Maman obscène

Récit érotique écrit par Jean-claude le 02-08-2024
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Catégorie Inceste


Alors que je devais me rendre à côté de Nantes pour des raisons professionnelles et profitant du jour de mon anniversaire, je prévoyais de passer voir ma mère en fin de matinée. Je lui téléphonais afin de la prévenir de mon arrivée. Elle semblait très heureuse d’apprendre la nouvelle et me demanda quelques précisions sur l’heure exacte de mon arrivée. Elle ne souhaitait pas que je croise mon beau père qui devait partir vers 11h00. Que veux tu pour ton anniversaire, me demanda t’elle ? Un gros câlin, lui répondis-je, avec un rire coquin. D’accord ! me dit elle avec ce même rire, je te le ferai.

J’arrivais prêt de sa maison Ã  11h15 avec excitation de la voir seule. J’avais depuis longtemps des idées inavouables.Je sus après qu’elle aussi en avait tout autant.

Arrivant devant sa porte maman m’ouvrit habillée d’une simple robe blanche légère, boutonnée devant avec un large décolleté . Je remarque immédiatement le bout de ses seins pointant au travers du tissu léger de sa robe. Elle surprit mon regard et ne fit aucun geste pour me priver de cette vision. Je profite discrètement du plaisir qui m’en est offert « Magnifique dans cette robe maman Â» lui dis-je, tout en ne détournant pas mon regard de ses pointes qu’elle me laissait clairement mater.

« Tu dois avoir beaucoup de succès avec les hommes dans cette robe ? Â»

« Oui pas mal Â» me dit elle 

« Oui j’imagine… 

« Je te sers un café Â» interrompat-elle

« Avec plaisir Â» lui dis-je

« Avec du lait ? Â» Dit elle en souriant

« non pas encore Â»

« Dommage ! Â»

Se penchant pour déposer mon café sur la table basse, maman laissa apparaître plus largement sa grosse poitrine blanche par son décolleté. Là encore je matais, là encore elle laissa faire avec bienveillance.

Le téléphone sonna au même moment interrompant (pour un temps) ce moment de grâce. Elle échangea qq minutes et m’appris qu’il s’agissait de JC, et qu’il serait ravi de me voir. Je pris donc ma voiture et le rejoins dans un café du centre ville, maman souhaitant rester pour préparer le déjeuner. J’appris après que ça n’était pas la seule raison, mais qu’elle souhaitait que nous ne soyons que tous les deux avec JC pour échanger de tout ce dont elle souhaitait qu’il me parle…

Après quelques verres de Morito, il devint très bavard et notamment sur la relation qu’il entretenait depuis un bon moment avec ma mère. Très intéressé je commençais à discrètement le questionner

Des questions d’ordre général, il devint au fil des verres plus précises et salaces. Je continuais à le questionner plus directement. « Vous baisez souvent ? Vous faites ça où ? Chez elle ? Elle aime le cul ? Â» Ses réponses étaient à chaque fois au delà de mes espérances. « deux ou trois fois par semaine, elle aime la queue, il faut la satisfaire, elle aime tout. Et toi ? Â» Me dit-il « pourquoi tu veux savoir tout cela ? Ça t’intéresse hein ? Ça me plaît bien ça que je te parle de ta mère. Et bien je vais t’apprendre un truc sur sur ta mère qui va te faire plaisir Â». Tu sais qu’à chacune de tes visites, elle ne porte pas de culotte, pour se sentir comme nue devant toi, et oui ! Fais en ce que tu veux !». Cette information me procure une excitation terrible au bas ventre. « C’est vrai ? Elle te l’a dit ?» Ne sachant trop quoi dire. « Oui une fois où nous avions fêté un peu trop mon anniversaire ! Elle m’avait dit ça toute excitée Â» et « aujourd’hui comment est-elle habillée ? Â» « avec une robe blanche » dis-je « Blanche ? Â» « Oui et bien sois sûr qu’elle a pas de culotte dessous et qu’elle a le plumeau à l’air, la touffe en liberté, qui ne demande qu’à prendre l’air ! À toi de l’attraper. Demande lui pour vérifier. Dis lui que c’est moi qui te l’ait rapporté et que tu veux vérifier. Elle n’attend que ça. Mais il elle va faire semblant d’être choquée, de résister. Je suis sûr qu’elle va te montrer son cul et tout ce que tu voudras. Et que si tu la mates bien, que tu l’excites, tu feras ce que tu voudras et même la sucer ! Â»

Je ne pouvais y croire imaginer tout cela m’excitait énormément. Mon rêve était peut-être en train de se réaliser.

De retour chez maman, elle était encore plus pimpante que tout à l’heure probablement dû à l’appel qu’il ne manqua pas de lui passé suite à nos échanges. Â« Alors ! Vous avez parlé de quoi ? Â» me dit elle, « de toi maman Â»

« Il m’a dit plein de choses. Tu ne m’avais pas dit ! Â» « quoi ? Â» dit elle déjà un peu troublée « bah de toi et lui ! Je ne savais pas, tu ne m’avais pas dit ! Â»

« C’est vrai, je voulais t’en parler et je n’ai pas osé. Ça n’est vraiment qu’une histoire de fesse avec lui. Il vient me voir et même si je me suis promis de pas recommencer, ça fini toujours pareil. Et il repart comme il est venu, après s’être dégorger le poireau.». 

Assis sur le canapé, « Et bien justement ! Figure toi qu’il m’a dit quelque chose Â»

« Quoi!? Â»

« Bah, comment dire … il prétend que tu n’as pas de culotte et ça à chaque fois que tu sais que je viens te voir Â» lui dis je très sérieusement 

Rouge et confuse, elle tente de nier et eu se regard que j’avais eu l’occasion de remarquer bien qu’il ne m’était habituellement pas destiné.

Après un long silence…

« Ã‡a t’a fait quoi quand il t’a dit ça ? Â»

« Ã§a m’a flatté que tu fasses ça pour moi. Ça veut dire que tu me considères homme. C’est une chose que tu fais que pour moi, c’est très excitant. Et toi dis moi ce que ça te faisait de m’attendre comme ça, sans que je le sache » 

« je voulais que tu le saches, je voulais vraiment que tu saches mais je ne savais pas si tu en avais envie, si ça te plaisait ou si j’allais te choquer » 

« Mais c’était quoi exactement, tu voulais que je te vois toute nue, que je regarde ton sexe ? Â»

« Oui je veux me mettre à poil devant toi et je veux que tu regardes mon sexe, j’ai très envie de ça »

« montre moi !» . 

Elle semblait comme hypnotisée, 

« tu veux me voir femme ? Â» demanda t’elle

« voir d’abord si c’est vrai que tu n’as pas de culotte sur les fesses Â» dis-je doucement 

« quel vicieux » dit-elle dans un souffle 

Elle se retourna d’un geste, me fit dos et souleva doucement sa robe. D’abord le haut de ses cuisses puis la courbure de ses fesses, puis jusqu’à la taille et ses larges fesses toutes entières. Elles sont blanches et bien charnues et l’idée de pouvoir les toucher m’excite, « JC avait raison ! Et quand je pense qu’il en profite, je suis jaloux ! Â»

« tu es jaloux ? Ça me plaît ça !»

Alors qu’elle gardait sa robe largement relevée au dessus de ses fesses

« Tu es jaloux alors ? Â»

« Oui ! Lui il en profite Â»

« il est con mais c’est vrai qu’il est bien monté et il sait s’en servir Â»

Je ne croyais pas à la situation et ce qu’elle venait de me dire. Elle venait clairement d’intensifier la situation

« C’est ce qu’il m’a dit effectivement, il m’a tout raconté Â»

« Vous vous en êtes raconté tous les deux ! Je serais curieuse de savoir ce qu’il t’a dit vraiment » toujours sa robé largement relevée

« Que des choses cochonnes, oui il m’a dit que vous étiez très cochons Â» ! Et il m’a dit qu’il savait effectivement s’en servir ! Â» 

« tu sais tout alors ? « oui ! Même l’inavouable et j’ai trouvé ça intéressant Â»

« Seulement intéressant ? Â»

« Non Beaucoup plus, on va voir ça »

Maman me faisait toujours dos, la robe largement relevée jusqu’à le taille et se tournant pour m’observer. Mon regard passait de ses fesses au sien. Pendant de longues minutes, nous ne disions plus un mot, nous profitions de ce moment où tout devient possible. Ses hanches étaient larges et avenantes. Je connaissais ses cuisses et ses chevilles mais ainsi présenté, je trouve l’ensemble très harmonieux.

Je ne cachais plus mon érection qu’elle remarqua et très troublée elle regardait avec insistance et alternance avec mon regard. 

« Tu bandes ? C’est quoi qui te fait bander ? Â»

« C’est toi Â»

« Tu bandes pour moi ? Â» et passa par réflexe sa langue sur ses lèvres

« oui très dur Â»

Nous ne disons plus aucun mot, le temps était comme suspendu. Le téléphone sonna et personne ne sembla l’entendre. Il s’interrompit.

Je lui demandais d’un geste de la main de s’approcher de moi, toujours sans un mot.

Elle s’exécute, docile. Je comprends maintenant ce que voulait dire JC. Il y a qq chose de très sexuel en elle. Elle pue le cul.

Ses fesses maintenant à hauteur et toutes proches de mon visage, je la prenais par la hanche, d’une main.

Laissant glisser comme insidieusement mes doigts sur son haine, elle frémi. 

« Qu’est-ce qu’il t’a dit, de moi ?» chuchota t’elle

« Tu veux vraiment que je te dise, tu vas être choqué Â» « mais non rien ne me choque moi, plus c’est cochon, plus j’aime ça Â» me dit maman 

Je la trouvais maintenant très salope

« et bien, il m’a dit que tu suçais très bien, alors ? Â» 

« j’adore sucer c’est vrai. J’y pense tout le temps. Parfois, quand je me promène dans la rue, j’imagine les hommes que j’aimerais sucer», 

« et que tu avais vraiment tout ce qu’il faut là où il faut, que c’était bon de te baiser et le dernier j’ose pas ! Â»

« bah si dis ! j’ai envie de savoir ! Maintenant que tu vois mes fesses, tu dois tout me dire » 

« il m’a dit que tu avais une très belle chatte et que tu aimais la montrer surtout quand tu ne mets pas de culotte » 

elle ne dit pas un mot et maintient mon regard 

Je l’imaginais mouiller, sa peau à cet endroit est particulièrement douce et diaphane. (comme je le remarquerai plus tard sur ses seins)

Elle ne bouge pas, elle attend, figée, se balançant légèrement au rythme de mes caresses.

Mes doigts descendent sur sa cuisse et remontent, elle me regarde et regarde mes doigts, avec ce regard que je lui connais et qui m’est désormais destiné.

Je tente ce qui me parait l’impossible, mes mains s’approchent et effleurent à peine les poils de son pubis, elle inspire profondément sans bouger, elle attend.

Nous savons tous les deux, à ce moment précis, que tout bascule.

La situation bascule effectivement au moment où, mes doigts s’aventurent plus avant et abordent maintenant le bord de sa toison. Elle me laisse faire sans bouger comme si elle attendait que j’ose vraiment ; je continue et sens maintenant parfaitement ses poils du sexe de ma mère sous mes doigts, puis jusqu’à ce que mes doigts tout entiers se perdent progressivement dans sa toison épaisse de poils brun, longs et fin. Je ratissent les poils de son pubis qu’elle m’offre en avançant imperceptiblement le bassin. Je ne vois pas encore sa chatte, mais la devine. Écartant ses pieds, elle me permet un accès libre à son sexe, je descends doucement sur ses lèvres poilues en les effleurant, sans les écarter. Les poils à cet endroit sont encore plus denses et j’imagine la belle couronne qu’ils doivent former autour de la grosse queue de JC et j’espère de la mienne bientôt et j’étais en bonne  voie de le faire . Mon excitation est à son comble. Mes doigts, ma paume, toute ma main est désormais en contact avec les poils de son sexe. Je l’enrobe, fouillant, tirant ses poils, sans la pénétrer.

Mes doigts toujours enfoui dans ses poils, j’embrasse ses fesses doucement puis à pleines bouche. Elle souffle plus fort. Se penchant légèrement en avant elle m’offre maintenant ses fesses tout en laissant le champs libre à ma main qui étreint les poils de sa chatte offerte.

Nous sommes tous deux au comble de l’excitation.

« Ã§a te plaît de caresser ma chatte, vicieux ? Â» me dit maman 

N’y tenant plus, elle se laisse glisser comme pour faire un « genou flexion Â» obscène. Son visage se pose sur ma braguette en me regardant. Maman sent mon sexe au travers du pantalon. Elle s’arrête sur le gland qu’elle respire en secousses et lèche le tissu en me fixant.

« Elle sent bon ta queue, ça me rend folle Â» lâcha t’elle

Elle remonta jusqu’à mon visage et vint m’embrasser les lèvres et peu à peu entrouvrant les siennes, elle me roule une pelle, pleine de langue et de passion. J’en profite avec délectation. Nous commencions à faire l’amour à ce moment précis 

Lui caressant les fesses, je frôle le dessous de sa chatte et effleure son cul. Son baiser redouble de passion, sa langue est épaisse et douce. Comme une chienne en chaleur elle lèche ma bouche. A mon tour je lèche sa langue qu’elle m’offre et tire largement. 

Je la trouve très salope. Elle est très salope.

« Je veux te voir toute à poil maman Â» lui dis-je

« J’ai envie de ça depuis tellement longtemps mon chéri»

« Viens ! Dans ma chambre, je teveux Â»

Titubant d’excitation et profitant de ces quelques pas pour lui mettre des mains au cul, nous entrons dans sa chambre. Elle ferme la porte en souriant, nous sommes tous les deux dans sa chambre, elle me dit « nous allons faire l’amour ensemble maintenant, j’ai tellement envie de toi Â» elle adorait verbaliser et ça me plaisait beaucoup 

Couché sur le lit, « Montre moi Â»

me fixant de ce regard obscène, elle commence à déboutonner sa robe, ses seins lourds et mous avec de belles aréoles roses foncés et des bouts larges que j’imagine durs (j’aurai de nombreuses occasions de le vérifier) se dévoilent peu à peu

Sa robe déboutonnée à mi ventre ses seins sont maintenant totalement visibles, je suis raide.

Maman me laisse la mater de longues minutes, s’offrant complètement à mon regard, caressant très doucement ses seins et ses mamelons pour mieux me les montrer. Me relevant je viens profiter de ce qu’elle m’offre et m’approche pour palpe doucement ses grosses mamelles. Maman se laisse faire basculant la tête vers l’arrière. Ses seins sont lourds, très blancs, assez mous et d’une douceur inouïe. Elle me regarde faire, je la tète passant d’un gros mamelon à l’autre. Ses bouts durcissent et deviennent très gros, je les mords très fort et tourne ma langue sur les aréoles. Je les palpe à pleine main. Elle adore ça, prend un plaisir immense et ne le cache pas. Elle caresse mes cheveux de ses doigts. Repus, je retourne sur le lit profiter du spectacle dont je venais de me délecter. 

Les aréoles et les mamelons trempés, elle se déboutonne encore. C’est son pubis que j’ai caressé et qui apparaît enfin à mes yeux. Fournie et formant un magnifique triangle de poils longs et doux au toucher. A la vue de la chatte de maman, je laisse échapper un râle qui la comble. Je peux enfin regarder la chatte de maman sans me cacher et j’en profite. Mes yeux sont littéralement rivés sur ce sexe que je sais bientôt à moi. Elle me laisse la regarder. Ça me rappelle immédiatement quand, il y a bien longtemps je tentais de saisir d’un regard discret, ses seins ou sa chatte. C’était compliqué en tout cas de pouvoir en profiter facilement. Même si je réussissais parfois le temps d’un instant la voir toute nue J’avais enfin le bonheur qu’elle se montre et qu’elle me mate la mater.

« elle est belle ta chatte maman »

« Tu aimes ce que tu vois, ça t’excite de me regarder comme ça ? Tu aimes » 

« Oui, j’aime Â» « Tu vas tout me montrer ? Je pourrai tout voir ? Â»

« Tu verras tout ce que tu veux voir. Dis moi ce que tu veux voir. Dis moi tout. Ose ! Allez dis ce que tu veux que je te montre ! Â»

« Je voudrais voir le dessous de ta chatte Â» j’osais « voir tes lèvres en dessous Â»

Je mate son sexe qu’elle m’offre, elle est obscène, par son regard, par sa posture, par ses paroles et j’aime ça

Maman s’approche du lit totalement nue et offerte et met un pied sur le lit en me fixant, pour me permettre ainsi de voir son intimité sous un angle plus ouvert. Elle est très vicieuse et sais parfaitement ce qui peut plaire à un homme. Sa façon de se montrer me laisse présager ce qui m’attend, elle a l’instinct très femelle 

Je vois sa vulve dessinée sous ses poils et devine son clito dépassant légèrement d’entre ses lèvres. Je m’approche à quelques centimètres sans la toucher, maman me laisse la mater longuement. Elle y prend un infini plaisir. Les poils de sa chatte sont longs et épais. Sa toison qu’elle m’offre forme un beau triangle sur son pubis et une couronne très dense sur le dessous de sa chatte brune. 

« A toi de me monter ta queue maintenant, je veux tout voir moi aussi, mon chéri» me dit elle

« Depuis le temps que je veux la voir Â»

Je m’exécute et baisse mon pantalon et caleçon d’un geste rapide, libérant ma queue complètement. Elle est raide et le bout mouillé, mes couilles n’attendent que ses caresses. 

Les yeux rivés dessus maman est littéralement transie la bouche entrouverte.

Montant sur le lit à quatre patte, ses seins lourds et pendants, elle vient directement sur ma bite tendue à l’extrême, je crois jouir.

Telle une chienne, elle enfoui tout son visage dans mon entrejambe et hume longuement mes senteurs intimes

« Parle moi, dis moi ce que tu veux que je fasse, je suis ta chienne, ta salope Â» grogna maman 

Remontant sur ma queue, le nez collé sur mon frein, elle aspire de longues bouffée de mon odeur.

« Tu en a sucé des bites, hein maman ? Et maintenant c’est la mienne Â» lâchais-je

Me fixant de son regard intense « c’est la tienne que je suce maintenant ! depuis le temps que j’attends ce moment, tu t’es fait attendre » elle suce très délicatement le bout, lapant et savourant le petit jus, fruit de mon excitation. Ma bite toute entière est dans sa bouche. Je profite de cet instant pour lui malaxer, pétrir ses gros seins qu’elle m’offre largement, pinçant ses mamelons.

« Tu aimes la sucer ma bite, petite salope. C’est maintenant que tu peux la sucer, suce, suce» « on va bien se baiser Â»

« Tu me la donneras à sucer, je te sucerai quand veux où tu veux, je serai ta chose, ta salope, tu n’auras qu’une chose à me dire, suce ! Â»

Me redressant, je lui dis « maintenant je veux que tu me montre ta chatte toute ouverte. Je veux la voir écartée, ouverte, prête à se faire mettre, à prendre ma bite Â»

« Tu vas me baiser ? Â» souffla t’elle

« Oui, et bien profond Â»

Elle toujours à quatre pattes, je la contourne pour la regarder en position de levrette et découvrir enfin le dessous de sa chatte

Immobile et tournant elle me regardait m’approcher de sa fente

Parfaitement placé, je contemple sa chatte aux lèvres poilues. Ses lèvres sont charnues et recouvertes d’un tapis épais de poils brun et soyeux. J’approche mes doigts et caresse à peine ses poils et passe délicatement entre ses lèvres mouillées.

Écartée entre mes doigts, laisse apparaître sa belle vulve rose et brune. Je regarde sa plus belle intimité.

Je hume son entre musqué de femelle, elle gémi

« Tu pues le femelle Â» lui dis-je excité 

« Tu aimes mater et sentir, vicieux, elle te plait ma chatte elle sent la femme, tu aimes son odeur, tu vas la bouffer, je te l’offre, elle est à toi, bouffe moi, bouffe moi Â» hurle t’elle

« Je vais jouir Â»

Je plonge avide, ma langue dans son intimité et lape son jus salé à l’odeur forte, musquée et délicieux qui coule abondamment

Son fumet m’enivre 

Lécher le sexe de maman me submerge 

Elle hurle « je jouis ! Â» et attrapant ses fesses écarte encore plus sa fente et son cul pour permettre d’enfoncer encore ma langue dans le tréfonds de sa vulve et de son vagin. Je lèche avec avidité et délectation ce jus divin qui ruisselle sur ma bouche.

Son râle est animal, je l’écoute jouir, ébahi par son intensité. Son hurlement roque résonne dans la chambre.

Je remonte jusqu’à son anus auréolé d’une couronne de poil parfaitement dessinée et joue avec, passant mon index dessus.

Revenant à elle, « tu l’aimes mon trou de balle ? Il est à toi, tu pourras lui faire ce que tu veux, lèche-le»

« Petite cochonne, on est deux beaux vicieux Â» dis je en passant ma langue sur son anus auréolé de poils. Quel bonheur !

« je suis très vilaine, je mérite une fessée de me laisser bouffer le cul comme ça Â»

Je lui claque deux grands coups sur chaque fesse. Elle sursaute, ne s’attendant pas à ce qu’elle vienne si vite. Je claque à nouveau, cette fois plus fort. Sans un mot, elle me regarde et me lache d’une voix méconnaissable « encore Â» « plus fort Â». Je claque à nouveau plus fort. Les fesses rougies de mes fessées, elle m’offre son sexe. « Tu en veux encore ? Tu n’en as pas eu assez ? Â» 

« Oui cogne ! Â»

Je me redresse et lui assène des claques sur les fesses et autour du sexe de plus en plus fort. Elle est en transe et tremble de tout son corps sous mes coups de battoirs. Elle hurle de douleur et de plaisir 

« Tu aimes prendre une rouste » 

« Oui j’adore, dérouille moi Â»

Je regarde son cul et le haut de ses cuisses sont rouges carmins et plonge à nouveau ma bouche dans son sexe incandescent. Son sexe est dégoulinant.

Repus de son jus, je m’allonge sur le dos et elle en profite pour m’introduire complètement dans sa bouche. « qu’est-ce qu’elle est raide ta queue, elle est bonne, elle sent le sexe, j’aime Â»

« Tu aimes sucer salope, tu aimes le sucer aussi JC ? Tu en suces d’autres ? Â»

« Oui mais là c’est toi et j’aime ça, je te raconterai tout Â»

« Tu aimes quand elle pue le sexe hein maman ? Â» 

« J’adore ! L’odeur du mâle et avec JC je suis servie. Je lui demande de ne pas se laver la queue entre ses visites Â»

« Tu me fera goûter la tienne comme ça ?» 

« avec grand plaisir ! Â»

« tu vas me baiser hein ? Tu me fourres ta bite dans ma chatte ? Baise moi Â».

Passant de ma bite à ma bouche, elle se colle à moi et comme des aimants, nos deux sexes s’emboîtent et je la pénètre d’un coup sec, pour la première fois, en un mouvement.

Cette sensation est inouïe, elle jouit instantanément et hurle de plaisir dans un cri rauque, animal. Passés ses spasmes, je commence à la buriner en un mouvement de va et viens lent mais profond et puissant. Elle regarde nos sexes d’emboîter dans un mouvement régulier et bien huilée.

Elle est comme en transe, ses yeux sont révulsés, elle halète. Je regarde nos sexes s’emboîter. La vision de ma pine qui rentre entre ses lèvres tapissées de poils est incroyable.

Elle passe sur moi et dans un mouvement de reins en déhanché, sa chatte enrobe ma bite qu’elle enfonce jusqu’à la garde en criant. Mes mains agrippent fermement ses fesses de part en part, mes doigts sur sa chatte et son anus. Ses seins pendent sur ma bouche, je tête ses seins, les bouts pincés entre mes lèvres. Ça la rend folle de plaisir. « Vicieux tu aimes ça téter mes bouts Â» et jouit encore. Elle est en sueur, nos sexes sont comme aspirés l’un à l’autre, sa chatte avale mon sexe tout entier. Je n’ai jamais ressenti ça.

Je la retourne sur le lit, écarté ses cuisses et mate sa chatte poilues, ouverte, offerte à mon regard, mes doigts, ma langue. Son clito et ses lèvres sont gonflés et mouillés de désir. Un «baise moi mon chéri» déclenche une pénétration directe et un va et viens cette fois rapide et saccadé. Nous regarder dans les yeux nous baisant ainsi, redouble notre plaisir, prenant conscience de la situation « c’est toi qui me baise Â» hurle t’elle « c’est toi que je suis en train de baiser, et c’est divin. Tu es belle quand tu jouis »

Et soudain, qq sonne à la porte. Stoppés dans nos ébats, elle se lève précipitamment enfila un peignoir et lâcha « tu imagines si qq nous voyait ! Ne bouge pas chut ! Je reviens m’occuper de toi » et me laisse seul dans la chambre. Elle re rentre dans la chambre et se met instantanément à poil pour me reprendre là où elle m’avait laissé. La voir à nouveau à poil me surprend, bien que nous venions de baiser fougueusement. Ses seins lourds, sa chatte poilus, ses hanches larges m’excitent énormément. Elle le remarque et en joue, prenant une posture offerte. Je bande instantanément. Elle se jette sur moi. « pour cette première fois, je veux boire ta queue, boire ton jus ton sperme. Donne moi tout et je serai à toi, je serai ta salope. Je veux être à toi Â». Elle enfila ma bite dans sa bouche et je jouis presque immédiatement. Cette salope prend soin de me montrer le sperme qui coule abondamment sur sa langue la bouche grande ouverte. « Regarde comme je te bois bien. Elle est bonne ta jute, je n’en perds pas une goutte. Je te boufferai à chaque fois que tu me le demanderas, je suis ta femme désormais, je suis à toi»

Ses propos salaces me plaisaient et tout cela était de très bonne augure pour la suite.

Les jours suivants furent assez lunaires. Elle,  me demandant quand je pensais pouvoir revenir, moi essayant par tous les moyens de renouveler cette partie de baise. Tous deux étant très excités à chacun de nos appels.

« Mercredi Â» lui dis-je « et cette fois tu dois me faire une surprise, dans ta tenue, la situation… à toi de voir Â». Elle était très excitée par cette suggestion


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02-08-2024 2 1785

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