L’histoire se passe lors d’un repas de famille. En effet, chaque année à cet époque, nous fêtons l’anniversaire de Sylvain, mon tendre et cher époux. Il a quarante ans aujourd’hui.
A l’occasion de cet anniversaire, je me suis offerte une bonne partie de la nuit. On a baisé, je l’ai sucé, on a bien jouit. Seul ombre au tableau, il ne me propose jamais de me sodomiser, malgré mes envies de sentir sa queue, dans mon petit trou. Bref…
Parmi les invités, il y a ses parents, bien sur, les miens, et Hervé, le meilleur pote de mon mari, toujours de la partie. Il est toujours célibataire. On lui prête bien quelques aventures, mais rien de bien sérieux. Dommage, car il est très séduisant. Du reste, j’avais eu un flirt avec lui au lycée, mais sans lendemain. Après, j’ai rencontré Sylvain.
Moi, je m’appelle Céline, trente huit ans, des seins bien fermes, des lèvres pulpeuses, que mon mari adore quand je le suce. J’ai toujours la même fugue qu’à vingt ans.
Le repas se passe dans une ambiance feutrée, rien d’exceptionnel. Ce soir, je remarque qu’Hervé me tourne autour. A l’apéro, il est à côte de moi, à table pareil. Jusqu’en cuisine.
Je suis en train de rincer de la vaisselle, quand je sens des mains, me prendre par les hanches. Je pense de suite à mon mari, qui très souvent, me fait ce genre de blague. Je me retourne, et tombe nez à nez avec Hervé. Je lui lance un regard perçant, lui demande ce qu’il lui prend. Il s’excuse, hésitant, me dit qu’il avait un truc à me proposer.
- Et ça t’oblige à me prendre par la taille, lui dis-je. Vas-y, je t’écoute.
Je sens une certaine retenue dans son regard, comme s’il allait me demander une chose d’irréalisable. Malgré tout, je l’encourageais à se lâcher, lui dit qu’il pouvait tout me dire. -
- Voila, poursuit Hervé. Ça fait quelque temps que j’ai un fantasme. J’aimerais que tu me fasse une fellation.
- Quoi...t’es fou, tu n’y penses pas. Tu oses demander ça à la femme de ton meilleur pote?
- Je suis désolé, s’excuse-t-il, je t’ai rien dit...que cette discussion restera entre nous.
Hervé quitte le cuisine, et rejoint les autres invités. Je suis sidérée par sa proposition, lui le meilleur copain de mon mari. Quand j’apporte le dessert, j’évite son regard.
Je m’installe auprès de Sylvain. Quant à Hervé, il a changé de place. Je lis la déception sur son visage, de la tristesse, mais aussi de la honte de m’avoir fait une telle proposition.
Perdue dans mes pensées, je n’entends mon mari me disant que je pouvais débarrasser.
C’est vrai que j’étais ailleurs. Pendant tout le repas, je pense à la proposition d’Hervé. Je m’imagine, à genoux, en train de sucer sa queue. Pour me changer les idées, je commence à lever la table. Arrivée à la cuisine, Hervé est derrière moi, avec une pile d’assiettes. Il me demande si j’ai réfléchi.
- C’est tout réfléchi. Ôte toi ça de la tête.
- Mais enfin, poursuit Hervé, ce n’est qu’une pipe!
- Je sais... je n’ai jamais fait ça à Sylvain, je suis fidèle, je n’ai jamais trompé mon mari.
Puis Hervé fait allusion à une certaine soirée ou Sylvain m’avait surpris sur le point de tailler une pipe à un jeune beur, qui m’avait emmener dans sa voiture.
- Oui, je l’avoue. J’étais très alcoolisée. Mais il ne sait rien passé. Mais toi, tu te rends compte, te faire sucer par la femme de ton meilleur copain. Imagine, s’il apprend ça.
- OK, oublie çà dit-il. Je vais y aller, tu n’entendras plus parler de moi.
- Mais enfin, Hervé, ne le prend pas comme çà. Tu sais bien que c’est impossible, vis à vis de mon mari, de ton pote.
Je suis déçu de voir Hervé le prendre ainsi, car après tout, je l’aime bien. Aussi, je ne peux m’empêcher de m’imaginer en train de lui tailler une pipe.
L’heure arrive ou mon mari doit ramener ses parents chez eux. Cent cinquante bornes.
Plus l’heure du départ approche, plus la proposition d’Hervé prend corps dans ma tête.
Après tout, ce n’est qu’une pipe. Et qui sait...
Par la fenêtre, je vois Hervé en grande discussion avec Sylvain. Que peuvent-ils se dire.
Quand j’accompagne Sylvain à la voiture, je lui demande s’il y a un souci avec son copain.
- Pas du tout ma chérie. Comme je dois ramener mes parents, je lui ai demandé s’il pouvait te donner un coup de main. il m’a dit qu’il n’avait pas trop le temps.
- C’est pas grave, répondis-je, je me débrouillerai toute seule. Allez, sois prudent. Bisous.
Je finis de ranger la vaisselle, quand je sens une présence derrière moi. Je me retourne, Hervé me regarde en souriant. Il s’approche, me prend les mains. Il tente de m’embrasser, mais je l’évite, à plusieurs reprises. Il insiste. Petit à petit, j’abandonne toute résistance, répond au baiser. Mieux, c’est même moi qui met la langue. J’ai le sentiment que je vais faire une grosse bêtise. Je le repousse, tombe à ses genoux, et ouvre sa braguette. Une queue énorme jaillit de son pantalon.
« Ouah, comme il est monté.» Je la prend en main, la décalotte, et commence à la branler. J’excite le gland avec ma langue, et le prend en bouche. Hervé pousse un léger soupir. Je sens sa bite enfler dans ma bouche. Après quelques minutes, c’est l’explosion, imprévisible. Le sperme gicle au fond de ma gorge. Hervé essaie de se retirer...trop tard, j’ai tout avaler. Pendant tout ce temps j’avais glissé une main entre mes cuisses, écarté ma culotte. D’un doigt, je m’étais caressé la chatte, doigté mon petit bouton. Ce qui ne m’empêche pas de garder la queue en bouche, de l’enrouler avec ma langue. Sans la sortir, j’entame une deuxième fellation. La seconde rafale est aussi copieuse que la première. Cette fois, Hervé n’essaie pas de se retirer. Encore une fois, j’avale tout. En à peine vingt minutes, je lui ai vidé deux fois les couilles, ce que je n’ai jamais fait à mon mari en quinze ans de mariage. Hervé me relève, et ignorant le sperme qui coule sur mes lèvres, m’embrasse.
- T’es content salaud...t’en a eu deux pour le prix d’une.
- Merci Céline, tu es adorable.
-Tiens...un message de Sylvain.
« Suite à de violents orages, je ne peux rentrer. Je reste chez mes parents pour la nuit.»
- Rien de grave, demande Hervé.
- Non, Sylvain est bloqué par la météo. Il ne rentrera que demain.
- Ici aussi, l’orage menace. Je peux rester si tu as peur...je prendrais le canapé.
- J’aimerais bien...mais j’ai de la place dans mon lit.
Je prend Hervé par la queue, l’entraîne à la chambre. La surprise se lit sur son visage, mais ne refuse pas l’invitation. La nuit est torride.
Je dois avouer qu’Hervé a assuré. Sa réputation de baiseur, n’est pas erronée. Et ce que mon mari m’a toujours refusé, lui me l’a donnée. Je le lui bien rendu, toute les faveurs que j’avais refusées à mon mari, il m’a enculée profond, je l’ai sucé, il m’a fait jouir toute la nuit à plusieurs reprises. Je souhaitais que l’orage persiste. Je m’aperçois que la fellation que je lui avait refusé, est devenu une gourmandise cette nuit là.
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