J'avais emménagé dans une nouvelle ville avec mes parents et mes deux petites sœurs quelques semaines auparavant. Les quelques amis que je m'étais faits au lycée étaient tous partis en vacances, je me retrouvais à passer les vacances chez moi avec ma famille.
C'était un quartier paisible, dans lequel il ne se passait jamais rien. Depuis mon arrivée j'avais remarqué ma voisine, une jolie blonde qui devait avoir à peu près mon âge. Enfin, jolie... Elle était sublime : une paire de seins généreux, des courbes harmonieuses qui mettaient en valeur son fessier rebondi. J'avais eu l'occasion de lui faire la bise le jour de mon arrivée, lors des présentations avec nos nouveaux voisins. C'est là que j'appris qu'elle s'appelait Anaïs. Mais c'était tout, nous n'avions jamais pris la peine de faire connaissance, je la regardais passer de temps en temps quand je la voyais de ma fenêtre ou de mon jardin, échangeant un sourire ou un signe de la main lorsqu'elle me voyait.
Il faut dire que j'ai énormément fantasmé sur cette fille. Je pensais souvent à elle en me masturbant, à son fessier que je malaxerait ou ses seins que j'embrasserais, son abricot juteux que je goûterais...
Les vacances de la Toussaint passaient très lentement, l'ennui me gagnant plus jour après jour. Je m'étais dit plusieurs fois « Pourquoi tu vas pas lui parler ? Elle aussi elle est toute seule chez elle ! », mais je ne pus jamais me décider à descendre de ma chambre et aller frapper à la porte de mes voisins, manquant de prétexte pour parler à leur fille.
Arriva la veille d'Halloween, mes parents m'avaient proposé de venir avec eux passer deux jours chez leurs amis. J'avais catégoriquement refusé, ne supportant pas leurs amis et préférant rester chez moi, au moins j'avais accès à toutes les activités qui me plaisaient. C'est ainsi que mes parents me laissèrent seul chez moi.
Le premier soir, il ne se passa pas grand chose de spécial. Je pris la liberté de me promener entièrement nu chez moi, de regarder un film porno, puis un film que je voulais voir depuis quelques temps. Je partis me coucher à 3h du matin avant de me lever à midi, manger, prendre un douche, etc... La journée non plus ne fut pas riche en événements.
Vers 20h, j'entendis sonner à ma porte. Mince ! C'était le soir d'Halloween, j'avais complètement oublié ! J'accourus à la porte avant de me rendre compte que j'étais toujours nu comme un ver. Je regardai à l’œillet, il s'agissait bien d'un enfant déguisé me demandant des bonbons. Je m'adressai à lui à travers la porte :
Mathieu : Désolé, je sais pas où sont les bonbons ! Reviens dans 10 minutes !
Enfant : D'accord !
Je le vis s'éloigner en courant vers mes voisins d'en face. Je courrai dans ma chambre chercher le déguisement que ma mère avait acheté. Non pas pour allez faire la tournée des maisons, cela faisait un moment que ça ne m'amusait plus, mais j'aimais bien accueillir les enfants déguisé, c'était la part d'amusement que j'en tirais. Par feignantise, je ne pris pas le temps de chercher un caleçon et enfilai directement mon costume de la faucheuse avant de redescendre sortir les bonbons que je plaçai près de la porte puis allai m'installer dans le canapé pour regarder la télé.
Quelques minutes plus tard seulement, un groupe d'enfants vient me demander des bonbons. Affublé de mon déguisement ridicule, je leur distribue à tous une bonne poignée avant de leur souhaiter une bonne soirée et de refermer la porte. Cette scène se répéta plusieurs fois, avec différents enfants.
Aux abords de 21h30, j'entendis trois coups frappés contre ma porte, plus délicats que ceux que j'avais pu entendre ces dernières heures. J'ouvris la porte, et je fus cloué sur place par le spectacle auquel j'étais en train d'assister : c'était Anaïs, elle était déguisée en sorcière, avec une mini jupe très courte dévoilant ses longues jambes, et un haut avec un très large décolleté me donnant une vue imprenable sur sa poitrine. Elle portait un seau contenant un peu de bonbons dans ses mains jointes entre devant ses cuisses.
Anaïs : Salut voisin !
Mathieu : Salut ! Tu serais pas un peu vieille pour aller demander des bonbons ?
Anaïs : Mais non ! Allez, vite sinon je te jette un sort !
Je lui donnais une poignée de bonbons, pensant qu'elle était un peu bizarre, mais c'était pardonnable dans une tenue aussi sexy.
Mathieu : Tiens ! Je voudrais pas finir transformé en grenouille !
Anaïs : Pourquoi pas ? T'aimes pas les grenouilles ?
Mathieu : Non... Pas tellement non !
Anaïs : Dans ce cas t'as de la chance de m'avoir donné des bonbons !
En disant cela, elle leva le menton, ce qui fit tomber son chapeau en arrière.
Anaïs : Oh mince... Deux secondes.
Elle se retourna et se pencha en très lentement en avant pour ramasser son chapeau. Sa jupe se relevait de plus en plus, jusqu'à se retrouver au dessus de ses fesses, mes laissant admirer ce postérieur sur lequel j'ai souvent fantasmé. Soudainement, la pensée me frappa, elle ne portait pas de sous-vêtement ! Je pouvais clairement voir ses deux fesses ainsi que la naissance de sa vulve entre ses cuisses légèrement écartées.
Je contemplais ce splendide fessier nu devant moi pendant qu'elle ramassait son chapeau. Je n'en étais pas vraiment sûr mais j'avais l'impression qu'elle essayait de m'allumer. En effet, son chapeau lui « échappa » des mains à deux reprises avant qu'elle ne se redresse et ne le repose sur sa tête. Elle s'appuya contre l'encadrement de la porte.
Anaïs : Bon, sinon tu le trouves comment mon déguisement ?
Reprenant mes esprits, je fis semblant de la dévisager de la tête aux pieds.
Mathieu : Terrifiant !
Anaïs : Tu trouves ?
Mathieu : Oh oui, on pourrait presque y croire !
Anaïs : Toi aussi on pourrait presque y croire.
Mathieu : Et qu'est-ce qu'y m'a trahit alors ? Comment t'as deviné que j'étais pas vraiment la Mort ?
Anaïs : Ben... Je pense que la Mort aurait pensé à retirer le cintre de sa tunique... Enfin, j'imagine que c'est un cintre...
Je ne compris pas tout de suite ce qu'elle voulait dire, mais en suivant son regard je découvris non sans honte que mon sexe était en pleine érection et qu'il produisait une bosse énorme dans la tunique. Je tentais de me cacher au mieux.
Mathieu : Oh merde, excuse moi... J'avais pas fait attention à.... Désolé...
Anaïs : C'est pas grave ! Faut dire que je t'ai pas trop laissé le choix hein !
Mathieu : Comment... Quoi ?
Anaïs : Rooh ! Fais pas l'innocent !
Sur ces mots, elle leva le devant de sa jupe, me dévoilant ainsi son petit minou imberbe.
Anaïs : C'est mieux de me mater comme ça qu'avec un jean par dessus hein ? Ça te plaît ?
J'étais un peu étonné par la tournure que venait de prendre les événements.
Mathieu : Oui, t'es vraiment sexy.
Anaïs : Tu comptes me laisser entrer ou tu vas me laisser le cul nu devant la porte ? On pourrait me voir !
Mathieu : Oui, excuse moi, entre !
Elle entre et se déshabilla directement, elle plongea sa main dans le seau et en sortit une feuille sur laquelle était écrit « On n'a plus de bonbons ! » et alla la coller sur la porte avant de la refermer.
Anaïs : Allez, déshabille toi aussi !
J'étais hypnotisé par son corps fin, ses deux seins ronds et fermes aux tétons roses saillants, sa vulve rose que je mourrait d'envie de lécher. J'enlevai précipitamment mon costume. Anaïs attrapa ma verge bandée d'une main et se colla à moi en me branlant doucement.
Anaïs : Je savais que t'en avais une grosse, t'as intérêt à bien me baiser ce soir !
Mathieu : T'inquiète pas pour ça !
Anaïs : C'est bien alors, j'ai hâte !
Nous nous embrassâmes fougueusement, mes mains pétrissant ses fesses, sa main gauche caressant mon dos et la droite masturbant mon sexe. Je la guidais jusqu'à ma chambre où elle me jeta sur le lit. Sans perdre de temps, elle se pencha sur moi et pris mon sexe en bouche. Je fermai les yeux et la laissai me sucer, c'était si agréable de sentir la chaleur de sa bouche autour de mon gland sur lequel glissait sa langue rapidement.
Ça y était ; j'étais en train de me faire sucer par ma voisine sur qui j'avais si longtemps fantasmé. Ce n'était pas me première fois, j'avais déjà eu plusieurs copines avant, mais la fellation est un plaisir qu'on redécouvre avec chaque partenaire. C'était quand même étrange, en quelques minutes seulement Anaïs s'était retrouvée dans mon lit, mon sexe en bouche, alors qu'elle m'était quasi-inconnue. Cette pensée ne persista pas, très vite terrassée par le plaisir que me procurait la jolie blonde.
Soudainement, je sentis ses lèvres s'avancer plus loin et sa bouche se resserrer et saliver de plus en plus abondamment. Ça, par contre, c'était une première. C'était la première fois qu'une fille me prenait en gorge profonde, je n'avais jamais rien ressenti d'aussi agréable. Mon gland serré au fond de sa gorge chaude, sa langue balayant l'ensemble de ma tige me procurait un plaisir incomparable.
Au bout de quelques secondes, elle releva la tête pour prendre son souffle avant de replonger brutalement et de faire de longs va-et-viens rapides, laissant échapper des bruits humides chaque fois que mon sexe plongeait au fond de sa gorge.
Mathieu : Oh c'est trop bon ! Ça vient !
Anaïs s'immobilisa alors, ma queue logée dans sa gorge. J'appuyai sa tête contre moi en expulsant tout le contenu de mes bourses directement au fond de sa bouche sans pouvoir me retenir de pousser un long râle de plaisir.
Finalement, elle se releva et, me regardant droit dans les yeux, avala tout mon sperme.
Anaïs : Mmmh, c'est un de mes vices cachés... J'adore boire le jus après une bonne pipe !
Mathieu : Bonne ? C'était la meilleure pipe de ma vie !
Anaïs : Oh, merci du compliment ! Mais maintenant c'est à toi de me faire plaisir avec ta bouche, et je prends pas non comme une réponse !
Mathieu : Mais ne t'en fais pas, j'ai pas prévu de te dire non, bien au contraire !
Anaïs : Vas-y alors ! Si tu savais depuis combien de temps je rêve que tu me manges le minou...
Mathieu : Et moi depuis combien de temps j'attends de pouvoir le faire !
Sur ces mots, je l'attrapai par les hanches et l'invitai à s'asseoir sur mon visage. J'étais à quelques centimètres de sa vulve, je pouvais sentir son odeur, voir la cyprine qui avait coulé le long de ses cuisses. C'est ici que je commençai : je suivis du bout de la langue une ligne de sa mouille partant de son genoux en remontant lentement jusqu'à son abricot. En arrivant, je l'embrassai à pleine bouche, puis je déposai de petits baisers sur l'intérieur de ses cuisses.
Ma langue se promenait sur ses lèvres intimes, sa cyprine me coulait à flots sur le visage, je continuai et remontais jusqu'à son clitoris que je titillais quelques secondes avant de redescendre et de la pénétrer de ma langue. Elle poussa alors un cri de bonheur en m'encourageant à continuer.
Anaïs : Vas-y ! C'est trop bon ! Baise moi avec ta langue !
J'avalai sa mouille qui me remplissait la bouche et remontai suçoter son petit bouton. Elle laissa échapper un long râle de plaisir sous l'action de ma langue qui titillait son clitoris que je suçais au même moment.
Anaïs : J'en peux plus, prends moi maintenant, fais moi jouir avec ta grosse queue !
Elle sortit alors un préservatif de son seau et vint l'enfiler précipitamment sur mon sexe qui, suite à ce cunnilingus endiablé, avait repris de la vigueur. Sans plus attendre, elle s'empala de tout son poids sur ma tige, entamant les va-et-viens. Malgré la couche de latex qui nous séparait, je pouvais quand même sentir la chaleur de son vagin ruisselant de mouille.
Anaïs : Prends moi en levrette maintenant !
Mathieu : D'accord !
Je la retournai et, dans la position précédemment évoquée, me renfonçai en elle. C'était à mon tour de donner le rythme et je n'y allais pas de main morte. Mes hanches claquaient contre ses fesses sous mes coups de boutoir rapides et réguliers, son nectar coulait sur ses cuisses et inondait mes draps. La jeune fille était aux anges, elle s'époumonait à crier son plaisir.
Au bout de quelques minutes, nous changeâmes à nouveau de position : elle se coucha sur moi de manière à être dos à moi, les jambes largement écartées. Je continuai donc à la ramoner aussi vite que possible. Mais après peu, je sentais arriver le point de non retour, je décidai donc de ralentir la cadence pour éviter de jouir trop tôt. C'est à ce moment là qu'Anaïs, un peu plus calme, me chuchota à l'oreille.
Anaïs : Tu veux que je te dise un secret ?
Mathieu : Quoi ?
Anaïs : Chez moi, il n'y a pas de mauvais trou...
En prononçant ces mots, elle avait sortis mon pénis de son antre et l'avait pointé sur son anus. Sans même m'avertir plus que cela, elle se pénétra d'un trait.
Ça aussi, c'était une première. Je n'avais jamais sodomisé personne avant, et maintenant que ça arrivait je trouvais ça génial. Je me sentais tellement bien dans ce trou serré que j'en oubliais mon éjaculation imminente et, redoublant d'endurance, recommençait à la pilonner activement, par derrière cette fois. Ses hurlements avaient doublé de volume.
Anaïs : Oh oui ! Défonce moi le cul ! Oh mon dieu ! Aaaaaah ! Putain ! C'est trop booon !
Ses cris me redonnaient de l'énergie, je la fis basculer et l'installai au bord du lit. Je me plaçai entre ses jambes que je posai sur mes épaules et pénétrai son anus d'un trait, m'enfonçant dans son fondement jusqu'à la garde. Mes va-et-viens se faisaient de plus en plus rapides.
Soudainement, elle poussa un long cri de plaisir alors que ses doigts jouaient avec son clitoris et ses tétons. Son rectum se resserra convulsivement autour de mon membre, sa cyprine coulait à flots le long de ma queue, jusqu'à mon scrotum d'où elle tombait sur le sol par grosses gouttes ; elle venait de jouir. Je continuais quelques secondes, mais ses spasmes orgasmiques m'avaient fait monter au septième ciel, je n'allais pas tarder à éjaculer une seconde fois.
Anaïs : Viens gicler sur mes seins !
Je me retirai vite et montai à cheval sur son ventre. Elle arracha la capote de mon pénis et la jeta au hasard dans la chambre avant de cracher dans sa main et de me branler énergiquement, me lubrifiant de sa salive glissante. Je ne pus me contenir plus de quelques secondes et expulsai de mon méat 4 longs jets blanchâtres. Anaïs devait être une bien piètre viseuse ; le premier la toucha au visage, le barrant d'une long traînée blanche dans la diagonale. Elle se rattrapa et baissa un peu plus mon sexe en direction de ses seins sur lesquels atterrirent les 3 derniers jets de mon jus.
La jolie sorcière se massa ensuite sensuellement les seins qui devinrent vite luisants de mon foutre avant de ramasser la traînée qui barrait son visage et de sucer son doigt.
Anaïs : Merci de m'avoir fait jouir comme une folle ce soir...
Mathieu : De rien, et merci de m'avoir fait découvrir de nouveaux trucs !
Anaïs : Ah, t'avais jamais essayé la sodomie ?
Mathieu : Et la gorge profonde non plus !
Anaïs : Ah ! Et bah on pourra se remettre ça à l'occasion ?
Mathieu : Ouais ! À l'occasion...
Nous restâmes collés tous les deux, essoufflés, pendant une vingtaine de secondes avant que nous ne prononcions au même moment « Demain ? »
Nous ne regardâmes en riant, je ramassais le préservatif que je jetai à la poubelle pendant qu'elle, sans prendre la peine de se rincer, renfilait son costume. Je l'accompagnais à la porte avant de nous dire « À demain ! ». Elle leva sa jupe, me montrant son petit minou rose avant de se tourner et d'écarter les fesses, me montrant son anus encore légèrement dilaté.
Anaïs : Je crois que j'ai jamais pris une bite aussi grosse que la tienne de ce côté, j'ai adoré.
Mathieu : C'est dommage qu'on ait pas pris le temps de se connaître avant, on aurait pu avoir plus de temps au début des vacances !
Anaïs : Ouais, mais on a encore la fin...
Elle rabaissa sa jupe et se dirigea vers sa maison, se retournant pour me faire un sourire complice avant de passer la porte d'entrée et de disparaître.
Je me connecte ou je m'inscris