Premiers émois

Récit érotique écrit par cerebrox le 18-07-2014
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Catégorie Inceste

A l'adolescence, ma mère s'est mise en tête de faire mon éducation sexuelle. Il faut dire que les circonstances s'y prêtaient bien puisque mes parents sont naturistes et que l'usage est de vivre à poil à la maison. Elle me savait en âge où l'on regarde les femmes différemment. Mes revues pornos cachées sous le matelas qu'elle avait su trouver aisément, et dont certaines pages restaient collées, la façon que j'avais de me conduire en certaines circonstances lorsque je me retrouvais seule avec elle, mes regards fuyants et curieusement gênés, les taches de sperme qu'elle découvrait dans mes draps, chaque matin, quand elle faisait ma chambre et que je ne cherchais nullement à dissimuler constituaient autant d'indices probants concernant le fait évident que j'étais parvenu à maturité. En tout cas sur le plan biologique car pour ce qu'il en était de mes expériences amoureuses, elles se réduisaient à quelques timides velléités de flirt au lycée. J'étais encore bien puceau, pour dire la vérité. Et, c'était ça qui sûrement lui plaisait. Mon père lui avait donné carte blanche, convaincu d'avance que sa femme saurait merveilleusement bien s'y prendre. Chose qu'au début, j'ignorais encore. Ma mère attendit patiemment et intelligemment le moment propice pour agir avec tact. C'était un mercredi après-midi, je m'en souviens très bien. Je n'avais pas cours ce jour-là et, me croyant seul, je pianotais allégrement sur le clavier de mon ordinateur, surfant sur la vague du plaisir narcissique de mes sites pornographiques préférés. J'étais devant l'écran de mes nombreux fantasmes, complétement absorbé, ailleurs et tout-puissant; je me branlais, cuisses écartées. J'étais fier d'astiquer ma grosse queue que je considérais comme bien supérieure à la moyenne. A cet âge bête, la comparaison est une nécessité. Maman, contrairement à ses habitudes, avait pris soin de prendre ses clés et était rentrée des courses bien plus tôt que je n'aurais pu le supposer, sans faire de bruit. Je sursautai sur ma chaise en entendant sa voix derrière moi: "Alors, petit vicieux, tu les aimes comment toutes ces femmes?! " Sans attendre une réponse de ma part qui, dans l'état d'extrême confusion honteuse où j'étais, ne pouvait évidemment pas venir, ma mère s'était collée à mon dos pour me caresser les épaules, les yeux fixés sur mon écran: "Tu les aimes très cochonnes, on dirait ?!" Je débandai aussitôt dans un réflexe de pudeur soudaine et compréhensible maudissant mon imprudence et ma naïveté: " Tu n'as pas à te sentir gêné, tu sais. D'ailleurs, c'est tout à fait normal, à ton âge, de se masturber." J'étais si mortifié que je n'osais plus bouger. J'étais comme tétanisé. C'est alors que je sentis ses douces et belles mains me parcourir le torse et descendre très rapidement vers mon sexe. Je croyais rêver. J'avais peur et j'étais simultanément très troublé. J'étais saisi de vertiges et en proie à des sensations indescriptibles, la gorge nouée: "Ne t'arrête pas pour si peu. Continue, mon chéri. Montre-moi comment tu fais." La surprise passée, je reprenais un peu contenance lorsqu'elle se pencha vers moi pour m'embrasser tendrement. D'abord sur la joue. Puis vers mes lèvres tremblantes. Je la laissais faire un moment, timidement, puis je desserrai les dents pour lui permettre de glisser sa langue dans ma bouche. Maman embrassait bien mieux que toutes les filles du lycée. Je savourai un instant ce geste interdit comme le plus précieux des instants de ma jeune existence avant de repousser ses avances: "Non, m'an ! Papa ne serait pas du tout content s'il l'apprenait. Je...Je ne peux pas lui faire ça." Toujours aussi câline à mon égard, ma mère tint à apaiser mes scrupules en m'assurant qu'il était au courant et qu'il n'y voyait aucun inconvénient, bien au contraire !"Je serai pour toi la salope de tes rêves si tu veux bien me laisser faire. Tu as beaucoup de choses à apprendre. Laisse-moi t'aider.". J'hésitai encore un temps afin d'être sûr d'avoir bien compris. Ma mère souda à nouveau ses lèvres brûlantes et humides aux miennes et, cette fois, je fus emporté par la force irrésistible de mon secret désir pour elle. C'est proprement paradisiaque. Maman sut trouver les mots et les gestes pour me détendre tout à fait. Je me laissais aller à sentir sa peau sur ma peau, ses muqueuses autour de mon gland, sa bonne langue frétillante sur mes couilles. Hum! J'étais en érection. Une fantastique érection: "Tu as la même bite que ton père. Mais, la tienne me plait bien plus car c'est la bite de mon fils." Je n'en revenais pas que ma propre mère puisse me dire ça. Je découvrais l'autre face, le côté obscur de sa personnalité et ce que je voyais me surprenait beaucoup. Au fond, elle n'était pas du tout celle que j'avais imaginée. Ou, pour mieux dire, celle que je croyais. Cette vicieuse était encore plus dévergondée que dans mes songes les plus osés. Je vivais mes fantasmes. C'était un privilège impossible à refuser. Je la regardais me pomper le dard avec une sensualité prodigieuse, hébété.: "Tu peux me toucher. Je ne mords pas." Je glissai une main droite malhabile entre les jambes écartées de celle qui, accroupie entre les miennes, me suçait divinement. C'était trempé, ça coulait même sur le parquet. Je plongeai mes doits dans ses replis de chair poisseuse: "Tu t'y prends mal, mon petit cœur. Viens sur le lit, je vais te la montrer et t'expliquer ce qu'il faut faire pour faire jouir ta mère." Allongé à ses côtés, je lui laissais suffisamment d'espace pour qu'elle puisse ouvrir grand les cuisses. La dextérité de ses doigts avait bien vite dégagé ce qu'elle m'apprenait être les grandes lèvres vulvaires, sa chatte bien dessinée et épilée me fascinait. Mes premiers coups de langue nerveux sur son clitoris la firent abondamment mouiller et je buvais ce qu'elle disait être la preuve, chez la femme, d'une forte excitation. J'apprenais combien elle aimait que je la suce. Ce que je fis avec application durant un long moment. J'adorais ça. Pressé de grimper ma mère, j'interrompis pourtant ce que j'aurais pu faire des heures durant. J'étais si tendu et nerveux que j'éjaculai en elle bien plus tôt que prévu, incapable de me contrôler: "Ah! Maman...Je gicle!" Très déçu et fort mécontent, ma mère sut, une fois encore, trouver les justes mots pour me dire que ce n'était pas si mal pour une première fois et que je me débrouillais très bien pour un débutant. Elle m'embrassa, histoire de me rassurer définitivement, et m'invita à la faire jouir aussi, ma bouche collée à son entrecuisse suintant. C'était la toute première fois de ma vie que je faisais se contorsionner une femme. De puissantes décharges de jute femelle m'inondèrent la bouche et le visage. Ma mère râlait comme une bête blessée, ses deux mains accrochées à ma tête comme une moule à son rocher.

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18-07-2014 0 13110

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