Halloween au lotissement du château

Récit érotique écrit par Patrick de Toscane le 19-12-2022
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Catégorie Infidélité

Après cette soirée, vous ne qualifierez plus halloween de fête folklorique mercantile.

 

Lundi 31 octobre 2022

Je ne sais pas vous, mais la fête d’halloween, ça me passe « au-dessus » de la tête. Depuis le départ de nos deux enfants, mais surtout, depuis quelques problèmes de santé reliés à la belle famille, je n’ai pas eu une minute pour réviser mon jugement.

54 ans ! Que le temps passe vite ; nos parents devenus vieux endossent à leurs tours les handicaps que vous pensiez réserver aux… vieux.

Ça fait un peu moins d’un an, que tous les week-ends, ma femme joue les gardes malades auprès de sa mère.

Avec ce lundi qui est une veille de Toussaint, Barbara doit rester deux jours de plus, mais j’ai de quoi meubler mon temps libre avec l’entretien du jardin, une bouffe avec des potes et une nouvelle série sur HBO.

 

Cette journée du lundi n’a pas été une formalité, au bureau, les rivalités entre jeunes coqs à gâcher les prémices d’un mardi parfait.

 

En cette fin de journée, 18 heures, il fait déjà nuit ! A mon arrivée, la maison est silencieuse. Demain soir, je compte bien ouvrir une bouteille de champagne pour fêter le retour de ma princesse.

Oui ! Troisième jour et je sature un peu. Ne vous emballez pas, vous l’avez vu, je ne suis pas perdu.

Après une séance de muscu au garage, je prends une douche, enfile un vieux jogging et un t-shirt.

 

La soirée télé s’annonce mémorable avec cette série dont tout le monde parle. Le youtubeur Tommy qui a toujours la critique négative à pour une fois loué les qualités de cette saison 1.

Je prépare mon diner avec dans un coin de mon esprit, la perspective de voir les trois premiers épisodes de « House of the dragon ».

Comme chaque soir, c’est plateau repas devant la télé, lorsque soudain, le carillon de l’entrée brise la soirée par l’entracte « Halloween ».

Je l’avais un peu oublié celui-là !

Je ne me presse pas et ouvre sur quatre futurs cancres. J’abrège par une formule de politesse et rapidement déçus, ils repartent… Je relativise ma froideur en me disant qu’avec la quantité de poison qu’il y a dans les sucreries, je leur ai peut-être sauvé la vie.

 

La seconde salve de mangeur de sucre me cueille sur la fin du premier épisode. En émergeant de mon canapé, je prépare mon speech et ouvre sur deux loulous, moins cool, qui à l’absence de bonbon me réclament de l’argent ! Et pourquoi pas les clés de l’Audi ?

Je referme, à double tour, en gravant dans mon esprit un tour du propriétaire pour vérifier aucune suite fâcheuse à mon refus.

Je retourne sur mon canapé où le cuir a bien gardé ma chaleur. « Allez ! » je lance la fin de l’épisode en vérifiant l’absence de message sur mon portable : parfait !

A présent, je devrais être tranquille, mais mon esprit divague, je ne suis déjà plus dans la série. Je pense aux soucis de ma femme, alors que moi, je suis là, bien tranquille avec une série qui ne lui plaira pas.

A la fin de l’épisode, malgré la « baffe » que je me suis pris, j’hésite à enclencher la suite : « Ils déchirent sur HBO ! ».

 

Je sursaute… Putain ! C’est quoi ça ? Je me suis assoupi et je crois bien que quelqu’un à sonner ? Je regarde l’heure : 22h18 !

 

Ding… dong…

 

Ma colère monte d’un ton et poussée par celle-ci, je m’éjecte du canapé et à mi-chemin, je me calme et m’arrête à la sortie du salon : je ne vais tout de même pas les lyncher les petiots, mais à huit ans, est-ce normal d’être dehors après 22 heures ? Jamais assez prudent, je regarde tout autour de moi pour m’équiper d’un objet contendant, mais en vain... (Rassuré ?)

Pas le temps de capituler que la sonnette retentit une nouvelle fois et cette fois-ci plus nerveusement.

-     J’arrive ! Ce n’est pas une heure pour des bonbecs !

Dans le hall, je déverrouille ma porte et en une fraction de seconde, je découvre une silhouette filiforme sur ses talons hauts. Elle est toute de noire vêtue et arbore une trop longue chevelure… platine et…

-     Bonsoir cher voisin : des bonbons ou un sort ?

Le sac de shopping qu’elle tient dans sa main droite ajoute à ma sidération, surtout par le fait qu’il est estampillé « Christian Dior » et qu’une seule voisine peut oser cette prétention pour des sucreries. La « bourgeoise » n’est autre que Madame d’Angelo, la femme la plus pompeuse de notre lotissement.

Apprêtée, elle fait un mouvement avec ses cheveux qui me dévoilent ses - deux célèbres mèches noir corbeau - et comme vous l’avez deviné, elle n’a plus tout à fait l’âge de sonner aux portes.

-     Bonsoir Madame D’Angelo !

-     Décrispez-vous Patrick, je plaisante ! Je vous sens à cran ces derniers temps et... vous savez que je suis un peu psychologue… Je vous aurai bien proposé mes soins, mais il me semble que vous me fuyez ? Je ne pense pas que ce soit cela ?

-     Non, pas du tout, mais… le bureau et les problèmes...

A quoi joue-t-elle ? Son corps bouge trop, trop de caféine ou de cocaïne, alors que la fraicheur de la nuit commence à s’infiltrer dans le hall pour m’inspirer à lui fermer la porte au nez.

Mon impolitesse de soirée m’oblige à nuancer mes émotions.

-     Mais… Vous voulez des bonbons ?

-     Je vous l’ai dit : je plaisante !

Oui, mais vous plaisantez à propos de quoi ? Je viens d’arriver dans votre délire.

 

L’année dernière, la bourgeoise a fêté ses 70 printemps et pour dire vrai, là, elle n’en fait pas 60 ! Je vous passe les opérations de chirurgies financées avec l’héritage d’un mari propriétaire d’une concession Aston Martin à la sortie de la ville.

Alors qu’elle se dandine sur le pas de ma porte, je ne sais pas grand-chose de plus sur elle : qu’elle occupe ses journées entre son club de gym, son association et ses copines qui prennent les trottoirs pour des places de parking.

-     Je vous dérange peut-être ?

Oui ! Non, je suis trop poli. Comme je mets trop de temps à répondre : elle sort de son cabas « Dior », non pas des bonbons, mais une bouteille de champagne.

-     Surprise !

-     Je ne comprends pas Madame D’Angelo.

Instantanément, la folie qui est sienne se nuance, puis s’estompe, une franche tristesse s’affiche sur son visage et il me semble que ses yeux clairs se mouillent.

-     Vous êtes seul ce soir, je suis seule et je me suis dit qu’il faut mettre de la guetté dans la vie ?

Je fronce les sourcils : elle débloque ? Retrouvons notre sérieux. Un silence succède à mon irritation, le temps de m’empreindre de son regard bleuté aux paupières fardées, son fond de teint et sa maigreur relativisé par des hanches bien moins fortes que sa poitrine artificielle.

Mon regard s’attarde sur… sa bouteille de champagne, puis son regard et là, je ne sais pas ce qu’il se passe, ma main ouvre en grand ma porte.

 

Mes premiers échanges sont sur le mode réserve, pas question de raconter ma vie de couple à miss pipelette, alors je reste sur les banalités tout en savourant un champagne assez exceptionnel.

Assise dans un fauteuil sur ma gauche, son jeu de jambes gainées de nylon noir ne me déconcentre pas. Elle porte une robe longue et moulante, fendue sur le côté. L’atmosphère de la soirée est agréable et détendue presqu’autant qu’avec mes amis de bringue.

L’alcool délie nos langues, je lui parle du bureau et elle me parle de cette association qu’elle a créé et qui vient en aide aux jeunes veuves.

 

Sally accepte de regarder ma série « hors du temps pour elle » en venant s’asseoir à côté de moi et à une distance suffisamment respectable pour ne pas générer une ambiguïté. Pensez à mal ? Tu t’entends Patrick ? Marié à une quadragénaire canon, personnellement courtisé par des petites stagiaires, oui, il n’y a que là que quelques fois, je pense à mal.

Putain, l’alcool n’est pas mon allié et je suis en train de gâcher mon épisode. Alors que mes pensées m’absorbent pour savoir si j’ai le temps de regarder cet épisode demain, Madame d’Angelo s’incline dans ma direction et s'allonge en posant d’abord sa chevelure, puis sa tête sur ma cuisse. Oh non ! De ses cheveux longs remontent une odeur de rose. Sa main gauche se pose sur mon genou…

C’est quoi ce bin’s ?

Précautionneux, j’avance le buste pour vérifier qu’elle ne simule pas son endormissement ou quelque chose d’autre… Non, mais mon regard est magnétisé par ses deux seins parsemés de petites taches brunes, ses deux lots se compriment dans son décolleté : putain ! Ah oui ! Mon souffle s’accélère, mon cœur pompe, j’ai l’impression de faire un squat à 150 kilos ! Il faut que je me calme, ça ne se fait pas de reluquer les formes érotiques d’une grand-mère. Je m’adosse au canapé et me concentre sur… l’épisode que je reverrai demain.

Comment est-ce possible d’avoir de l’attirance pour une… femme d’âge mure ? Sous mes yeux, là, je découvre quelques mèches noires et blondes qui s’ajoutent à la crinière platine.

Maintenant, elle bouge, déhanche ses fesses bien moulées, jusqu’à ses escarpins.

Soudain, je sens sa main glisser entre mes cuisses…

-     Si cela vous dérange, alors j’arrêterai : je ne veux pas passer pour une briseuse de couple.

Je pose mon regard sur sa chevelure et je ne sais quoi répondre… C’est seulement maintenant que je remarque que je ne bande pas !? Merde ! Je suis un brin vexé, mais surtout soulagé ; j’ai ma réponse !

-     Vous savez Madame d’Angelo…

-     … J’aime quand vous m’appelez madame d’Angelo. Je vous ai coupé, excusez-moi, que vouliez-vous dire ?

Repousse-la, Patrick ! Elle se tourne doucement sur le ventre, écrasant maintenant son décolleté sur le cuir du canapé, le visage sur ma cuisse, puis elle lève son regard azur vers le mien : que va-t-elle me sortir ?

Rien ! La pointe de ses doigts se posent sur mon jogging, juste au-dessus de mon sexe, elle me frotte, pianote délicatement du bout de ses ongles en me fixant avec une assurance déconcertante tout m’esquissant sa supériorité par un sourire : se moque-t-elle d’une panne ou cherche-t-elle à me faire tomber ? Je me perds dans son regard : combien de bite t’as déjà sucée toi ? Ses doigts sont patients, mais putain, rien ne se passe, je gonfle à peine ! Je détourne le regard complétement sur ma droite : qu’est-ce qu’il se passe ? Que dois-je faire ? Est-ce le moment idéal pour me lever et abréger la soirée ?

-     Est-ce mon âge qui vous dérange ? Je comprends que cela peut être déstabilisant pour certains hommes.

Qu’est-ce que tu dis-toi ? Certains hommes ? A quoi tu penses ? Son regard quitte le mien, j’ai dû la vexer et je « boude » comme un con en regardant fixement le… vaisselier.

-     Non Madame, je n’ai pas de problème avec votre âge !

-     Sally ! Appelle moi Sally.

-     Oui Sally.

Ses doigts chevronnés tirent sur l’élastique de mon jogging et embarque dans l’action mon caleçon. Je suis surpris par l’audace, je soulève machinalement le bassin et ferme les yeux, une seconde… Deux…

Excité par un plan improbable, je préfère fermer les yeux et nier… Une expiration chaude parcourt mon bas ventre, puis c’est un sirocco qui se met à courir sur mon sexe rasé, je sens ses lèvres câlines… Oh mon dieu…

Je sens une boule dans mon cœur, j’inspire à fond, alors que Sally m’aspire dans sa bouche chaude, sa langue tourne et je sens mon sexe se dresser… M’échapper… Je suis dressé dans la bouche d’une vieille bourge !

A présent, elle entreprend mon gland, juste lui, elle l’aspire, le lape de sa langue d’experte. J’arrête de respirer : je suis vivant !

Je n’ai jamais bandé comme ça ! Qu’est-ce qu’il se passe ? Encore dix secondes de ses tortures et je vais rendre jaloux tous les clébards du lotissement.

La bouche de Sally absorbe tout mon morceau, en entier, elle est bouillante, humide et même trempée, elle commence un mouvement de haut en bas… Elle est généreuse Sally. Oh putain que sa bouche est bonne !!! Oh oui, j’imagine trop bien sa carrière de secrétaire de direction en mini-jupe à tailler des pipes à son directeur et futur mari : elle a dû le tourmenter, plus d’une fois, avec sa bouche à sucette.

Sa langue est d’une agilité folle.  

Ma bite est violette !? Jamais vu ça et je n’ai qu’une crainte, c’est de ne pas pouvoir retenir trois semaines d’abstinence. M’en fout si c’est ouf de baiser une femme de 70 ans ! Elle est divine ma salope !

 

Elle s’interrompt et replace ses cheveux en arrière, puis se lève maladroitement, déstabilisée par ses talons hauts ou par sa lourde poitrine. Elle me toise comme si elle allait me gronder, elle glisse ses fragiles mains dans son dos pour… se défaire de sa robe. J’en profite pour me mettre à poil, je me rassois, alors que son déhanchée provoque la chute de sa robe le long de son corps plus maigre que mince. En plus de ses bas, elle porte un string et un soutien-gorge aux bonnets on ne peut plus garnis. Quelques taches brunes voisinent avec des vergetures, mais je suis en appétit. Je prends ma pine en main et l’astique pour me rassurer, alors que crinière blanche peine à garder l’équilibre pour enlever son minuscule bout de dentelle.

 

Sally se rapproche, face à moi, elle m’enjambe et vient au-dessus de mes cuisses, elle fléchit les genoux en choppant de ses doigts décharnés mon bois pour viser sa fente… J’ai juste le temps de réaliser ses grandes lèvres sur mon gros gland qu’il glisse vers son con… La chatte de Sally m’accueille… J’entre… Hmmm…

Je suis au fond d’elle, entier et j’hésite ; elle est brulante et je savoure sa minette autour de ma pine.

Je commence à m’activer, involontairement, elle me balance son 90D contre mon visage, irrite mes narines avec son eau de toilettes et je baisse l’un de ses bonnets : je remarque une petite cicatrice sous son aréole, alors que je sens sa grosse tétasse durcir sous ma succion.

Elle dégrafe son carcan et prends ces deux globes à pleines mains, difficilement, j’inspire nerveusement à pleins poumons. Putain qu’elle est bonne la vieille.

-     Je vais te prendre à quatre pattes !

-     Fait durer !

Nos corps se séparent…

 

Sally se lève et focalise son regard sur mon mat. Mes hormones commandent au « mari parfait ». Je saisis son bras maigre et de ma main libre, je la pousse dans le dos pour lui imposer - la - position qui lui semble peu familière.

Elle pose ses genoux, ses mains sur le canapé et tourne la tête dans ma direction, sa poitrine ne bouge presque pas. Je m’agenouille derrière son fessier que je stabilise entre mes mains. Mon regard vise sa fente rose et son trou d’honneur serré, mais nullement vierge.

L’experte tourne une nouvelle fois la tête et m’interroge du regard, mais je n’ai pas de réponse. Elle n’est pas rassurée, elle me surveille, comme si j’étais un méchant garçon et lasse, je reprends mon bélier que je plante dans sa fente… Sally courbe le dos et je glisse en elle jusqu’au fond de sa chatte, avant de retourner « au charbon ».

« Fait durer ! » qu’elle a dit tout a l’heure, mais désolé, je suis à cran, pas un acteur de film de boules.

Les questions existentielles ont quitté mon esprit : j’y vais avec enthousiasme, je baise sa fente à grand coup, afin de faire de l’ombre à ses jeunes soupirants.

Ses seins fermes commencent à s’entrechoquer et nous sommes distraits par la mise en veille de la télé ; un silence s’impose dans le salon où ne s’expriment plus que nos râles.

Poussé par mon fétichisme mammaire, je me penche et tends les doigts pour agripper l’un de ses ballons de hand. Sally anime son cul et déclenche une subite monté de lave… Je la sens violente, épaisse, large et je m’immobilise au fond d’elle pour délivrer ce qui doit être de la purée ? Je ne peux m’empêcher d’hurler, la pression dilate trop ma queue et le plaisir fuse en elle… Deux fois… Quatre fois… Six fois… Dehors, le voisinage a dû m’entendre, mais je m’en fous ! Je me déverse encore… copieusement… Hmmm…

Bon sang ! Je sais que cet instant va longtemps me hanter.

Je n’en ai pas encore fini avec toi. Je n’ai pas giclé ma dernière goutte que je reprends mon pilonnage, Sally s’intrigue et pose une main sur ma main, tente de la repousser, mais en vain.

Je reprends le rythme, le sport est mon allié, mais je ne sais pas si j’arriverai vivant au prochain déchargement.

 

Après 15 minutes, je suis toujours là, ça passe ! Mes assauts plus approximatifs font voler ses talons hauts qui retombent lourdement sur le sol. Sally faiblie sur ses appuient. Pour la première fois de la soirée, la tonalité de ses gémissements esquisse son prochain abandon par des couinements plus rapprochés.

Je la redresse sur ses genoux et prends ses deux globes à pleines mains, je la serre contre moi, sur mon pieu, mais je la sens qui m’abandonne physiquement, elle devient lourde et je la relâche… Elle se réceptionne sur une main et rate son orgasme, avant de s’essouffler… Je pose une main sur sa bouche, son corps tremble sous le mien, je l’insulte, ça semble lui plaire, alors je dose… pour l’amener doucement vers sa jouissance.

J’approche ma bouche de son oreille :

-     T’aime ça vieille salope ? La prochaine fois, je t’encule !

Ma main bâillonne sa réponse, mais son menton me dit « oui », quand soudain, elle pousse un long râle, elle cherche en vain à repousser ma main, tente de me mordre, avant de s’écrouler sur le canapé. Son corps frémi sous moi, son sexe palpite autour du mien. Je n’arrête pas, je continu à la forer sur ses gémissements de femelles.

Putain, mais qui suis-je devenu ? Je suis une bête, mais ça ne lui déplait pas. Je n’arrête pas tant que mon cœur n’a pas lâché.

 

Alors que nos corps moites se couvrent de sueur, que les senteurs du salon soulignent les mots grossiers qui y resonnent, je jette mes dernières forces à l’annonce de l’arrivée, dernier coup de reins animal au fond d’elle et je délivre le reste, nouvelle dose… Ça m’excite de l'ensemencer.

 

C’est terminé. J’essaye de me décoller d’elle, je pousse sur mes bras, mais je ne peux faire mieux : je peine à retrouver mon souffle, ma bite à quitter sa chatte, mais je ne peux pas plus. Mon regard se pose sur son dos : l’ai-je cassé ? Elle ne bouge plus ? Son corps chaud, sa fente coulante : je pense plutôt qu’elle est « out », tout comme le jeune vieux que je suis par rapport à elle. Mes bras sont tétanisés, j’ai l’air d’un con à ne pas pouvoir me lever, alors je me repose de tout mon poids sur elle.

 

Nous restons ainsi, une bonne demi-heure ? C’est elle endormie ? Pas envie qu’elle passe la nuit ici. Soudain, son corps est pris de contractions, des sortes de taquineries qui s’accompagnent de râles en provenance de sa gorge.

Je réunis quelques forces et pousse sur mes bras pour la libérer et m’agenouille sur le canapé. Je passe vulgairement mon t-shirt sur ma pine, alors qu’en m’ignorant, elle s’assied et dirige ses deux pieds vers le sol.

Sally se lève, insiste pour me tourner le dos : sans ses talons, elle n’est pas très grande, mais bon sang, la grosseur de ses nichons en est que plus impressionnantes. Je n’ai pas le temps de trancher sur une augmentation mammaire en deux étapes qu’elle tourne les yeux vers moi.

-     Tu m’as détruite bébé.

-     Merci.

Elle est sincère là ? Ça y ressemble.

-     Ne t’inquiète pas pour ta femme, j’ai trop à y perdre.

Je reste silencieux… Qu’est-ce que tu veux dire parce que là ? Désolé, je sais plus comment je m’appelle.

Je ne peux m’empêcher de contempler ce corps que j’ai honoré par deux fois. Je n’en reviens pas que… que je me suis fait Madame d’Angelo !

Sally renfile sa robe en glissant son string dans son sac « Dior ».

Où vas-tu trouver d’autres mecs pour te déglinguer comme ça ? Alors qu’elle plonge ses petits pieds dans ses escarpins, elle me fixe de son regard qui a tout vu.

-     Un sort où des bonbons ?

-     Cela a une tout autre interprétation dans ta bouche !

-     Je t’ai ensorcelé ? Dis-moi, oui ! Qui sait, peut-être que la prochaine fois, tu me donneras peut-être que des bonbons…

Pendant un instant, je me dis que cette année, halloween aura peut-être bien lieu deux fois.

 

Une heure après l’avoir fait jouir, discrètement, elle est repartie et depuis ce 31 octobre, nous sommes le 26 novembre, est-ce le temps frais ou un planning chargé, je n’ai toujours pas recroisé celle que je fuyais autrefois.

 

FIN


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