Un week-end d'entreprise

Récit érotique écrit par mazaudier le 14-07-2022
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Catégorie Infidélité

Je me présente, je m’appelle Dave, et suis marié depuis trois mois, avec Audrey, une femme d’une beauté à couper le souffle. Nous avons tous deux, vingt huit ans. Je dois avouer qu’au lit, je ne suis pas un étalon, mais Audrey n’ayant connu que moi, elle n’est pas trop exigeante niveau sexe.

C’est ce week-end qu’à lieu la sortie organisée par le comité d’entreprise de ma boîte. En fait nous sommes invités par la maison mère, qui se trouve à Annecy.

Après trois mois de mariage, cette sortie est en quelque sorte, nôtre lune de miel.

Nôtre groupe est composé de cinq personnes. Il y a Rémi, Pat, moi, bien sûr, et Audrey. Voilà qu’au dernier moment, Guy, ancien joueur de rugby, s’est joint à nous. Je dois vous dire qu’on est pas copain tous les deux, depuis que lors d’une douche collective, il s’était moqué de mes modestes attributs, devant tous les potes..

Audrey est très belle, et lors de nos soirée entre amis, mes potes n’hésitent pas à la draguer, plus ou moins discrètement. Surtout Guy, qui fait une fixation sur elle. Évidemment, elle repousse en bloc toutes leurs avances d’un simple sourire. Je me plaît à les voir se casser les dents sur elle.

Au programme de ce week-end, promenade en bateau sur le lac, visite de la ville. Le soir, fondue savoyarde, avec bal, dirigé par un DJ.

Nous nous préparons dans nôtre chambre d’hôtel, ou j’admire ma ravissante épouse, en train de se regarder dans la glace, pour ajuster sa toilette.

C’est une navette en bus qui nous emmène au centre culturel, ou à lieu la soiré. Nous sommes une centaine de personne, et il est prévu que nôtre groupe soit hébergés dans des combles du centre, emménagée pour la circonstance, ou ont été installés des secs de couchages de deux et une places. Après avoir repéré les lieux, nous descendons rejoindre le groupe.

Audrey, mon épouse, est de toute en beauté. Vêtue d’une jupe noire à mi-cuisses, d’un chemisier blanc largement déboutonné, au point de dévoiler une partie de sa magnifique poitrine. Pour finir, des escarpins de six centimètres. Elle a bien sur prévu, en remplacement, des ballerines pour pouvoir danser.

Après le traditionnel discours de bienvenue, nous nous dirigeons au bar. On ne connaît personne de chez eux, mais ils nous mettent vite dans l’ambiance.

Je remarque même, qu’un homme faisant parti de leur groupe, ne cesse de regarder mon épouse. Je le lui dis.

- Il y a un mec qui n’arrête pas de te mâter.

- Il peut toujours. Quand il verra l’intérêt que je lui porte, il s’arrêtera.

C’est à ce moment que le DJ lance une série de slow. Je prend Audrey par la taille, et l’entraîne sur la piste. J’ai mes mains sur ses hanches, elle les bras autour de mon cou. Je lui prend tendrement les lèvres. Soudain…

« Changement de cavalière », annonce le DJ.

Audrey est littéralement arrachée de mes bras, par le mec qui n’arrêtait pas de la regarder au bar. Je me retrouve seul, planté au milieu de la piste, n’ayant pas de cavalière. Cela se produisit plusieurs fois au cours de la soirée, et toujours le même cavalier. J’avais l’impression qu’Audrey attendais qu’il vienne l’inviter. J’eus quand même droit à serrer ma femme dans mes bras.

Quand je dansais pas, j’allais rejoindre les potes au bar.

C’est en me retournant que je m’aperçus que ma femme avait disparu...et son partenaire aussi. Inquiet, je posais mon verre et partais à leur recherche…

Je le vis sortir des toilettes, suivi de quelques secondes par mon épouse.

- D’où viens-tu, demandais-je

- Ben...tu vois bien...des toilettes

- Et que faisais-tu avec lui.

- Qui lui...mais enfin, j’étais seule.

- Celui qui n’a de cesse à te draguer en dansant.

- Tu te fais des films mon chéri...viens, allons danser.

Je la sens mal à l’aise, et regrette de ne pas avoir poussé mon interrogatoire. D’un autre côté, je ne pas passer ma soirée à la surveiller. Pourtant, je les surprends régulièrement quitter la salle. Je les suis à distance, et ne remarque rien d’anormal.

En fait, Audrey a raison, c’est moi qui me fais des films, car je sais très bien qu’elle n’oserai pas me tromper, après trois mois de mariage. Je la sais fidèle, et l’imagine mal dans les bras d’un autre homme.

Vers trois heures du matin, on décidé de monter se coucher.

Je m’aperçois que le sac de couchage du cavalier de mon épouse, est tout près du nôtre. C’est un deux places, alors qu’il est seul. Je me couche, attendant Audrey qui est allé au bloc sanitaire du complexe, pour se démaquiller. Malgré le faible éclairage, elle parvient à se faufiler entre les couchages.

Câline, elle se glisse dans le sac de couchage, simplement vêtue d’une nuisette.

- Mais enfin ma chérie, lui fis-je remarquer...nous ne sommes pas à la maison.

- Mon chéri...personne ne nous voit…puis je suis bien comme ça.

- Et en plus...tu es toute nue dessous...imagine si quelqu’un s’en aperçoit…

- Oh...ce ne sont que des seins et une chatte...

Malgré ça, je parvient à m’assoupir. Je me réveille au bout d’un moment, et ma femme n’est plus là...et mon voisin de couchage non plus. Je les aperçois dans la lumière de l’espace sanitaire en train de s’embrasser. Je remarque aussi les mains baladeuses de l’inconnu, qui n’hésitent pas à se faufiler sous la nuisette d’Audrey.

A voir un doigt s’agiter, je me doute qu’il doit lui gratter le clitoris.

Je suis bloqué, n’osant intervenir, sous peine de provoquer un scandale. J’’assiste, impuissant, à l’orgasme de ma femme. Ils restent une éternité les lèvres soudées, quand soudain, Audrey tombe à genoux, baisse le boxer de son cavalier. Une bite jaillit, énorme. Elle coulisse entre les doigts de ma femme, puis dans sa bouche. La queue se décalotte aux passage des lèvres. J’y crois pas. Alors que la salle est envahit de sacs de couchages pour la plus part occupés, mon épouse ose tailler une pipe à un homme qu’elle ne connaît même pas, et ce, devant mes yeux.

Soudain, je vois l’homme se tendre en avant, et les joues de ma femme se creuser. La salope est tout simplement en train d’avaler son sperme. Je suis sidéré…

Comme si de rien n’était, elle revient, et se glisse dans le sac de couchage

- D’où viens-tu, lui dis-je.

- J’avais oublié de me brosser les dents.

Le lendemain, une visite est prévue sur les montagnes enneigées. Il fait un temps exceptionnel, une vraie journée d’été. Aussi Audrey est-elle vêtue d’une jupe, et d’un chandail, pas de soutien-gorge. J’espère au moins, qu’elle a mis une culotte.

Nous sommes une cinquantaine de personne entassées dans la grande cabine. Certaines sont assises sur des banquettes, dont le dragueur d’Audrey, qui ne la lâche décidément pas. Et comme si ça ne suffisait pas, ma femme vient se placer juste devant lui. Soudain, sans aucune pudeur, Audrey me prend les lèvres pour un baiser langoureux. Après tout, pourquoi pas, nous somme jeunes mariés. Mais je me rends compte qu’un truc ne colle pas. Je la repousse légèrement, et sens sa respiration s’accélérer. Je baisse les yeux, et remarque la jupe se déformer entre ses jambes. Non...c’est pas vrai...ce salaud est en train de la branler, jusqu’à ce qu’elle jouisse. Je colle une main sur sa chatte, sens sa mouille couler sur ses cuisse. J’étais sûr qu’elle n’avait pas de culotte, quand je la vis au poignet de l’inconnu de la soirée.

Une fois dans la chambre, je rentrais dans une colère folle. Audrey se mit à pleurer, demandait pardon. Quand je lui posais la question, pourquoi elle avait fait ça, elle me dit qu’elle s’était senti attirée physiquement par sa virilité, tout en me disant qu’elle m’aimait, et que j’étais l’homme de sa vie.

L’après-midi qui s’en suivit fut torride. Audrey s’est donnée sans compter, sans doute pour se faire pardonner. On aurait aimé poursuivre, mais il fallait se préparer pour la deuxième soirée prévue dans le même complexe.

Même grande salle de bal, même DJ, même hébergement en sacs de couchages dans les combles, mais aussi même participants, dont cet inconnu, qui regarde ma femme en souriant.

Au départ, Audrey s’était vêtue d’un jean’, et d’un col roulé, cassant ainsi toute sa beauté. Malgré ce qu’il s’était passé la veille, je lui conseillais de s’habiller sexy, et surtout d’emporter sa nuisette, sans rien dessous. Je lui dis que j’avais hâte de sentir son corps de braise contre le mien, et que j’espérais pouvoir glisser ma queue dans sa petite chatte. Elle se pendit à mon cou, m’embrassa longuement.

Hélas, la soirée fut à m’image de celle d’hier, Audrey s’offrant dans des slows langoureux, à son bel inconnu. Voyant que je ne réagissais pas, il la draguait même quand j’étais là, ma présence n’avais pas l’air de le gêner, il lui faisait des compliments sur sa beauté. Audrey buvait ses paroles.

Sous mes yeux, il la tirait sur la piste, la faisant virevolter. Audrey le mangeait des yeux, et je me doutais qu’à ce moment là, sa chatte devait être déjà bien mouillée.

Ils ne se cachaient plus, se donnant de sulfureux baiser, malgré ma présence. J’en arrivais à appréhender la nuit dans les combles.

Comme hier, ça commençait dans l’espace sanitaire. Cette fois, c’est elle qui se tendait en avant, offrant sa chatte à la langue experte du bel inconnu. Je voyais ses lèvres aspiraient son clitoris. On entendait des « Chut » quand elle atteignait l’orgasme.

Puis il a prit dans ses bras, et l’emmena jusqu’au sac de couchage. Mais pas le mien...le sien, situé à à peine deux mètres de moi.

J’ai vu cette homme lui ôter la nuisette, l’inviter à se glisser avec lui dans sa couche, puis le bruit des baisers, presque celui des langues qui devaient se nouer entre elles.

- Oh putain...quelle bite…elle demande qu’à être...

- Et quel clito. ? Il demande qu’à être…

- Ben...faisons le...poursuit Audrey…

Je suppliais Audrey de me rejoindre, mais fit mine de ne pas m’entendre, trop occupée à tailler une pipe à son partenaire. J’entendais leurs gémissements allaient crescendo, craignais qu’ils ne se répandent dans les combles. Quand j’entendis le zip de la fermeture éclair, sans doute pour étouffer leurs cris de plaisir. Après quoi, le zip fonctionna en sens inverse.

- J’espère qu’on a pas tout sali, dit l’inconnu...

- Non...t’inquiète, j’ai tout avalé…répond Audrey...

Audrey venait d’avaler son sperme, faveur à laquelle j’ai eu rarement droit.

Puis je l’ai entendis reprendre leurs préliminaires. J’imagine les caresses perverse qu’ils devaient se faire, pour gémir à ce point.

- Oui...salaud...doigte mon petit bouton...c’est bon…

- T’aimes ça hein...te faire branler…

- Oh oui j’aime ça...salaud, je jouis...vas-y...t’arrêtes pas….

Malgré la couverture du couchage qui écrase leurs râles de plaisir, j’entends nettement l’orgasme qu’ Audrey essaie de canaliser. Puis les retenus s’estompent, le couple se lâche, pour s’exprimer totalement, de façon intense, démesuré.

- Baises-moi, supplie-t-elle…

Pris par l’étroitesse de leur duvet, ils préfèrent s’en extraire, pour mieux se découvrir. Elle saisit sa queue, tandis qu’il lui enfonce deux doigts dans la chatte. De leur bras libre, ils s’enlacent, soudent leurs lèvres dans d’interminables baisers. Je suis assez proche pour voir l’imposante bite de l’inconnu, et le voir s’allonger sur le dos, la queue dressée vers la charpente de bois. Audrey se penche, le prend en bouche. Puis elle saisit la bite et s’y empale dessus, dans un cri de plaisir non dissimulé. Elle entreprend de se déhancher sur ce sexe qui lui arrache des gémissements de plaisir.

- Putain...quelle est bonne ta queue…

- Elle te convient...t’aimes…

- Si elle me convient...je la sens bien...elle remplit bien ma chatte…

Puis il lui demande de se mettre à quatre pattes. Ce salaud veut la prendre en levrette, sa position favorite. Elle aime bien sentir mes couilles cogner contre ses fesses. Mais là, ce ne seront pas les miennes. J’entends un premier gémissement, preuve qu’il est en train de l’enfiler. J’entends de vagues murmures, inaudible.. Sauf un…

- Je l’ai jamais fait avec mon mari...

Là, je m’inquiète, car il n’y a qu’une chose qu’elle ma toujours refusé. La sodomie. J’espère que ce n’est pas de ça qu’elle parle…

- Va doucement, gémit-elle...oh putain...comme tu m’encules…

...Et si, c’est bien de ça qu’elle parle, enfonçant encore plus le couteau dans mes chairs déjà meurtries.

- Alors, ça te plaît demande l’inconnu

- Oui...ça va...mais ta queue est tellement grosse…

- Juste faite pour ton petit trou...oh non...je vais cracher...ah…

- Attends...retiens-toi...viens dan ma bouche…hum…

J’entends ma femme déglutir en avalant la semence. Et elle a l’air abondante, vu le temps qu’elle met. Malgré le faible éclairage du velux, je voit sa langue tourner sur le gland, exerçant un parfait nettoyage.

Je n’en reviens pas de voir ma femme se donner à deux mètres de moi, après trois mois de mariage. Mais sait-elle que je la vois? Vais-je oser poser la question?

J’étais abasourdi, impuissant devant ce spectacle. Audrey demandait à son amant de poursuivre leurs ébats, dans les toilettes. Il refusa, préférant la prendre là.

Le reste de la nuit, je me contentais d’écouter ma femme jouir. Je comptais jusqu’à cinq orgasmes.

Cet enfoiré était excité par la situation, comme un mec qui rendait un mari cocu.

Il profitait du corps offert de mon épouse, lui faisait dire ce qu’il voulait.

Audrey était totalement soumise à cet inconnu.

J'ai passé une nuit atroce, avec la gaule en même temps.

Mais celui qui pouvait soulager sa queue, était dans la chatte de ma femme, ça n'était pas moi, mais ce connard d’inconnu, à qui je n'osais rien dire, je faisais semblant de dormir. Franchement, quel mec n'en aurait pas profité ? Il aurait eu tort de se gêner, et il devait se dire que c'était une sacrée occasion, et que je n'étais pas un mari bien gênant. Après trois orgasmes supplémentaire, j’ ai préféré boucher mes oreilles.

J'ai ouvert les yeux, j'ai vu l’inconnu qui s'étirait dans son sac de couchage, Un autre qui commençait à sortir du sien, et les autres qui se réveillaient aussi.

Audrey était toujours dans le sac de couchage de l’inconnu. Elle s'est levée, elle était entièrement nue. Elle s’est dirigé vers les sanitaires, en cachant tant bien que mal, sa nudité.

Le lendemain, le bus qui devait nous ramenait à nôtre hôtel se gara sur le parking. Dans le hall, les commentaires allaient bon train.

« Vous avez entendu cette salope cette nuit, comme elle gémissait ».

« Pour sur...elle s’est faite baiser toute la nuit...».

« Il paraît que ça fait trois mois qu’elle est mariée...et déjà...»

« Elle trompe son mari...la pute...il paraît qu’il dormait à côté.»

Ils n’avaient pas vus que j’étais derrière eux, à attendre mon épouse.

« Putain...elle doit aimer la queue celle là...son mari doit pas assez lui donner.»

« Quand je me suis levé la nuit, je l’ai vu en train de se faire enculer…»

« Chut...elle arrive...si ça se trouve, elle vient de prendre un dernier coup»

Puis l’inconnu apparut, félicité par ses potes.

- Alors, demande l’un, combien de fois tu l’a baisée…

- Cinq fois, et une sodomie. Elle a joui huit fois...et elle en voulait encore.

Pendant le trajet, Audrey me tenait la main, ne disait pas un mot. De temps à autres, elle se retournait, envoyait un sourire à son amant.

Ma femme m’a trompé, est allé voir ailleurs, non pas si l’herbe était plus verte, mais si elle trouvait une queue bien grosse et bien raide.

Nous devions prendre un second bus, qui lui nous ramenait chez nous, dans les Cévennes. Nous devions voyager de nuit.

Nous installons confortablement, nous prenons la main, quand un homme de nôtre groupe se penche sur Audrey, lui murmure à l’oreille. J’entends tout.

« Il y a un pote au fond, qui aimerait bien te baiser pendant le trajet ».

Audrey me regarde, se lève et suit le mec au fond du bus. Au bout d’un moment, je l’entends hurler de plaisir. Je me retourne, la découvre de dos, entièrement nue, empalée sur la bite de Guy. Après plusieurs orgasme, elle revient vers moi, me regarde en souriant.

- Tu sais mon chéri, c’est Guy qui m’envoie, pour que tu nettoie ma chatte et mon petit trou avec ta langue...tu veux bien mon amour...Après je dois aller lui tailler une bonne pipe. Je ne manquerais pas à te faire goûter son sperme.

Cinq minutes après, elle revint, me demanda d’ouvrir la bouche, fit couler le sperme de Guy sur ma langue. Ensemble, on avala sa semence.

A partir de ce week-end, je devint le soumis, l’humilié du groupe, j’acceptais tout.





































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