Bonjour à tous,
Je me présente, je m'appelle Karim.
Brun aux yeux noirs, je suis un jeune garçon androgyne de 22 ans, avec une petite poitrine et des fesses dodues qui donnent envie de les toucher.
Je semble être semblable à tous les garçons de mon âge, cependant, j’ai un secret quelque peu déroutant : quand je suis seul, j’éprouve un réel plaisir à me maquiller et à porter des sous-vêtements de femme.
Le matin, quand je m’habille, je mets toujours ces sous-vêtements féminins, culottes, strings ou tangas ainsi qu’un soutien-gorge mais dont je laisse les bonnets vides.
Ce que j’apprécie tout particulièrement, c’est le contact de la matière sur mon corps imberbe et lisse et la finesse des détails, des broderies ou tout simplement la coupe.
J’adore porter des strings et sentir mon petit zizi compressé dedans. Il n’est d’ailleurs pas rare que j’aie une érection qui survienne dès que j’enlève le string ! Quand je me masturbe, c’est avec ces sous-vêtements. Je commence à me masturber à travers eux. J’aime sentir ce contact de la matière sur ma peau !
Je joue même parfois avec le soutien-gorge en le nouant autour de mon zizi et ou en éjaculant dans les bonnets. Et à force de me goder, mon plaisir anal s’est intensifié à tel point que je parviens à éjaculer sans même toucher mon zizi, ni me masturber ! Je considère ma petite bite comme un clitoris et mon anus comme un vagin !
Depuis quelques jours, je suis en arrêt maladie. En effet, mon dos me fait souffrir.
Mon médecin traitant, après une longue et minutieuse auscultation il y a quelques jours, ne m'a donnée que quelques anti-inflammatoires.
C'est un vieux médecin proche de la retraite, Il est petit et maigrelet avec un regard noir qui vous transperce. Il y a bien eu quelques histoires dont j'ai eu quelques échos mais je l'aime bien et il s'occupe bien de moi.
Ce matin, je me réveille, ça ne va pas trop mal. Je sors donc du lit et décide de descendre dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. Je ne suis vêtu que d'une nuisette en dentelle et d'un léger string.
Après tout, même si je dors seul, j'aime bien le contact du tissu léger sur ma peau.
En descendant les escaliers sur la dernière marche, mon pied se dérobe et je tombe au sol. Une douleur intense me fige sur place ! Je ne peux plus me relever. Je rampe doucement sur le parquet jusqu'au canapé pour m'allonger...
Malheureusement, je ne peux plus bouger tellement j'ai mal et je reste allongé, adossé au canapé. Heureusement, j'ai mon téléphone à proximité !
J'appelle tout de suite le docteur.
- Docteur, je suis complètement bloqué !
- Je suis occupé Karim, me répond-il assez sèchement.
- S'il vous plaît docteur, j'ai mal du bas du dos jusque dans la cuisse !
- J’ai une place disponible en fin de matinée, me répond-il, venez au cabinet.
-Docteur, je ne peux vraiment pas bouger, je suis incapable de m'habiller et encore moins de conduire !
Le médecin réfléchit rapidement : il a mal au dos, il n'est pas habillé, c'est peut-être une bonne occasion d'en profiter, se dit-il.
-Bon, bon, j'arrive !!! Répond le docteur.
Je suis soulagé mais je ne peux pas bouger à cause de la douleur. Je réfléchis à ma tenue.
« C’est un médecin après tout et ce n'est pas grave, il m'a déjà vu en sous-vêtements » Pensais-je.
10 min plus tard, le médecin arrive et entre découvrant son jeune et beau patient allongé contre le canapé.
Il se dirige vers moi, me posant quelques questions d'usage mais surtout me contemplant, regardant par transparence mes petits seins et mes mamelons bien visibles.
Je lui explique l'accident dans les escaliers...
-Docteur, il me faut un remède de cheval, j'ai trop mal !
Le docteur sourit.
- J'ai bien celui qu'il vous faut, mais je dois vous ausculter d'abord.
- Tout ce que vous voulez, docteur !
- Je ne peux pas vous laisser par terre, je vais vous aider à monter sur le canapé.
- Docteur, j'ai trop mal, je ne peux pas bouger !
Le docteur me saisit sous les aisselles et me tire doucement sur le canapé, il arrive à me hisser sur le ventre, ma nuisette ne cachant pas grand-chose de mes fesses et mes longues jambes.
-Bon, je vais vous ausculter.
Grâce à la légèreté de la nuisette, il se dit que c'est l'occasion de découvrir ce patient qu'il affectionne depuis des années et peut-être de tenter un truc...
- Je vais vous prendre la tension.
Il prend mon bras et l'écarte du corps. Il devine ma poitrine écrasée.
- Je vais écouter votre cœur.
Il passe le stéthoscope sous la nuisette, sur mon dos. Je ne bouge pas malgré un léger frisson.
- Je dois écouter aussi devant, il va falloir vous changer de position.
Je râle de douleur !
- Ecoutez, si vous ne faites pas d'efforts, moi je vous donne un antidouleur et je vous laisse !
-Non docteur, je ferai ce que vous voulez !
-Je vais vous mettre de côté, je devrais pouvoir passer la main.
Je me laisse faire…doucement, il me tourne, il s'arrête à mi-chemin.
Sans prendre de précaution, la main du docteur tire sur ma bretelle et la descend sur le bras, il a le champ libre pour l’auscultation du cœur ou, plutôt, voir cette poitrine dont il a envie depuis des années !
Il s'engouffre sous le tissu et pose le stéthoscope sur mon sein. Avec ce geste, il voit enfin ma poitrine !
Mes tétons sont durcis par le froid, le médecin prend son temps et passe le stéthoscope partout sur ma poitrine et finit son auscultation.
-Bon, votre cœur va bien, je peux vous donner deux cachets d'un médicament qui va vous soulager mais il y a des effets secondaires conséquents parfois.
-Lesquels ? Demandai-je
-Souvent, des démangeaisons, des fourmillements surtout dans les pieds et les régions avec afflux de sang, répond le médecin.
- Peu importe, donnez-moi ce médicament !
-Vous êtes sûr ? Je vais devoir rester à vos côtés durant 1 h pour m'assurer de votre santé cardiaque.
-Oui, oui, donnez-le-moi !
Le médecin a un plan et il se déroule à la perfection. Il me tend un verre avec les 2 cachets.
Je le prends sans rien demander. Il sourit intérieurement.
-Je vais vous installer sur le ventre et je vous masserai les zones de douleur avec une crème spéciale.
- Oui, merci docteur.
Il me tourne pour me remettre sur le ventre. Je hurle de douleur.
- Je vais vous soulager !
Joignant le geste à la parole, il passe ses mains sous ma nuisette et la soulève pour la relever le plus haut possible. Le tissu est fragile et se déchire instantanément.
-Je suis désolé mais je dois avoir accès à tout votre corps !
-Ce n’est pas grave, je comprends, faite au mieux pour me soulager.
-Je vais la couper, ce sera plus simple.
Je ne réponds pas.
Les ciseaux coupent les restes de la fine lingerie et les bretelles. Mon corps est complètement à sa vue, dévoilant mon cul magnifiquement bombé.
Le médecin attrape un pot de crème.
-Ça va vous soulager.
J acquiesce. Après tout, c’est un médecin, il doit en voir régulièrement des fesses !
- Faites ce qu'il faut docteur.
Il pose ses mains sur mes reins, passe sur mes fesses et descend sur mes cuisses. Ses mouvements sont lents et bien appuyés.
Je ne bouge pas et ferme les yeux pour essayer d'oublier le mal.
Il masse maintenant fermement le bas de mon dos s'attardant sur ses deux fesses qu'il écarte désormais facilement, regardant mon œillet caché uniquement par ce léger string. Il accentue le massage sur mes cuisses, les écartant légèrement, remontant facilement jusqu'à la légère dentelle transparente de mon string.
Du bout des doigts, il effleure ce léger tissu, continuant à masser mes fesses, butant sur les ficelles pour atteindre les reins et le dos.
C’est le moment de tenter le tout pour le tout, se dit-il. Attrapant les côtés du léger tissu, il coupe le léger fil de chaque côté et tire vers le bas.
J’ai un moment de surprise mais je ne dis rien. Il en profite pour tirer davantage et ainsi dévoiler l'intimité de son patient.
Il jette le reste du string au sol.
Je ne dis rien, je ne sens plus la douleur...je suis un peu comme dans du coton. Rien ne me choque, je me laisse porter par les mains de ce vieux monsieur !
Il reprend le massage, toujours en écartant davantage mes cuisses. Cette fois, il effleure mon anus qui l'appelle.
Il le voit, parfaitement dessiné, complètement imberbe !
Je ne bouge toujours pas, mais j’ai maintenant des fourmis dans tout le corps, surtout les pieds.
- Docteur, j’ai des fourmis dans les jambes !
- Il va falloir vous retourner que je vous lève les jambes. Avez-vous toujours mal au dos ?
- Non, je ne sens plus rien. Juste ces picotements qui sont extrêmement désagréables !
- Très bien, je vous retourne. Laissez-vous faire, ne luttez pas !
Le médecin referme mes jambes et ma retourne en me saisissant un sein au passage.
Une fois retourné, la vue est divine. Le médecin n’en revient pas ! Avoir ce corps jeune et imberbe à sa merci !
-Je vais vous soulever les jambes et continuer le massage.
-D accord, mais j'ai des fourmis partout docteur !
- Je vais accentuer le massage sur les zones qui vous dérangent. D’abord, je vais vous lever les jambes.
Le médecin attrape mes chevilles et lève mes deux jambes en les écartant. La vue est encore une fois divine.
-Je vais poser une jambe sur la table basse, sur des coussins et l’autre sur le haut du canapé.
-Très bien, lui dis-je, ne me rendant pas compte de la pose obscène que je prenais.
Je gardais les yeux fermés, toujours la tête dans du coton, mais sentant mon corps en feu.
-Les fourmillements deviennent terribles docteur ! Pouvez-vous faire quelque chose ? Massez partout docteur, mon corps me démange !
- Je vais m’appliquer, répond-il.
Je sentis ses mains attraper mes petits seins...Je ne pus retenir un gémissement.
- Oui, massez fort !!!
Le docteur ne se fit pas prier et me malmène mes seins sans retenue.
Pinçant mes tétons à me faire hurler de douleur ordinairement, mais là, je gémis de bonheur ! Je ne contrôlais plus mon corps !
-Allez-y fort ! Partout docteur !
Le médecin garda une main sur mes tétons et l’autre descendit vers mon antre. Il me pénétra de deux doigts, mon anus était en feu ! Après quelques allez retour, je criais mon bonheur et un orgasme foudroyant me paralysa !
- Encore, encore, docteur !!!
Je n’étais plus moi-même !
C’est le moment où le médecin décida de monter sur moi.
Me léchant l’anus comme jamais on me l'avait mangé ! Sa langue sur mon petit zizi, ses quatre doigts poussant l'ouverture de mon anus. Je me laissais faire. Mieux, j'allais au-devant de cette nouvelle pratique !
Mon anus céda rapidement et ses quatre doigts s’introduisent entièrement dans mon cul !
Mon 2ème organisme était là. Je restais haletant, mon corps n’en avait toujours pas assez !
Je sentis quelque chose contre ma joue : c’était la bite du médecin ! Elle était de taille raisonnable et au garde à vous
- Allez Karim, applique-toi bien !
Je m’exécutai et je me mis à faire la meilleure pipe de ma vie !
Je faisais coulisser son membre au plus profond de ma gorge. Avec ce traitement, il ne tarda pas à me remplir la bouche de son sperme.
- Avale tout salope !
Moi, une salope ?
Et pourtant, il avait raison. Je ne me reconnais pas !
- Tourne-toi que je baise ton cul de femelle !
Me faire insulter par ce vieux bonhomme me mit dans un état d’excitation inimaginable !
Je me mis en position, offrant le plus possible mon anus luisant !
M’attrapant par les hanches et en une grande poussée, il me pénétra entièrement ! Il n'avait absolument pas molli et son pénis, dur comme du bois, me labourait littéralement le sphincter !
J’avais la tête dans le canapé, le cul en l’air et il en profitait au maximum. Le 3ème orgasme se déclencha à ce moment, lui aussi gicla dans ma fente. Je gueulais véritablement mon bonheur encore une fois !
Il se retira et, sans aucun avertissement, me remit sa bite dans mon trou ouvert.
- Tu aimes la sodomie ?
- Je ne sais pas, c’est la première fois.
J’adorais ce membre dur dans mon cul !
Il me retapait fort et il avait réussi à attraper mes petits seins qu'il pinçait le plus fort possible.
- Branle-toi en même temps, ma petite pute !
Ce que je fis...
Après quelques minutes de ce rut bestial, je hurlais à nouveau dans l’orgasme de ma vie ...
Mon corps était pris de spasmes intenables. Cela dura une éternité avant que je m’effondre sur le canapé, inconsciente !
A mon réveil, quelques heures plus tard, mon dos était guéri et mon médecin était parti.
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