Résumé de l’épisode précédent
Dans la petite cabane en bois où Robin et sa mère s’étaient réfugiés après une panne de carburant, Sally les avait découverts et surpris en train d’exécuter une levrette incestueuse. La vieille avait ordonné que ses deux descendants continuent de forniquer et au moment de la jouissance du jeune étalon, les doigts de Sally avaient retiré le membre, avant de le glisser en bouche. Robin avait eu la jouissance de sa vie et en hurlant, il gicla exagérément dans la gueule de la vieille cochonne. Elle avala avidement le nectar qui semblait lui amorcer une nouvelle jeunesse.
En fin d’après-midi, sur la route qui les ramenait à l’hôtel, Christine et Robin ne s’adressèrent pas la parole. Toutefois, à un instant, la fille du défunt reprocha à son fils sa faiblesse face à une femme autoritaire, mais elle lui exprima surtout sa jalousie.
À la veille de l’enterrement, ce furent les dernières paroles prononcées par le couple qui termina dos à dos dans le grand lit de la petite chambre.
L’épisode 7 commence ainsi :
Dans cette chambre d’hôtel qui abritait leur dernière nuit à Châtillon, Robin et sa mère ne trouvèrent pas le sommeil, tous les deux pour des raisons différentes. Les souvenirs de Christine ravivèrent la douleur de la mort de son père et elle ne put retenir des larmes qui ne cessèrent pas de couler. Robin allongé à ses côtés entendait péniblement la tristesse de sa mère, sans pouvoir la prendre dans ses bras, mais bien qu’il ne perçoive rien dans l’obscurité, il lui semblait qu’elle se masturbait tout en sanglotant. Rapidement, une odeur de mouille monta aux narines de Robin qui ne tarda pas à bander en imaginant les longs doigts de sa mère sillonner une fente probablement trempée.
Rapidement, l’agitation de Christine s’atténua, les émotions et la fatigue avaient eu raison de son chagrin.
Robin tourna la tête vers son portable : 23 heures ! Sa mère s’était endormie, mais pour lui, c’était différent. L’image obsédante de son arrière-grand-mère et de sa bouche enragée sur son gland ne cessait de hanter son esprit. Il y pensait encore et encore, alimentant un désir sexuel que les jeux pervers de sa mère avaient allumé.
Demain c’était déjà aujourd’hui : le jour de l’enterrement. En fin d’après-midi, ils quitteraient bientôt cette localité, qui avait commencé à fissurer quelque chose dans leur étrange relation.
Nerveux, il s’allongea sur le dos, posant une main sur son front, les yeux rivés au plafond, cherchant désespérément des pensées plus susceptibles de l’apaiser. Mais toutes le ramenaient inévitablement à la bouche vorace de Sally. Presque instinctivement, ses doigts se dirigèrent vers cette érection qui ne voulait pas faiblir. Il branla discrètement son sexe et au bout de quelques rounds, il s’arrêta juste avant de jouir. Il avait besoin de décharger, il pensa à gagner la salle de bains où il pourrait se masturber et soulager ses couilles devenues douloureuses à force de pensées lubriques. Mais il ne voulut surtout pas la réveiller, elle qui dormait avec sa rancœur, nue, à quelques centimètres. Sa tension fut plus forte que lui, il se leva calmement, chopa son téléphone portable et s’assit dans le fauteuil en face du lit. Nu, il pianota en attendant de débander. Il surfa sur ses réseaux sociaux, quelques minutes, mais sa crampe demeurait. Discrètement, il projeta la simple lumière de son écran sur le corps nu de sa mère, allongée sur le ventre. Il éclaira ses fesses qui faisaient tant fantasmer ses camarades de classe et toute une agence immobilière.
Soudain, Christine se tourna et instinctivement, il dégagea le jet de lumière. Après quelques secondes de silence, il rebraqua la lumière sur le ventre et sa chatte parfaitement lisse. Ses deux seins reposaient lourdement sur sa poitrine.
Christine dormait profondément, la bouche ouverte où quelques légers ronflements brisaient la vision érotique. Il se leva et s’approcha, il diminua l’intensité de la lumière de son écran, et le braqua discrètement sur le corps, les doigts de son autre main enroulés autour de sa verge. Il fixa sa chatte impeccable, toujours prête pour une saillie. Il accéléra sa branlette et fantasma sur cette bouche ouverte où il se voyait déjà bien au chaud.
Il renonça à la réveiller et il s’agenouilla sur la moquette, approcha l’écran sur le ventre, puis la bouche pour laper la douce peau où des senteurs de mouille remplissaient ses narines. Il s’arrêta et se déplaça sur les genoux vers l’une des deux tétines toujours dressées. Il approcha les lèvres et délicatement, il frôla la grosse framboise, avant de l’aspirer dans sa bouche… Il s’astiqua plus fort, tandis que la dépression qu’il exerçait sur la tétine de sa mère lui faisait sortir des séries de râles. Il se concentra sur son plaisir et gicla une première salve sur le sol. Il serra les dents pour ne pas hurler et il éjacula encore plus fort, souillant copieusement la moquette de cette crème dessert dont elle était habituellement friande.
À son réveil, Robin constata l’absence de Christine : il la chercha en bas au petit déjeuner, il l’appela au téléphone, mais rien. Où était-elle passée ?
Quelques heures plus tôt, à cinq heures du matin, un brin de jour réveilla Christine en sursaut et immédiatement, elle ne put retenir ses pleurs. Elle s’assied nue sur le bord du lit, elle se retourna sur son fils et malgré les larmes, elle constata qu’il dormait profondément. Même l’odeur du sperme qui flottait étrangement devant son nez ne perturba pas son chagrin. Elle reconnut l’effluve puissant de Robin, mais elle ne voulut pas savoir dans quelle circonstance ce baiseur de vieille bouche avait réalisé son épandage.
Christine se dressa sur ses pieds et les yeux gonflés par le chagrin, elle enfila cette petite jupe qu’elle avait réservée pour la soirée d’hier, un t-shirt et une polaire. Elle prit son sac et une paire de baskets, puis descendit les escaliers en direction du parking où elle monta à bord de son SUV.
Elle mit le cap sur le funérarium où après 20 minutes, elle arriva sur le parking. En descendant de voiture, elle chaussa des lunettes noires et elle composa le code de la porte d’accès, mais rapidement, un veilleur de nuit l’informa que normalement, les visites étaient permises à partir de 6 heures. Moyennant une dose de charme et cinquante euros, l’homme la laissa entrer en trainant ses yeux sur les fesses de cette silhouette qui s’éloignait vers la chambre mortuaire du fond.
Dans une fraicheur funeste presque bienvenue, Christine avança près de la dépouille allongée dans un costume. La fermeture du cercueil aurait lieu dans quelques heures et elle comprit que ce tête-à -tête serait le dernier d’une histoire. Elle s’arrêta près du cercueil et se pencha sur le corps pour contempler Michel en se remémorant les souvenirs d’une parenthèse de vie où il avait été plus qu’une personnalité de Châtillon, plus qu’un père dédié à sa famille.
Elle serra les cuisses, son corps frissonnait, mais pas de froid. Elle sentait ses tétons se durcir sous son t-shirt sans soutien-gorge. Elle eut l’impression que Michel communiquait avec elle, alors elle leva les yeux sur le visage reposé. Elle se rappela ses honneurs dans le hangar (Épisode 5) où il l’avait honoré en la déshonorant. Elle se souvint douloureusement de ce membre la pénétrant par l’anus, un rapport qui avait électrisé tout son postérieur et qu’il avait dû maitriser avec ses deux mains. Il l’avait baisée, écartée, refaçonnée, avant de se vider comme les chevaux de son arrière-grand-mère, copieusement dans des gémissements grossiers. Les souvenirs de la fille à son papa tournèrent en boucle, avant de sentir sa mouille se libérer au fond de sa petite culotte.
Soudain, derrière elle, elle entendit quelqu’un composer un code à la porte de la chambre funéraire, Christine se retourna et malgré ses lunettes, une vague de peur la saisit jusqu’à ce qu’elle découvre… Sally. En ce lieu, les deux femmes furent surprises, elles restèrent muettes et la porte se referma.
- Qu’est-ce que tu fous là Christine ?
Sally n’apprécia pas la tenue décontractée qui contrastait avec la sienne. Christine ne répondit pas. La mère de Michel approcha du cercueil et fixa le visage de son fils.
- Si tu veux assumer le rang auxquelles tu sembles aspirer naturellement, demain, il te faudra passer par un rituel dans ma chambre.
Les mots mystérieux n’ébranlèrent pas Christine et cela surprit Sally.
- Mon père m’a déjà parlé de ce rituel auquel les héritières doivent se prêter ou pas. Parait-il que toi, tu n’as pas rechigné et cela t’a réussi ?
Le visage de Sally passa de la rage d’une provocation à la fierté d’une reconnaissance.
- Ma chérie, je sais que c’est une cérémonie archaïque et stupide, misogyne, mais il y a héritage et héritage, celui que l’on va te donner de droit et celui que tu iras chercher.
La mère du défunt approcha de Christine qui tourna les yeux vers elle.
- Je serai la digne héritière de mon père.
Sally releva la jupe de Christine pour détailler ses fesses et cette petite culotte qui les épousaient parfaitement.
- Tu as les moyens de soumettre une ville, mais arrêtes de vouloir lorgner sur ma place.
- J’ai toujours fait selon mes aspirations…
- … et on a vu ou cela t’a conduit.
- Va te faire foutre grand-mère !
- Par ton fils, oui ! J’ai adoré ! J’ai même failli m’évanouir.
- Salope !
- Tout comme toi, ma chérie. Nous sommes des femmes dans un monde où tes droits sont écrits par les hommes. Il faut survivre et jouer de vice pour te réapproprier ces droits dont les mâles t’ont privé. Si tu veux le respect d’un monde que tu haïs, tu devras faire comme moi, sucer des queues. Les hommes adorent quand nous sommes gentilles avec eux. Cela étant, ça leur laisse des souvenirs impérissables et ils sentent qu’ils ont une dette envers toi. Tu as tes chances, tu es une bonne suceuse, c’est de famille, je t’aiderai uniquement si tu me laisses Robin.
- Robin est… il est mon fils, il est tout et tu devras me supplier pour que sa queue dégorge une nouvelle fois en toi.
- C’est plus complexe que ça. Penses-tu que votre idylle va se poursuivre toute la vie ? Regarde comme j’ai déjà chamboulé ses convictions.
- Toi, tu as bien été la femelle lubrique de tes petits !
- Il y a longtemps que mes chatons s’étaient tournés vers d’autres vices que leur maman ne pouvait pas donner. Michel, ton père s’était orienté vers le SM et Robert, on dit qu’il payait des jeunes femmes de ton âge qu’il baisait en leur demandant de dire qu’elle s’appelait Christine. Tu perdras un jour ton fils, celui qui te fait reluire comme dans cette cabane, mais rassure-toi, tu conserveras un fils même s’il sera un peu plus mature.
Sally s’approcha une nouvelle fois du corps de son fils.
- Il était mon fils avant de devenir ton père. Il me baisait avant de te baiser salope.
- Je suis comme toi, chère Sally.
La grand-mère de Christine quitta la chambre mortuaire.
Christine inspira profondément et expira sa nervosité, elle approcha du cercueil, avant de relever sa jupe et saisir l’élastique de sa petite culotte qu’elle descendit le long de ses jambes. Elle retira le bout de tissu, essuya sa fente gorgée d’un jus odorant, avant de plier son sous-vêtement en deux et de le glisser dans la poche du costume.
Vers huit heures du matin, Christine regagna l’hôtel où elle découvrit Robin sur son téléphone portable. Il fut surpris par ses lunettes noires et le silence de la rancune meubla une bonne partie de la matinée.
Sur la place de l’église, une impressionnante foule était présente, elle confirmait les liens particuliers que la famille entretenait avec cette société un peu fermée, mais où l’honneur unissait un monde condamné par des intérêts privés.
Robert apparut en train de se défaire d’un couple âgé, avant d’être immédiatement interpelé par un ancien qui lui demanda où était Sally.
- Elle est avec sa petite fille et son arrière-petit-fils dans le fourgon.
Soudain, le garçon de Sally se tourna sur le véhicule noir de la morgue qui arriva au pas, avant de manœuvrer devant le perron de l’église.
- Elle ose revenir ici ?
- Monsieur, Michel était son père !
Le petit homme ravala sa rancœur avec difficulté.
- Comment ça va être après ?
- Christine a des défauts, mais elle est intelligente et elle doit prendre la place de son père. Elle est un peu la nouvelle tôlière.
Le fourgon s’immobilisa et Sally fut la première à descendre toute de noire vêtue. Pantalon, chemisier et chaussures basses qui soulignèrent que, malgré les années, sa poitrine était probablement toujours un sujet de fantasme. Elle portait une paire de lunettes noires sur le nez et deux quadragénaires se précipitèrent vers elle pour la réconforter. Les deux endossaient une écharpe tricolore et le second était le maire du village.
Robin descendit dans l’anonymat en jean chemisette, les deux hommes ne le calculèrent pas et Sally lui attrapa le bras pour s’assurer d’une présence ou, faire rager celle qui descendait à son tour.
Christine, toute de noire vêtue, portait une robe mi-cuisses sur des jambes couvertes de bas et terminées par une paire d’escarpins à talons hauts. Elle soutenait une petite toque noire sur la tête de laquelle descendait une voilette en tulle qui dissimulait ses yeux gonflés de chagrin. Son visage était tout aussi figé que celui de son père. Robin tourna la tête vers elle, elle était encore sous le choc, distante, alors que le regard de son fils balayait inlassablement un décolleté qu’elle avait voulu large et provocateur. Il la retrouvait sublime, égale à elle-même, désirable, elle mettait le feu à sa braguette et la jalousie se maria une nouvelle fois à ses pensées : combien d’hommes dans la foule bandaient-ils pour sa mère ?
Les porteurs entrèrent dans l’église avec le cercueil. Derrière, Sally, Robin, Robert et Christine lui succédèrent.
Quelques personnes étaient déjà présentes sur les bancs de l’église, et Robin reconnut Théo et Jordan. Un brin de colère monta en lui, il les fixa, mais ces salauds n’avaient d’yeux que pour sa mère. Il ne devait pas laisser son esprit s’envahir de querelle, il se devait d’exposer qu’il était un bon fils et il fallait qu’il fasse rayonner l’âme protectrice qu’il avait sur sa mère, le lui montrer malgré le bras qu’il tenait.
Sally s’en alla fièrement vers Christine avec Robin peu communicatif. Christine toisa le spectacle en ignorant son fils.
Sally s’enorgueillit en fixant les yeux à travers la voilette. Elle avait vu dans l’assemblée hormis le maire, le président de région, un membre du syndicat agricole et un ancien ministre. Elle termina son estocade provocatrice en affirmant à Christine que cela était la preuve que la famille n’était pas des « gens comme les autres ».
Sally et Robin gagnèrent le banc sur la gauche, puis ce fut le tour de Christine et Robert.
Soudain, Robin se leva.
- Où vas-tu ? s’agaça Sally.
- Rejoindre ma mère.
- La traîtresse ?
- Parlez mieux de ma mère !
Il marcha sous les regards jusqu’à sa mère et on lui fit de la place.
Au cimetière, la foule et le cercueil avaient précédé l’arrivée de la famille. Sally attira les regards, des attentions empathiques, mais aussi antipathique.
Christine précéda Robin au plus près du cercueil. Les agents de la commune descendirent le cercueil dans le caveau familial. Elle sentit les regards sur elle, sa toilette et Robin s’installa à côté d’elle main dans la main pour montrer à tout le monde que sa mère était sa propriété. Christine lâcha la main de son fils et fit deux pas en direction de la fosse pour un simple signe et elle s’immobilisa sous les attentions. Le regard de Robin se posa sur les fesses parfaitement moulées dans sa robe, ses bas épousant ses jambes parfaites : il aurait aimé la prendre là tellement elle était bandante.
Robin sentait les attentions sur sa mère, elles le chagrinaient, mais il se faisait une raison en attendant l’affront suprême de la réception en l’honneur de Michel où ses coquins viendront lui parler mielleusement. Les regards glissaient sur Christine, mélangent de complicité dans la souffrance, mais aussi, envie animal provoquée par une tenue outrageante.
À l’issue de l’enterrement, Sally avait organisé dans le grand salon de la ferme, une petite réception en l’honneur du défunt. Un moment de communion entre tous où Sally capta l’essentiel des attentions.
Après vingt minutes en compagnie de sa mère, sans dispute ni reproche, Robin commença à espérer le « pardon ».
Sally quitta son groupe de personnalités pour rejoindre les deux seuls jeunes qu’elle ne connaissait pas : Théo et Jordan. Elle testa sa séduction, mais le vice dans leur regard avait ses limites.
Robin abandonna sa mère pour aller épancher sa soif au buffet où il se prêta à un échange de quelques mots avec une jeune femme. Quelques minutes plus tard, il la quitta à la recherche de sa mère, mais elle avait disparu. Il chercha du regard Théo et Jordan, mais il les aperçut avec un groupe de jeunes.
Il balaya des yeux les 360° de la pièce, avant de marcher vers ce long couloir en cul-de-sac où sur la gauche, une porte de chambre était ouverte sur un groupe de trois hommes d’une soixantaine d’années. Il reconnut les deux élus, ainsi que Robert. Soudain, il croisa sur la gauche le regard de Sally, autoritaire insensible et en avançant, il découvrit sa mère stoïque, voilette devant les yeux et assise sur le lit. Ses jambes étaient révélées jusqu’à mi-cuisses. Robin se plaça à distance de Sally et observa Robert qui, assurément, déboutonna son pantalon et immédiatement, il fut imité par les deux autres. Ils baissèrent leur froc aux genoux pour exhiber des érections qui peinaient à prendre de l’ampleur.
Tour à tour, ils s’avancèrent devant elle et elle glissa sa main entre les cuisses de chacun pour afficher sa soumission à un nouvel ordre. Robin fut impressionné par l’assurance de sa mère. Rapidement, tous les hommes se raidir et Robin sentit un malaise l’envahir : il ne bandait pas du tout devant ce spectacle. La vieille gagnait, elle tourna le regard vers Robin qui semblait en pleine confusion. Elle se dirigea vers lui et s’afficha aux yeux de tous. Sally s’effaça, juste derrière lui, elle se colla dans son dos et posa ses doigts gantés sur ses hanches. L’esprit de Robin fut submergé d’images obscènes qui ne tardèrent pas à ranimer son sexe. Sally se colla un peu plus vers lui, ses mains glissèrent à présent sur le ventre où plus bas, une bosse tendait le pantalon.
Près du lit, les trois hommes reculèrent, et Christine ôta sa petite culotte. Elle releva sa robe aux hanches, puis se laissa tomber en arrière, avant de remonter les genoux.
Chacun à son tour, ils vinrent la pénétrer, l’honorer de quelques coups de reins malhabiles, lascifs, sans but de jouissance. À la troisième saillit, elle tourna la tête vers son fils, derrière sa voilette, elle aperçut le chibre de son garçon emprisonné entre le gant de Sally.
Ce rituel était étrange, il ne rimait à rien, mais pour ce monde, il avait une signification qui devait remonter à des siècles. C’était un savant mélange de soumission et de domination par lequel, il ne faisait pas de doute, Sally était passée pour obtenir ce rang dont elle jouissait.
Les hommes se mirent une nouvelle fois en ligne, le sexe luisant de mouille et Christine désigna Robert. Il revint entre les cuisses de sa nièce et la pénétra une nouvelle fois avec assurance, il l’honora de quelques coups de reins malhabiles, avant d’oublier le poids des ans et de réveiller une seconde jeunesse. Il accéléra les coups de reins dans sa nièce en souvenir de ces moments dans ce hangar (Épisode 5). Les souvenirs de Robert le débordèrent et ses couilles balancèrent une vieille frustration dans la fente ensorcelante. Conscient du rituel, il se retira en peinant à reprendre son souffle. Christine se redressa sur le bord du lit. Elle jeta un rapide coup d’œil sur son fils bien pris en main. Elle rajusta sa toque et son voile avant de fixer l’un des hommes qui s’avança. Elle lui interdit de jouir dans sa bouche, mais elle lui permit de glisser sur sa langue et jusqu’au fond de sa gorge.
La main experte de Sally câlinait le plus gros des membres, Robin était sous l’emprise de la domination et du vice d’une femme qui avait maté pas mal de mâles puissants sinon tous. Robin sentait la jouissance monter, l’odeur fleurit de Sally et lorsque le dernier notable se retira pour éclabousser la voilette de sa mère, Robin s’abandonna à son tour en grognant de plaisir. Sa semence gicla à deux mètres et se répandit ridiculement sur le sol, ponctué de quelques gloussements moqueurs. Il croisa à peine le regard de sa mère trop occupée à gagner ses galons.
Christine était là pour se mesurer à Sally.
Tout le monde parti en direction de la salle, sauf lui. Il remonta son pantalon en louchant sur sa semence au sol.
Une salve d’applaudissements retentit à côté, des cris d’hommes y compris des femmes qui reconnaissaient en Christine la digne successeure de Michel et bientôt, Sally.
Quelle signification avait ce rituel ? Robin ne comprenait pas, il était trop épuisé. Mais qu’elle était le plan de Christine ? Abandonner l’agence où son chemin était tout tracé ou rejoindre ce monde qu’elle n’aimait pas, mais qui l’acceptait et lui avait apporté d’intenses moments de jouissance ?
En fin d’après-midi, Robin et Christine quittèrent Châtillon. Christine ressentait le plaisir de rentrer à la maison et dès lundi, retrouver son rang à l’agence.
Pour Robin, c’était différent : il était devenu le jouet complaisant de Sally et malgré l’amour qu’il éprouvait viscéralement pour sa mère, il ne bandait plus pour elle, mais pour une vieille déjantée qui l’avait rendu accro aux vices.
Dans une semaine, il partirait en stage, loin de sa mère et cela lui convenait.
À suivre ?
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