Dans un grognement, il tenta de prévenir sa mère de l’imminence de son éjaculation :
– Mamaaan... Ça vient !... Hhooo… Rrraaahhh...
Germaine qui s’était rendu compte d’un certain changement dans les palpitations de la queue qu’elle maintenait fut quand même surprise par le premier jet de sperme qui, fusant du gland congestionné, lui frappa le visage. Tout heureuse du résultat enfin obtenu, elle ne tenta pas d’éviter les suivants, éprouvant un plaisir d’une rare intensité à sentir le liquide séminal venir s’écraser contre son menton et sa bouche. Ne pouvant contenir son envie, elle lécha vivement ses lèvres sur lesquelles le liquide viril s’était déposé, appréciant le goût quelque peu salé de cette semence fluide. La liquidité du sperme de Julien la surprit quelque peu ; autant qu’elle s’en souvînt, celui de son mari était beaucoup plus épais, une véritable crème avec laquelle elle aimait se masser le visage, les seins ou le ventre, suivant la partie de son corps que son époux avait aspergée. Lorsque du méat les jets se raréfièrent pour se tarirent enfin, Germaine se redressa le visage gluant d’un liquide onctueux et pratiquement incolore. Se tournant vers Julien qui la fixait d’un air penaud, elle comprit qu’elle se devait de le rassurer :
— C’était bon mon chéri ?... Tu as aimé ce que maman t’a fait ?
— Oh oui !... C’était trop bon !... Je t’aime très fort maman...
— Moi aussi je t’aime mon chéri... C’était meilleur que lorsque tu te le fais toi-même ?
— Oh oui ! Tu... Tu recommenceras ?
— Je ne sais pas... Tu sais, ce n’est pas normal ce que l’on a fait ce soir... Je suis ta mère, et une maman ne fait pas ce genre de chose à son fils... Tu crois que les mamans de tes camarades font ces choses-là ?
— S’il te plait maman... C’était si bon... Je ne le dirais à personne, je te le jure !
— On verra mon chéri... Maintenant, il est l’heure de dormir... Je ne t’embrasse pas, tu m’en as mis plein le visage... Regarde comme tu m’as arrangé... Je n’ai plus qu’à aller faire un brin de toilette... Fais de beaux rêves mon bébé...
— Bonsoir maman chérie.
— Bonsoir mon petit amour...
Refermant la porte de la chambre de Julien derrière elle, Germaine se dirigea vivement en direction de la salle d’eau à l’intérieur de laquelle elle s’enferma. Malgré ce qui venait de se passer avec son fils, elle ne voulait pas que ce dernier puisse la surprendre entièrement nue s’il venait à pénétrer dans la salle d’eau à l’improviste. Les jambes quelque peu flageolantes, elle s’agrippa au lavabo de faïence bleu. L’éjaculation de Julien lui avait procuré un plaisir tel, qu’un mini orgasme l’avait tétanisé un court instant. Elle avait dû faire un immense effort pour cacher ce spasme voluptueux à son fils. Mais à présent dans la solitude de la salle d’eau, elle subissait le contrecoup de cette félicité. Le plaisir qu’elle avait ressenti, même s’il avait été fugace, avait encore accentué le malaise sexuel qu’elle ressentait depuis le début de la soirée. Tous ces sens réclamaient un apaisement...
Comme elle fixait le reflet de son visage que le miroir lui renvoyait, Germaine découvrit avec émoi les taches qui souillaient son menton et les commissures de ses lèvres. Malgré son jeune âge, Julien avait eu une abondante éjaculation, ce qui l’avait quelque peu étonné sur le coup. Comment un gamin de seize ans pouvait emmagasiner une telle quantité de sperme ? Elle osa alors ce qu’elle n’avait pas tenté devant son fils. Délicatement, du bout de son majeur droit, elle récupéra le sperme qui lui collait aux lèvres, puis le cœur battant elle porta son doigt à sa bouche, émue à l’idée de goûter à la semence intime de son fils ; d’en connaitre la saveur. Avec émotion, elle retrouva les sensations qu’elle avait connues quelques années auparavant, lorsque Louis lui déchargeait sa laitance séminale au fond de la gorge, qu’elle avalait avec un plaisir non feint. Un détail lui revint en mémoire ; le sperme de son époux était, non seulement plus épais que celui de son fils, mais il était aussi plus épicé au goût. Julien n’avait certainement pas encore atteint sa maturité sexuelle. Tout en fixant son visage souillé, dans le miroir surplombant le lavabo, Germaine se remémora les instants passés à masturber son garçon. Un étrange sentiment l’envahit ; sentiment fait de confusion pour avoir accompli un geste inavouable de la part d’une mère, et en même temps une joie immense à l’idée du plaisir qu’elle avait donné à « l’amour de sa vie »... En fin de compte, elle se persuada qu’elle avait bien agi, qu’en fait elle s’était conduite en mère aimante et prête à tous les sacrifices pour assumer le bonheur de son fils. Certainement que son amie Isabelle n’aurait pas été de son avis, elle qui lui reprochait de trop couver son fils...
Après avoir consciencieusement récupéré la totalité de la liqueur étrangement fluide qui lui souillait le visage, et l’avoir particulièrement savourée, Germaine se décida à se préparer pour la nuit. Elle s’attaqua aux petits boutons qui fermaient son chemisier de soie, qu’elle retira. Puis d’un geste rapide, elle repoussa la fermeture éclair qui retenait sa jupe, qui tomba mollement au sol. Après quelques contorsions, l’écrin de soie qui contenait les deux fruits de chair de sa poitrine fut retiré à son tour. Le torse dénudé, Germaine fixa l’image que le miroir lui renvoyait. A bientôt trente-six ans, elle pouvait être fière de ses petits seins pointus et encore étonnamment fermes ; il est vrai que depuis le décès de son mari, aucune main masculine n’était venue malaxer la chair tendre de ses fragiles fruits mammaires. Du fait de sa carnation de rousse, la chair de ses seins était d’une blancheur extraordinaire, recouverte de multiples taches de rousseur. Ses mamelons, aux centres desquels pointait un téton malicieux, avaient gardé leur teinte rose, comme deux larges pièces rapportées qui auraient tranché sur la blancheur de ses mamelles. La vision de ses bourgeons de chair fièrement érigés n’étonna qu’à moitié Germaine ; l’excitation qui l’avait gagné lors de la découverte de la virilité érigée de son fils ne l’avait pas quitté, malgré le mini orgasme qui en s'en était suivi. Ses sens trop longtemps assoupis se rappelaient soudainement à elle, quémandant un rapide apaisement. Désirant échapper à ce désir qu’elle sentait au plus profond de ses entrailles, Germaine s’empressa de retirer sa culotte afin de faire un brin de toilette intime, qui, elle en était certaine, calmerait ce brasier qui lui consumait l’utérus. Jamais, au cours de ces trois années, ces organes sexuels n’avaient été autant perturbés. Avant de jeter sa lingerie intime dans la corbeille aux linges sales, elle jeta un coup d’œil critique à l’entrejambe de cette dernière... Ce qu’elle découvrit ne l’étonna pas le moins du monde ; ses humeurs intimes avaient copieusement trempé le nylon protecteur. Portant son vêtement intime à ses narines, elle en huma un parfum épicé.
Jugeant enfin qu’il se faisait tard, Germaine s’empressa de faire un brin de toilette intime, à l’eau froide afin de calmer ce brasier qui lui consumait le sexe. Puis enfilant une légère chemise de nuit, plus à cause de la chaleur de la soirée que par coquetterie, elle rejoignit enfin sa chambre, où là, allongée dans le noir, recouverte uniquement d’un drap fin, elle se remémora les instants passés auprès de son fils. Tout en reconnaissant ce que son comportement avait eu d’inconvenant, elle ne regrettait en rien ce qu’elle avait fait ; une seule chose comptait : le plaisir qu’elle avait procuré à son fils chéri, à l’amour de sa vie !
Grâce à elle, Julien avait connu sa première masturbation féminine, et la quantité de sperme qu’il avait émis ne faisait que confirmer combien il avait apprécié cette caresse. Au souvenir de l’éjaculation de son fils, qui l’avait soudainement surprise, Germaine ressentit un agréable frisson parcourir tout son corps. Lorsque la semence juvénile lui avait frappé le visage, elle avait ressenti une telle exaltation, qu’elle en avait éprouvé un mini orgasme, qui l’avait laissée pantoise, ne s’y attendant pas. Un seul regret cependant la perturbait ; celui de n’avoir osé refermer ses lèvres autour du gland libérant sa liqueur. Combien elle aurait aimé retrouver sur ses papilles le goût spécial du sperme chaud. Si jamais l’aventure se reproduisait, et elle était certaine que cela arriverait : Julien aurait encore besoin de ses services, elle oserait alors cette caresse qu’elle désirait tant.
Tout en s’imaginant ce qui pourrait se passer entre elle et son fils, Germaine glissa une main coquine entre ses cuisses grandes ouvertes. Retrouvant ses gestes d’adolescente, elle fourragea rapidement dans sa toison rousse. D’un majeur décidé elle suivit la longue fente qui séparait ses grandes lèvres sexuelles, pour enfin atteindre son bouton de chair, qu’elle n’eut pas à chercher longtemps, tant celui-ci était distendu.
Alors les yeux refermés sur des songes pleins de promesses, Germaine se masturba longuement, comme aux plus belles heures de son adolescence.
Je me connecte ou je m'inscris