Ma maman

Récit érotique écrit par cerebrox le 15-07-2014
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Catégorie Inceste

Depuis son récent divorce, ma mère traverse une période difficile, une vraie crise existentielle. Ces phases maniaques la poussent à sortir le soir et à boire plus que de raison. Elle vit cette séparation d'avec mon père comme un insupportable échec personnel que ces qualités de battante, dans sa vie professionnelle (elle est cadre supérieur dans une célèbre firme dont je tairai le nom), acceptent bien mal. Elle me rend visite très fréquemment, souvent à des heures indues et parfois ivre, pour venir pleurer sur mon épaule et me raconter ses malheurs, le caractère insurmontable de sa détresse de grande bourgeoise délaissée. J'écoute, d'une oreille distraite, la rengaine lassante de ses jérémiades de femme gâtée qui s'est toujours prise pour le centre du monde, un monde illusoire qui vient, pour elle, de brutalement s'écrouler. Je compatis un peu à ses outrances de propos, aux virulents griefs adressés à mon père, mais cette femme, transformée par l'inquiétude et que je ne reconnais plus, me fait désormais pitié. Mon paternel a bien fait de la quitter. Je pense secrètement que ce n'est que justice. Cette marâtre savait se rendre insupportable, elle en paye aujourd'hui le prix !Elle me supplie de rester encore un peu chez moi, en ma compagnie. Je vis seul heureusement pour elle car elle a soudain très peur de devoir regagner sa grande propriété luxueuse mais si vide. Maman a toujours détesté la solitude. Parfois, très affaiblie et fatiguée, elle s'endort sur mon lit, toute habillée et je ne peux me résoudre à la réveiller pour la renvoyer chez elle. Je l'observe alors bien autrement. C'est qu'elle est bien foutue dans ses tailleurs moulants, la salope ! Elle a de belles longues jambes galbées que ses bas donnent envie de caresser. Son petit cul m'émoustille, également. Je réalise alors que, très pris par mon travail, je n'ai plus guère l'occasion de baiser. ça me manque cruellement et la présence répétée de ma mère finit par me donner des idées malsaines mais de plus en plus obsédantes. Après tout, qu'est-ce que cette bonne femme en manque d'amour attend de son fils en venant le trouver ? Je la soupçonne de venir m'aguicher et, chaque soir, de me relancer. La façon qu'elle a de m'embrasser, de se coller à moi en minaudant pour obtenir...Quoi ? Je me surprends à bander. Cette pute, cette pisseuse me fait triquer ! Combien de fois cette superbe garce pleine de simagrées a-t-elle trompé mon père ? Je me m'étonne moi-même de fantasmer à ce point sur celle qui m'a donné la vie. Mère ou putain ? Les deux, sans nul doute, à voir comment elle se comporte avec moi, ces derniers temps. Je me décide un soir, tard, à l'aider à se déshabiller. Elle se réveille: "Tu seras bien mieux sans tout ça pour dormir ici, maman." Elle acquiesce et se laisse faire. C'est ce que je crois être une invitation tacite à aller plus loin. Je ne vois plus en elle, de fait, qu'une femelle, à moitié à poil, qui me fait un incroyable et incestueux effet. Cette chienne porte un string et un soutien-gorge sexy à balconnet sous son chemisier. Pour qui ces affriolants sous-vêtements si ce n'est pour me donner des envies. D'interdites, mais si stimulantes envies ! Mes mains s'égarent et je lui effleure la poitrine. Maman fait mine d'être à nouveau assoupie. J'en pose une sur sa hanche. Aucune réaction ! Je crois rêver. Ma mère est vraiment une belle salope ! Son vice dissipe mes derniers scrupules. Cette fois, je lui caresse les cuisses, puis bientôt une main au cul très explicite. Elle se retourne vers moi, les yeux mi-clos, et je ne peux me retenir de venir l'embrasser à pleine bouche. Je lui roule un patin d'enfer en la tripotant de partout. Je glisse mes doigts dans sa culotte. Elle est bien trempée, la putasse ! Je lui branle amoureusement l'entrecuisse. Elle s'ouvre et se donne. Je meurs du besoin violent et bestial de la prendre. Mon paternel m'a gracieusement cédé la place. Alors, pourquoi se gêner ? Ce n'est pas ma mère que je fais geindre et vibrer sous moi jusqu'aux secousses tétanisantes de l'orgasme, c'est la corruptrice putain qui réclame, à corps et à cris ou à corps perdu, d'être souillée par mes bons soins, à jamais avilie et anéantie.

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15-07-2014 0 30653

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