Au troisième mois

Récit érotique écrit par cerebrox le 30-07-2014
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Catégorie Inceste

Je suis enceinte de mon père. Je n'ai rien dit à mon mari. Il ignore d'ailleurs tout de mon passé et, plus précisément, le fait que je continue, bien que mariée depuis 5 ans, à voir mon paternel en secret. J'ai longtemps pris la pilule et cela ne me posait aucun problème, c'était même indispensable car mon beau salaud de père me prête aussi parfois à ses copains comme un jouet. Plus on est de fous, plus on jouit ! A ses yeux, j'ai toujours été sa bonne et docile petite putain. C'est sa façon à lui de m'aimer. Je ne m'en plaint pas car je prends aussi mon pied. J'aime me savoir soumise à ses volontés. Et puis, son truc tabou me fait jouir comme une dingue. J'adore sa queue. Mais, ces derniers temps, il tenait vraiment à ce que j'arrête de me protéger. Il s'était mis en tête de m'engrosser. Pendant 6 mois d'affilée, il s'est réservé son droit de cuissage habituel (que je lui ai toujours accordé). Pendant ce laps de temps, personne d'autre que lui ne m'a baisée. Il voulait être sûr de son coup. Remarquez, ce n'est pas bien difficile de ne pas se tromper. Mon mari ne me touche presque plus depuis quelques temps. Dans notre couple, la routine s'est installée et Pierre est trop pris par son travail. Il rentre tard le soir, souvent contrarié par les problèmes de ses longues journées et il est trop fatigué pour me faire l'amour. Je l'ai bien sucé au lit, mais comme j'avale, aucun risque de tomber enceinte de cette manière. Les deux premiers mois, j'ai eu quand même mes règles. Pourtant Dieu sait le nombre de fois où mon père s'est soulagé copieusement en moi ! Il a même fait un test pour connaître son taux de fertilité. Rassuré, de ce côté-là, il s'est mis à me soupçonner d'y mettre de la mauvaise volonté. Je l'a supplié de croire à ma sincérité et lui ai même dit combien l'idée d'avoir un enfant de lui m'excitait. J'étais profondément désolée de ne pas pouvoir lui plaire, de ne pas pouvoir satisfaire ses besoins pervers. Je devenais inquiète à mon propre sujet et attendis anxieusement la fin de mon cycle, au troisième mois. Un nouveau test confirma officiellement ce que dans mon corps, je ressentais enfin. Pour fêter la nouvelle, mon père me conduisit à l'hôtel, dans une chambre où deux Blacks très membrés nous attendaient. Ce fut champagne et débauche d'énergie jusqu'aux environs de minuit. Il avait insisté pour que je vienne à lui, sans culotte sous ma jupe et en bas porte-jarretelles. Pas de soutif non plus, mais un bustier noir sexy. Je faisais vraiment pute sous ma popeline et j'ai effectivement dégusté. J'avais fait croire à mon mari que je passais la soirée chez une amie. Quand je suis rentrée, Pierre dormait. J'ai filé sous la douche pour me laver. J'empestais l'odeur du foutre, de la sueur et de ma propre mouille à plein nez. Je suis grosse de plus de deux mois maintenant et mon père n'a jamais eu autant de bonheur à m'enfiler par tous les trous. Il semble avoir retrouvé la forme de ses 20 ans et je ne crois pas avoir connu de période dans ma vie qui soit aussi exaltante et jouissive que depuis que je ne les ai plus justement : mes périodes.

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30-07-2014 0 35731

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