- Ambre...ma chérie, es-tu prête ?
- Oui mon amour...je descends…
C’est aujourd’hui, qu’avec Luc, mon mari, partons en vacances à la neige. En effet, pour l’anniversaire de nos vingt ans de mariage, jumelé à mes quarante cinq ans, on a décidé de s’offrir une semaine aux skis. Mon mari est docteur généraliste, et ses jours de libres sont comptés. C’est pourquoi, il reste à la station de ski le temps du week-end, puis repart, pour me rejoindre le week-end prochain, me laissant seule tout la semaine.
Pendant tout le trajet, nous relatons nôtre torride nuit d’amour, Luc me reprochant, comme toujours, d’avoir refusé qu’il me sodomise.
- Tu sais ce que je pense de ça, lui dis-je…
- Mais enfin ma chérie...tout les couples font ça…
Il est évident, que de part ses consultations, il doit déceler que certaines de ses patientes, ont déjà essayées ce genre de rapport. Mais, il respecte ma position.
Après avoir rangé nos bagages, nous allons directement sue les pistes. Un monde fou est déjà en tain de slalomer sur les pistes. Beaucoup de groupes sont présents, de tout âge. J’admire la patience d’un jeune moniteur stagiaire, donnant des leçons à de jeunes skieurs en herbes. Il doit avoir dix huit ans, tout au plus.
Vers dix sept heure trente, la nuit commençant à tomber, nous nous rendons à nôtre hôtel, pour prendre une boisson chaude. Puis regagnons nôtre chambre, afin de nous préparer pour le repas du soir. Me voyant passer toute nue, mon mari fit une tentative pour me coincer et me baiser contre le lavabo. Je du calmer ses ardeurs, évoquant le fait, que nous allions être en retard. J’enfilais une jupe noire mi-cuisses, et pull en laine. Pas de soutien gorge, juste une fine culotte. Nous regagnons enfin la salle de restaurant.
On nous guide à nôtre table, discrètement placée. De là, nous avons une vue imprenable sur toute la salle, et le bar, copieusement rempli.
C’est là que, pendant que nous dégustions nôtre fondue, j’aperçus le jeune moniteur, accoudé au bar, en train de déguster un whisky. Par un pur hasard, nos regard se croisèrent. Je fus troublée par l’insistance de ses yeux sur moi. Je le fus encore plus, quand il m’envoya un sourire fracassant. Je détournais les yeux de ce qui semblait être une invitation. J’avais l’impression que son regard transperçait mon corps. Dans un réflexe, je portais mes mains sur ma poitrine. Pour me donner une contenance, je portais une main à une oreille, jouais avec une boucle. Le jeune homme en profitait pour me lancer des regards plus insistant, plus précis.
Je fus sauvée par le serveur qui apportait le champagne. « Bon anniversaire Madame »
- A nôtre anniversaire ma chérie, trinque mon mari.
- Merci mon amour...tu sais que tu vas me manquer. Je vais languir sans toi…
- Mais non...une semaine, c’est vite passé...tu devrais passer à l’accueil, il doit bien y avoir brochures, des activités, ou des navettes qui vont dans la vallée.
- Ouais...mais toute seule…
C’est en quittant la table, que je vis le moniteur lever son verre en ma direction. A tout les coups, il a compris qu’avec mon mari, on fêtait un évènement.
Le lendemain matin, j’accompagnais mon mari au parking sous-terrain.
Ce salaud n’avais pas voulu que je mettes de culotte, pour pouvoir me caresser une dernière fois, avant de partir. Je me cambrais sur le siège, quand j’atteignais l’orgasme.
- Salaud...t’es qu’un salaud...je suis bonne pour me doucher maintenant.
- J’ai cinq minutes, je peux te nettoyer la chatte si tu veux. Avec la langue, ça te dis pas?
- Allumes-moi salaud...qui va m’éteindre après...allez, bisous.
Je sortais de la voiture, la chatte toute mouillée, et regagnais l’ascenseur. C’est à ce moment que je fus attirée par des bruits. Je m’approchais, et me trouvais dans un atelier, ou le jeune moniteur, rectifiait des skis. Je me reculais et disparaissais.
Arrivée à ma chambre, je revoyais les bras de l’instructeur aller et venir sur les planches, imaginant ses doigts en faire de même dans ma chatte. L’humidité provoquais par mon mari s’intensifiait en moi. A cet instant, j’aurais bien pris un bon coup de queue dans la chatte.
Vers midi, avant de regagner le restaurant, je fis un détour par l’accueil, et tombait sur le moniteur, qui venait chercher sa liste d’inscrit, pour sa prochaine leçon.
- Hé...Luigi, pas encore de conquête cette saison ? Dit Claire, la réceptionniste.
- J’aurais du prendre des adultes...surtout qu’il y de belles femmes sur la station, poursuit-il...dont une, ouah...l’année prochaine peut-être.
- Si c’est le cas, je m’inscrirais, dans l’espoir que tu me baises, sourit Claire.
- Ouais...Claire, est-ce que tu suces ?
- Je suis la meilleure de la station pour tailler des pipes...et j’avale.
-Hum...j’ai hâte…
C’est après avoir paraphé l’acte, qu’ils s’aperçoivent de ma présence. J’étais en train de feuilleter les brochures récupérées sur un présentoir. C’est en le croisant que je remarquais son insolente jeunesse.
- Désolé madame, s’excuse-t-il, tandis que la responsable de l’accueil met sa main devant sa bouche.
- Puis-je vous renseigner madame.
- Oui, j’aimerais connaître les activités qu’il y a dans le coin.
- Bien sur madame. Déjà ce soir, comme tout les samedi, la direction organise une fête au centre culturel. Buffet, bar, DJ...tout pour passer une agréable soirée. Dommage, Luigi vous aurai renseigner mieux que moi...voulez-vous que je le bipe ?
- Non, je ne connais pas ce jeune homme...je ne voudrais qu’il se fasse des idées. D’autant que je suis mariée, et fidèle à mon mari.
- Alors je vous rassure, madame, Luigi est un excellent baiseur malgré son jeune âge, mais il ne forcera jamais une femme, si elle n’est pas consentante.
Excellent baiseur...ce n’est pas ce que je recherche, mon mari me suffit amplement à ce niveau. Puis je ne suis pas là pour ça, même si je trouve le moniteur, très séduisant.
- Je vous réserve une table madame ?
- Heu...je sais pas, je suis seule, plus très jeune, et mon mari est parti pour la semaine.
- Mais ça va pas...vous êtes magnifique madame. Et puis vous verrez, vous ferez vite connaissance, et puis, vous pouvez vous joindre à nôtre table avec mon copain…
- Cela me ferai plaisir, dis-je...mais je vous avertis, je veux éviter de boire de l’alcool.
- C’est vous qui gérer...à même temps, vous êtes sur place, il n’y a aucun risque...bon,
disons...vingt deux heures à la réception...ça vous va ?
- D’accord...vingt deux heures...et merci…
Quand j’arrive dans ma chambre, je me pose des questions. Est-ce raisonnable, pour une femme mariée, de sortir seule en boîte. Bien que je sois sure de moi. Mais je reconnais que ce n’est pas un crime, de danser avec un autre homme que son mari. D’autant que j’adore danser.
Après un léger repas, je monte à chambre pour me préparer. Je sors du bain, me regarde dans la glace. Je me trouve assez séduisante, encore désirable. Je souris en me voyant. « Et d’être sage toi ce soir » dis-je à mon reflet. Je décide de m’habiller sobre. Jupe noire à mi-genoux, pull en V, manteau, léger maquillage, cheveux lâché sur les épaules.
Vingt deux heures pétante, je suis à la réception. Claire m’y attend.
Après avoir déposé nos habits aux vestiaires, nous rejoignons nôtre table. Elle est légèrement en retrait de la piste.
- C’est une table pour amoureux, fais-je remarqué.
- On dirait, répond Claire...c’est Luigi qui la réservée.
- Il va venir ce soir ?
- Je sais pas, peut-être. Il est tellement sollicité...tien, Max, mon copain.
Claire me présente son copain, très charmant d’ailleurs. A peine assis, qu’il commande une bouteille de champagne. C’est après le premier verre, que je vois Luigi entrer dan la salle, accompagné de trois superbes filles. Allez savoir pourquoi, je sens comme une pointe de jalousie en moi. En nous voyant, il s’écarte des jeunes femmes, et viens nous saluer. Je sens les battement de mon cœur qui s’accélèrent.
- Puis m’asseoir à vôtre table, demande-t-il.
- Bien sur, dit Claire...garçon, une autre coupe…
C’est à se moment que le DJ envoie la musique. Du rock. Luigi se lève et fait signe à l’une des filles. La danse est rapide, et à les voir danser, j’en déduit qu’ils doivent souvent danser ensemble sur cette musique. A la fin, il lui donne un petit bisou sur la bouche, et nous rejoint. Arrive une série de slows. Claire et Max se dirige sur la piste, tandis que Luigi se lève, et m’invite à danser. Sur la piste, il me prend par la taille, alors que je pose mes mains sur son épaule. Il me murmure des mots coquins à l’oreille, qui me font sourire. Plus on avance dans le slow, plus je prends de l’assurance. De ses épaules, mes bras font maintenant le tour de son cou. Je me sens de plus en plus attirée, physiquement par Luigi. On regagne nos place, alors que Claire a rejoint un autre groupe. Certainement pour me laisser en tête à tête avec le beau moniteur.
- Ça ne vous dérange pas, si je vous tiens compagnie ?
- Pas du tout, ça m’évite de rester seule.
- Merci...puis vous êtes si belle, et rester seule serai dommage…
Je sens le rouge envahir mes joues. Le slow suivant s’annonce plus chaud. Luigi devient plus entreprenant, mais ne m’inquiète pas, me rappelant que Luigi n’insistait pas, si sa partenaire était réticente. Le problème, c’est sa partenaire qui ne l’était pas. Je ne le repoussais même pas, quand ses lèvres frôlaient les miennes. Puis le baiser se fit plus profond. Je sentais ses mains remonter dans mon dos, à même la peau. Un frisson parcourait mon corps. Je pensais à mon mari, voulais quitter la salle. Mais la virilité de ce jeune homme me retenait collé à lui, irrésistiblement. C’est en me tenant par la taille, qu’il me ramena à la table, sous le regard coquin de Claire. Il s’assit près de moi, sur la banquette. Tandis que je passais un bras dans son dos, il passa le sien autour de mon cou, m’attira à lui, et prit mes lèvres. J’étais carrément hypnotisé par cet homme, au point de laisser sa main remonter sous mon pull, caresser mes seins. J’étais pendu à son cou, pendant ce baiser interminable. J’étais partie, ou, j’en savais rien. Ce que je savais, c’est que j’allais tromper mon mari. Sa main, passée autour de mon cou, il saisit mon autre main. Sa main libre se posa sur mon genoux, remonta lentement à l’intérieur de mes cuisses. Le plaisir s’emparait de moi alors que ma tête me disait de tout arrêter
« Mon dieu Ambre, que vas-tu faire ».
Faire ? C’était simple, j’allais tout simplement écarter mes jambes, pour laisser l’accès libre à mon intimité. Je fermais les yeux, quand un doigt écarta ma culotte, et couru le long de ma fente.
- Pas ici, lui dis-je.
En jaugeant le taux d’humidité, Luigi avait compris qu’il allait passer la nuit avec moi. Ce fut sa première proposition, après ce slow fatidique, ou je succombais définitivement.
- Veux-tu que nous allions dans ta chambre ?
- Oui...je le veux dis-je les yeux mouillés...numéro neuf. Laisses-moi monter en premier.
Luigi, impatient, prit une bouteille de champagne, et deux coupes, et me rejoignit devant l’ascenseur. Nous avons monté les quatre étages, les lèvres soudées, nos langues nouées.
En arrivant dans la chambre, j’avais une boule au ventre. J’avais conscience que j’allais tromper mon mari, avec un jeune homme, qui pourrait être mon fils. Une fois dans la chambre, il m’a plaquée sur le couvre lit, m’a enlacée. Nous nous sommes déshabillés en un éclair. Ses mains, d’une incroyable douceur, parcouraient mes parties intimes, comme pour les apaiser, avant la tempête qui s’annonçait. La nuit s’annonçait torride, loin de mes relations que je pouvais avoir avec mon mari. Faut dire aussi que, tout nouveau, tout beau. Je réalisais que c’était la première fois que d’autres mains, que celles de mon mari, parcouraient mon corps...et cela m’excitait. Ma tête me criait d’arrêter.
Je me disais que, si cette nuit n’était pas réussi, ça ne pouvais venir que de moi. Allais-je assurer devant la fougue virile de ce jeune homme. Jusqu’où étais-je prête à aller. Luigi n’est pas Luc. Ses exigences ne sont certainement pas les mêmes, il est plus jeunes, et les expirations ne manquent pas. Pourrais-je assumer ça...briser les interdits que je n’ai jamais brisé avec mon mari. Soudain, la peur de ne pas être à la hauteur m’envahit. Dieu merci, Luigi s’aperçut de mon inquiétude.
- C’est toi qui va décider, souffla-t-il.
Rassurée, je lui caressais la joue. Je me penchais entre ses jambes. Sa queue était dure, le gland bien décalotté, ne demandait qu’à être sucé. Ce que je fis en prenant sa queue en bouche. Elle était sensiblement de la taille de celle de mon mari. Luigi me fit pivoter, de façon à ce que ma chatte, soit au contact de sa bouche. Je sentais ses lèvres aspirer mon clitoris, sa langue tourner autour, des doigts pénétraient ma chatte. On non...j’allais pas jouir déjà...et pourtant.
J’eus presque honte de jouir dans sa bouche. Je fus rassuré quand je sentis sa langue me lécher, comme s’il me nettoyer. Quant à moi, je continuais ma fellation, certainement maladroite, car je dois avouer que mon mari n’avait que rarement cette faveur. Je sentais Luigi près à venir, quand il se retira, par respect peut-être. Il s’allongea sur le dos, moi couchée à se côté. J’enroulais une jambe sur son ventre, prit sa queue, que je branlais lentement. Je sentais le désir monter en moi, et Luigi le devina.
- Jusqu’où es-tu prête à aller, me dit-il.
- Là ou ton envie peut m’emmener, lui dis-je.
En disant cela, je m’offrais totalement à lui. Et j’en avais tellement envie.
Il me fit basculer sur le dos, se positionna entre mes jambes écartées. Je sentais sa queue glisser sur ma fente. C’est en donnant un vif coup de rein, que je la fit pénétrer en moi. Je poussais un petit cri, me pendit à son cou, et lui pris les lèvres. C’est dans sa bouche que j’étouffais un deuxième orgasmes. La nuit s’annonçait plus rude que prévu. Luigi me prit dans des positions, me fit mettre en levrette. Son désir, sa façon à peine brutale de m’attraper par les hanches, et me baiser, ôtait tous mes complexes. Mais le moment fatidique que je redoutais le plus, se profilait. Il retira sa queue, se mit à taquiner mon petit trou. Je fermais les yeux quand je sentais le gland contre mon orifice.
« Mon dieu, et mon mari qui attend ça depuis des années »
J’essayais de fuir cette bite qui petit à petit, prenait sa place. Luigi marque un temps d’arrêt, il comprit que je ne m’étais jamais faite sodomiser. Lentement, il prit sa queue en main, et la dirigea vers ma chatte, la pénétra. J’avais, pour un temps, repoussé l’échéance. Claire avait raison. Luigi respectait mon choix.
Il quitta ma chambre vers sept heures du matin, après une nuit torride à baiser, à jouir à plusieurs reprises. Une fois seule, ma pensée alla vers mon mari, trompé à présent.
Le lendemain après-midi, après une matinée passée au lit, afin de récupérer, je m’installer sur la terrasse du bar, me mis à lire. Il faisait une journée magnifique, au point qu’avec mes lunettes de soleil, je ne vis arrivé Luigi.
- Bonjour...bien dormi, me dit-il en souriant..
- Bof, si on veut…et toi ?
- Pas trop, j’ai pensé à toi...aujourd’hui, c’est mon jour de repos. Je t’offre un verre ?
- Tu sais qu’il y a une bouteille de champagne dans ma chambre. Si on ne la boit aujourd’hui, demain il sera trop tard...mon mari vient me chercher.
Je m’aperçus que je venais de l’invité. Il se pencha, m’embrassa tendrement sur le front.
- Un coup de fil à passer, et je te rejoint.
On ne tarda pas à se trouver nu au lit, enlacés. Dans un premier temps, Luigi me prodiguait des caresses, dont lui seul connaît le secret. Ses mains parcouraient mon corps, ses doigts pénétraient ma chatte, excitaient mon clitoris. Il jouait avec moi, prenait plaisir à me faire jouir. Il me fit mettre en levrette, la position que je redoutais, car parfaite pour la sodomie. Je sentais son gland contre ma fente. Ma chatte était tellement mouillée, que sa queue glissa toute seule, faisant des bruits excitants à chaque pénétration.
J’avais envie qu’il aille plus loin. Mais oserais-je enfreindre les interdits? Pour être plus claire, oserais-je offrir à un jeune inconnu, ce que j’ai toujours refusé à mon mari.
Je me retirais de lui, saisit sa queue, la guidais vers mon petit trou.. Luigi fut surpris quand son gland taquinait mon œillet encore vierge..
- C’est vraiment ce que tu veux ? Demanda-t-il.
- Oui...promets-moi d’y aller doucement...d’arrêter si je te le demande.
- Promis, souffla-t-il en me mordant l’oreille.
Petit à petit, je sentais mon petit orifice s’ouvrir, sous les poussées de sa queue. Je sentis comme une vive brûlure quand mes reins s’ouvraient. Malgré une agréable sensation, j’avais mal. Luigi le compris, et se retira.
- Non, dit-il, je ne peux pas faire çà à ton mari. C’est à lui que revient ce privilège.
- Pourquoi...Claire avait donc raison quand elle ma dit que tu respectais tes maîtresses. T’es un mec bien. Mais...tu ne m’en veux pas trop ?
- De ne pas t’avoir sodomiser ? J’ai passé des moments merveilleux avec toi. Je m’en voudrais de les gâcher. J’espère simplement que tu as pris du plaisir.
- Si tu savais. Et tu sais quoi? j’ai bien l’intention d’en prendre encore. Vas-y, baises-moi.
Luigi me quitta dans le milieu de la nuit, après une relation intense, comme je ne revivrai certainement plus. Certes, j’ai trompé mon mari, mais avec un amant qui m’a traitée avec respect, comme quand il s’est retiré lors de la sodomie, alors que j’étais déjà bien ouverte, préférant que mon mari soit le premier à occuper cet espace.
Le lendemain, je suis sur la terrasse, entrain de prendre un café, avec mon mari. Luigi se rend au bar, sans un regard. Soudain, ils se dirigent vers nous.
- Bonjour, monsieur, dame. Voici les brochures concernant les activités de la semaine.
- Merci, m’empressais-je de répondre. Mon mari est venu me chercher. Nous partons dans la matinée.
- Mais ma chérie, tu peux rester une semaine de plus, si tu veux. Je reviens le week-end prochain. Que feras-tu seule à la maison.
- Non, mon amour, je préfère rentrer avec toi...merci jeune homme…
- Comme tu veux ma chérie...bien, dans ce cas...allons-y.
Luigi nous salut, et nous recommande d’être prudent pour la route.. Il ne voit pas mes yeux mouillés de larmes, derrière mes lunettes de soleil.
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