— Lamine mon chéri ! Dépêche-toi, on passe à table !
Voilà Lamine, 53 ans, un bon quintal, chômeur devant l’Éternel, qui sort de la chambre de son beau-fils Karim, en slip et en débardeur. La porte est ouverte, on peut voir une jambe fine pendante hors du lit. Dans la pénombre, on distingue un jeune garçon nu, à moitié couvert. Un filet de sperme s’écoule de son anus rougi par les assauts paternels.
— Ah merci, Fatima ! Sers-moi un verre de rouge, ma belle !
— Tu as déjà sifflé une bouteille ce matin, mon chéri !
— Oui, mais c’était pour le petit déjeuner. Je ne vais quand même pas manger avec de l’eau !
— Ça te changerait !
— Va dire ça à ton gamin, il dort après la séance que je lui ai mise ce matin. Il a picolé aussi hier soir. Ça puait l’alcool dans sa chambre ce matin ! Quand je me suis réveillé, je suis allé prendre une tartine de pâté de foie avec un peu de rouge et pis, ça m’a donné envie de baiser.
— Et tu t’es dit que tu pouvais aller voir le petit alors ?
Fatima jette un œil dans la chambre de son fils et revient à la cuisine.
— Oui, bien, comme d’habitude aussi, merde ! Il m’excite, ce petit travesti ! Il faut bien que je me soulage ! Je suis allé le voir, il était à poil dans son lit aussi. Moi, voir ses cuisses à l’air, ça me rend…tu sais comment ! Il est à moitié saoul encore de toute façon…Et en plus, il a joui.
— Oui, toi aussi. Tu as vu l’état de son lit ? Je suis bonne pour faire les draps. Il y a du sperme partout ! Et lui, on dirait qu’il a pissé ! Oh, bon sang ! Je ne sais plus comment faire avec vous !
— Ah, désolé, ma chérie, il est tellement bon ton fils ! Et puis, maquillé comme il était, je peux te dire que ce n’était pas pour aller à la mosquée ! Il doit déjà bien en sucer ! Ne sois pas naïve !
— Ce n’est pas une raison pour…
Voilà Karim qui sort de sa chambre en t-shirt et culotte. Beau petit brun aux yeux noisette d’une vingtaine d’années. Il doit faire 1 m 65 pour 50 kg et ressemble étrangement à une fille. Il est très fin, ses cuisses ne se touchent pas à l’entre-jambe, laissant entrevoir un superbe mont de Vénus, imberbe.
— Vous en faites un raffut ! C’est dimanche, on ne peut pas dormir tranquille !
— Bonjour, ma puce !
— Bonjour Maman !
— Ça va, Karim ? Je ne t’ai pas trop embêté ce matin ?
— Pff, je t’ai senti venir ! Tu as fait tellement de bruit en te levant ce matin et en prenant ton petit déjeuner…J’avais envie de dormir…mais bon…Quand tu as commencé à me doigter, ça m’a donné envie de baiser aussi ! Alors, je t’ai laissé faire comme d’habitude… Mais tu pourras ne pas picoler juste avant de venir me faire tes saloperies car tu pues !
— Comment tu me parles, petit insolent ! Quand tu t’agrippes à moi pendant que je te bourre le cul, tu n’en as rien à foutre que je pue. Au contraire, on dirait que ça te fait mouiller de te faire fourrer par un vieux salopard comme moi !
— Heu, ça va ! C’est sûr qu’une fois que tu es en moi, j’ai envie de jouir aussi, donc je ne fais plus gaffe au reste ! Mais bon, tu sens quand même la transpiration, c’est juste pour dire.
— Oui, bon ! Merde. Je prendrai une douche plus tard. Ne me fais pas chier avec ça !
— A table !
Tout le monde se délecte de l’excellent repas de Fatima.
Le repas est englouti en un rien de temps. Fatima s’affaire déjà à débarrasser et commence la vaisselle.
Karim se lève pour l’aider, mais son beau-père lui retient le poignet.
— Viens plutôt sur mes genoux, Karim !
— Lamine ! Laisse le petit tranquille !
— Allez, viens deux minutes !
Karim sur ses genoux, Lamine décale sa culotte. Il glisse immédiatement son majeur dans sa chatte anale en enveloppant son micro pénis de toute sa main.
— Mumm, tu es encore bien humide, ma puce !
— C’est ton sperme de ce matin, oui !
— J’ai bien envie que tu me suces, mon chéri. Après les saloperies que tu m’as dites, tu vas te faire pardonner et prendre un peu ma queue dans ta bouche !
— Lamine !
— Tu rigoles, tu n’as même pas rincé ta bite après m’avoir baisé !
— Moi, je fais des économies de flotte, ne me faites pas chier ! Tu peux me sucer un peu quand même ! Ce n’est pas trop demandé !
— Bon...Vite fait alors !
Karim approche sa bouche du slip de Lamine. A genoux, il sort le sexe à moitié bandé de son beau-père.
— Mais il pue, putain !
— C’est ton jus qui est dessus. Allez, nettoie-moi ça, petit effronté !
De bon cœur, Karim commence à laper la verge devenue raide. Il décalotte le gland, faisant apparaitre le mélange blanchâtre de leurs sécrétions séminales.
— Mumm, c’est bon ma puce !
Sa mère Fatima s’affaire toujours à la vaisselle.
— Bon sang, vous êtes impossible tous les deux !
Lamine caresse les cheveux de son beau-fils comme il caresserait le pelage d’un petit animal fragile.
— Continue, ma salope, c’est très bien !
Karim aspire le méat et fait tourner sa langue ostensiblement autour du gland exposé et prêt à exploser. Il pompe bien goulûment.
— Mumm, tu vois que tu aimes ça ! L’odeur de mon entre-jambe t’a toujours excité, ma lopette. Regarde-toi, ça se voit que tu aimes ça !
Karim continue de pomper bruyamment le sexe de son beau-père. Ce dernier lui agrippe sa chevelure, lui retire le sexe de la bouche et plaque son visage juvénile entre sa hampe et ses lourds testicules couverts de poils.
— Allez, respire bien ma puce ! Ça te fait mouiller de sentir la queue de beau-papa. Hein !? Tu sais combien de fois j’ai frotté tes peluches contre ma queue et mes couilles après mes longues journées de branlette ? Tu n’imagines pas toutes les fois où tu as dû masturber ton petit clito avec mes phéromones dans les narines !
Lamine, les doigts toujours pris dans la chevelure, dirige Karim à nouveau vers son gland luisant de salive : « Allez, finis ce que tu as commencé ! ».
Lamine relâche son étreinte.
Et voilà Karim, à nouveau, avec le sexe presque entièrement dans la bouche. Alternant un branlage délicat du prépuce avec un léchage de gland et des gorges profondes de plusieurs secondes, Lamine ne tarde pas à exprimer son envie de jouir : « Ah, putain, c’est bon ! ».
Karim se redresse rapidement et maintient le sexe paternel d’une main ferme pour ne pas le laisser bouger et se positionne à califourchon sur lui.
Il maintient sa verge entre ses doigts, décale sa culotte avec le gland et la place devant son anus ouvert. D’un mouvement de hanche, il se pénètre jusque dans la garde. Entre-jambe complètement vissé sur le pubis de Lamine, il tourne son bassin vigoureusement. Cherchant à atteindre l’orgasme le plus rapidement possible avant que son beau-père ne gicle tout son foutre en lui encore une fois.
— Mais ce n’est pas possible, vous deux !
— Tu vois que ce n’est pas ma faute, Fatima !
— Oui, oui, Lamine, ne fais pas l’innocent !
— Mais Maman, c’est tellement bon ! Mumm !!!
— Je vais jouir, ma puce, attention !
— Oui, papou, viens dans ma minette, j’aime quand ça gicle au fond de mon ventre ! Ça me fait jouir encore plus ! Mumm, oui !!!
Lamine se lève d’un bond. La queue toujours au fond de Karim. Il le pose comme une plume sur le rebord de la table et commence un pistonnage en règle.
— Ah putain, je vais bien te remplir, ça ne t’a pas suffi la séance de ce matin ?
Karim s’agrippe à Lamine comme il peut, ses petits doigts s’enfoncent sur son dos gras et suant. Il le bourre comme un diable. Ses grosses mains maintenant la taille de son beau-fils en position pour qu’il puisse le pénétrer comme il le souhaite. Il en fait quasiment le tour.
— Ah ! Je vais venir ! Écarte bien comme il faut, laisse-moi venir comme j’ai envie !
Karim est secouée de tremblements de jouissance. Il n’entend pas le commandement. Il saisit ses deux chevilles pour écarter au mieux ses cuisses et le bourre comme un animal !
A l’instant suprême, Lamine râle et s’effondre sur Karim et sur la table de la cuisine de tout son poids.
Il pistonne profondément l’anus de son beau-fils qui sent les spasmes de sa queue. De gros jets de foutre tapissent sa caverne anale. Il râle et grogne tandis que sa semence se répand au fond de lui.
— Mumm…Lamine mon mâle bien aimé, c’est bon, je sens bien ton jus !
— Mumm…putain, tu es bonne ma puce !
Il se redresse tout en gardant son sexe dans le trou de Karim.
— C’était bien ma petite femelle ! Tu vois que tu aimes ça !
Lamine se retire doucement, laissant couler un long filet de sperme gras et jaunâtre. Il se répand lentement sur la nappe cirée de la cuisine.
— Regarde ça, ma puce !
Karim se doigte l’anus avec son index et fait couler encore plus de semence paternelle. Un sperme plus épais apparaît.
— Allez, dégagez tous les deux ! Laissez-moi faire du ménage ! Karim, va te laver et toi, Lamine, va te foutre au canapé ! Je ne veux plus te voir pendant une heure ! Allez, oust, de ma cuisine !
— Pardon, chérie. J’y vais, j’y vais…
Lamine se dirige tranquillement vers le salon.
Karim a plus de mal à se redresser : il remet sa culotte et file vers la salle de bain.
Une belle flaque de foutre est étalée sur la nappe.
— Et voilà , c’est toujours à moi de nettoyer vos saletés ! Mais ils sont tellement mignons quand ils se chamaillent comme ça ! Je les aime tellement ces deux coquins !
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