Karim est un jeune garçon bien sous tous rapports. Bien élevé, poli, discret, mûr pour son âge, il fait la fierté de son beau-père, Omar, qui l’a éduqué seul depuis de nombreuses années. Il vient de décrocher son bac avec mention « Très Bien ». Pour des raisons restées obscures, la mère de Karim a quitté le domicile conjugal un beau matin pour ne jamais y revenir, ce que les commérages dans le village ont aussitôt transformé en « aventure avec un autre homme ».
Karim est ce qu’on pourrait appeler une « bombe sexuelle » : très beau, grand, mince, longiligne, dévirilisé, de petits seins naissants, des lèvres pulpeuses, de belles fesses en rapport, de longs cheveux noirs qui lui couvrent une partie du dos, un visage agréable sans maquillage, mais qui dégage une sorte de sérénité lumineuse qui fait que de nombreux camarades en sont tombés amoureux et ont essayé de le draguer sans aucun succès d’ailleurs. Karim est efféminé, timide, réservé, lointain, pourraient dire les prétendants éconduits, ce qui l’a amené vers une solitude qu’il assume contre vents et marées. Sa vie pourrait se résumer en ces quelques mots : son beau-père Omar, ses études, sa maison, sa campagne.
Son beau-père Omar, 45 ans, est un bel homme, sportif, ce ne sont pas les occasions qui ont manqué depuis le départ de sa femme de refaire sa vie, comme l’on dit, mais lui aussi a préféré renoncer pour ne pas déstabiliser son beau-fils.
Petit à petit, Karim devient un jeune homme, les relations avec son beau-père évoluent vers des liens plus sensuels. Il le trouve très séduisant, et ne se cache pas qu’il aimerait avoir avec lui des rapports plus sexy et n’hésite pas, lorsqu’ils se croisent, à l’effleurer, effleurements qui se transforment assez rapidement en frottements. Les bisous du matin et du soir se font plus appuyés, plus gourmands, les corps en profitent pour se toucher au plus près. Le soir dans son lit, Karim se caresse le corps en imaginant que ce sont les mains de son beau-père qui le touchent et que ce sont ses doigts qui s’activent sur son zizi et les lèvres de sa chatte anale encore vierge.
Karim sait parfaitement que la société condamne ce type de relation, mais il estime que cette société n’a pas à fourrer son nez dans cette affaire si elle reste discrète et entre adultes ! Dans un geste chevaleresque et un rien provocateur, il se voit bien offrir son corps à ce beau-père chéri à qui il doit tout, au nez et à la barbe de ladite société.
De son côté, Omar a remarqué l’évolution du corps de Karim qu’il trouve attirant et qui a presque les formes avantageuses de celui de sa mère. Et le soir, sans savoir que, de son côté, Karim s’adonne au même jeu sexuel, il fait comme lui, se masturbe devant une de ses photos en maillot de bain en pensant que ce pourraient bien être ses petites mains qui astiquent sa bite.
Les petits attouchements entre l’un et l’autre se font plus fréquents, les regards sont plus profonds et plus longs. Le soir devant la télé, les corps se frôlent, les genoux se touchent, les mains se rapprochent. Emus, ni l’un ni l’autre n’ose faire le geste qui ferait tout basculer, alors qu’ils en meurent d’envie !
C’est l’été, il est tard et ils dinent sur la terrasse de la maison ; il y a clair de lune et l’on aperçoit en contre-bas les lumières blafardes du village paisible. Le repas terminé, ils s’installent sur la balancelle, silencieux, regardent les reliefs ombrés du satellite qui les éclaire. Karim porte un long t-shirt qui laisse ses cuisses découvertes et offertes. Il sent tout à coup la main rugueuse de son beau-père se poser délicatement sur une de ses cuisse juvénile et lisse.
Un léger geste de recul qui voudrait marquer la surprise alors qu’il n’attendait que cela et il savoure les bienfaits et la chaleur que cette main diffuse dans son corps à la merci de l’homme, pour la première fois. Karim ne sait pas s’il doit poser sur son beau-père un regard comblé, reconnaissant. Alors que la main s’aventure un peu plus vers sa petite culotte, il pose sa tête sur l’épaule rassurante de Omar, comme pour acquiescer et offrir ce corps à la tempête qui se profile à l’horizon.
Sa petite main se pose sur celle de son beau-père et, dans un geste qu’il aurait cru impossible, l’invite à toucher son zizi en émoi au travers du tissu léger, rempart bien fragile face à la main conquérante. Omar, tout aussi perturbé que Karim, se demande s’il lui est permis d’aller plus loin dans cette conquête qu’il souhaite aussi depuis longtemps. La réalité lui paraît encombrée d’obstacles imprévus, alors que les rêves les franchissent allègrement mais il sent son beau-fils vibrer sous ses caresses. Sa main se fait plus audacieuse, écarte le bord de la culotte et ses doigts atteignent enfin le saint des saints, le graal, l’anus déjà humide et offert de son beau-fils bien aimé !
Dans un souffle, Karim lui dit à l’oreille :
— Oh Omar, j’en rêve depuis si longtemps, prends-moi dans tes bras et emmène-moi dans ma chambre !
Omar le soulève et l’emporte vers sa chambre. En chemin, Karim lui dépose quelques baisers dans le cou. Omar l’allonge doucement sur le lit et entreprend de le déshabiller. T-shirt et petite culotte sont enlevés prestement et, à la lueur de la lampe de chevet, Omar peut admirer ce corps efféminé, offert et encore innocent, du moins le suppose-t-il. Des petits seins fermes dont les tétons pointent attisés par le désir, son ventre plat, un pubis chargé d’une légère toison brune et de longues jambes.
Omar se penche et le couvre de chauds baisers, des lèvres jusqu’aux pieds. Il se relève, l’attire vers lui en le redressant, et assis, Karim approche sa main tremblante de la braguette de son beau-père…il aperçoit, face à lui, l’excroissance créée par son érection, pose une joue sur sa bite au travers du tissu en jean et se frotte contre, un long moment.
Karim desserre la ceinture du pantalon qui glisse au sol, le slip déformé cache le pieu de Omar. Il le fait descendre doucement et la bite tendue apparaît tel un ressort juste devant sa bouche. En dehors du porno sur internet, c’est la première fois qu’il voit une vraie bite en érection ! Il la trouve relativement longue, mais surtout très épaisse, le gland écarlate semble lui réclamer sa bouche, une perle de liquide pré-séminal pointe déjà à la sortie de l’orifice. Karim hésite, il perçoit une odeur acidulée ou d’urine pas désagréable, ferme les yeux, ouvre la bouche et y enfonce la bite au grand bonheur de son beau-père !
Karim ne sait trop comment s’y prendre et Omar l’aide en faisant aller et venir sa queue dans ce four chaud et salivant. Le jeune garçon prend goût à ce gros gourdin de chair et c’est lui maintenant qui l’enfonce jusqu’au fond de sa gorge ! Il branle le morceau qui reste hors de sa bouche et, de l’autre main, il ballotte entre ses doigts la paire de couilles lourdes et pendantes. Il pense que son anus, qui n’a jamais connu que ses doigts, va être surprise tout à l’heure quand cette pine va se trouver devant lui !
Son beau-père, excité par la fellation de Karim, le repousse et l’allonge à nouveau, il écarte ses cuisses et aperçoit l’entrée de son anus entrouvert, le petit pénis caché sous sa gaine. Sa langue tendue parcourt avec bonheur le chemin bien trempé entre l’anus et le zizi. Karim soulève machinalement ses fesses pour lui offrir un accès plus facile. Cette langue le transporte déjà vers des délices sexuels inconnus, soulignés par des gémissements à peine audibles. Son visage se crispe, son corps sursaute, ses yeux se révulsent…Omar l’entend dire qu’il va le faire jouir et, enhardi, continue de plus belle.
Ses mains et ses cuisses lui bloquent la tête, puis Karim se relâche, le souffle court, le corps alangui et Omar vient l’embrasser pour lui faire goûter les effluves de sperme qu’il connait bien.
— Karim, dis-moi mon chéri, tu es vierge ?
— Oui Omar ! Je veux que ce soit toi qui me déflores et personne d’autre !
— Tu en es bien certain ?
— Oui, s’il te plait ! Vas-y maintenant, j’en meurs d’envie !
Joignant le geste à la parole, Karim prend la bite de Omar d’une main ferme et présente le gland devant l’ouverture béante et impatiente de sa chatte anale. D’un geste doux mais assuré, le gland de la bite perfore son anus. Leurs yeux se croisent, ceux de Omar interrogatifs, ceux de Karim reconnaissants, alors que son visage se crispe lorsque la pine de son beau-père pénètre jusqu’aux couilles. Il ne bouge plus pendant un temps, sa queue se contracte puis se relâche à plusieurs reprises au fond du trou que Karim ressent comme l’accomplissement de la conquête !
Omar baise son beau-fils ! Karim se pâme sous les dizaines de coups de boutoir qu’il accueille comme une délivrance. Quand Omar se retire, Karim sent la giclée de sperme se répandre dans son corps, il remarque la queue se rétracter doucement, une trainée de sang sur le prépuce.
Omar s’allonge aux côtés de Karim sur le lit étroit, les yeux au plafond, il s’interroge sur les conséquences de ce qui vient de se passer, sur sa culpabilité, ses remords…Karim lui prend la main, pose sa tête sur son torse puissant et ses réflexions s’évanouissent aussitôt.
Ils se sont endormis mais tôt le lendemain matin, Karim est occupé à préparer le petit déjeuner lorsque son beau-père descend.
Face à l’évier, il sent son beau-père se plaquer contre lui, sa bite en érection se placer entre la raie de ses fesses, il lui embrasse le cou, une main se glisse sous son t-shirt, s’empare de son petit zizi et le branle avec vigueur. Karim ne peut attendre, il se cambre et, d’un geste assuré, récupère cette grosse pine et l’enfonce dans son anus d’un geste résolu ! Accroché au rebord de l’évier, il subit maintenant les assauts de son homme, le souffle court, la bouche ouverte cherchant l’air. C’est bien meilleur qu’hier soir : sa chatte anale laisse pénétrer la pine sans douleur, salive et liquide pré-séminal mélangés la font coulisser au bonheur des deux amants ! Ses chairs intimes s’imprègnent de chaque passage du gourdin. Karim pousse un grand râle bestial, son premier véritable orgasme provoqué par une bite le tétanise ! A l’entendre, son beau-père s’active encore plus vite et décharge son sperme en haut de la raie des fesses ; celui-ci dégouline lentement le long de son anus et de son zizi, liquide élastique qui rechigne à rejoindre le sol.
Omar prend un torchon, essuie l’arrière train de sa femelle avec application. Le couple s’étreint un long moment et prend ensuite le petit déjeuner.
L’un et l’autre sont muets, le silence est pesant. Pour détendre l’atmosphère, Karim pose une main sur celle de Omar et lui demande si tout va bien.
— Bien sûr mon chéri, tout va bien, je me pose quelques questions, c’est tout.
Ce jeune garçon devenu femme la nuit dernière veut montrer qu’il est pleinement décidé à jouer ce rôle devant lui :
— Omar, ne t’inquiète pas, nous continuerons à vivre comme avant, l’essentiel est que devant tes clients ou nos connaissances, nous restions sans équivoque possible ce que nous étions avant !
— Il n’y a pas que ça, Karim, tu connais ma relation avec ma secrétaire Fatima, je ne me sens plus de continuer avec elle !
— C’est une grosse erreur mon chéri, tu dois continuer à la fréquenter comme avant, sinon les mauvaises langues ne vont pas manquer de se poser des questions et d’en tirer des conclusions oiseuses. Je ne serai pas jaloux, c’est promis !
— Oh Karim mon chéri, tu me dis tout ça avec un aplomb et un calme qui me touchent !
Karim se lève, s’approche de lui et lui dépose un long baiser sur les lèvres :
— Allez beau-papa, au boulot ! Moi ta femme, j’ai le ménage qui m’attend !
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