La veuve interdite 5 : 1994, la jeunesse de Christine (2/2)

Récit érotique écrit par Patrick de Toscane le 21-07-2024
Récit érotique lu 511 fois
Catégorie Inceste

La veuve interdite 5 : 1994, la jeunesse de Christine (2/2)


Résumé, Ã©pisode 4 :

La semaine de vacances de la jeune Christine se transformait en une découverte des mœurs et coutumes d’une famille. L’autorité de sa grand-mère lui faisait front, alors que la gourmande sexagénaire n’avait pas hésité à prendre un plaisir sodomite avec ses deux fils.

 

L’opus 5 débute ainsi…

 

Le lendemain matin, Michel vint frapper à la porte de la chambre de Christine. En réponse, sa fille ronchonna quelques mots et cela suffit au père pour ne pas lancer une controverse.

 

Au fond de son lit, quelques instants passèrent pour permettre à la jeune femme de rassembler les souvenirs d’une étrange nuit. Hier soir, elle avait été spectatrice et voyeuse d’une débauche incestueuse. Elle lui avait révélé la nudité de son géniteur, celle de son oncle Robert et sa grand-mère plus que jamais autoritaire.

Sur la pointe des pieds, Christine s’en alla sous la douche en refusant d’accepter qu’ici, les mâles préféraient les formes de sa mamie.

Elle revêtit un soutien-gorge, les bonnets épousèrent ses deux globes bien fermes. En les caressant, un sentiment de fierté la stimula : ils allaient continuer de grossir et naïvement, elle pensa rivaliser avec ceux de « la vieille ».

Christine se glissa dans une petite culotte, avant d’entrer dans une robe légère assez moulante de couleur jeans.

À la recherche de controverse, elle osa aller plus loin…

 

Quinze minutes plus tard, elle débarqua dans la cuisine. Dehors, le jour était presque levé et la famille était réunie autour de la longue table. À son arrivée, ils ne levèrent pas les yeux, ils les laissèrent trainer au fond d’un bol de café ou sur une tranche de pain superposée par du fromage ou de charcuterie. Comment faisaient-ils pour ingurgiter cela ?

Soudain, Sally releva la tête et son regard bleu se fit noir en découvrant une paire de couettes provocantes. Elle serra les dents.

 

-     Tu te crois drôle ?

 

L’effrontée esquissa un sourire.

 

-     Je me régale !

-     Pose tes fesses et mange ! La journée va être longue et intense pour ton cadavre de citadine.

 

Le sourire de Christine s’estompa, elle hésita, avant d’accepter la brimade. Elle ressentait une tension animale entre les quatre murs, une brebis parmi les loups. Elle tourna la tête vers les deux soudards pour se sentir désirée, mais en vain. Sa grand-mère les avait bien vidés de toutes leurs vigueurs primitives, mais qu’en serait-il cette après-midi ?

Le temps allait lui révéler ses arcanes. La jeune femme s’assit à la table et tartina une tranche de pain avec du beurre.

Son père et Robert levèrent discrètement les yeux sur la symétrie des deux couettes. Après quelques secondes, la vision les stimula et enfin, ils esquissèrent un sourire.

Michel modéra son bonheur en détaillant un décolleté qui ne résisterait pas à la journée. Il contempla les épaules cerclées par les fines bretelles de la robe et du soutien-gorge.

 

-     Si tu ne veux pas bosser au hangar, je te dispense : tu nous fais déjà la grâce de ta visite et j’approuverai ta décision.

 

Le fils tourna la tête vers sa mère qui contint sa colère, mais Christine bomba le buste et dévisagea son père.

 

-     Non ! Je vais aller avec vous. (elle fixa sévèrement Sally) Je ne suis pas une paresseuse, je ne me déroberai pas, je sais assurer !

 

La gifle virtuelle fragilisa Sally, avant que son opulent décolleté ne vienne heurter la table.

 

-     Ma chérie, tu dois être morte de faim ? Hier soir, dans ma chambre, nous avons eu la visite d’une voyeuse avec un estomac qui ne cessait pas de grogner : le spectacle t’a-t-il un peu rassasié ?

 

Christine déroba son regard, avant de croiser celui de Robert et de Sally.

 

-     Mon père semble t’avoir bien cramé, grand-mère !

-     Tu verras ! Quand tu seras plus grande, tu apprendras que c’est dans l’excellence que l’on trouve la satisfaction, mais c’est dans l’effort que l’on trouve le bonheur.

 

Elle passa ses doigts dans l’une de ses couettes, les images de la soirée lui arrivèrent en un flot continu d’érotisme. La pornographie des actes la tourmenta et elle vit dans les regards de Robert et Michel, une sorte d’invitation à partager une philosophie familiale.

 

Ils quittèrent la propriété vers six heures, sans Sally qui avait un rendez-vous à la banque avec le conseiller de l'exploitation. Pour affirmer sa motivation, Christine pressa le pas vers le gros tracteur dont les roues arrière la dépassaient en taille. Son oncle l’exhorta galamment à monter sur le siège passager.

 

La journée de travail commença sous un soleil brulant, baignant le vieux hangar d’une lumière dorée. La famille s’affaira à redonner vie à cet espace oublié depuis des années. Une remise accumulait une décennie de machines et d’appareils de toutes sortes. Sur les indications éclairées de Robert, la « gamine » se lança dans la tâche ardue de cataloguer chaque objet dans les cinq bennes disposées à l’entrée de l’entrepôt.

Pendant ce temps, Robert manœuvrait avec habileté un tracteur à fourches, il déplaçait des rouleaux de paille pour remodeler l’aire qui allait leur servir de triage.

Dehors, à une centaine de mètres, Michel pilotait un autre engin en compagnie d’un groupe équipé d’une charrette sur laquelle reposaient déjà quelques meules. Le père de Christine assurait un ballet constant.

Chaque geste maitrisé, chaque mouvement calculé allait transformer, d’ici la fin de la journée, le hangar en un espace pratique et ordonné. Entre les bruits rythmés des moteurs et les sourires échangés, cette matinée tint la promesse de Robert.

 

À midi, tous les trois effectuèrent la pause déjeuner. Christine ragea en réalisant l’usure de sa robe. Quelques larges déchirures d’une vingtaine de centimètres apparaissaient sur les hanches et le ventre, les arrachements de tissus exhibaient tour à tour le galon de sa petite culotte et l’érotisme d’un nombril. La détresse de la jeune femme aux couettes fit rire les deux hommes.

 

À la reprise, Robert termina d’ordonner la remise et Christine se hissa par une énorme échelle vers le palier supérieur pour poursuivre le rangement. Elle profita d’une grosse bassine à eau pour détendre une atmosphère orageuse. Elle attendit que Robert soit en dessous d’elle et lorsqu’elle l’aperçut reluqué sous sa robe, elle renversa le bassin sur le voyeur. L’homme hurla sa surprise, avant de pester contre l’auteure. Il se précipita vers l’échelle et grimpa à la recherche du défouloir, mais Christine réussit à échapper à son oncle en se laissant glisser sur une pente faite de paille qui l’amena au pied de son père.

 

-     Ce n’est pas fini ? Qu’est-ce qu’il se passe ?

 

Christine resta silencieuse et Robert s’avança tremper jusqu’aux os.

 

-     Ta fille cherche à être drôle !

-     Tu es incontinent Robert ?

 

Dit-elle, avant que Robert ne lui saute dessus pour la projeter à terre. Il réussit à la bloquer sur le dos et lui plaquer les épaules dans la paille. Il l’enjamba, bien décidé à la dévorer au sens propre ou figuré.

 

-     Arrêtez tous les deux !

 

Robert se redressa sur les rires de Christine. La jupe retroussée sur la petite culotte attira l’œil des deux hommes et la braguette de l’oncle se déforma.

 

-     Il y a encore une heure de travail, alors vous jouerez plus tard !

 

Michel fixa sévèrement son frère.

 

-     Tu amènes tout devant la porte du hangar : les nuages s’amoncellent et bien que la météo n’ait pas prévu d’orage, je préfère ne pas prendre de risque.

-     Et moi, je fais quoi p’pa ?

-     Tu donneras un coup de main à Robert.

 

Michel entama une marche arrière et s’arrêta, il jaugea une pile de cinq balles de paille rectangulaire, avant de les enfourcher et les soulever. Soudain, l’embrayage se révolta violemment et le tracteur culbuta trois bottes qui s’aplatirent lourdement au sol.

 

Alors que le ciel se faisait de plus en plus menaçant, Michel se pressait pour convoyer l’avant-dernier container vers la charrette. Christine évalua les trois ballots de paille pour la prochaine rotation, elle en superposa difficilement deux et laissa la troisième en guise de « marche-pied ».

À l’ultime voyage, le pilote s’arrêta devant le hangar sur un coup de tonnerre. Il cala entre ses fourches une cuve et son frère se précipita à l’arrière.

 

-     Eh Christine ! Tu dors ? Monte ! On va bâcher !

 

La jeune femme s’exécuta et posa ses petites fesses dans le siège. Ils traversèrent le champ en hâte et surchargèrent la charrette, sous les regards de l’autre équipe, avant d’aider à installer une immense bâche sur les 20 mètres carrés.

Un éclair révéla les premières gouttes de pluie, ils reprirent place à bord du tracteur, avant un coup de tonnerre.

Ils rebroussèrent chemin au plus vite vers le hangar.

Le déluge cognait déjà sur les corps, les terres et l’engin que Michel immobilisa devant la porte ouverte de l’entrepôt. Rapidement, amusés par la subite infortune, ils descendirent et gagnèrent l’abri en « crachant » leurs poumons.

Un genou au sol, ils reprirent leur souffle et regardèrent en vainqueur l’orage gronder. Les deux hommes s’empressèrent de priver les lieux d’un courant d’air en fermant les deux grands portails du hangar.

Une discrète attention de Michel se porta sur les habits trempés de sa fille et il ne put s’empêcher de détailler le relief d’un corps et ses sous-vêtements qui se dessinaient sous le tissu.

 

-     Ã‡a me rappelle un lointain soir d’été avec ta mère.

 

Le déluge qui résonnait dehors tira Michel d’une nostalgie et il s’approcha d’une fenêtre sur la grande porte.

 

-     Oh bon sang !

 

L’oncle partit se joindre à son frère et un éclair illumina le visage de celui-ci, la foudre venait de tomber au bout du champ, mais heureusement, l’équipe de la charrette n’était plus là.

Michel les outragea tous les deux.

 

-     Dans vos jeux stupides, vous n’avez rien ouvert là-haut ? Une lucarne ?

 

Christine ne comprit pas trop et sans réponse, son père se pressa vers l’échelle et disparu.

 

Robert se secoua, avant de retirer sa chemise. Il croisa le regard de Christine qui s’était — assise sur les deux ballots de foin — qu’elle avait plus tôt superposés.

 

-     Tu devrais enlever ta robe, sinon tu vas attraper un rhume.

 

Christine posa ses deux mains sur la paille et descendit de la botte. Elle appuya ses fesses contre en toisant cet oncle qui approchait d’elle. Elle encouragea son appétit, longtemps, en détaillant le torse nu et puissant. Robert abaissa sa grosse poigne sur les boutons de sa braguette, avant de sortir exhiber son sexe large aux yeux de sa nièce.

 

-     Ta mère aimait bien ces instants à l’abris des us et coutumes d’une société trop civilisée.

 

Robert glissa sa main sous la robe et il la bloqua dans la petite culotte d’une jeunesse qui ondula sous ses doigts.

Ses fesses en butée contre deux bottes de paille superposée, Christine se cramponna pour ne pas exprimer la folie qui submergeait ses sens. Ses tétines se dressèrent sous le fin coton et — elle ôta sa culotte. Son inexpérience face à une machine sexuelle ravageait son esprit. Elle se délecta d’exister comme l’objet d’un homme qui pouvait faire d’elle tout ce qu’il voulait. Ce constat la troubla, Robert le comprit bien avant elle en pénétrant sa fente suave avec son gros majeur.

Christine se cramponna au torse nu viril, elle serra les dents en croisant le regard du baiseur. Il avança son visage du sien pour… simplement frôler la peau juvénile.

Le corps de Robert pressait contre le sien, il aurait pu la briser d’un geste malencontreux et elle accepta d’être sa prisonnière. Il passa sa langue dans son cou et descendit jusqu’à la lisière du soutien-gorge. Il souffla plus fort lorsque sa menue main vint accueillir l’épais dard.

Christine laissa son dos glisser le long de la botte de paille pour se placer accroupie. Elle ferma les yeux au contact du membre qui longea sa frimousse de sainte nitouche et avec son talent, elle contraint la verge en direction de sa bouche. La virilité emporta son palais, mais l’appétit de sa mâchoire accula le gros gland. Elle serra ses maxillaires, faufila sa langue contre le mandrin, avant d’initier un lent mouvement de va et viens.

Les grognements de bêtes débauchées jaillissaient de la gorge de Robert pendant que son bélier s’impatientait dans la petite gueule. Un puissant coup de reins d’agacement fit chanceler sa nièce qui se raccrocha. Impudique, elle écarta les cuisses à la recherche d’une fraicheur orageuse et la brise glissa sur sa fente lisse qui coulait déjà sur l'idée de fantasmes interdits.

Les reins de Robert s’énervèrent, Christine suffoqua et délivra l’outil qui distordait sa mâchoire. Les yeux exorbités, elle quémanda de l’air en inspirant à pleins poumons, alors que son oncle commençait à s’exaspérer :

 

-     Tu es une amatrice, Christine ou une pro ?

 

Le quadragénaire agrippa fermement sa pine et la fourra de force dans la petite gueule pour la « démonter ». Il plaqua une main derrière les deux nattes et serra les dents, avant de pilonner de son piston la jeune bouche baveuse dépassée par le contexte.

Enfin, il se retira et fit un pas en arrière. Christine s’écroula dans la paille. Pour ne pas capituler, elle posa ses deux paumes sur le sol et éleva les yeux vers son maître.

 

-     Je vais assurer tonton !

-     Je suis à point ! Tu apprends vite ma cochonne !

 

Christine se sentit flattée, elle se dressa sur les genoux et esquissa un sourire à ce membre lourd.

 

-     Suce et avale, ça te fera pousser les seins !

 

Elle le défia quelques secondes et obtempéra. Elle cueillit ses couilles dans la paume de sa main et goba son gland pour le terminer. Elle frotta vulgairement sa chatte, son gros bouton en grimaçant, alors que sa bouche s’extasiait sur le calibre de chair qui entravait sa langue.

Robert s’immobilisa, se tétanisa, avant de geindre et envoyer une gerbe féroce dans l’orifice. Christine peina, elle eut du mal à avaler, mais elle s’appliqua pour ingurgiter giclée après giclée, le bon nectar bio de la ferme.

Christine n’eut pas le temps de « noter » l’onctuosité de la semence que Robert la saisit par le bras pour la relever à sa hauteur. La néophyte tituba et il lui enleva sa robe. Il la remonta par les aisselles jusque sur la botte de paille où elle s’allongea. Robert dirigea sa tête entre les cuisses de la nymphette, il remplit ses poumons de l’odeur, avant que ses doigts ne détaillent la jeune ouverture. Sa langue goûta une mouille épaisse qu’il dévora avec gloutonnerie ; son bassin entama dans le vide des coups de reins « automatisés » : Robert excellait dans le rôle de mâle reproducteur, une bête faite pour le sexe.

Sa langue bestiale la lécha jusqu’au recoin interdit. Christine plaça ses deux mains sur la tête fouilleuse pour qu’il n’arrête jamais, alors que son regard cherchait la présence d’un deuxième mâle pour satisfaire une bouche insatiable…

Robert déroba nerveusement sa tête, se redressa et tira à lui le corps par les cuisses, il saisit son pénis. Il haussa les deux baguettes qui servaient de jambes à sa nièce et introduisit son dard patiemment dans la fente.

Il entama des coups de reins, toujours aussi choquants. Robert releva les yeux vers le fond du hangar où son frère apparaissait imperturbable le sexe à l’air.

Devant le spectacle, Michel devait se branler depuis plusieurs minutes. Il s’immobilisa en présence du visage renversé vers lui et il posa ses mains rugueuses sur les deux bonnets de sa fille. Il dégagea les deux seins, avant de les malaxer, une paire de tétines s’érigea entre ses doigts.

Christine croisa pour la première fois le regard de son père, mais surtout, la réalité d’un sexe qu’elle avait entrevue dans la chambre de Sally. Le mât se dressait là, sous ses yeux, les deux gros abricots excitaient son imagination perverse. Michel lui offrit son gland rosé pour le bon vouloir d’une jeune femme qui n’était encore qu’une nymphette.

Elle préféra agripper le membre qu’elle branla entre ses petits doigts et son impatience le dirigea dans sa gueule.

Michel continua de maltraiter les tétines de sa fille et il se laissa câliner par une bouche aussi habile en lustrage qu’en parole.

Les coups de boutoir de Robert encouragèrent Christine à s’abandonner sur le morceau de chair. Robert saisit plus fermement les genoux et livra sa bataille d’Angleterre dans l’étroite chatte dans l’espoir d’un nouvel orgasme. Il la défonça profondément pour son seul plaisir, alors que Michel, son frère décidait de l’imiter en baisant la finesse de sa gueule.

En voyant son allié perdre le contrôle, Robert sentit monter en lui une autre cargaison de semence… Il accéléra ses coups de reins et gicla dans la fente en pensant à Sally. Il s’immobilisa au fond du ventre et attendit que ses couilles se tarissent.

Quand il reprit « connaissance », il se retira sur l’irritation de Michel qui tira sa fille à lui : elle tomba lourdement sur la dernière botte et se récupéra sur les genoux et les mains, immédiatement, son père témoigna son intérêt pour une levrette.

 

-     Ã‰carte bien tes miches !

 

Christine s’exécuta maladroitement sous le joug paternaliste, sa fente déversait encore un mélange intime, vulgaire et s’écrasait pesamment sur la paille. Michel branla son sexe, il s’approcha du fragile postérieur, il frotta son gland en gémissant, avant de l’immobiliser sur le petit trou. Le derrière de Christine trembla, ses hanches tentèrent de se dérober, mais la prison et la pression du bélier forcèrent la rondelle.

 

-     Ne bouge pas, sinon je vais te faire mal !

-     Mais j’ai déjà mal

-     Tais-toi espère de petite allumeuse !

 

Christine tortilla les reins, Michel l’obligea à s’ouvrir, avant de s’introduire sur un silence ponctué d’une souffrance. Christine eut le souffle bloqué, elle aurait pu hurler, mais elle y voyait déjà une forme de plaisir l’envahir de son ventre à ses méninges. Le pieu coinça quelques fois, puis glissa lentement en elle, l’épicurienne gueula et soupira sur une longueur qui n’en finissait pas de s’engager en elle.

La douleur venait de prendre le dessus sur ses désirs, elle se rappela les paroles de Sally et décida d’accepter le calibre qui s’enfonçait centimètre après centimètre dans ses intestins.

Son cochon de père aimait défoncer des petites rondelles ! Entier en elle, elle pouvait sentir sa satisfaction à travers ses râles jusque dans les battements de son membre qui aurait pu la faire décoller de la botte. Il commença à la baiser, salement, un trou étant un trou, qu’il appartienne à sa mère ou à sa fille, il importait seulement son plaisir primitif.

Elle chercha à fuir la douleur, mais les mains puissantes emprisonnèrent ses hanches et elle comprit qu’elle avait libérée une bête sauvage qu’elle ne préférait pas contrarier.

Il entama une percussion d’enfer qui compressa le corps fragile contre la botte de paille, Christine n’arrivait pas à asseoir sa position qui à chaque fois s’ébranlait sur les mouvements du piston de chair.

Elle trouva une forme de plaisir dans ce membre qui lui éclatait les fesses, elle tenta d’en apprécier quelques nouvelles satisfactions en contractant sa bague anale et elle sentit que cela plaisait.

Soudain, Michel accéléra et s’immobilisa au fond de ses intestins. Il grogna, hurla et laissa échapper son fluide en se cramponnant aux fessiers. Il donna quelques coups de reins pour entretenir une intense jouissance sans se soucier des usages de la société.

Il retrouva ses esprits bien avant sa fille. Il se retira du sinistre anal et il s’en alla rejoindre son frère au bout du hangar.

 

Les vacances de Christine se terminèrent sans un autre coup d’éclat. Quatre jours plus tard, Michel et Robert conduisirent la jeune femme à la gare.

Sur le quai, ils attendirent le TER. Malgré l’ambiguïté des sentiments qui étreignaient ses pensées, Christine avait aimé ces jeux interdits, elle avait adoré être prise, par les trois trous et cela lui avait grandement changé des jeunes « juteurs » précoces de son âge.

Avant de monter dans le wagon, elle embrassa une dernière fois les deux partenaires particuliers avec une affection équivoque pour chacun.

Elle se pencha par la fenêtre du train, soudain, deux larmes coulèrent sur ses joues en agitant sa petite main. Que se passait-il ? Était-ce le pressentiment qu’elle ne reverrait plus jamais l’une des deux personnes ?

 

2024

 

Dans sa chambre, allongée à l’aise sous un simple drap, Christine sentit quelque chose dans son dos, une main l’ébranla et elle se réveilla tout en se tournant.

 

-         Maman, il est sept heures !

 

Le visage de Robin, son fils s’éclairci à ses yeux fatigués. Naturellement, Christine lui esquissa un sourire, puis elle regarda autour d’elle, mais 1994 s’était envolé.

Hier soir, elle avait appris la mort de Michel, son père et une réalité douloureuse la submergea.

 

-         Maman ! Ne pleure pas ! Je serai là avec toi, on surmontera tout ça ensemble.

 

La bouche de son fils se posa sur la sienne, mais elle resta au fond de son lit à développer la cruauté du destin : après son mari, c’était son père qui était « parti ».  

Nous étions vendredi matin et dans dix heures, trente ans après l’avoir quitté, elle sera de retour à Châtillon.

 

À SUIVRE


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21-07-2024 0 511

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