le banc afin d'être à bonne hauteur pour une fellation. Je sens les transes de ma femme qui jouit bientôt la bouche pleine. Des spasmes lui secouent l'échine. C'est si violent qu'elle manque d'air et pousse des plaintes de sidération, le visage décomposé. Un orgasme comme il s'en produit rarement. Elle défaille et vacille. Je la retiens pour l'aider à ne pas tomber. Elle sera plus en sécurité à quatre pattes sur le plancher pour continuer à se faire défoncer. Je bande comme jamais. Elle recouvre un peu ses esprits, j'en profite, entre deux respirations haletantes, pour me faire sucer, mais l'excitation est telle que Sylvia a bien du mal à rester concentrée sur son travail buccal, trop prise par celui qui l'emmanche avec ardeur, endurance et qui la comble à un point qu'on ne peut s'imaginer. Je vois bien, maintenant, que c'est encore meilleur pour elle de se faire tringler après un premier orgasme carabiné. Nous en avons pour notre argent, et, par moment, les cris deviennent supplications. Ce qu'elle prend dans la chatte, c'est trop. Même pour elle. Ces trois énergumènes qui se partagent son cul sont en train de la tuer. Un second plaisir extrême, plus rapide et inattendu que le premier, la saisit tout à coup avec une si brutale intensité qu'elle croit, durant quelques instants, en avoir perdu la raison. Jamais Sylvia n'a joui autant de toute sa chienne de vie. C'est, littéralement éreintée et sur les rotules, qu'elle tient à leur rincer les couilles pour les remercier. Les types sont obligés de se branler sans modération pour donner à boire en quantité à cette frêle femelle blanche qui ne tient pas le choc. On peut considérer que son état physique est cause de l'épuisement. Mais, à peine rentrés, Sylvia, l'estomac encore rempli de la semence abondante des trois et la chatte évasée, rêve déjà de revivre ce qu'elle a expérimenté. Les femmes sont toujours, quoi qu'il arrive, insatisfaites...

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29-07-2014 0 9887

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