Je m’appelle Séverine, vingt huit ans, et suis issue d’une famille de militaires.
Mon grand-père était militaire, mon père était militaire, moi même, était aide soignante dans l’armée. Pour respecter la tradition, et du fait que mes parents n’ont pus avoir de fils, on m’avait mariée à Robert, un général, âgé de cinquante neuf ans. Cela faisait deux ans que nous étions ensemble.
Deux ans d’insatisfaction sexuelle, perpétrée par un mari qui ne s’intéressait qu’à ses soldats. Mais voila, mon corps de jeune femme, expirait à plus d’attention, à plus de sexe, au point, qu’au fil du temps, j’allais chercher ailleurs.
Je suis une femme très séduisante, qui ne laisse pas les hommes indifférents. Beaucoup s’invite dans une drague qui pourrait leur coûter cher, si mon vieil époux, venait à s’en apercevoir.
Mais voila, mon mari est plus occupé à gérer son corps d’armée, développer des stratagèmes, que la solitude et le manque cruel de sexe de sa femme. Aussi c’est en femme libre que j’assiste aux soirées, organisées à la caserne.
Je dois l’avouer, je joues beaucoup de mes charmes, et me laisse volontiers séduire, par de bels officiers, qui s’occupent de moi, en m’invitant à danser, m’entraînant sur la terrasse, pour une rapide fellation, ou un bon coup de queue, tout aussi rapide dans ma chatte, ou mon petit trou. Il n’est pas rare que je finisse la nuit dans la chambre d’un soldat, à me faire baiser, sodomiser ou tailler des pipes, et avaler du sperme.
Une nuit, ou mon mari était occupé avec un puissant responsable des armées, j’ai même fini dans une chambrée avec trois appelés, qui, après quelques verres, étaient parvenus à me convaincre de les rejoindre dans leur chambre. Quoi de mieux qu’une bonne nuit de baises, pour intégrer les nouvelles recrues. Et ces salauds en ont bien profité. J’avais en permanence, trois bites en moi. Une dans la chatte, une dans le petit trou, l’autre dans la bouche. Cette nuit là , j’ai eu un nombre incalculable d’orgasmes, et de double pénétrations.
Aujourd’hui, on doit transférer des blessés légers à l’hôpital des armés, situait à une trentaine de kilomètres. Ils sont au nombre de trois.
Une fois chargés dans les camions, servant d’ambulance, mon mari me demande de les accompagner, et me recommande la plus grande prudence. Je lui dis de ne pas s’inquiéter.
Je suis assises sur une banquette, et ai devant moi, un blessé, à moitié nu. Je remonte régulièrement le couverture sur lui, mais à force de s’agiter, il finit par se découvrir. Cette fois, la couverture tombe au sol, entraînant dans sa chute, la serviette qui cachait son anatomie. Du coup, son sexe apparaît a ma vue. Troublé, je tentais de le recouvrir, quand il me saisit mon poignet, en me fixant dans les yeux. Je ne sais pas ce qu’il ma pris, mais dans la semi-obscurité du camion, je pris sa queue fièrement offerte en main. Très rapidement, la bite se raidit entre mes doigts. Je croisais le regard du jeune soldat qui m’implorait d’aller plus loin. Je décalottais le gland, et entamais des mouvement de va et vient sur la colonne de chair. Je la sentais durcir de plus en plus
Soudain, le jeune eut la force de se cambrer sur ses pieds. A tout les coups, il allait jouir. « Oh putain, la tuile ».
Je me demandais comment j’allais faire pour nettoyer une plaie, faite de mélange de sang et de sperme. Tant pis, je n’avais qu’une solution, me sacrifier.
Je me penchais et prenais la queue en bouche. Deux, trois aller retour ont suffis pour le faire éjaculer. De puissants jets de sperme ont envahis me bouche, je déglutis et avala l’abondante quantité, il est certain qu’il devait avoir des réserves. Je ne sais ce que l’avenir lui réserve, en tout cas, il aura eu une bonne pipe, taillée par une jolie femme.
Voyant cela, deux autres blessés réclamaient leur rations. Je comprenais leur désirs, m’approchais d’eux, ouvrais leur braguette, libérais leur sexe. Je m’accroupissais, commençais à les caresser. Je tirais sur la peau fragile pour découvrir leur gland gonflés de sang. Puis, ivre d’envie, je l’ai engloutissais un après l’autre, et leur faisais subir une divine fellation. Je voulais les faire jouir tous les deux, en même temps. Cette folle idée de recevoir leur semence simultanément, m’excitait.
Soudain, je sentis une main se glisser entre mes cuisses écartées. Le bras tendu d’un blessé avait trouvé la faille. Ma chatte mouillée, et mon clitoris en partie dénudé attendaient impatiemment qu’une main vicieuse viennent les caresser.
Quand je sentis les queues palpiter prêtes à lâcher leur jus, je les engouffrais plus profond dans ma bouche, j'aspirais, les joues creuses la semence tant attendue.
C'est au moment où je sentis le sperme jaillir simultanément des deux bites, qu'à mon tour j’atteignis l’orgasme, provoqué par deux doigts vigoureux, qui branlaient ma chatte, tandis qu’un troisième doigtait mon clitoris. Malgré mes gémissements de plaisir, Je restais les lèvres enserrées autour des deux bites pour ne rien perdre et avaler jusqu'à la dernière goutte cette liqueur céleste.
Arrivés à destination, les blessés sont pris en charge par des infirmiers, qui les installent dans des campements de fortune. Je veux bien qu’on soit en temps de conflit, mais il y a un minimum d’hygiène à respecter.
Devant le manque d’infirmière, on me demande si je peux aider les blessés. Par chance, je n’eus à m’occuper que de blessures superficielles, sauf celles de bites tendues que je me devais de soulager.
Une tente déjà occupée par deux soldats en convalescence, m’était attribuée. Après cette dure journée, on m’avait apporté une grande bassine d’eau chaude pour pouvoir faire un brin de toilette. Il n’y avait pas de paravent de prévu, aussi, c’est entièrement nue que je me lavais, devant des soldats ébahis. Je les plaignais de voir leur regard parcourir mon superbe corps inaccessible pour eux, mais je ne pouvais les laisser dans cet état.
Voyant mon corps prit de frissons suite à une légère baisse de température, ils me proposèrent de me réchauffer. On superposa les deux couchettes, et me glissais sous les draps avec eux. De suite, des mains inconnues parcoururent mon corps. Je me laissais aller à leurs douces caresses.
Pendant que l’un d’eux ouvrait d’un doigt le sillon de ma fente, l’autre avait soulever ma jambe, et frottait sa queue contre mon petit trou. L’approche, même si elle était délicate dans cette position, m’excitait. Je glissais une main entre mes cuisses, et invitais la bite à se mettre au chaud dans mon petit orifice. Sans aucune retenu, le jeune soldat, me prit par les hanches, et s’enfonça entre mes reins. Je sentais mon petit trou se dilatait, jusqu’à ce qu’une belle paire de couilles bute contre mes fesses. Il compris, d’après la facilité de pénétration, que la sodomie n’avait pas de secret pour moi. Le second n’était pas en reste, à force de mouvements de torsion, son calibre se trouvait à frotter sur mon clitoris, puis, d’une simple poussée, pénétrait ma chatte. J’étais prise par les deux trous, et parvenais, malgré tout, à onduler sur les deux bites qui me baisaient et m’enculaient. Cette nuit fût torride, et malgré leur convalescence, mes deux soldats s’avéraient être des amants exceptionnel, et ce pour mon plus grand plaisir.
Au matin, après s’être ressourcé, ils me prirent encore, dans toutes les positions, dans tout les trous. Je n’en finissais pas de jouir, suite à de terrible orgasmes. Pour finir, je pris les deux queues en bouche, et prirent tout leur temps pour vider leurs couilles de leur abondante semence.
Courtois, ils demandaient d’apporter une autre bassine d’eau chaude, et s’occupaient eux même de ma toilette, ou j’atteignais encore, la jouissance suprême, sous la perversité de leurs doigts.
Après plusieurs recherches, impossible de retrouver mes vêtements. Ils avaient disparus, mais certainement pas perdus pour tout le monde.
Courtois, un soldat ma passait son long manteau, pour le trajet de retour.
Le trajet de retour ce faisait à vide, et je pouvais donc m’installer gans la cabine, entre deux soldats. Il fallait faire vite pour assurer un second voyage dans la journée. L’habitacle du camion était surchauffer, pour éliminer l’humidité.
De mon côté, j’étouffais dans mon manteau de laine. Le soldat à ma droite s’aperçut de mon mal être, et commença à ôter un à un les boutons, et écarta les pans du manteau. J’apparus nue dessous, ce qui excita la jeune recrue.
Il passa un bras autour de mon épaule, et de sa main libre, il caressait mes seins, testait la dureté des bouts en les faisant rouler entre ses doigts. Le chauffeur aussi voulait profiter de mon sublime corps. Il tendait une main entre mes cuisses, et d’un doigt vicieux, doigtait mon clitoris. Je sentais le désir montait en moi. Je les repoussais, ôter le manteau devenu gênant. Je me retrouvais entièrement nue, à genoux sur le plancher du camion. J’ouvrais la vareuse, et fit glisser le pantalon du soldat. Je pris sa bite en bouche, et entamais une douce fellation. Le chauffeur fut oblige d’allonger son bras pour continuer à gratter mon petit bouton. Je ne tardais pas à gémir de plaisir, sentant l’orgasme arriver. Je l’exprimais dans un cri, alors que le militaire éjaculait dans ma bouche. Je le gardais en bouche, avalais sa semence, nettoyais le gland.
J’en fis de même avec le chauffeur, aux risque de provoquer un accident.
Il n’en fut rien, et je pus le sucer, et le faire éjaculer dans ma bouche, faisant suivre le même sort à sa queue, qu’à celle de son copain de régiment.
Je me relève, encore insatisfaite. J’enjambe le soldat, m’empale sur se bite, toujours en érection. J’envoie des coups de reins sur son calibre, tandis que, tendant la main, saisit la queue du chauffeur et la branle. La bouche de le jeune recrue, va d’un bout de sein à l’autre. En entendant son copain gémir, il me prend par les hanches, et me force à prendre la bite du chauffeur en bouche, juste au moment ou ce dernier éjacule. Je prends de plein fouet son sperme au fond de ma gorge.
Arrive ensuite le deuxième voyage, qui ressemble sexuellement, au premier. Les relations sont de plus en plus torride. Je me fais prendre dans toutes les positions, par tous les trous.
Arrivés au campement de hôpital, je suis accueillis comme la « Madelon », mais ne suis pas là pour servir à boire, mais pour offrir mon corps à de jeunes soldats, en manque de filles, de sexes. Ils prennent tous plaisir à se faire sucer, me baiser, me sodomiser, m’entendre gémir, crier, suite à de terribles orgasmes.
En fait, tous ces jeunes gens me donnent ce que mon époux ne m’a jamais donné. Aussi, de voyages en voyages, je découvre vraiment le sexe auprès d’inconnus aussi bien montés les une que les autres.
Comme toujours sous la tente, je finis dans les bras d’un ou deux soldats, qui me donnent du plaisir une bonne partie de la nuit, en me baisant jusqu’à plus soif. Dans un coin de la tente, enroulées dans les draps, deux infirmières roucoulent.
Je n’ai jamais eu de relation avec une femme, mais de les entendre, me tente beaucoup de les rejoindre, d’autant que leur gémissements m’excitent.
- T’aimes ça, hein...t’aimes que je caresse ta chatte..
- Oh oui j’aime...gratte mon clitoris aussi...oh oui…
- Tu crois que celle qui baise avec les soldats, voudrait jouer avec nous.
- Oh non...pas ça, tu sais que je suis jalouse..
- Mais juste pour voir...elle est peut-être bonne.
- Non...tu sais que je n’aime que toi, et ne veux pas te partager.
Comme quoi, tout arrive. Savoir si dans une autre tente, deux jeunes recrues ne sont pas en train de se sodomiser. Rien d’y pensée décuple mon envie.
Le troisième voyage apporte son lot de surprise. En effet, ce soir là , un moine nous accompagne. Les blessés son chargés, et très vite, s’assoupissent. Je perçois le bruit de leur respirations, et de temps à temps, s’échapper le bruit d’un ronflement. Le passage du camion dans les nids de poules, perturbe mon sommeil. Ce qui n’est pas le cas de nôtre moine qui, la tête penchée en avant, a tendance à somnoler.
Sous mes fesses, le coussin de la banquette est parcourus de vibration, qui monte de ma colonne, jusqu’à ma nuque. Je sens les vibrations jusque dans ma chatte et mon clitoris. Et voilà que dans ce camion, je me mets à mouiller, alors que tout le monde dort. Comment font-ils d’ailleurs ?
Mes yeux habitués à la pénombre, je regarde à droite, à gauche, puis en face. Je vois que je ne suis pas seule sensible aux mouvements du camion. L’homme qui se trouve en face de moi, n’est autre que le moine, qui n’a pas supporté les secousses et est à moitié réveillé. C’est vraiment un vieux moine, en sandales, et robe de bure. Le devant de la robe est légèrement relevé.
« Mais que peut-il y avoir sous cette robe, pour la tendre à ce point ».
J’ai toujours fantasmé sur les histoires de moines, me suis toujours demandé, comme pour les Kilts écossais, ce qu’il avait dessous.
Soudain, mes yeux s’arrêtent sur un endroit précis de l’anatomie du moine…
Après tout, un homme de religion n’en est pas moins un homme, et doit éprouver des pulsions naturelles, même si sa vocation lui dicte d’y résister.
Et puis l’idée me vient, délicieusement, malicieusement perverse...si je le suçais?
J’en ris intérieurement, sans bruit…
Je regarde mes compagnons de route toujours endormis, et nôtre destination est encore loin. Je pourrais si j’osais. Je me mord les lèvres, serre les cuisses, me délecte du frisson qui se répand en moi, et ma décision est prise.
Doucement, je me laisse glisser entre les civières, pour me retrouver à genoux devant le moine, qui est reparti dans les bras de Morphée. Il a les deux pieds à plat sur le sol, les jambes légèrement écartées. L’ourlet de la robe arrive à mi-mollet.
Doucement, calmement, je soulève le tissu, et passe ma tête dessous. Entre ses jambes, pas de slip, mais une bite et un paires de couilles colossales.
Sous cette tente de bure, je sui isolée des bruits du camion, et de tout ce qui entoure. Je suis seule, fascinée, concentrée, toute à mon œuvre. A gauche et à droite, les cuisses et les mollets du moine, à l’équerre, solides, chauds, un refuge accueillant. Devant moi, sa queue, dressée, longue, dure et fière, tendant le tissu. Je la prend délicatement, l’abaisse à l’horizontale, au niveau de mes lèvres. Elle est chaude, et douce, la gland toujours recouvert du prépuce.
Je passe ma langue sur mes lèvres, les mouille d’une salive abondante. Je les écarte à peine, je voudrais que dans son sommeil le moine rêve qu’il pénètre une chatte humide, tendre et étroite. Mes mains posées sur ses genoux, je m’interdis de saisir ses couilles serrées dans leurs bourses ridées, de toucher autrement qu’avec ma bouche.
Tout doucement, je dépose un baiser sur le bout du gland, puis lentement, avance mes lèvres, retroussant le prépuce pour le décalotter. Je glisse mes lèvres sur la hampe, sens le gland toucher mon palais, l’avale, avance la tête plus encore. J’ai mes lèvres dans les poils, toute la queue dans ma bouche, le gland contre la luette. Une pensée traverse mon esprit, une idée d’effrontée, de dévoyée.
« Je gobe le zob d’un moine.»
Je m’en délecte. Mes lèvres arrondies sur ce membre étranger, sont momentanément tirées par une ébauche de sourire. J’aurais aimé avoir un rouge à lèvres de pute, bien rouge et qui déteint. Je me demande ce que pourrait penser un homme voué au célibat s’il trouvait à la base de sa bite et dans ses poils des traces de ce cosmétique. Tout en continuant mes va-et-vient, tout en salivant, je me pose la question capitale.
« Cracher ou avaler ?
Cracher la semence sur la robe du moine, c’est laisser des traces certaines. Alors qu’avaler et se retrouver au réveil la bite souillée et les couilles flasques et vides, il en aurait des doutes…
J’en étais là de ses pensées quand une intervention extérieure met fin à mes réflexions. Une main vient me tâter les fesses. Deux mains tirent doucement le tissu de ma robe, et une main chaude vient se plaquer sur ma raie, comme il se doit, tendu dans le sillon de ma culotte.
L’inconnu farfouilleur doit trouver l’humidité de l’endroit à son goût, car un doigt se fait plus insistant, écartant le tissu pour fouiller les replis, cherchant l’entrée, se mouillant en un mouvement d’avant en arrière.
Je trouve le jeu plaisant. Sans lâcher le morceau que je tient en bouche, tout en faisant de mon mieux pour maintenir le rythme de mes va-et-vient, je me dresse pour me trouver penchée sur la queue du moine, les fesses en l’air, tendues, offertes à l’entreprenant inconnu. Celui-ci empoigne mes deux globes et les pétrit comme pour en éprouver la fermeté. Puis une main revient entre mes cuisses, tandis que l’autre doit vouloir libérer une bite à l’étroit dans le pantalon. Oui, j’entends le bruit d’une fermeture éclair, un froissement de tissu, mais pas celui d’un emballage de préservatif qui se déchire. Le salaud veut opérer à découvert.
Le militaire inconnu plaque une main sur ma fesse, son pouce maintient le tissu de la culotte. Je tends mes fesses et me laisse pénétrer. J’étais mouillée, en manque, et excitée par mon activité illicite. Ce sexe long et dur est le bienvenu en moi, ces mains sur mes hanches me rassurent et me consolent. Ce sexe qui vibre entre ma langue et mon palais, ce gland gonflé qui risque de m’étouffer est un cadeau du ciel. Bourrée par le haut et par le bas, je vais jouir. Ça vient, ça monte tout doucement. Pas le gros orgasme criard, pas l’éclatante jouissance avec son approprié. Non, un soupir de soulagement, un petit éclair dans ma tête.
L’emprise des mains qui me tiennent aux hanches s’affermit. Je tends une main, palpe les couilles, puis le jeune inconnu se retire, présente sa queue sur mes lèvres, juste à côté de celle du moine. J’éjecte celle-ci, pour prendre l’autre en bouche, et recevoir son abondante semence...je la repousse pour reprendre celle de l’homme d’église, qui à son tour se vide en moi. Dans ma bouche, les spermes se mélangent, forment un excellent cépage.
Je crispe la mâchoire, et ça y est, je dois avaler...avaler. Le sperme du moine est abondant, et celui du soldat l’est tout autant. ils inondent ma bouche, coulent aux commissures des lèvres. Je déglutis avec satisfaction, avalent, nettoie les glands. Je tends une main, palpe les couilles, les compare. Je juge celle du moine encore pleine de ressources. Le jeune soldat rejoins sa couche, tandis que je rabats la robe du moine toujours endormi, dormant et peut-être rêvant, comme un bien heureux, et avec raison. Je m’empresse de nettoyer son gland, pour effacer toute trace de sa jouissance.
Nous arrivons enfin à destination. Nous descendons du camion. Les soldats blessés sont pris en charge, tandis que le moine s’éloigne, le chapelet entremêlé entre ses doigts, sans un regard.
Quand je rentrais enfin à la caserne, mon mari me convoquas, pour me dire qu’on l’avait renseigné sur mon comportement avec les soldats.
Du coup, il me transféra à la buanderie- lingerie, poste occupé en totalité par des femmes, essentiellement lesbiennes.
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