Une inévitable soumission.

Récit érotique écrit par mazaudier le 14-01-2023
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Catégorie Partouzes-Orgies

Je me réveillais le matin, constatant bien souvent que durant la nuit, j’avais encore visionné le film de l’adultère de Charlène, ce fameux jour où elle avait cédé à un désir trop fort pour un inconnu, où elle avait été submergée par un plaisir qui l’avait fait jouir, bien plus que de coutume.

J’avais tout gardé en mémoire, l’expression de ce visage, un temps figé, puis très vite séduit, la moindre ondulation de ce corps qui se donnait, de ses mains, qui se permettaient des choses sur le corps d’un autre au bord de l’orgasme, qui se noyait dans les yeux de son amant.

Au lit, certes on s’était retrouvé mais ne pouvais lui offrir mieux. Je savais que cet homme lui avait donné énormément de plaisir, et ne pouvais la priver de ça. Il fallait que je lui dise.

Devant la télé, on avait débouché un bon cru, nôtre fille était chez se parents, j’ai pris mon courage à deux mains,

- Tu sais Charlène, si tu en éprouves le besoin, si ça te fait plaisir, je serais assez d’accord...enfin je ne verrais pas d’inconvénient à ce que tu revoies le type qui t’a donnait tant de plaisir...Lucas je crois, qu’en penses tu ?

Elle me regarde, l’air hébété, abasourdie par ce qu’elle vient d’entendre

- Mais t’es pas bien, c’était un coup...comme ça, une occasion. j’ai flanché c’est tout ! rien à faire de ce mec».

Elle bredouille, elle se trouble, ses pommettes prennent de la couleur, elle s’en rend compte, s’éclipse, direction cuisine.

Je la laisse se reprendre puis la rejoins me colle à elle. Dans son dos je l’enlace, plonge mon nez dans sa chevelure soyeuse, m’enivre de son parfum. Mes mains courtisent ses seins. Le désir me prend, mon sexe se réveille et elle doit en avoir la preuve insolente contre les fesses maintenant.

- Ne le prends pas mal, tu as pris tellement de plaisir ce jour là, je t’ai vue rayonnante d’une beauté étincelante, tu étais si désirable ! Cet homme, je n’arrive même plus à lui en vouloir, il t’a fait l’amour comme tu le méritais. Il te plaît, je le sais...si tu veux, je l’invite.

La gêne est palpable, de précieuses secondes s’écoulent durant lesquelles elle semble interroger ses envies, puis se retourne, m’embrasse tendrement.

Cette langue qui me fouille, cette haleine chaude et délicate qui m’enivre, elle ne m’a rien répondu mais ce baiser mouillé en dit bien plus long.

Elle me dit oui avec sa langue, oui avec ses lèvres...

- Je l’appelle ?

- Maintenant ? Mais...

- Nous n’avons pas la petite cette semaine.

Je glisse ma main entre ses cuisses, son intimité la trahie. Sa petite chatte est toute mouillée.

- Allô, Lucas ? oui, c’est de la part de Charlène.

Je suis calme, serein, persuasif.

Au téléphone, Lucas est très vite séduit par la proposition, il gamberge, je le sens prêt à chambouler son emploi du temps afin d’être là au plus vite.

Charlène écoute, émue, rougissante comme de coutume.

Elle me couvre de baisers, elle tremble, je sens ses seins dans mon dos, furieusement excités, piaffant derrière leur étoffe dentelée, réclamant une caresse de toute urgence. Elle ne peut contenir son émotion et semble masturber sa poitrine contre mon dos.

- Qu’il vienne vite , Me souffle-t-elle à l’oreille

On sonne à la porte, c’est Lucas...putain qu’il est beau !

Charlène lui offre un sourire complice, qu’il lui rend, plus coquin encore.

Ils se cherchent des yeux, on s’installe sur le canapé, je fais connaissance avec l’amant, on parle peu, Lucas semble attendre ma permission.

Je fais le premier pas, je la libère de son pull, dépose un baiser sur sa joue et m’installe entre ses cuisses. Charlène m’observe la déculotter, lentement, et guette sur mon visage le soupçon de jalousie qui pourrait la faire renoncer.

Je lui souris en découvrant sa chatte déjà gonflée, rouge et luisante à travers le fin duvet luxuriant, j’y appose mes lèvres, la gratifie d’un coup de langue appuyé qui la fait frémir, puis sursauter.

- Hum ! Mon chéri ! Je vais avoir beaucoup de plaisir.

Elle se tourne vers Lucas, dégrafe son soutien-gorge et les yeux mi-clos lui offre sa poitrine ! C’est un peu rapide à mon goût, la jalousie me gagne, je ne dois pas y céder, c’est trop tard maintenant. Il lui dit qu’elle est belle, la dévore des yeux ...

Ce qu’elle va lui demander me tourmente, me cloue et m’épate en même temps !

- Tète mes seins, je n’en peux plus.

Il se rue sur l’offrande, tète avec fougue, pince le téton de ses lèvres charnues, malaxe ses mamelles les déforme de ses mains, puis les embrasse comme pour s’excuser de les avoir ainsi malmenés.

Il se goinfre de sa douce et précieuse intimité, de ce que Charlène m’avait jusque alors toujours réservé, il fait l’amour à ses seins, ils sont sublimes !

D’une aréole à l’autre, un sein dans chaque main, Lucas s’applique et Charlène l’encourage, le complimente

Oh!...oui...mange-moi, c’ est bon ...Vas y oui mon chéri...ta bouche...oui...

Elle le contemple sucer ses seins, écrase son nez sur sa chair parfumé

- Que tu es beau...

Ses scrupules se sont évanouis devant la puissance de son désir, elle ne craint plus de me blesser et me jette en pleine face le béguin qu’elle a pour ce beau mec.

Je m’occupe de son clitoris comme jamais je l’ai fait, j’y mets toute la passion que j’ai pour elle. Elle geint sous mes lèches, inonde ma bouche de sa liqueur parfumée, se cambre. Je frissonne en l’entendant supplier.

- Embrasse-moi...oui viens...

Cette invitation, toute simple, qui longtemps m’était destinée, c’est un autre qui me la confisque

Je jette un œil à l’étage supérieur, leur bouches se sont retrouvées, les yeux dans les yeux, ils se respirent. Charlène s’est abandonnée, ses paupières se ferment, Lucas s’en détache quelques secondes pour mieux la contempler, je la surprends, la langue offerte, ne dissimulant plus rien du plaisir qui l’envahit.

Elle l’implore, le supplie du regard de l’entreprendre à nouveau, ils se recollent, se lapent comme deux jeunes chiots.

Le teint hâlé de Lucas contraste avec la jeune peau de Charlène, mais leur beauté ont des points communs, la finesse des traits de leur visage, leur narines joliment ourlées, je dois bien l’admettre, ils s’attirent l’un l’autre, le désir les possède.

Je bande. Je défais mon jeans, mon sexe me fait mal derrière le tissu tendu.

Charlène s’en inquiète quelques secondes, s’en amuse et m’adresse un message narquois.

- Tu vas voir mon amour, dans ce pantalon là, fait-elle en soulignant d’un geste câlin la grosseur qui tourmente le jeans de Lucas, il y a un joujou qui va me rendre folle, mais je crois que tu l’as déjà vu ? N’est ce pas ?

On en devine aisément les contour. Charlène l’inspecte de la main.

- Hum...quel calibre...

Elle a faim de cette friandise, elle a faim de ce sexe, je la découvre capricieuse, comme une fille devenue femme trop vite, et qui exige qu’on la contente, tout de suite .

Le ton qu’elle a pris me surprend, commet ose t-elle ? L’excitation la rend impudique et vicieuse.

J’en prends ombrage, prépare une riposte gentille, mais en un tour de main, elle me met devant le fait accompli en dégageant elle-même le membre de Lucas de son écrin.

Je ne la lèche plus ... je regarde stupéfait, admiratif. Sa queue fait presque deux fois le mienne.

Charlène me sourit, satisfaite de son effet, elle regarde ses propres seins, leur sourit, elle en est fière, et pour cause, elle connaît parfaitement leur puissance de séduction, leur puissance de feu. Son petit air mutin, sa moue de gamine me font baver d’envie.

Elle laisse ballotter nonchalamment ses jeunes fruits mûrs devant nos yeux écarquillés, Lucas me les dérobe de ses mains impatientes, Charlène grogne son contentement.

Je me replonge entre ses cuisses et me vautre dans sa liqueur de femme, aspire son petit bouton de chair. Je veux la rendre folle.

Les « hou...hou...» qu’elle me couine me sert de vengeance.

Elle glisse du canapé, se dégageant du même coup de l’emprise de son amant. Je me retrouve allongé sur le tapis, Charlène rit, elle m’a enjambé et s’assied sur ma bouche, je la fouille de ma langue. Son clitoris dressé, flamboyant semble me remercier sous les plis de son écrin douillet.

Elle vient le couvrir de sa main, puis le taquine avidement, frénétiquement, d’un doigt tendre et efficace. Elle harcèle son petit bouton d’amour, tente de calmer une délicieuse démangeaison qui ne fait qu’amplifier.

- Hum ! que c’est bon mon amour...que c’est bon.

Je suis ivre, je vais au plus profond, je goûte son intimité. Elle intensifie sa pression, me couvre le visage de son jus. Je sens qu’elle s’offusque un instant de ce qu’elle me fait subir, mais l’excitation est la plus forte, sa chatte commande, elle se frotte en geignant, elle se branle sur mes lèvres.

Coincé sous sous sa chatte, je contemple par le dessous, ses seins, mais aussi la bite au garde à vous de Lucas. je l’aime, nom de Dieu, que je l’aime !

Lucas l’a rejoint, lui fait face à nouveau et la reprends là où il l’avait laissée.

Je me délecte de la scène, leurs langues s’invitent, se combattent, se défient.

Trois mois maintenant qu’ils ne s’étaient revus, ils sont en manque l’un de l’autre, et ça crève les yeux !

La proximité du membre de Lucas me trouble. Cette belle queue nervurée, rigide, se balance au dessus de mon visage, se repose parfois sur mon front, emporté par le poids de son gland violacé.

Je n’ai qu’un geste à faire, l’envie me prend, elle devient irrépressible, je le saisis, Lucas conteste mon geste d’un « hé » de surprise, mais je lui fais trop de bien, il se rend, et accepte l’affront.

Il est beau, il sent bon, il a les bourses grosses, pleines, je les câline, baptise son gland de ma salive, je le lèche, m’attarde sur son frein, récolte de ma langue le précieux liquide qui bientôt garantira le plaisir de Charlène.

Je constate que j’en tire un plaisir prodigieux ! Ce coup de foudre insoupçonnable me rend fou. Je tombe amoureux de sa bite, j’ai envie qu’il me viole la bouche. J’ai honte

- Charlène, ton mari me suce ! Bredouille-t-il à l’oreille de ma belle.

Elle m’adresse un sourire béat de plaisir, radieuse, les lèvres rouges d’avoir trop embrassé, les pommettes en feu, et finit par prendre la décision qui s’impose, celle que son ventre réclame. Elle se saisit du pieu de chair, sa main me parait soudain ridicule autour de ce gourdin majestueux. Je remarque qu’un peu de ce lubrifiant masculin s’en échappe et vient secrètement outrager l’alliance qu’elle porte au doigt.

Elle joue avec son prépuce, le fait coulisser encore quelques coups, me jette un dernier regard, et le présente à l’entrée de sa chatte gourmande.

- Oh !!! mon chéri...oh oui...comme tu me baise...elle est bonne ta queue.

Comme la première fois quand il l’avait prise sur la table de la cuisine, le sexe de Lucas semble emporter les lèvres intimes de Charlène, de ses va-et-vient vigoureux, et les longues plaintes qui s’échappent de cette bouche délicieuse, ne font pas grand mystère du plaisir qui la prend.

Il est copieux, il est succulent, elle est gourmande et en redemande.

Charlène se fait baiser, Charlène crie son plaisir, réclame des assauts de plus en plus profonds et m’oublie, prise sur le calibre de Lucas.

Plus rien ne compte au monde.

Ses seins dansent au dessus du nez de son amant qui les honore parfois de sa bouche affamée.

Charlène est remplie, heureuse, elle accueille son orgasme les yeux révulsés, la respiration saccadée, mon amour jouit à en perdre haleine.

Lucas la besogne encore, je me dis qu’il faut qu’il cesse, elle ne tiendra pas.

Mais cette fois, je constate qu’il ne tient pas la distance, l’ayant sans doute désirée depuis trop longtemps. Lucas craque, lui agrippe les fesses, bloque son bassin de ses mains puissantes et se déverse en elle, généreusement.

- Oh Lucas, quel amant...je te sens au fond de moi...oui, vide toi mon amour.

Charlène suffoque, chancelle, agrippe ma queue. Je jouis dans sa main.

Elle reprend son souffle, doucement, puis me sourit, saisit la queue de son amant, l’enfonce dans ma bouche.

-Nettoie lui la bite, mon chéri...avale sa jouissance…il m’a donné tellement du plaisir...à ton tour de lui en donner...

- Ma petite chérie, tu es née pour l’amour, trop belle pour faire autre chose. Tu sais que je ferai n’importe quoi pour toi. Il peut venir dans ma bouche s’il le veut.

Charlène se penche, murmure à mon oreille.

- Oh non, lui dis-je, pas ça...il est trop gros, il va me déchirer…

- Mais non, mon chéri...au début tu auras mal ; mais après, tu vas te régaler.

Elle insiste, tient beaucoup à ce que son amant me sodomise, mais je ne suis pas prêt pour ça. Elle insiste...je cède.

Je propose à Lucas de passer quand il veut, pour baiser Charlène, et plus si je me plie aux exigences de mon épouse.plus si affinité.

Lucas nous rend visite tous les week-end. Avant de passer la nuit à baiser ma femme, il m’encule, devant elle. Charlène prend du plaisir à m’entendre couiner, mais je dois avouer qu’elle avait raison. J’adore sentir l’énorme bite de Lucas dans mon petit trou, tout comme j’aime lui tailler des pipes, et avaler son sperme. Je suis entièrement soumis à l’amant de ma femme, à tel point qu’elle m’oblige à l’appeler « Mon chéri ».





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