La station de lavage

Récit érotique écrit par Patrick de Toscane le 04-05-2024
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Catégorie Infidélité

En cette fin mars, une météo particulièrement favorable nous prive de la pluie. J’ai passé la matinée en réunion pour réorganiser les méthodes de travail de l’atelier. Les discussions ont été pénibles, houleuses et elles ont fait ressortir des « problèmes Â» aux niveaux des ressources humaines. Je traine les pieds pour aller plus loin dans ce genre de travail et je suspends ma décision quant à ma participation à la réunion de cette après-midi.

Après une dizaine de minutes à la machine a café, je vais dans mon bureau où Jennifer, de la gestion du personnel, m’interpelle pour me remettre discrètement un dossier que je sais composer de noms.

 

À midi, je souffle, un coup d’œil sur le temps à travers les vitres, puis dans l’entrée de mon bureau, je croise un rayon de soleil en legging et chemisier qui me suggérait de chaude pensée. Chloé me fixe de son regard azur et m’esquisse un sourire qui ne fait pas de doute…

Chloé est notre cheffe comptable, la quarantaine, divorcée, je savais qu’elle avait quelques aventures, mais elle ne souhaitait pas flirter avec mes problèmes de couple. Elle recherchait une situation stable, certainement pas avec un homme fidèle à sa femme.

 

Après avoir pris mon sac à dos contenant, mes notes de réunion et le dossier de « Jenni Â», je file vers la sortie. Le beau temps a inspiré les jardiniers qui ont récemment fait la première coupe de l’année. Je monte dans mon Alfa et je file en direction du centre commercial.

Là-bas, j’ai ma table à « La brasserie de la source Â» et pour une fois, j’en profite pour me restaurer, loin du clavier, mais je ne résiste pas à jeter un coup d’œil sur le fameux dossier. Je fais gaffe à ne rien salir, j’y vois des noms, des collègues et j’ai un peu la nausée au regard de la galère dans laquelle je me suis embarqué.

 

À 13 heures, je sors de la brasserie pour traverser le hall du centre commercial. A la faveur d’un banc, je termine de ranger mes précieuses notes dans mon gros sac à dos ; autour de moi, je sens de la tension : un enfant traverse en courant, sa mère derrière un caddie cherche à le rattraper.

Je sors, le soleil est toujours là, les gens pressent le pas : c’est la mode ! Soudain, un jeune sur vélo électrique « gueule Â» sur ma gauche, il évite un caddie poussé par un jeune couple, puis il me frôle à cinquante centimètres.

 

-         T’es aveugle le vieux ?

 

Hurle-t-il en slalomant entre un piéton et une voiture. Putain, j’ai 56 ans !? Je me retourne sur le jeune couple : ils haussent les épaules et poursuivent leur chemin.

Vérifiant une dernière fois l’absence d’excités, je regagne ma voiture, avant de ronchonner franchement en la découvrant dans son « jus d’hiver Â». Jusqu’à là, les pluies successives avaient nuancé sa crasse, mais après quatre jours de beau temps, mon italienne accusait bien trois mois sans le moindre lavage.

L’horloge du tableau de bord indique 13h10 : j’ai le temps ! En début d’année, il s’est ouvert une station de lavage juste avant la sortie du centre commercial et j’y file sans perdre de temps. La chance est avec moi : personnes aux rouleaux. J’immobilise ma voiture sur la piste, enlève l’antenne, rabat les retro et vas-y que je te lance un programme 4.

 

-         Le vieux ? Pff…

 

Je ne m’enlève pas de la tête les mots du malade qui semble rejoindre une cohorte de « possédés Â» bien gratinés.

Les rouleaux me tirent de mes pensées en « cognant Â» comme pour me faire voir qu’ils font du bon travail. Je lève les yeux, au-delà du portique où je remarque l’arrivée d’un gros SUV BMW ; il se gare sur la piste des aspirateurs.

Avec la taille de son engin, je pense qu’il va en avoir pour un quart d’heure ! Je regarde ma montre, puis relève les yeux sur une paire de jambes gainées de bas noirs. Une femme de taille moyenne se dresse sur ses souliers à talons hauts. Elle porte une petite jupe droite, mi cuisses et un petit pull, moulant, fait pour affirmer ses deux atouts.

J’hallucine ! Ce n’est pas tous les jours !

Directrice commerciale ? Médecin ? Je ne sais pas, mais je la matte, tel un prédateur, mais sans cartouche. Plaisir des yeux, cinq minutes, pas de temps à perdre.

Elle doit avoir une bonne trentaine d’années, peut-être quarante, j’essaye de comparer sa poitrine avec celle de ma cheffe comptable, mais je ne saurai trop me décider, mais… les pulls moulants, ça me plait !

Je regarde ma montre : ça va ! Je devrais prendre plus souvent la clé des champs. Le portique s’immobilise, c’est vert et j’entre dans ma voiture. Je lève les yeux en face de moi, je ne la vois plus, je reste sur mes souvenirs ; je prends mon portable sur le siège et vérifie si j’ai eu un message, avant de le ranger dans mon sac.

Je mets la première, sors de la piste puis tourne à droite. Dernier regard désintéressé sur mon amazone : « Adieu ! Â». Elle est penchée sur sa banquette arrière, belle vue sur ses bas… et je donne un coup de volant pour me garer sur la piste voisine. Qu’est-ce que j’ai fais ? Je me sens ridicule de jouer le vieux irrésistible. Peut-être devrais-je songer à reprendre la branlette ou plus simplement, décider de tromper ma femme, avant une inévitable séparation ?

Dans le rétro extérieur, je vois qu’elle tourne la tête vers ma voiture… Je descends sans savoir si j’ai une pièce, je croise son regard et lui envoie un sourire réflexe auquel elle répond. Je n’abuse pas. Je ne suis pas là pour user l’une des capotes que je garde précieusement dans mon sac au cas où je ne puisse pas résister aux courbes parfaites de Chloé.

Vraiment : pourquoi me suis-je arrêté ? J’ouvre mes portières et fouille mon sac à la recherche d’une pièce d’un euro.

Précieux sésame en main, j’ouvre le coffre, alors qu’elle s’éloigne de quelques pas, le portable à l’oreille. Je sors tout ce que je peux et le dépose sur la bordure de la piste.

Je lance l’appareil en ne pensant qu’à ne pas arriver en retard ; là, je ne peux pas accélérer, alors je m’applique en ruminant mon ridicule.

Après une minute trente, le silence de mon aspirateur me sort de ma voiture. Petit regard sur ma voisine, elle me sourit et rompt le silence.

 

-       Mes neveux ont décidé de faire une bataille de pop-corn : ils en ont mis partout et comme toujours, c’est tatie qui doit tout nettoyer !

 

J’esquisse un sourire, mais mes yeux ne résistent pas à quantifier le volume de ses seins.

 

-       Un jeune à vélo à failli me renverser : il n’y a pas que les enfants qui sont intenables.

 

Dis-je en oubliant de retirer mon regard de sur son pull. Elle pouffe et le prend bien. Intenables ? Promis, je ne faisais pas référence à ses seins ! Elle referme sa portière arrière et file de l’autre côté. Patrick, c’est tout pour aujourd’hui, dernier coup d’œil sur l’amazone avec son tuyau d’aspirateur : elle est penchée sur son coffre, sa jupe remonte bien, mais c’est surtout sa poitrine qui accompagne ses grands élans ménagers vers le fond de son coffre… Le bas de son pull remonte et dévoile sa peau rosée… J’ai chaud ! Et sa jupe ? Il me semble apercevoir la dentelle de ses Dim’ up, mais… Je me focalise sur ma montre : 45 ! Ma dernière réunion de la journée débute dans 15 minutes !

Je range tout dans le coffre et sur le siège passager, à chaque fois que je le peux, je matte, je voudrais savoir si elle est bas ou collant.

 

Avant de remonter, je cherche son regard, mais en vain... Je fais une marche arrière et réalise avec horreur qu’il ne me reste plus que dix minutes. Le temps passe vite !

 

Dans la grande ligne droite qui me mène au taf, je pense à elle et à cette expérience peu commune.

A l’approche de la barrière de sécurité, je me colle derrière la voiture d’un collègue pour ne pas avoir à sortir mon badge, puis vais me chercher une place. Je remarque tout de suite de l’agitation vers l’espace détente et ses deux tables : six personnes sont là, je remarque quelques bouteilles de jus de fruits et, Chloé qui ne tarde pas à remarquer mon arrivée. Elle me montre sa montre.

 

Je sors tout de même en hâte au cas où, puis elle me fait un sourire, je ne retiens pas un regard sur sa poitrine.

Après un dernier verre de coca, ils plient bagage en direction du bureau et moi, je m’en vais vers ma voiture avec Chloé pour récupérer mes affaires de travail. J’ouvre la portière « passager Â» et ma collègue en profite pour discrètement me mettre une main aux fesses : elle jubile, elle adore, mais me rend furieux de ne pas pouvoir lui rendre la pareille sous prétexte que, pour moi, lui claquer ses fesses serait comme tromper. Je sais, c’est petit, mais je suis encore comme ça.

J'ouvre la portière « passager Â» sur le vide... Les places arrière… Je commence à paniquer et vais dans le coffre, mais rien ! Putain : ou est mon sac ?

Pas possible que je l’ai laissé à la station de lavage, alors, sous le regard de Chloé, je refais le tour de la voiture, mais rapidement, il faut que je rende compte que je l’ai oublié à la station de lavage.

Je marche de long en large sous le regard inquiet de ma collègue.

 

-       Dépêche-toi d’y retourner ! Je leur dirai que tu as eu une urgence.

 

Je remonte dans ma voiture.

 

Dix minutes plus tard, j'arrive aux abords de la station de lavage. Je roule vers les deux pistes désertes. Je stationne ma voiture et descends. Je l'avais posé là, sur la bordure : comment ai-je pu partir sans le voir ? La conductrice l'avait-elle subtilisé ? Non, la seule chose qui m'avait distrait était l’agitation de son gros derrière. Oui, ses bas, ses seins… Téléphone, notes et ce foutu dossier sont perdus ! Putain, c’est un cauchemar ! Je pense au flic ; aller déposer une plainte, au moins pour mes papiers : carte grise, carte d'identité, etc. J'ai le vertige. Je pense à la caisse centrale du supermarché, peut-être que la cliente de la station de lavage y a déposé mes affaires, mais la réalité est rude : « non Â» !

La perte du dossier « confidentiel Â» a du mal à passer. Je pense à moi, à Jenny.

 

Vaincu par le sort, je prend la réunion en cours et réussi à dissimuler la perte du dossier, j’exprime mon désir de partir plus tôt en prétextant un rendez-vous et la journée s’achève ainsi.

 

Je prévois de me rendre au commissariat, mais au dernier moment, je renonce. Je rentre chez moi en utilisant la clé de secours. Je prends une douche en compagnie des images érotiques de midi et je ne tarde pas à bander. Je me sèche ainsi que ma gaule, lorsque le téléphone fixe sonne. L’appel ne vient pas de mon intrigante, mais de ma femme : Nina me rassure, quelqu’un a retrouvé mon sac et que je peux aller le chercher à 18h30 au 31 rue des Iris. Malgré la minceur des renseignements, je respire mieux, un poids de cinquante kilos vient de s’envoler. Sur le PC, je regarde « Google Maps Â» et mémorise l’itinéraire : une rue sur la droite juste avant la sortie de la ville.

 

Le trajet est presque une formalité. Après 20 minutes, je tourne dans la rue des Iris : jusqu’à là, j’ai bon ! J’avance… La rue est bâtie autour de vieilles maisons et des commerces désaffectés pour cause de grande surface.

Le 31 ? J’identifie rapidement le 17, 27, je regarde dans mon rétro et ralenti… 33… Merde ! Y avait un truc abandonné, c’était peut-être là ? Au premier dégagement, j’opère un demi-tour et repasse… 37… 35… Je suppose le 33 et du coup, je m’arrête le long du trottoir. Je descends et traverse… Putain, je reconnais le SUV BMW stationné en face du 33 ! J’ai du mal à imaginer cette femme vivant dans cette rue ? Nina m’a dit « 31 Â», mais c’est un garage désaffecté !

Fais chier ! Je sonne au « 33 Â».

La porte s’ouvre sur une femme âgée, elle m’esquisse un sourire.

 

-       Bonjour Madame, je suis bien au 31 ?

-       Ah non, monsieur, le 31, c’est à coté ! Le garage !

 

Je n’ai pas le temps de commencer à réfléchir qu’elle me referme sa porte au nez. J’atterris… Intrigué, je m’exécute et dirige mes pas vers ce qu’il reste d’un « parking Â» et des locaux.

Je m’immobilise devant une chaine en acier qui dissuade tout véhicule de passer ! Je crois que le 31 est en fait une ancienne concession « Renault Â». Des herbes sauvages ont perforé l’asphalte et tout est mort ici. J’aurais mon portable, j’appellerais Nina pour lui dire qu’en réalité, le 31 est une blague.

J’enjambe la chaine et ne sais trop où aller. Je jette un Å“il à travers la vitre crasseuse de la concession, quelques autos décharnées sont là dans une lumière naturelle. Allez ! J’investigue encore deux minutes, puis je me casse, je n’ai pas envie de finir cette journée au poste.

J’aperçois sur la droite une porte « anonyme Â», je hâte le pas par impatience, mais elle résiste… Je fais demi-tour parmi les quelques herbes hautes et je longe une nouvelle fois la devanture de l’ancienne concession. Je m'engage sur le côté gauche où une porte béante semble m’attendre.

J’entre dans les locaux... C’est par là qu’autrefois, les clients devaient entrer dans l’atelier. Une odeur pesante d’huile, de cambouis et de poussière me donne l’impression que la vie s’en est allée depuis au moins cinq ans !

Drôle d’endroit pour une rencontre ?

Je me dirige vers des bureaux aux portes closes ; à travers le vitrage, l’absence de mobilier est perturbante. Sur la droite, deux épaves de « Super 5 Â» vieillissent avec le décor.

Je scrute du regard le reste du site avant de revenir aux bureaux où autrefois… Oh là ! Une silhouette qui bouge.

J’avance vers cette porte où ma « cible » se meut à travers les carreaux ; j'abaisse la poignée…

C'est elle ! Soupire…

Mon apparition ne semble pas la surprendre, son attention reste fixée sur de la paperasse, puis finalement, elle lève un regard interrogatif vers moi. Assise sur un tabouret devant le bureau, les jambes croisées, elle a posé mon sac derrière elle, près d'un vieux moniteur CRT.

 

-       Enfin ? J’ai failli attendre !

 

What ? Mon irritation est vite apaisée par ses jambes dansantes qui exhibent ses bas. Elle tourne brièvement un regard espiègle vers moi, avant de repartir dans sa lecture.

 

-       Vous devriez être ravi de me revoir ? Je suis surprise !

-       Vous me sauvez la vie, mais… c’est un drôle d’endroit pour récupérer mes biens.

-       Je n’ai pas bien réussi à déterminer votre métier, mais vous n’avez pas la tête à ce que vous faites ?

 

Elle m’agace cette prétentieuse.

 

-       Et vous ? Que faites-vous dans un garage désaffecté à cette heure-ci ?

-       Je termine mon travail. Je suis chargée par les créanciers de liquider les actifs de cette concession.

 

Soudain, je réalise que ce qu’elle tient entre les doigts, sont les feuillets du dossier confidentiel. Une vague d’anxiété m’envahi…

 

-       Madame ! Ce sont des documents confidentiels ! Tout ce qu’il y a à l’intérieur de mon sac est confidentiel ! On est d’accord ?

-       Vraiment ?

 

Devrais-je recourir à des moyens plus fermes pour soutirer mes documents des mains de cette connasse arrogante et sexy ? Je réfléchis, lorsque soudain, elle saisit sur sa droite une poignée de capotes.

 

-       Un homme avec une dizaine de capote sur lui est un mâle très précautionneux ou très libidineux, en tout cas infidèle ?

-       Je ne vous permets pas de l’insinuer. Abrégeons.

-       Elle s’appelle comment ?

 

Pour qui se prend-elle ? Je ne suis pas homme à manger dans une main, mais le silence s’éternise...

 

-       J’attends !

-       Chloé ! Elle s’appelle Chloé.

-       Et vous la sautez fréquemment ?

-       On ne l’a jamais fait !

-       Vous n’êtes pas en mesure de la satisfaire ?

-       Elle respecte mon couple.

-       Même pas une petite pipe Ã  l’abri des regards ?

-       Je vous le dis, elle respecte mon couple.

-       C’est élégant de sa part, un peu vieux jeu, mais c’est mignon tout plein.

 

Je décide d'avancer d'un pas lorsque soudain, elle soulève son pull et l'enlève, le posant sur le bureau poussiéreux derrière elle. Je suis surpris ! Par reflexe, mon regard se fixe sur ses bonnets bien garnis qui viennent de s’ébranler sur le mouvement.

 

-       Patrick, je suis une femme divorcée, j’ai une vie compliquée, mais cela ne m’empêche pas d’avoir des envies et là, j’ai une envie gloutonne de sucer, sucer une belle queue. Alors, je pense que c’est dans vos cordes de me fournir le matériel.

 

Je suffoque… J’attends de me réveiller… Elle décroise ses jambes, je vois la lisère de ses bas, mais pas plus… Elle plante ses deux talons dans le sol et pousse pour faire rouler son siège vers moi.

 

-       Ne me dites pas qu’au nom de je ne sais quoi, vous n’avez pas envie de toucher ces deux gros lots ?

 

Elle joint le geste à la parole en se soupesant. C’est vrai qu’ils sont… et que je suis devenu un chien abstinent. Elle hausse les sourcils, son regard quitte le mien pour se fixer sur ma braguette… longtemps… toujours… Je déboutonne et une satisfaction envahit son visage.

Je bande… déjà… fort, quand je réalise la simplicité des lieux. Je baisse mon jean et mon boxer jusqu’aux cuisses. Elle aime. Ses yeux s’ouvrent de trop, son regard fixe ma bite et comme si elle allait lui échapper, elle la prend entre ses doigts, avant de la diriger dans sa bouche. Je savoure cet instant devenu si rare. Hmmm… Je m’imprègne de sa langue humide et fraiche, qu’elle finit par plaquer sur mon frein… Elle me lustre quelques secondes, ardemment, fièrement.

Elle aime particulièrement la queue ! Elle tète mon gland comme une « Chupa Chups Â», elle me jauge et me provoque longuement de son regard de nympho.

Ses lèvres « remercient Â» mon gland d’une multitude de baisés, avant de me reprendre en bouche, copieusement, à fond !

Elle reprend son souffle, un peu longtemps, puis me glisse entre ses mâchoires, sa langue tourne, virevolte, puis s’active invisiblement sur mon frein.

Exceptionnelle ma suceuse !

Elle s’active d’avant en arrière, en apnée, mais la gourgandine n’a pas de souffle. Elle cherche sa respiration en soufflant fort sur ma pine, alors que je lui exprime ma satisfaction en caressant ses cheveux. Cette salope triche et pour ne plus étouffer, elle n’approche plus que le bout de sa langue qu’elle fait tapiner sur mon sexe : je sens tout deux fois plus que d’habitude !!! Elle me rend dingue, je sens mes couilles se tendres, puis mon sexe se pavaner sur l’un de mes meilleurs garde à vous.

 

-       Tu es divorcée, mais ton mec doit regretter tes pipes !

-       Les hommes regrettent toujours mes pipes, Monsieur.

 

Je suis obligé d’abréger, de gagner du temps sur une excitation qui monte trop rapidement.

Je me retire en reculant.

Je me penche et l’invite à se lever, je pose mes deux mains sur ses bonnets et tel un gros salaud, je malaxe ses gros nichons un peu trop fermes.

 

-       Vous pensez qu’ils sont vraiment intenables mes deux neveux ?

-       Refait ?

-       Pourquoi tout gâché ? Et votre collègue, elle fait du combien ?

-       A peu près pareil, mais les siens sont naturels.

-       Connard…

 

Subitement, sa main vient entre mes cuisses et vient caresser mes couilles, ses doigts sont frais, nerveux et son regard m’affirme une prétention à rabaisser.

Mes mains sur ses bras, je la fais reculer en direction du bureau que ses fesses percutent, je descends mes doigts sur ses bas, relève sa jupe jusqu’aux hanches. Dim’ up, petit string, elle se pose - sur - le bureau poussiéreux, elle relève ses genoux. Elle swing sur ses fesses, je passe ma main sur son string où son odeur enivre rapidement mes narines, mes doigts curieux filent sur sa peau nue au-dessus de ses bas, je la sens frémir, ça me plaît alors j’insiste. Mon sexe répond à ses gémissements je bande grave limite douloureux…

Je décolle de sa chatte son bout de lingerie et le fait glisser le long de ses bas délicieusement doux.

Je jette son string à terre, j’imprègne mes doigts de sa mouille, sa vulve est gonflée ; elle n’est pas sotte, elle se positionne, j’immobilise sa jambe de mon bras gauche et de ma main droite, je guide ma monstruosité violacée vers sa fente et cette source qui coule entre ses petites lèvres ; je pousse doucement, elle couine, mon dieu, Alléluia ! J’y vais, doucement et jusqu’au fond, elle est serrée, putain, c’est trop bon !!!

J’entame mon « run Â», elle enroule ses jambes autour de ma taille. Mon souffle est bon, je ne suis pas dans le « rouge Â», alors j’en profite pour accélérer. Son eau de toilette vient sur mon visage, puis une odeur de baise trouble mes instincts primaires. Je place mes mains sous ses fesses pour mieux la posséder. Elle est bonne, ce n’est pas la « baise Â» du siècle, mais j’ai besoin de me vider les couilles. Trois mois que j’attends !  Elle pose ses doigts sur ma poitrine, mon gland est au pays des merveilles, j’ai le vertige : je pense à Chloé, à ma femme, à ma tromperie, mon futur divorce… Les jours sombres sont devant moi, alors je vais profiter de l’instant. Allez ! Comment s’appelle-t-elle déjà ?

Ses seins s’ébranlent, j’aperçois ses grosses tétines déformer les bonnets, j’attrape l’un des seins sauteurs, je le dégage de son « emballage Â» que c’est beau ! Ses grosses loches de bourges terrassent mes bonnes manières et déclenche un tsunami : je me plante au fond d’elle et gicle, je ne résiste pas à aller venir encore un peu pour me vider et ne pas trop la laisser sur sa fin…

Mon vide couille à bien effectuée son travail, mais je n’ai pas fini. Je me retire, lentement ; je la regarde, je ne peux pas en rester là.

 

-       Ne bouge pas ! Reste là. Allonge-toi.

 

Dans ses yeux, je vois l’incompréhension, mais elle ne bronche pas ; je l’accompagne dans sa nouvelle pose qui ne lui demande pas beaucoup d’effort. Son dos se pose sur le bureau, je la contourne, elle relève d’elle-même les genoux pour planter ses talons hauts sur le rebord.

Mon sexe effleure son visage, mes couilles sont front, je pose mes mains sur ses seins ; elle est parfaitement dans l’axe de la porte du bureau.

Je ne commande rien, la voilà qui attrape ma bite avec sa bouche et qui me suce, à nouveau, tandis que je malaxe ses gros seins entre mes gros doigts.

 

-       Tu réussi à t’imaginer les clients rentrant dans le bureau ? Imagine-les mater ta fente de grosse cochonne !

 

Elle ne répond rien (et pour cause), mais je vois ses deux mains glisser sur son ventre en direction de sa chatte : sa gauche écarte, tandis que la droite lustre, branle…

 

-       Fait ta cochonne, on n’est que tous les deux !

-       Oh… Espèce de vicieux.

-       Quand tu as besoin de te faire saillir, appelle-moi salope.

 

Je moule vainement ses seins entre mes doigts, sa moiteur commence à me rendre plus aisé le travail de ses aréoles, de ses tétins… Je les pince, les étire vers le haut, alors que je sens sa bouche me rendre le plaisir que je lui donne au point de me rendre sensible, une nouvelle fois. Allez ! Je baise sa bouche, pas trop loin, je ne suis pas un chien, je sens ses dents frotter sur mon pieu, alors je ralenti pour lui donner juste à téter. Elle gémit, elle aime ça, sucer !

Des grimaces se dessinent sur son visage, elle ouvre un peu plus les cuisses, mais surtout la bouche pour délivrer quelques gros mots.

Ça dure… j’ai le temps et la santé… Un peu crispée la jeunette ! Je frappe son sein droit ; elle sursaute

 

-       Allez plus vite putain !

 

Mes simples mots se transforment en ordre auquel elle se plie volontiers, ses doigts s’activent sur son clitoris. Les choses sérieuses commencent à envahir son corps, j’immobilise sa tête entre mes mains pour la baiser, elle ne va pas tarder à jouir et moi, je suis un peu à la traine…

Sa main gauche remonte sur sa poitrine, elle rentre le ventre, s’étouffe, sursaute et grogne, souvent : elle va jouir sur ma bite ! Soudainement, un jet s’échappe furtivement d’entre ses cuisses, un second en direction de la porte, et je ralenti mes coups de reins pour baiser sa gueule de grognasse jouisseuse. Son plaisir hurle de sa bouche et gicle de sa chatte... C’est trop ! Je pense à Chloé en me vidant dans la gueule de ma suceuse.

Elle repousse mon membre, tourne la tête, hésite, puis avale… Elle tourne encore la tête, gauche droite etc. Elle a disjoncté ?

Je suis HS, mais quelle soirée ! Quelle heure est-il ? Je remballe mon sexe, alors qu’elle ne réagit même pas. J’en profite pour récupérer mes papiers, le dossier et les capotes.

Elle se redresse… M’adresse un regard honteux.

Elle replace ses seins dans son soutien-gorge, remonte ses bas sur ses cuisses et rajuste sa jupe. Elle accuse encore le coup.

 

-       Ã‡a va ?

-       Merci !

 

Son soutien-gorge plein est mon premier intérêt, j’aurai presque une érection, puis mon humanité fixe ses yeux. Je cherche des mots, plus professionnel, plus personnels, pour conclure notre trip, mais les seuls qui me viennent en bouche sont :

 

-       J’ai bien kiffé !

 

Que m’arrive-t-il ?

 

-       Vous savez où me trouver si vous avez besoin de vous vider les couilles !

 

Elle me choque par ses mots, je suis vieux jeux, mais je note sa proposition dans un coin de mon esprit.

 

-       Peut-être que l’on pourrait faire des choses à trois avec votre amie ?

 

Je ne crois pas que Chloé soit branchée sur ce genre de relation.

 

FIN

 



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Brandi

...

02-10-2022 0 0 322
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