Le reste de la matinée se passa tranquillement pour les Julien et sa mère… Une fois sa toilette terminée, Julien avait regagné sa chambre où il s’était enfermé pour jouer sur sa PlayStation. Comme on était mercredi, Germaine avait négocié avec Laurent, le patron du restaurant qui l’employait, à avoir ce jour de congé pour pouvoir être avec son fils.
Alors que Julien demeurait enfermé dans sa chambre, devant sa console de jeux, Germaine s’occupa de faire le ménage. Mais alors que ses mains s’activaient aux tâches ménagères, son esprit vagabondait, se remémorant les instants érotiques passés avec son fils. Elle ne regrettait nullement les caresses qu’elle avait prodiguées à son adolescent ; que ce soit la masturbation exécutée la veille ou la fellation qu’elle avait accomplie quelques instants plus tôt. Certes, son comportement n’était certainement pas celui d’une mère vis-à -vis de son fils : mais pouvait-on lui reprocher d’apporter à Julien, victime d’une affection neurologique, ce qu’aucune femme ne pourra peut-être jamais lui offrir. Si Julien, suite à un terrible choc psychologique, se comportait comme un gamin de treize ans, âge qu’il avait lors de son accident, son corps par contre avait lui continué de vieillir normalement et s’éveillait aux premiers désirs sexuels. Que devait-elle faire ? L’ignorer au risque que Julien dans son innocence se fourvoie dans des habitudes perverses ? Son amour maternel ne pouvait l’admettre... Aussi longtemps que Julien aurait besoin d’elle, elle serait là pour subvenir à tous ses besoins, surtout sexuels. Même si cela devait déroger à la morale traditionnelle...
*
La journée se passa, chacun vaquant à ses occupations. A dix-neuf heures trente, le diner réunit Germaine et Julien autour de la table de la cuisine, comme chaque soir lorsque Germaine ne travaillait pas au restaurant.
Le repas terminé, Germaine s’occupa à ranger la cuisine pendant que Julien allait se préparer pour la nuit, comme il en avait l’habitude. Il revint quelques minutes plus tard, vêtu seulement de son pantalon de pyjama du fait de la chaleur de ce mois de juin. Il alla s’installer dans le canapé faisant face à l’écran de télévision.
Jetant un regard intéressé en direction du bas-ventre de son fils, Germaine réalisa que ce dernier ne lui mentait pas. Une bosse incongrue déformait le pantalon du pyjama… Cette vision lui prodigua un immense plaisir : cette nouvelle érection allait lui servir de prétexte pour retrouver dans sa main la douceur de la jeune verge. Avec émotion, elle posa sa main droite sur l’affolante proéminence. Serrant ses doigts autour de la forme allongée qu’elle percevait sous le tissu du pyjama elle murmura :
— Oh oui, s’empressa de répondre Julien, qui en fait n’attendait que ça.
Lorsque les doigts fureteurs de sa mère commencèrent à presser l’extrémité de sa verge, Julien, dans un sursaut érotique, se cambra brusquement, comme pour mieux offrir son membre aux attouchements maternels. Un nouveau gémissement qu’il tenta d’étouffer s’échappa de ses lèvres.
— C’est bon ?... Tu aimes ?...
— Oouui, Maman…
Un gémissement impatient de Julien ramena Germaine à la réalité.
Refermant alors ses doigts autour du gland dilaté, elle le pressa, comme elle l’aurait fait avec un fruit pour en extraire le jus, éprouvant un indicible plaisir à sentir sous ses doigts l’extrémité sensible du membre. Cette félicité qu’elle ressentait à presser le bourgeon de chair, se répercuta jusqu’à son sexe qu’elle sentit s’humidifier soudainement. Comme la veille, lorsqu’elle avait découvert pour la première fois la virilité bandée de son enfant, elle ressentit une bouffée de désir l’envahir. Affinant sa caresse, elle massa plus sensuellement la collerette du gland dilaté, s’efforçant de contenter son « bébé », à lui apporter un maximum de plaisir.
— C’est bon ?... Tu aimes ce que maman te fait, questionna-t-elle, pervers ?...
— Moi aussi, je t’aime, mon cœur…
Percevant l’excitation envahir ses organes sexuels, Julien tenta de toute sa volonté de freiner la montée du plaisir dont il sentait l’évolution. Les paroles de sa mère lui parvinrent aux oreilles dans un souffle… Comme il levait les yeux en direction du visage de sa mère, son regard accrocha une nouvelle fois les affolantes rondeurs qui déformaient la blouse. Les deux grosseurs à quelques centimètres de son visage prenaient un volume impressionnant. Une soudaine envie de palper ces rondeurs s’empara de lui. Timidement, craignant de se faire réprimander, il porta sa main gauche jusqu’à l’attirante poitrine. Délicatement, il referma ses doigts sur l’une des rotondités. Mais réalisant soudain l’audace de son geste, il s’immobilisa, les doigts crochetés dans le sein dont il percevait l’élasticité malgré les tissus qui le recouvraient… Malgré sa crainte d’être rappelé à l’ordre, Julien sentit l’excitation croître à l’intérieur de son bas-ventre.
— Qu’est-ce que tu cherches là ? Questionna-t-elle, mutine ?
Germaine ressentit une privation évidente quand Julien relâcha son sein. Sans réfléchir aux conséquences de son geste, elle s’empressa de saisir la main exploratrice pour la ramener sur sa poitrine :
Ce qu’elle évitait cependant d’avouer, c’est qu’elle-même désirait qu’il continue son exploration : il y avait trop longtemps que ses seins n’avaient été l’objet d’attention. Aujourd’hui, elle était prête à toutes les audaces pour retrouver ce plaisir particulier qu’une main pouvait procurer à ses mamelons.
— Oui, c’est ça, l’encouragea Germaine dont le massage de son sein, même s’il manquait de délicatesse lui procurait un certain plaisir…
Les palpations de ses appas mammaires, qui s’apparentaient plus à un pétrissage qu’à une sensuelle caresse, apportèrent cependant un certain plaisir à Germaine. Dans sa folie érotique, Julien se comportait comme un chiot qui aurait trouvé une balle. Il avait tout à apprendre sur la façon de se conduire envers une femme, lors de ses échanges sexuels…
Après un instant de réflexion, alors, que sous sa blouse ses tétons s’étaient particulièrement dilatés, Germaine se décida à mettre son projet à exécution, y trouvant même une certaine excitation. Saisissant le poignet de Julien, elle le stoppa dans son massage malhabile :
Puis, guidant la main toujours accrochée à son sein, elle la lui fit exécuter un lent mouvement circulatoire :
Alors qu’elle tentait de former son fils aux attouchements qu’il aurait peut-être un jour à accomplir, une pensée lui traversa l’esprit, lui procurant une bouffée de chaleur. Après un moment d’hésitation, elle se décida :
L’offre proposée par sa mère mit plusieurs secondes à faire son chemin dans l’esprit de Julien, tant cette proposition lui paraissait ahurissante. Il en fut si bouleversé, qu’il en cessa de bichonner la rondeur mammaire :
Avant même qu’il réussisse à acquiescer, il vit les doigts de sa mère voltiger lestement d’un bouton à l’autre de la blouse. Les yeux fixés sur l’affolant spectacle qui se déroulait au-dessus de son visage, il demeura sans voix pendant tout le temps que dura le déboutonnage.
— Ils te plaisent mes… lolos ?
— Tu ne veux pas caresser mes… nichons ?
— Tu sens comme c’est doux, interrogea-t-elle, en obligeant l’adolescent à refermer ses doigts sur son sein que le désir gonflait.
Mais lorsque sa mère lui saisit le poignet pour le forcer à empoigner l’un des seins, Julien en éprouva une forte excitation. Sa queue bandée sembla tout d’un coup se dilater encore davantage, prête à exploser. Affolé à l’idée de ne pouvoir retenir son éjaculation, il contracta son bas-ventre, faisant des efforts désespérés pour contenir cette jouissance qu’il sentait proche. Cependant, malgré ce problème au niveau de sa verge, il referma sa main, empaumant le sensuel fruit de chair offert.
Suivant les explications que lui avait fournies sa mère quelques secondes plus tôt au sujet de la sensibilité de ses seins, Julien se força à canaliser ses ardeurs sexuelles. Délicatement, il frotta de sa paume le mamelon rose, cette zone particulièrement érogène chez la plupart des femmes, étonné de sentir le téton se durcir sous la friction de sa main.
— Oui mon chéri, c’est bien, continue… Tu me fais du bien… J’aime que tu caresses les seins… Et toi ?... Tu aimes ?...
Allongé comme il l’était, la tête reposant sur les cuisses de sa complice sexuelle, Julien avait une vision particulière du sein qu’il pétrissait. Le merveilleux globe de chair qu’il tenait dans sa main ne pouvait qu’attirer son regard et la curieuse tétine rose, dardée au centre de son aréole, excita son intérêt. Saisissant cette petite bite entre le pouce et l’index, il la pressa doucement, interrogateur. L’excroissance de chair lui parut bizarrement dure par rapport au sein si élastique au toucher. Voulant s’assurer de ce qu’il venait de découvrir, il comprima plus fortement la tétine érigée entre ses deux doigts : aussitôt un gémissement étrangement guttural s’échappa des lèvres de sa mère. Etonné par cette réaction, Julien serra un peu plus fort le téton. Un second gémissement plus rauque le surprit. Inquiet, il relâcha immédiatement son pincement, cause du malaise de sa mère.
Ne pouvant se contenir, Germaine tint à encourager son fils :
Alors qu’il avait craint d’avoir commis une maladresse en pinçant trop fort le téton érigé, Julien fut rassuré, comprenant que si sa mère lui demandait de recommencer cet attouchement particulier, c’est qu’elle devait y trouver du plaisir. Tranquillisé, et heureux de pouvoir offrir à son tour du bonheur, à sa mère chérie, il se saisit à nouveau du bourgeon de chair qu’il pinça fortement… De nouveau, un râle bestial s’échappa de la gorge de sa victime… Sachant qu’il ne devait pas s’inquiéter ; ce qu’il entendait était dû au plaisir que sa mère ressentait à ses attouchements, et non à de la douleur, il accentua sa prise. Maintenant fermement le téton entre ses doigts, il le tira à lui, distendant le sein, lui faisant prendre une forme allongée. Ravi de son initiative, il relâcha brusquement sa prise, permettant au sein de reprendre sa forme initiale. Prenant un plaisir certain à jouer ainsi avec le sein élastique, il accentua son action, attirant de nouveau le sein à lui, lui faisant prendre la forme d’un obus, pour le relâcher aussitôt. Et ainsi de suite, plusieurs fois.
Sous ces impulsions voluptueuses successives qui parcouraient son corps, la faisant ruisseler, Germaine fut prise d’un désir particulier... Pouvait-elle retrouver ce plaisir simple, mais combien agréable, qu’elle ressentait à l’époque où Julien, tout bébé, la tétait ?... Désirant en avoir le cœur net, elle se saisit de la tête de son fils de la main gauche qu’elle attira contre sa poitrine, lui plaquant le visage sur son sein droit :
Le visage maintenu d’une main ferme contre le sein à la chair satinée, Julien n’eut d’autre choix que d’ouvrir la bouche et d’aspirer le téton qu’il venait de malaxer.
Etonné par le langage imagé employé par sa mère, Julien, suivant son instinct, emprisonna la mamelle gonflée entre ses deux mains pour la presser fortement, éprouvant un plaisir particulier à façonner à sa guise cette masse de chair malléable. Retrouvant ses pulsions de nourrisson, il aspira la tétine érigée, la tétant goulument, les lèvres collées au mamelon granuleux.
Bien que fort occupé à aspirer le téton et même le mamelon en entier d’une bouche avide, Julien ne pouvait ignorer le désir qui le faisait douloureusement bander… Tout à son plaisir, sa mère victime de sa passion érotique, semblait avoir oublié son état. Il décida de la contraindre à le branler. Ayant pris de l’assurance depuis le matin, il osa un geste qu’il n’aurait jamais eu l’audace d’accomplir encore la veille, même en imagination. Sans réfléchir, il se saisit du poignet droit de sa partenaire sexuelle, qu’il dirigea en direction de son bas-ventre où se dressait son membre viril fièrement érigé. Guidant la main maternelle, il la posa contre sa verge tendue.
— Mon pauvre chéri, réussit-elle à murmurer… Maman t’a oublié…
— Continue à téter mon cœur, murmura-t-elle avec beaucoup de douceur… Maman va te branler… Je vais te faire du bien…
Branler son fils, pendant que ce dernier la tétait, ne fit qu’accentuer ce plaisir pervers chez Germaine. Le corps parcouru par d’incessants frémissements érotiques, elle masturba avec dextérité son petit homme.
— Maman, gémit-il… Ça vient…
— A mon tour de te téter mon cœur, l’informa-t-elle affectueusement.
Impatient d’atteindre enfin cette jouissance qui calmerait ses sens en ébullition, Julien agita ses reins, lançant désespérément son membre au-devant de la bouche maternelle pour qu’elle le suce et le fasse jouir.
« Mon Dieu, quel morceau, songea-t-elle… De qui tient-il ?... »
Mais alors qu’elle en était à réfléchir à l’avenir sexuel de son fils, Germaine sentit la main de celui-ci se poser sur son dos dénudé, puis remonter jusqu’à sa nuque, sur laquelle elle appuya. Comprenant l’impatience de Julien, devant sa passivité, elle recracha lentement la partie de la verge lui emplissant la bouche. Ce n’est que lorsque la collerette du gland atteignit l’intérieur de ses lèvres qu’elle cessa son action de retrait. Le bourgeon de chair dilaté, bloqué, elle entreprit de le lécher sur toute sa surface, d’une langue agile… Louis à l’époque ne résistait pas longtemps à ce genre de caresse.
Un long râle de plaisir résonna soudain aux oreilles de Germaine, et cela au moment même où un jet de sperme lui frappant le palais la surprenait. Un second aussi puissant et aussi copieux, lui heurta le fond de la gorge, suivi par d’autres, en une salve ininterrompue… Resserrant fortement ses lèvres autour du gland éjaculateur elle se força à garder la totalité du sperme chaut et salé à l’intérieur de sa bouche. Lorsque Julien eut enfin terminé de décharger sa semence, Germaine se décida alors à avaler la semence virile au goût âpre qui lui emplissait la bouche. Savourant avec délectation le liquide visqueux, que son fils venait de lui offrir, elle en ressentit un intense plaisir, proche de l’extase.
— Tu es bien mon chéri, demanda-t-elle d’une voix affectionnée ?... Tu as aimé ce que maman t’a fait ?...
— Moi aussi je t’aime mon cœur… Mais maintenant, tu dois aller te coucher, il se fait tard, demain tu as école…
— Peut-être lui sourit Germaine… On verra… Allez, file au lit maintenant !...
L’esprit embrumé par le désir qui embrasait toujours ses entrailles, Germaine se laissa emporter par ses sens en émoi. Lorsque son fils approcha son visage pour l’embrasser sur la joue, une envie subite lui fit détourner son visage. Du fait de son geste, les lèvres de Julien se retrouvèrent accolées aux siennes… Surpris, l’adolescent s’immobilisa, ne sachant quelle attitude adopter. Profitant de cette incompréhension de son fils, Germaine en profita pour glisser vivement sa langue entre ses lèvres. Comme l’adolescent demeurait immobile, ne sachant toujours pas quelle conduite prendre, elle exploita cette hésitation pour lui fouiller la bouche d’une langue agile…
Trop innocent, pour ce genre d’exercice Julien demeurait entièrement passif, se contentant de subir l’incursion de la langue dans sa bouche. Dépitée, le souffle court, Germaine décida de mettre fin à ce baiser qui ne faisait qu’accentuer son désir. Doucement, elle repoussa son fils :
— C’est ça, un baiser d’amoureux, questionna niaisement Julien en se dégageant des bras qui l’enserraient ?... C’est comme dans les films !...
Tout en réfléchissant à l’avenir sexuel de son fils et du rôle qu’elle aurait à y jouer, Germaine avait refermé ses mains sur ses seins douloureux à avoir été si fougueusement sucés, pour les masser doucement de ses paumes. Dans son bas-ventre, le désir demeurait toujours aussi vivace, lui tourmentant les entrailles et la faisant mouiller.
Mais si le plaisir qu’elle ressentait la comblait, Germaine se rendit compte que le fait de se lutiner le clito ne suffisait pas à calmer ses sens avides. Aussi, abandonnant son bouton érigé, elle glissa son majeur le long de sa fente ruisselante de cyprine brûlante, pour l’enfoncer dans son vagin en fusion. Vu l’abondance de liqueurs amoureuses qui emplissaient la cavité vaginale, son doigt barbota dans un océan de mouille, sans lui apporter le plaisir qu’elle en escomptait. Aussi, s’empressa-t-elle de joindre son index à son majeur de façon à augmenter le volume de la pénétration.
Tout en insistant sur les parois vaginales de ses ongles, Germaine se remémora l’étonnant membre viril de Julien. Elle avait eu la possibilité de réaliser son envie lorsqu’elle avait tenu la superbe verge dans sa main. Mais un dernier sentiment de gêne l’en avait empêché. Et à cet instant, où le plaisir lui irradiait les entrailles, elle regrettait de ne pas avoir suivi son désir. Elle était sure que la superbe queue de son fils l’aurait amené au septième ciel… Soudain, alors que le membre viril de son fils occupait ses pensées, son regard se posa sur la coupe posée sur le guéridon du salon. Cette coupe qui trônait au milieu de la pièce depuis des années, et auquel elle n’avait jamais vraiment prêté attention, attira son intérêt du fait de ce qu’elle contenait. De nombreuses coloquintes décoratives occupaient le récipient. Mais parmi toutes ces cucurbitacées, deux épis de maïs multicolores appâtèrent plus spécialement la convoitise de Germaine. De par leur forme allongée et leur longueur, les deux céréales la ramenèrent à la longue bite de Julien… Peut-être que l’un de ces épis pourrait, si elle l’utilisait pertinemment, lui procurer cette jouissance qu’elle recherchait.
Tranquillisée sur le fait que Julien ne pourrait la surprendre, Germaine finit de déboutonner sa blouse qu’elle retira. Puis glissant ses pouces sous l’élastique de sa culotte, elle repoussa son vêtement intime sur ses cuisses. Magnifique, dans sa nudité mature, elle s’installa à califourchon au-dessus du bidet, jambes largement écartées.
Au bout d’un moment d’immobilité passé à apprécier la volumineuse introduction dans son ventre, Germaine, ne pouvant contenir plus longtemps son désir, retira lentement l’énorme épi de son vagin. L’entréede sa vulve, obstruée par l’imposante graminée, laissa couler un filet de mouille brûlante lorsque le maïs libéra l’ouverture distendue. Sans attendre, Germaine repoussa vivement l’épi à l’intérieur de sa chatte, pour le retirer aussi vivement lorsque l’extrémité vint lui frapper le col de l’utérus. Alors, emportée par le plaisir, elle commença un rapide va-et-vient dans son vagin largement lubrifié. Les grains de maïs frottant les parois exacerbées de sa chatte vagin lui procuraient une volupté étrange, différent de ce qu’elle avait connu lors de ses relations sexuelles avec Louis.
Haletante, éprouvant pour la première fois depuis trois ans un orgasme d’une puissance incroyable, Germaine se laissa emporter par le plaisir, l’épi de maïs profondément fiché au fond de son sexe palpitant. Les yeux fermés, elle laissa échapper un long gémissement pendant tout le temps que dura sa jouissance…
A suivre…
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