La lettre qui a tout changé

Récit érotique écrit par mazaudier le 14-02-2022
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Catégorie Infidélité

Je me suis mariée un beau jour de mois de mai, comme beaucoup de couples. Les relations sexuelles n’étaient pas le fort de mon mari, mais je me faisais une joie de l’emmener à toute sortes de jeux sensuels et érotiques, dans l’intimité de nôtre chambre. Je comptais beaucoup sur nôtre lune de miel. J’en rêvais depuis des mois.

Je la voulais torride, amoureuse, pleine de surprises, comme en rêve un couple de jeu mariés. Quelle déception.

Une nuit de noces fut bâclée. Rien dans la chambre anonyme et glaciale, un coup rapide, presque contraint de mon mari. Je n’ai pas fermé l’œil, pleine d’amertume et de frustration. Le lendemain, je traînais seule dans le hall de l’hôtel me dirigeais vers le kiosque à journaux, achetais deux livres.

Nous partîmes pour nôtre destination initiale, une île de rêve. Je passe les détails de ce voyage de noces cauchemardesque. Nous avons fait l’amour deux fois, en dix jours, et en quinze minutes chrono !

Pour moi, la femme amoureuse, et hyper sexuelle qui plus est, j’étais au bord de la crise de nerfs. Morale , et physique. Plein de doute sur mon mariage, et sur mon mari.

Imaginez un voyage de noces, on ne baise que deux fois, sous prétexte que monsieur est fatigué. J’y crois pas.

A tel point que je suis prête à accepter la proposition d’un bel italien rencontré au bar, et qui voulait m’embarquer dans sa chambre. Malgré tout, je tiens à rester fidèle.

Après cet atroce séjour, nous repartons dans nôtre région. Nous faisons une halte chez ses parents, ou il me dit de rentrer seule à la maison, quand il avait des affaires à traiter dans le coin. Décidément, il ne m’aura rien épargné.

Je suis donc rentré seule de nôtre voyage de noces, frustrée, triste, humiliée, en colère.

Le lendemain, je pris le TGV qui me déposé à Montpellier. Je décidais de ne pas renter de suite à Paris, et prendre un peu de détente. J’en avais grand besoin.

Je louais une suite dans un hôtel chic de la ville, avec piscine, sauna, hammam. Après tout, pourquoi me priver, après les désillusions d’une lune de miel, pas mielleuse du tout.

Je sortis dîner sur la terrasse, profitant de la chaleur de cette fin de mois de mai. Toutes les tables étaient occupées par des personnes seules, comme souvent en semaine.

Je commande, et me plonge dans mon livre. Pourtant, je sens un regard insistant se poser sur moi. Je lève les yeux, et j’ai, face à moi, un homme brun, de type italien, très séduisant. Son regard, bleu acier, caresse mon corps, le scanne de la tête au pieds.

Je ne le calcule pas, replonge dans mon livre, malgré tout, très troublée.

A la fin, il est venu me parler. Aussi froidement que j’ai pu, je lui ai fait comprendre, que je ne voulais pas discuter avec lui, et j’ai rejoint ma chambre. Pourtant, tout m’attirait chez cet homme. Ses yeux, son visage, sa virilité. Mais je venais de me marier.

Trois jours avant, j’étais dans les caraïbe avec mon mari. Je ne pouvais pas parler avec un autre, encore moins à céder à ses avances.

Un peu plus tard, dans ma chambre, un papier est glissé sous ma porte. Une lettre. Une très belle lettre, comme jamais mon mari, ne m’en a écrit. C’est lui, l’homme du dîner.

Il me parle d’amour, de ses envies de moi, de son attirance folle.

Je lui ai pourtant dis que j’étais mariée depuis seulement dix jours.

Cette lettre me trouble. Je pleure un long moment, je pleure toutes mes illusions perdues. Je suis prostrée sur mon lit, l’oreiller baigné de mes larmes.

Une main effleure mon épaule. Je ne bouge pas, sachant que c’est lui. Il a signé sa lettre. « Lucas ».

Il frôle mon bras d’une douce caresse. Il m’électrise. Sa main descend sur mes flanc, avance ensuite sur ma cuisse découverte par mon peignoir retroussé. Je suis couchée en chien de fusil sur le lit. Ses doigts sont magiques, m’envahissent toute entière. Une vague de culpabilité traverse mon esprit, la honte traverse fugitivement mes pensées.

Et puis...plus rien.

Il n’existe plus rien que cette main aux doigts d’or, qui me caresse tout le corps, sans qu’un mot ne soit prononcé.

Je suis à nouveau dans cette île paradisiaque, mais avec un homme amoureux et plein de désirs pour moi. D’un geste plus ferme, il me fait me retourner, écarte mon peignoir, pour saisir un sein, Je n’avais pas remis de soutien gorge, après la douche. Le bout pointe orgueilleux, insolent et dur. Lucas se penche, et aspire le bourgeon. Je ne suis plus que ce sein, aspiré par ces lèvres gourmandes. C’est le signal. Le signal de plusieurs jours de folie pure. Sa main saisit mon autre sein, la mienne remonte directement vers son entre-jambe. L’effet est immédiat, il bande comme un taureau. Sa braguette cède rapidement sous la poussée. En quelques secondes, nous voila nus sur le lit. Il nous faut un éclair de lucidité, pour aller refermer la porte. Ce soir là, pas besoin de voyeurs.

Lucas se couche près de moi. Il me caresse comme si j’étais la chose le plus précieuses au monde. Sa langue prend le relais de ses mains. Elle court sur mon corps, douce, agile. Il n’oublie aucune parcelle de peau, qui se hérisse sous cette diabolique agression. Je frémis de désir, prête à exploser. Il atteint enfin ma chatte, congestionnée, gonflée de désir, exacerbé de toutes les frustrations ressenties depuis dix jours.

Il a à peine effleuré mon clitoris, que j’explose. Je n’ai jamais connu cela...en moins d’une minute, il me procure un orgasme terrible. Je crie, hurle à m’en déchirer les cordes vocales, dans une longue plainte de jouissance.

A tel point, que moins d’une minute après, le téléphone sonne. Ce sont les gérants, qui s’assurent si tout va bien...et que je m’exprime moi à l’avenir. Ce sera un vœu pieux.

Lucas est tout aussi surpris que moi, par la violence de mon orgasme. Je lui explique brièvement mon voyage de noces. Il me coupe la parole, en m’embrassant fougueusement. Sa langue joue un ballet interminable avec la mienne. Nous nous avalons, nous dévorons sans fin. J’adore sa bouche, ses lèvres, son corps.

J’ai tout oublié...il ne reste que nous deux sur terre.

Il m’allonge sur le dos, reprend ses caresses diaboliques, et vient ouvrir ma chatte, de ses doigts si doués. Je suis toute humide...que dis-je, trempée. J’en profite pour saisir sa bite, une belle hampe longue, épaisse, dure, douce, parfaitement à mon goût. Je le masturbe fermement, m’accroche à l’objet de tous mes désirs. Il se met au dessus de moi, et dans un accord parfait, j’enroule mes jambes dans son dos, alors qu’il s’enfonce en moi. Sa queue, extrêmement dure, me perfore d’un seul coup.

Je me sens prise, possédée, remplie. Il commence lentement ses va et vient. Je reste arrimés à son bassin. Il accélère, je l’accompagne. Nos hanches sont soudées. Ses aller et retour se sont transformés en un pilonnage interne, qui massent tout l’intérieur de ma chatte. Il me remplit totalement, comme j’aime, et que mon mari n’a jamais u faire. Je jouis une nouvelle fois, plus discrètement, pour ne pas alerter les voisins. Il me cloue sur le lit, accentue ses coups de boutoir, et jouit dans un cri de bête. Je sens sa semence me remplir, déborder, couler entre mes cuisses...le bonheur à l’état pur.

Nous retombons côte à côte un bref moment. Il me câline, m’embrasse, fait exactement tous les gestes que j’attendais vainement de mon mari, lors de nôtre voyage de noces.

Lui aussi est marié depuis peu, et semble rencontrer les mêmes problèmes que moi. Nous nous sommes trouvés. Plus aucun remords ne nous atteint.

C’est clair qu’il a envie de moi. En quelques secondes, nous repartons dans une copulation sauvage, presque dure tant elle est brusque. Il me prend en levrette, martyrise ma chatte à grands de violents coups de rein. Nous avons besoin de cette violence extrême. Plus aucune tendresse durant ce torride rapport. Juste deux corps qui luttent pour le plaisir, qui se cherchent, se trouvent, se heurtent pour enfin jouir, quasiment ensemble, dans un nouveau cri, qui, cette fois, font trembler les murs de l’hôtel. Son sperme m’envahit de nouveau. Je viens le cueillir du bout des doigts, le porte à mes lèvres, viens embrasser Lucas, à pleine bouche. Il a un mouvement de recul, puis accepte le baiser. Nous dégustons ensemble son nectar épais et salé.

Il doit y trouver bon goût, car il plonge soudain entre mes cuisses, pour lécher ma chatte, comme j’aime. Sa langue ne me laisse aucun répit. Il ne me lâchera qu’après m’avoir fait jouir deux fois avec sa langue. Cet homme est magique, il a des dons incroyables, pour satisfaire une femme. La nuit va passer ainsi, à faire l’amour sans aucune retenue.

Au petit matin, il faudrait nous séparer. Nous devons rejoindre nos activités respectives.

Mais c’est dur, très dur. D’un sel regard, nous décidons de prolonger nos vacances.

Nous avons passé la journée au bord d’une rivière, à faire l’amour sans interruption, ou presque. Je ne me reconnais pas. Jamais, je n’avais autant baisé de ma vie. Ma chatte commençait à souffrir. Sa queue aussi. Il ne débandait pas, mais son gland était devenu tout rouge. Il nous a fallu de longues minutes, pour calmer l’échauffement de nos sexes.

Ainsi, nous avons pu passer une deuxième nuit de folie, à faire l’amour. Nous étions comme deux affamés de sexes, qui trouvent enfin à baiser, après des mois d’abstinences. Le jour suivant, il a fallu reprendre le travail.

Journée courte, comme les suivantes. Nuits encore plus courtes. Jamais, nous ne nous sommes rassasiés l’un de l’autre.

La dernière nuit de la semaine arrive. Nous avons eu le temps de parler de nos fantasmes. Le mien est de me faire prendre par un autre homme, devant mon mari, pour réveiller sa libido. Bien me faire baiser devant lui, tailler des pipes, tout avaler. Ou alors, voir des hommes se branler devant moi.

Lucas est surpris, me demande si une vidéo ne suffirait pas.

Je lui réponds que non, que rien ne vaut le direct.

Son fantasme à lui est aussi déroutant. C’est de voir son épouse se soumettre à une autre femme. Et il me verrait très bien dans ce rôle.

Je ne suis pas gouine, mais comme il me présente le scénario, je ne serais pas contre une rencontre avec sa femme, et pourquoi pas, y prendre du plaisir. Avec lui en spectateur. Mais ce ne sont que des fantasmes irréalisables.

Le lendemain, c’est la déchirante séparation, les yeux embués de larme. On reste de longues minutes, lèvres soudées. Puis il m’ordonne de partir, sans me retourner.

Appuyée en larmes sur le mur de la gare, le téléphone retentit dans mon sac. C’est mon mari, qui me dit qu’il rentre samedi, et qu’il avait des invités pour le week-end. Comme si après ce que je venais de vivre, j’avais envie de recevoir ses copains de travail.

Malgré tout, je tenais à jouer les épouse modèles.

Le samedi venu, je servais plus de bonne, que d’épouse. Vers vingt trois heures, je reçu un message de Lucas, me demandant de le rejoindre, me promet une surprise.

Je demande à mon mari si je peux disposer. Il me remercie de la réception, et me dit qu’ils en ont pour une bonne partie de le nuit, pour traiter leur dossier.

En bas, Lucas m’attend dans un taxi.

- Ou allons-nous, demandais-je.

- Ne pose pas de questions, répond-il.

J’ai une confiance aveugle en cet homme.

Nous arrivons dans un quartier que je connais pas, un club clandestin peut-être. Il m’entraîne dans un grand salon, vide, à l’exception d’un grand lit à baldaquin.

Je m’allonge sur le lit, entends une musique douce, qui provient de loin. Lucas tire les rideaux, et nous trouvons dans un écrin de blancheur, ou seul nôtre plaisir est maître.

Il se penche sur moi, me caresse, ouvre les lèvres de ma chatte ultra irrité, et qui réclame ses doigts experts, sa langue, sa queue.

J’entends des bruits dans le salon, mais il prétend que c’est de la musique.

Je me laisse aller à ses attouchements pervers, qui m’enflamment, encore et encore.

Soudain, je vois les quatre rideaux s’ouvrir en même temps. Et là...surprise.

Quatre hommes sont là, entièrement nus, le sexe en érection...et quelle érection…

Je crie ma surprise.

- Chut ma chérie, tu voulais des hommes, tu vas les avoir.

- Mais je ne peux pas les prendre, je ne veux en recevoir qu’un...et c’est toi mon amour.

- Tu voulais voir des hommes se branler, tu n’a qu’à ordonner. Ne t’inquiètes pas, ils suivront tes ordres à la lettre.

Je suis ébahie par cette vision de rêve. Quatre mâles, bien bâtis, masqués, leur belle bite en main, toutes bandés, décalottée comme il se doit.

Lucas reprend se caresses, et fouille entre mes lèvres intimes, avec sa langue. Il prend bien soin de montrer aux hommes ce qu’il me fait, comme il suce mon clitoris libre de toute protection. Deux homme se rapprochent. Partout ou je porte mon regard, je ne vois que des mains qui branlent des queues tendues. Je jouis à cette seule vue. Je joui de l’excitation que je leur procure. Un flot de cyprine inonde le visage de Lucas.

Un homme s’enhardit, et vient chercher ma mouille de ses doigts. Je l’autorise d’un regard. Chacun leur tour, ils viennent me lécher. C’est tellement bon de sentir leur langue parcourir mon corps. Je ne veux que leurs langues, et leurs mains. J’en veux un sur ma chatte, un sur chaque sein, et toi qui m’embrasse.

- Messieurs...vous avez entendu...à vous de jouer.

Les hommes obéissent. Comment sont-ils aussi dociles. Pendant plus de deux heures, je vais être caressée, léchée, sucée, branlée sans répit. Je ne sais même plus combien de fois j’ai joui. Je suis exhibée, et assiste à mon spectacle...voir des hommes se branler. Ça gicle de partout, ça sent le sperme à plein nez. La débauche totale.

Le final approche, je le sens. Lucas me fait mettre en levrette, ouvre ma chatte baveuse, à la vue de tous. Il écarte mes fesses pour titiller ma rosette, qui ne demande que ça. Un mec vient se coucher entre mes cuisses, et entreprend de sucer mon petit bouton, toujours bandé. Un autre vient au-dessus, et de sa langue, ouvre mon petit trou.

Lucas, lui, commence à me posséder lentement, de son imposante queue en érection. Quel plaisir. Deux langues sur moi, une bite ancrée dans ma chatte. D’autres mains viennent me caresser, torturer le bout de mes seins. Un queue, courte, vient devant ma bouche. Je l’engloutit, puis la recrache. Après tout, ils sont là pur mon plaisir, pas pour le leur. Je sens Lucas triste de mon refus. Je reprend le gars en bouche, et lui taille une pipe. Il en profite pour vider copieusement ses couilles dans ma bouche.

Quant à moi, j’ai un orgasme qui me fait hurler de plaisir. Je tremble de tous mes membres, je me sens possédée, mangée, avalée. Je sais que j’ai perdu connaissance, Lucas me l’a confirmé.

Quand je reviens à moi, il n’y a plus personne, juste nous deux. Je me demande si je n’ai pas rêvé. Mais l’odeur de sperme est bien là, produit de maintes éjaculations. Je n’ai pas rêvé. J’ai eu mon cadeau de mariage. J’ai eu mon voyage de noces. Mais pas avec mon mari.

Le lendemain, nous nous sommes séparés à regret, et le mot est faible. A mon retour, personne à la maison. Mon mari avait jugé utile de finir en boîte avec ses collègues de travail.

Avant de me coucher, je reçois un dernier message de Lucas.

« J’ai réalisé ton fantasme, à toi de réaliser le mien ».












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14-02-2022 2 1357

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