02 – Désirs matinaux :
A peine réveillée, après une nuit peuplée de rêves étranges dans lesquels Julien, son fils était toujours présent, Germaine se retrouva confrontée à la réalité. Les évènements de la veille lui revinrent en mémoire. La réminiscence qui s’imposa immédiatement à son esprit fut la découverte de la sexualité de son « bébé » ! Naviguant encore entre le songe et la réalité, elle avait de la peine à croire ce que son esprit lui remémorait ; cette vision d’une verge fine, mais fièrement dressée ne pouvait appartenir à son fils. Julien ne pouvait avoir une telle érection ; il était encore trop jeune…
Cependant, prenant peu à peu conscience avec la réalité, Germaine dut se rendre à l’évidence : ce que sa conscience lui évoquait était réel. Son garçon, qu’elle s’ingéniait à considérer comme son « Bébé » était devenu un homme. Cette constatation, se rappela-t-elle, l’avait étrangement déstabilisé. Dans un frisson de tout son être, Germaine se souvint du choc qu’elle en avait ressenti. Elle avait dû prendre en main le jeune sexe raidi pour croire ce que ses yeux lui révélaient. Comme le seul moyen de s’assurer de la réalité de cette érection.
Son subconscient lui révélant les détails de la suite de cette découverte, Germaine éprouva une honte à retardement. Comment avait-elle pu ressentir un soudain désir pour ce jeune sexe brandi. Avec émotion, elle se revit caresser sensuellement la jeune bite, masturbant ainsi son propre fils. Mais songeant au plaisir qu’avait alors connu Julien, et cela grâce à elle, un sentiment de bonheur gagna Germaine. Elle avait donné à son fils, cette euphorie si intime, qu’aucune mère ne se serait permis. Elle l’avait fait et, non seulement elle ne le regrettait pas, mais n’en avait pas honte. Elle se sentait même prête à recommencer si l’occasion s’en présentait, par amour pour ce fils chéri que la nature avait cruellement blessé…
Mais à se rappeler le plaisir qu’elle avait pris à branler et faire jouir son fils, Germaine sentit une étrange chaleur gagner son bas-ventre et ses entrailles, tandis qu’une humidité gagnait sa vulve. Comprenant que son sexe réagissait à ses pensées, elle s’empressa de s’éjecter de son lit, afin de ne pas succomber à l’appel de ses sens soudainement en émoi. Rapidement, elle rejoignit la salle d’eau dans laquelle elle s’enferma, le sexe en ébullition. Elle retira sa fine chemise de nuit avant de se jeter sous la douche.
La tête rejetée en arrière, afin de ne pas mouiller ses longs cheveux roux, Germaine laissa l’eau tiède jaillissant du pommeau de douche, fouetter ses seins blancs. Les gouttes d’eau crépitaient avec régularité contre les fruits gonflés de sa poitrine tendue, avant de former un ruisselet s’écoulant entre le sillon séparant les deux masses charnues. Tout en appréciant le ruissellement de l’eau sur son corps, Germaine entreprit de se savonner consciencieusement le bas-ventre et l’entrejambe, faisant mousser sa toison aux reflets de feu. Appliquée, elle glissa son majeur abondamment savonné le long de sa fente, pour une méticuleuse toilette intime, évitant pourtant un trop long frottement sur son clitoris, malgré le désir qu’elle en avait. Un étrange pressentiment lui conseillait de laisser stagner ce désir sournois qui lui travaillait le bas-ventre, pour mieux en profiter plus tard. Retirant alors son doigt d’entre ses grandes lèvres sexuelles, elle le glissa entre ses fesses afin d’y trouver son second orifice, qu’elle massa soigneusement pour le rendre accessible. Largement humidifié par la douche et la mousse onctueuse, l’anus ne présenta aucune résistance à la poussée du majeur copieusement savonné. Une fois son doigt profondément enfoncé dans ses intestins, Germaine en frotta soigneusement les parois afin d’en débarrasser les excréments qui auraient pu s’y accrocher. Cela faisait partie d’un rite immuable. Chaque matin, elle se voulait entièrement propre, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. Les cuisses largement écartées et les jambes à demi fléchies, afin de se faciliter sa tâche, Germaine accola alors son index à son majeur et à l’aide de ses deux doigts elle se fouilla méticuleusement l’anus.
Mais à explorer ainsi les parois de ses intestins, Germaine ne tarda pas à ressentir un plaisir équivoque. Ses deux doigts coulissants à la manière d’une bite dans son cul, déclenchaient d’incontrôlables frémissements voluptueux à l’intérieur de ses entrailles. Jamais depuis maintenant trois ans ; depuis la mort tragique de son mari, elle n’avait ressenti ce genre de réaction lorsqu’elle se toilettait l’anus, ainsi qu’elle le faisait présentement. Du temps où Louis était encore en vie, elle ne refusait jamais qu’il la prenne de ce côté ; qu’il enfonce son dard entre ses fesses. Elle en avait oublié combien elle aimait ça...
« Peu après son mariage, Louis l’avait avec beaucoup de patience et de tendresse amené à accepter cette pénétration hors nature. D’abord rétive, elle avait accepté d’être prise de ce côté, plus pour lui faire plaisir, que par réelle envie. Puis peu à peu, elle avait commencé à ressentir un certain plaisir lorsque la verge gonflée coulissait dans son anus distendu. Jusqu’au jour où elle avait connu une véritable jouissance au moment où Louis déchargeait sa semence au tréfonds de ses entrailles. »
Mais depuis la disparition de son époux, son anus ne s’était plus prêté à aucune pénétration, si ce n’est celui de ses doigts, pour une toilette intime poussée. Or jamais auparavant, elle n’avait ressenti ce lancinant plaisir qu’elle percevait ce matin. Encore un signe que ses sens s’étaient bel et bien réveillés après tant de mois de léthargie !
Désirant conserver ce désir pernicieux au plus profond d’elle-même, Germaine retira rapidement ses deux doigts de son cul assoupli. Le cœur battant, elle décrocha le pommeau de la douche qu’elle dirigea en direction de son bas-ventre couvert de mousse blanche. Peu à peu, sous l’action du jet, le savon se dilua, laissant apparaître la toison de feu qui recouvrait son pubis. Ecartant alors les cuisses, Germaine dirigea le geyser liquide en direction de sa longue fente pour en chasser le reste de savon qui s’y était déposé. Le crépitement des gouttes d’eau contre les lèvres de sa vulve stimula immédiatement ce désir qu’elle voulait pourtant ignorer. Pire, quand dans un souci d’hygiène elle écarta les rebords ourlés de sa chatte afin d’en rincer l’intérieur, elle exposa son clitoris au martèlement de l’eau. Aussitôt, un véritable roulis érotique parcourut la totalité de son corps, depuis son bas-ventre jusqu’à sa poitrine, gonflant ses seins de désir.
Prise à son propre piège, Germaine sentit ses jambes fléchirent dangereusement sous elle, comme privées de force. Lâchant vivement le pommeau de la douche, elle se cramponna désespérément aux porte-savons, reprenant difficilement le contrôle de ses sens. Encore une fois, elle comprit que, non seulement ses sens avaient repris tous leurs allants, mais que dorénavant elle devrait s’en méfier si elle ne voulait pas en devenir l’esclave.
S’étant longuement séchée, Germaine décida de recouvrir sa nudité d’un peignoir de soie, genre kimono japonais, extrêmement fluide autour de son corps, qu’elle referma par une large ceinture entourant sa taille. Ainsi vêtue, pour affronter la chaleur de ce début de matinée, elle se dirigea alors vers la cuisine afin de préparer le petit déjeuner...
*
* *
Alors qu’elle déjeunait, seule dans le silence de l’appartement, Germaine se laissa de nouveau envahir par ses souvenirs. Avec une douce émotion, elle se remémora le moment où elle avait refermé ses doigts autour de la juvénile verge raidie de son fils. Elle ne s’expliquait toujours pas comment le désir lui était venu de s’emparer de la jeune bite érigée, mais elle l’avait fait et elle avait éprouvé un incroyable plaisir à masturber son « bébé ». Le fait de branler la queue bandée lui avait occasionné des sensations d’une rare sensualité ; ces sensations qu’elle avait connues quelques années plus tôt, lorsqu’elle branlait son mari. Aussi lorsque Julien, sous la sensuelle caresse qu’elle lui prodiguait avait lâché son sperme, dans une fulgurante jouissance, elle en avait éprouvé un mini orgasme. La vision de ce jeune sperme encore limpide jaillissant tel un geyser du méat dilaté lui avait procuré un réel plaisir, au détriment de l’entrejambe de sa culotte qu’elle avait trempé.
— Bonjour maman !
— Oh ! Bonjour mon chéri, sursauta Germaine, qui perdue dans ses pensées, n’avait pas entendu arriver son fils.
Comme à l’habitude l’adolescent s’approcha pour embrasser sa mère. Encore émue par les souvenirs érotiques qui avaient défilé dans son esprit, Germaine attira son fils à elle, le serrant fortement contre sa poitrine, dans un geste d’amour maternel.
— Tu as bien dormi, mon petit cœur, questionna-t-elle, pleine de tendresse ?
— Oui, maman... Mais j’ai mon zizi tout raide, annonça Julien qui avait retenu la leçon de la nuit, lorsque sa mère l’avait exhorté à tout lui dire.
Un reste de pudeur vis-à-vis de sa mère l’empêchait de prononcer les mots qu’il utilisait d’habitude avec ses camarades ; depuis longtemps, le terme « zizi » avait été remplacé par « bite », « pine » ou « queue ». Or ces termes ce matin ne pouvaient sortir de sa bouche. En présence de sa mère, Julien était redevenu le petit garçon sérieux, qui lorsqu’il parlait de son sexe le nommait « zizi ».
Cette révélation à laquelle elle ne s’attendait pas laissa Germaine pantoise. C’était la première fois que Julien lui parlait aussi franchement de ses problèmes sexuels. Elle se souvint qu’en fait c’est elle qui le lui avait demandé la veille au soir, et que son fils ne faisait que suivre les conseils qu’elle lui avait donnés, dans un moment d’égarement sexuel.
La phrase difficilement prononcée par Julien était due au fait du terrible accident dont il avait été victime et dans lequel son père y avait perdu la vie. A la suite de cet accident, Julien était resté quelques jours dans le coma, et lorsqu’il en avait émergé, les psychologues avaient constaté que le gamin en avait gardé quelques séquelles. Victime d’un blocage psychologique, Julien avait vu son développement intellectuel retardé... C’était un gamin d’à peine treize ans qui lui expliquait tout naturellement qu’il était en proie d’une érection matinale.
Emue, Germaine, consciente de l’état psychique de son fils qu’elle chérissait au-delà de tout, jugea qu’elle se devait de lui venir en aide. Après tout, n’était-elle pas responsable du comportement sexuel de Julien ce matin, vu ce qu’elle lui avait offert la veille ?... Stimulée par son propre désir et par l’exigence d’offrir le maximum d’amour à son fils, comme le lui avait recommandé la psychologue, Germaine décida de satisfaire son « bébé ».
— Tu as déjà envie, tenta-t-elle de plaisanter ?
— Tu veux me faire du bien comme hier au soir, maman ? S’empressa de demander Julien, qui sans aucune gêne baissa son pantalon de pyjama, dévoilant son jeune membre dressé telle une flamberge.
A la vision de la verge raidie au gland largement décalotté, Germaine sentit sa gorge se nouer, tandis qu’une bouffée de chaleur lui envahissait le visage. Ce jeune sexe en érection lui procurait de nouveau le même malaise érotique que la veille, lorsqu’elle l’avait découvert pour la première fois. La même envie de le sentir palpiter au creux de sa main la saisit. Luttant contre ce désir pervers qui la gagnait inexorablement, elle détacha à regret son regard du jeune dard qui semblait la narguer. La voix enrouée, elle tenta de calmer les envies de Julien :
— Déjeune d’abord, et ensuite on verra… Remets ton pantalon et viens t’asseoir, je vais te servir ton déjeuner.
Certain alors d’avoir obtenu gain de cause, Julien s’empressa de s’installer à table, le cœur léger.
*
* *
La cuisine était meublée d’une table en bois, imitation chêne, avec deux chaises paillées d’un côté et d’un banc également de bois de l’autre côté ; ce banc étant calé contre le mur séparant la cuisine et la salle à manger. Depuis longtemps, Germaine et Julien avaient choisi leurs places respectives : Germaine s’installait sur l’une des chaises, de façon à se trouver près de la table de cuisson placée dans son dos, alors que Julien s’était approprié le banc.
Rassuré sur la suite des évènements, certains que sa mère lui apporterait ce plaisir qu’elle lui avait octroyé la veille, Julien s’installa à sa place habituelle sur le banc. Attendant d’être servi comme il en avait l’habitude, il suivit d’un œil intéressé les déplacements de sa mère. Chaque fois que cette dernière lui tournait le dos, il ne pouvait s’empêcher de fixer les courbes aguichantes de ses hanches, que le peignoir de soie épousait avec une précision terriblement érotique pour l’adolescent qu’il était. Par moment, suivant les mouvements qu’effectuait sa mère, le soyeux tissu se plaquait sur les rotondités de la croupe, mettant en valeur les doubles rondeurs des fesses rebondies. Lorsque sa mère, tenant la cafetière fumante à la main, se pencha pour remplir son bol, Julien éprouva un choc émotionnel d’une telle intensité qu’il demeura figé, le regard fixe. Dans le mouvement qu’effectua cette dernière pour le servir, le haut de son peignoir s’était quelque peu écarté, offrant à sa vue le haut d’un sein. Lui, qui ne connaissait des poitrines féminines que ce qu’il en avait vu sur certaines revues érotiques, circulant sous le manteau à l’école, demeura ébahi par ce qu’il découvrait. Cette masse laiteuse parsemée de minuscules taches rousses lui sembla extrêmement alléchante, malgré le peu qu’il en voyait.
Bien qu’occupée à verser le café dans le bol de son fils, Germaine se rendit compte que son peignoir uniquement retenu à la taille s’ouvrait généreusement au niveau de sa poitrine. Ne pouvant stopper ce qu’elle faisait, elle jeta un rapide coup d’œil en direction de Julien pour s’assurer que ce dernier n’avait rien remarqué. La direction du regard de ce dernier ne lui laissa aucun doute quant au spectacle qu’elle lui offrait bien involontairement. Malgré l’état de leur relation depuis la veille, elle éprouva un sentiment de gêne à offrir ainsi une partie de son anatomie à son fils.
— Qu’est-ce que tu regardes comme ça ? Tenta-t-elle de plaisanter, tout en finissant de remplir le bol.
Ainsi apostrophé, Julien baissa rapidement son regard, penaud, les joues en feu.
Plus amusée qu’irritée, Germaine décida de rassurer son fils qu’elle voyait confus :
— Allez, mange mon chéri...
Comprenant que sa mère ne lui en voulait pas pour avoir osé regarder en direction de sa poitrine découverte, Julien se jeta littéralement sur ses tartines, oubliant momentanément son désir naissant.
Ayant posé la cafetière sur son socle afin de garder au chaud le café restant, Germaine vint s’installer sur le banc, à la droite de son fils. Elle le faisait souvent, aimant partager ce moment de complicité et de bonheur avec son enfant. Mais ce matin, ses intentions étaient tout autres. Elle avait bien sûr promis à son « ange blond » de résoudre son problème sexuel ; mais surtout, à la pensée de retrouver dans sa main la jeune verge si douce et si dure en même temps, une impatience tout érotique la rendait fébrile. Regardant émue, son « bébé » se régaler, Germaine ne put s’empêcher de penser que son fils était le plus beau garçon du quartier ; avec ses cheveux ondulés lui retombant en bouclettes sur le front et descendant assez bas sur la nuque, il ressemblait à un de ces angelots que l’on voie sur les images pieuses. Un immense sentiment d’amour gonfla sa poitrine de mère.
Encerclant la taille de son fils de son bras gauche, Germaine posa sa tête sur l’épaule de celui-ci. Doucement, presque amoureusement, elle posa ses lèvres dans le cou de l’adolescent, dans une série de baisers pleins de tendresse… Mais ce matin, le sournois désir qui lui taraudait le bas-ventre l’incita à un attouchement plus précis. Tout en se grisant de l’onctuosité de la chair sous ses lèvres, Germaine posa délicatement sa main droite sur la cuisse de son fils, dans une douce et insidieuse caresse.
Sous les tendres baisers de sa mère qui lui picoraient le cou, Julien sentit de longs frissons de bien-être lui parcourir l’échine. Mais lorsque la main de cette dernière vint se poser sur sa cuisse, sa respiration s’accéléra. Cette main allait-elle réitérer la caresse dont elle l’avait gratifié la veille au soir, allait-elle de nouveau le branler et le faire jouir ?
La tête sur l'épaule de son fils, Germaine dont le désir ne faisait que croitre, remonta doucement sa main le long de la cuisse de l'adolescent, sachant pertinemment ce qu'elle allait y trouver. Lorsqu'elle arriva au pli de l'aine, elle stoppa un moment sa sensuelle approche, attendant que les battements de son cœur se calment. Percevoir le jeune sexe masculin si proche, intensifiait son désir, lui procurant une bouffée de chaleur par tout le corps. Deux désirs bien distincts l'émoustillaient ; d'abord le sien propre : se saisir de cette jeune verge pour la sentir frémir au creux de sa main, et le désir de procurer un plaisir intense à son "bébé". Percevant celui-ci se raidir sous sa main, Germaine décida alors d'achever son exploration sexuelle. D'un geste rapide, elle remonta ses doigts jusqu'à la saillie extrêmement dure qui déformait le devant du pyjama, qu'elle empoigna avec ivresse.
— Humm, il a grosse envie, mon « bébé », minauda-t-elle ?... Ça me semble bien dur !... Continua-t-elle, ne pouvant refréner l'intense désir qui la submergeait.
Sous cet attouchement tant désiré, Julien abandonna précipitamment son petit déjeuner pour se reculer contre le mur, s'éloignant de la table afin de rendre son bas-ventre plus accessible à la main maternelle.
Au gémissement d'impatience que son fils laissa échapper en guise de réponse, Germaine décida de mettre fin à l'attente de son ados. Avec énormément de tendresse, elle entreprit de masser à l'aide de ses doigts la longue excroissance virile.
— Mon pauvre chéri, susurra-t-elle, d’une voix câline. Tu as vraiment une grosse envie... Tu veux que maman te fasse du bien, continua-t-elle, plus par plaisir personnel que du fait de la réponse de son fils ?
— Oh oui !... S’il te plait, Maman…
— Tu as aimé quand je t’ai branlé hier au soir ?
Connaissant d'avance la réponse de Julien, Germaine se procurait un plaisir pervers à forcer son fils à avoir un dialogue moins conventionnel avec elle, plus salace, comme son mari et elle en avait à l’époque. Elle tâchait de retrouver avec Julien, le plaisir qu’elle éprouvait avec son père…
— Oh oui !
Le cœur battant la chamade à la pensée de ce qu'elle allait entreprendre, Germaine repoussa le pantalon de pyjama sur les cuisses de son fils. Tel un menhir de chair, le sexe bandé lui apparut dans toute son arrogance. Avec émotion, elle s’empressa de refermer ses doigts autour de la verge tendue à l'extrême. Follement excitée à sentir ce sexe bandé contre sa paume, elle murmura :
— Mon dieu comme elle est raide !..... Ta queue est magnifique, mon chéri…
Intentionnellement, Germaine n'avait pas employé le terme « zizi », que Julien avait lui utilisé quelques instants plus tôt, afin que ce dernier la considère non plus comme sa mère, mais comme une copine avec qui il partagerait ses jeux sexuels.
Maintenantla verge en érection dans sa main refermée, Germaine fixa avec émotion le bourgeon lisse et rose du gland. Déjà la veille, lors de la découverte de la sexualité de son fils, elle constaté, surprise, que Julien malgré ses quinze ans était pourvu d'un sexe d'une étonnante longueur. De nouveau cette longueur incroyable la stupéfiait. Autant qu'elle pût s'en souvenir, son père avait un sexe d’une longueur moins importante que celle qu’elle enserrait présentement. Une question se posa alors à son esprit ; que pouvait-on ressentir lorsque l’on était pénétré par une bite d'une telle longueur ?...
Mais comme Julien, impatient d’être branlé, lançait son bas-ventre en avant, lui faisant ainsi comprendre à sa façon ce qu’il attendait, Germaine se décida alors à procurer ce plaisir que son fils attendait d’elle. Déposant un tendre baiser dans le cou de son « Bébé », elle lui susurra à l’oreille.
— Tu veux que maman te branle ?
— Oh oui ! Haleta doucement Julien, en lançant de plus belle son bas-ventre en avant, dans une invite pressante.
Germaine retrouvait le plaisir d’employer des termes érotiques, comme elle le faisait avec son mari. Le corps parcouru de frissons, dus à ce qu’elle entreprenait de d’exécuter, elle entama une lente masturbation le long du jeune membre viril. Le cœur battant la chamade, elle fit coulisser le prépuce autour du gland dilaté.
Le fait de sentir cette jeune verge contre sa paume, et surtout d'entendre son "bébé" soupirer de plaisir sous la caresse qu'elle lui dispensait, procura à Germaine un plaisir diffus. Plaisir qui ne tarda pas à se manifester par une abondante humidité au plus intime de sa féminité affolée. Elle resserra instinctivement ses cuisses, comprimant sa vulve qui laissait perler des larmes de cyprine…
Un long gémissement de Julien où se mêlaient plaisir et impatience se fit entendre dans le silence de la pièce, procurant un immense bonheur à sa mère.
— C'est bon mon chéri ? S'informa-t-elle amoureusement... Tu aimes ? Continua-t-elle, en agitant lentement sa main refermée autour de la jeune queue dressée, dans une caresse qu’elle voulait extrêmement suave...
— Oh oui ! Gémit doucement Julien en lançant son bas-ventre en avant, à la rencontre de cette masturbation qu'il avait tant attendue.
Le bas-ventre parcouru par des ondes voluptueuses de plus en plus intenses, Germaine s’appliqua à donner le maximum de douceur à sa caresse. Le regard fixé sur sa besogne, elle ressentit de nouveau, comme la veille, l’envie d’avaler ce gland rose, qui tel un facétieux diablotin, jaillissait d’entre ses doigts. Envie de sentir ce bourgeon de chair se dilater dans sa bouche, envie de gouter à ce sperme encore fluide ! Dans un frisson sensuel qui couvrit son corps d’une sueur érotique, elle se souvint combien elle aimait percevoir au fond de sa gorge, le sperme chaud et épais de son mari...
Comment Julien réagirait-il si elle décidait d’assumer son désir ? Que dirait-il, s’il voyait sa mère se pencher sur son jeune sexe dressé pour l’aspirer entre ses lèvres ? Savait-il seulement que ce genre de caresse se pratiquait ?
Un nouveau gémissement de Julien ramena brutalement Germaine à la réalité. Lançant désespérément son bas-ventre en avant, Julien tentait de lui faire comprendre son impatience. Vivement, elle reprit sa sensuelle masturbation, faisant habilement coulisser sa main le long de la jeune bite raide et dure. Tout en décalottant le gland de plus en plus congestionné, elle se souvint d’un attouchement bien précis dont son mari raffolait. Saisissant uniquement l’extrémité du gland boursouflé avec le bout de ses doigts, elle entreprit d’en masser la couronne sensibilisée. Immédiatement, Julien se cambra en lançant son membre viril frémissant au-devant de l’affolante caresse.
— Oh oui, gémit l’adolescent, les yeux fermés.
Connaissant trop bien le handicapmental de son fils, Germaine tint à lui faire la leçon une nouvelle fois, même si elle lui avait déjà fait la veille. Pour que cela ait plus de poids, elle cessa momentanément sa masturbation, créant ainsi un manque chez l’adolescent.
— Oh non, gémit Julien… Continue, s’il te plait !... C’était si bon !...
— D’accord, acquiesça Germaine en pressant plus fortement la verge palpitante dans sa main… Mais il faut que tu me promettes une chose… Tu veux bien ?
— Oui, maman...
— Comme je te l’ai dit hier au soir, il faut que tu me promettes de ne jamais parler de ce que nous faisons ensemble... Tu sais, ce n’est pas bien !
— Oui, maman, gémit doucement Julien qui sentait son membre prêt à éclater.
Jouant sur la privation sexuelle qu’elle faisait subir à son fils, Germaine insista :
— Tu sais, une maman n’a pas le droit de... faire ce que je te fais !
— Pourquoi ? Interrogea Julien, étonné.
— Parce que c’est interdit... Si jamais ça venait à se savoir, j’aurais énormément de problèmes... et on nous séparerait aussitôt... Toi tu irais dans une famille d’accueil... Tu voudrais être séparé de ta maman ?
Prenant soudainement conscience du fait qu’il pouvait être éloigné de sa mère, de se retrouver seul avec des étrangers, Julien s’affola. Oubliant son désir ainsi que la voluptueuse masturbation dont sa verge était l’objet et qui l’amenait peu à peu à la jouissance, il se jeta au cou de celle qui était tout pour lui.
— Je ne veux pas te quitter, maman chérie, se plaignit-il, enfouissant son visage contre la gorge de sa mère.
Terriblement émue devant la réaction de son fils, Germaine l’entoura tendrement de son bras droit et tenta de le rassurer :
— Ça n’arrivera pas mon chéri, si tu ne dis à personne ce nous faisons ensemble !... A personne, surtout pas à ton copain René.
— Je te le promets… Même pas à René… Je te le jure !...
— C’est bien mon cœur…
Rassurée sur le silence de son fils au sujet des caresses incestueuses qu’elle lui prodiguait, Germaine, que le désir continuait de lui torturer les entrailles, constata soudainement que le sexe qu’elle tenait en main, avait perdu de sa rigidité. Le choc émotionnel ressenti par Julien, par la crainte qu’ils puissent être séparés, avait fortement perturbé son érection matinale… Bien qu’attendrie par cette constatation, Germaine éprouva quand même un sentiment de dépit. Sous l’excuse de procurer du plaisir à son fils, elle comptait en profiter pour assagir ce feu qui couvait au creux de ses entrailles. Aussi, décida-t-elle égoïstement de relancer le désir de son fils, afin d’éprouver elle-même ce plaisir tant espéré…
Lâchant le membre qui lentement reprenait des dimensions plus réduites, elle porta sa main à sa bouche afin d’humecter copieusement ses doigts de sa salive. Puis reprenant ses attouchements, elle se contenta de masser délicatement le gland, ainsi que Louis son défunt mari, aimait qu’elle fasse. Ayant appris combien cette caresse pouvait être savoureuse pour celui qui la percevait, elle insista plus particulièrement sur la couronne sensible du bourgeon de chair, la frictionnant avec beaucoup de sensualité. Elle ne fut pas étonnée lorsqu’elle sentit le gland se dilater doucement sous son attouchement. Une onde de volupté la parcourut, accentuant encore le feu qui lui échauffait le vagin. Dans un réflexe de jeunesse, elle resserra fortement ses cuisses, comprimant sa vulve d’où s’écoulait un mince filet de cyprine.
Afin que sa caresse demeure toujours aussi voluptueuse pour son fils, Germaine dut à plusieurs reprises, replonger ses doigts dans sa bouche pour les maintenir suffisamment humectés.
Si les recommandations de sa mère et la crainte d’être séparés avaient fortement perturbé Julien, les agréables sensations qu’il ressentait au niveau de son sexe ne tardèrent pas à le ramener à la réalité. Se redressant du giron maternel où il s’était réfugié, il dirigea son regard en direction de son sexe de nouveau en érection. Excité, il fixa les doigts maternels qui s’activaient sur le pourtour de son gland sensible. Chacune des palpations déclenchait une onde de plaisir, qui depuis son bas-ventre parcourut la longueur de sa verge pointée. Cette sensation lui était inconnue, jamais il n’avait ressenti une telle volupté. Des myriades de pulsations irradiaient sa verge, gonflant inexorablement son gland. Ça devenait trop intense. Plaquant son dos au mur derrière lui, le corps tétanisé par la montée du plaisir, Julien lança désespérément son bas-ventre en avant, au-devant de la main dispensatrice de tant de félicité :
— Mamaann, réussit-il à gémir... Ça vient…
Fixant avec émotion la goutte de liquide pré-séminal qui suintait du méat, Germaine éprouva un réel bonheur. Pouvoir offrir ce plaisir à son fils qu’elle chérissait la comblait. Peu de gens auraient pu comprendre son comportement, mais, peu lui importait, seul comptait le bien-être de Julien et l’amour qu’elle lui portait.
Cependant, au vu du signe annonçant l’imminence de l’éjaculation, Germaine jugea que la jouissance proche de Julien allait la priver de son propre plaisir. Abandonnant sa caresse trop voluptueuse, elle s’empressa de serrer fortement ses doigts autour de la verge, juste au-dessous du gland, bloquant ainsi la montée du sperme prêt à jaillir.
— C’est bon, mon chéri, questionna-t-elle… Tu aimes ?
— Oh, oui, réussit à articuler Julien au bord de l’orgasme.
— Essaye de te retenir, conseilla Germaine… Tu verras, ce sera meilleur après…
Tout en comprimant la jeune bite frémissante, Germaine ne pouvait détacher son regard du liquide translucide, qui lentement avait glissé du dôme de chair cramoisi pour venir lui souiller les doigts. L’envie de récolter cette liqueur à l’aide de sa langue, d’en goûter la saveur la fit saliver. Un dernier sentiment de gêne vis-à-vis de son fils l’en empêcha : certes, depuis la veille, elle n’éprouvait plus aucune pudeur à le branler, mais elle hésitait encore à prendre en bouche cette queue si adorable, de peur de la réaction de Julien. Pourtant, l’envie qu’elle avait de sucer cette verge arrogante, devenait de plus en plus insistante.
Impatiente de reprendre ses caresses, incestueuses, Germaine relâcha progressivement la pression de ses doigts autour du gland, toujours aussi dilaté :
— Ça va mieux, mon chéri, se renseigna-t-elle ?
— Ouu… Ouuii réussit à articuler, Julien…
— Tu veux que je continue ou tu préfères finir toi-même ? Continua Germaine.
Bien que certaine de la réponse de Julien, Germaine éprouvait un besoin pervers à forcer l’adolescent à avouer ses choix.
— Oh non… Continue, s’il te plait, gémit Julien… C’est tellement bon quand c’est toi qui me… branles…
Certains mots qu’il énonçait avec conviction avec ses camardes de jeux avaient du mal à passer lorsqu’il communiquait avec sa mère.
Germaine éprouva un plaisir extrême à entendre son fils s’exprimer comme un homme, malgré son handicap psychique. En dépit de l’intense envie qu’elle avait de reprendre sa perverse masturbation, elle demeura passive un moment, laissant à son fils le temps de retrouver son calme. Fixant avec amour le visage de celui qui avait remplacé dans son cœur l’homme qui avait partagé sa vie, elle se souvint soudain d’une caresse bien spéciale que son défunt mari appréciait.
Tenant toujours le jeune membre érigé dans sa main gauche, elle se pencha sur le gland qui avait repris une coloration rosée, presque à le toucher. Clignant rapidement des paupières, elle frôla de ses cils le bourgeon de chair sensibilisé. « Lorsque Louis lui avait appris à pratiquer ce genre d’attouchement, il avait appelé ce genre d’effleurement le baiser papillon ». Changeant d’œil de temps en temps, Germaine s’appliqua à reproduire sur son fils, cette caresse que son père appréciait.
D’abord surpris par ce type d’attouchement inconnu de lui, Julien se concentra sur les effets que cette titillation lui procurait.
— Ça chatouille, plaisanta-t-il !
Or, comme sa mère, ne tenant aucun compte de ses impressions, continuait ses frôlements sur le haut de sa bite, Julien perçut un début de bien-être. Etonné que ce genre de caresse puisse lui procurer un semblant de plaisir, il se concentra sur les sensations que lui apportaient ces étranges frôlements. Le dos plaqué au mur, à l’écoute des réactions voluptueuses de son membre tendu, Julien baissa son regard en direction de son bas-ventre où officiait sa mère. La position du visage de celle-ci, penché sur son sexe bandé, lui rappela certaines photos des revues érotiques qu’il feuilletait en cachette. Sur les pages de ces revues interdites, certaines femmes, comme sa mère présentement, avaient le visage à hauteur du bas-ventre de leur partenaire, occupée à sucer la queue que ces derniers leur présentaient.
Un désir insensé gagna l’adolescent : que sa mère, telles les femmes des revues, prenne sa queue dans sa bouche pour la sucer…
Comme si une communion psychique existait entre la mère et le fils ; Germaine éprouva le même désir que Julien. A se frôler de ses cils le gland congestionné, à le sentir si près de son visage, l’envie qu’elle en avait de le saisir entre ses lèvres se fit plus intense, plus impérieuse. Placée comme elle l’était, au-dessus du membre viril dressé, Julien, ne pouvait voir ce qu’elle faisait exactement ; ce qui lui donna l’audace d’assouvir ses envies.
Ne voulant pas brusquer les choses, n’étant toujours pas sûre de la réaction de Julien, Germaine se contenta de lécher d’une langue gourmande les quelques gouttes qui s’étaient écoulées du méat. Cette saveur bien particulière sur ses papilles ne fit que décupler son désir. Le premier pas était fait : elle avait osé ce geste qu’elle s’interdisait, mais que toute sa libido réclamait depuis la veille... Julien, n’ayant pas montré de signe d’étonnement à cet attouchement particulier, Germaine se risqua à appuyer son baiser. Délicatement, elle entreprit de parcourir de la langue, toute la surface du gland congestionné. Léchant avec émotion le massif fruit de chair, tentant même d’en pénétrer le méat urinaire, d’où avait émergé le liquide préséminal au goût si savoureux.
Julien qui appréciait l’agréable chatouillis qui, tels des cheminements d’une mouche, agaçait agréablement son gland demeura étonné lorsque la légère caresse se modifia soudain. Le contact sur la partie sensibilisée de sa verge se fit plus appuyé, plus voluptueux aussi, rendant l’attouchement nettement plus exquis. Agréablement surpris par ce changement, il laissa échapper un gémissement de bonheur. Dans un réflexe de contentement, il referma ses doigts dans la chevelure de sa mère penchée sur son sexe en émoi.
Aux différentes manifestations de plaisir qu’elle percevait chez son fils, Germaine éprouva une réelle satisfaction. Ces preuves de contentement chez son « bébé » la rassura et la conforta dans son plan érotique. Stoppant son léchage sexuel, elle posa sa tête sur les cuisses fermes et musclées de Julien, son visage à quelques millimètres de la jeune verge dressée. La longueur singulière de ce sexe dressé l’étonna de nouveau. Fixant avec émotion le gland rosé, elle s’adressa à son fils :
— Tu as aimé ce que t’ai fait, mon chéri ?
— Oh oui, maman… Encore…
Cette demande d’une voix suppliante décida alors Germaine à mettre à exécution l’envie qui la tenaillait depuis la veille. Se redressant de sa position, elle glissa habilement du banc sur lequel elle était installée, pour s’agenouiller sous la table, le visage au niveau du sexe fièrement bandé. Devant l’expression étonnée de Julien, elle s’empressa de le rassurer :
— Attends !... Tu aimerais que je te… te suce ?...
Elle était prête à toutes les audaces, tous les interdits incestueux, mais elle ne pouvait prononcer certains mots vis-à-vis de l’adolescent.
— Ça te ferait plaisir, continua Germaine, le cœur battant…
Julien demeura sans voix, incapable d’émettre le moindre son, tant la proposition de sa mère le stupéfiait. Cette caresse dont il rêvait tant, depuis qu’il l’avait découverte sur ses revues interdites : cette caresse qui le faisait fantasmer le soir, seul dans son lit, sa mère la lui proposait. Même dans ses rêves les plus érotiques, il n’aurait osé imaginer pareille offre, de celle qui lui avait donné la vie. Aussi, c’est d’une voix chargée d’émotion qu’il accepta la suggestion incestueuse :
— Oh oui !
— Tu te rappelles ce que je t’ai dit !... Tu ne dois surtout en parler à personne !...
— Oui, maman… Je te le promets !... Je ne veux pas qu’on nous sépare !...
— C’est bien, mon chéri….
Rassurée sur le silence de son fils quant aux jeux sexuels auxquels ils s’adonnaient, Germaine laissa alors libre court à ses désirs refoulés. Fixant avec excitation la jeune queue érigée largement décalottée, elle absorba lentement, comme elle l’aurait fait d’une friandise, le gland dilaté, entre ses lèvres. Retrouvant cette sensation oubliée depuis si longtemps, elle entreprit de sucer avec aviditéle bourgeon de chair gonflé… Sachant par expérience combien la couronne du gland pouvait être sensible, elle porta toute son attention sur celle-ci, la massant voluptueusement de ses lèvres.
Sous cette caresse excitante qu’il découvrait pour la première fois, Julien ne put réprimer un sursaut de tout son être. Dans un spasme de plaisir, il lança violement son bas-ventre en avant, au-devant de cette bouche qui lui apportait tant de félicité, émettant un long gémissement de bonheur.
Surprise par la brusque réaction de Julien, à laquelle elle ne s’attendait pas, Germaine se retrouva avec la totalité de la bitte enfoncée à l’intérieur de la bouche, le gland massif lui obstruant la gorge. Forcée de déglutir sous la pression du gland qui lui bouchait la trachée et l’étouffait, Germaine se recula vivement, faisant ainsi coulisser ses lèvres le long de la verge dilatée. Puis comme si cela devenait naturel, elle continua son mouvement alternatif d’avant en arrière, suçant avec un réel plaisir la jeune virilité, pratiquant une savante fellation à son fils. Tout en pompant avec virtuosité la bitte raidie, elle osa glisser une main curieuse entre les cuisses de Julien, pour s’emparer des deux bourses, lisses et enflées. Délicatement elle chercha les noyaux durcis qu’elle pressa de ses doigts, les malaxant subtilement.
S’en était trop pour Julien. Ce massage de ses couilles alors qu’un fourreau tiède et humide coulissait le long de son membre viril tétanisé l’amena irrésistiblement à la jouissance. Dans un grognement inaudible, il tenta de prévenir sa mère de l’imminence de son éjaculation, éprouvant soudain une appréhension à l’idée qu’il allait lui jouir dans la bouche. Crochetant ses doigts dans les cheveux roux, il tenta désespérément de repousser le visage de sa génitrice, de lui faire lâcher sa verge sur le point d’exploser.
— Ça vient réussit-il à articuler d’une voix plaintive, dans une dernière tentative pour se soustraire à cette bouche par trop sensuelle...
Germaine, qui avait compris, dès les premières pulsations du gland qu’elle pressait de ses lèvres, de l’imminence de l’éjaculation s’arcbouta afin de résister aux poussées de son fils qui voulait lui faire lâcher prise. Elle avait trop espéré cet instant pour abandonner maintenant. Aussi, accéléra-t-elle le va-et-vient de ses lèvres humides le long de la queue frémissante pour parachever son œuvre. Un râle d’animal comblé brisa le silence de la cuisine, alors qu’un premier jet lui frappait la glotte, suivit d’un second, tout aussi puissant. Germaine se retint d’avaler le sperme liquoreux qui lui emplissait la bouche, attendant que Julien se soit complètement vidé les couilles pour pouvoir se régaler de ce nectar séminal étrangement salé. Désirant offrir le maximum de plaisir à son « bébé » adoré, Germaine resserra fortement ses lèvres à la base du gland tressautant, tout en continuant de branler la partie de la verge demeurée hors de sa bouche.
Les reins arqués, le bas-ventre tétanisé, clamant son plaisir dans des grognements sauvages, Julien n’en finissait plus de jouir. Jamais auparavant, lors de ses masturbations solitaires sa bitte n’avait émis autant de sperme. Même lorsque son camarade René l’avait sucé, un après-midi chez lui, le plaisir qu’il en avait éprouvé ne pouvait se comparer à ce qu’il ressentait présentement. C’était comme si tout son corps se vidait de sa substance. Même, lorsque dans un dernier sursaut sa queue cracha sa dernière réserve de liquide séminal, il demeura statufié encore un long moment…
Germaine accueillit la dernière giclée de sperme avec soulagement : Julien lui avait si copieusement aspergé le gosier, qu’elle avait la bouche abondamment emplie. Délicatement, afin de ne rien perdre du précieux liquide qu’elle avait réussi à emmagasiner, elle libéra le gland d’entre ses lèvres. Alors seulement, elle prit le temps d’avaler ce sperme étonnamment fluide qui lui emplissait la bouche, l’avalant précieusement pour en savourer ce fumet particulier.
Ce n’est que lorsque le dernier filet de sperme eut glissé au fond de sa gorge, que Germaine se décida à réagir. Se léchant les lèvres afin d’y récupérer les derniers vestiges de la jouissance de son fils, elle porta son regard en direction du visage de ce dernier. Julien la fixait d’un air penaud.
— Pardon maman… Je ne voulais pas, tenta-t-il de s’expliquer, d’une petite voix.
Comprenant qu’elle devait immédiatement rassurer son fils, afin qu’il ne demeure pas plus perturbé qu’il ne l’était déjà, Germaine s’empressa de l’apaiser :
— Tu n’as pas à t’excuser, mon chéri… Ce n’est rien… Tu as bien joui ?
— Oui… Mais je ne voulais pas….
— Au contraire, insista Germaine… J’ai vraiment aimé que tu jouisses dans ma bouche… Ta… ta semence a vraiment bon goût… Tu sais, ce sont des choses qui se font entre… amoureux… Car tu es mon petit amoureux, n’est-ce pas ?...
— Oh oui !... Tu me le feras encore ?...
— Certainement mon chéri… Moi aussi j’en ai envie… Mais en attendant, va faire ta toilette… Et surtout pas un mot !…
— Promit maman chérie… Je t’aime…
— Moi aussi je t’aime mon cœur…
Une fois que Julien eut quitté la cuisine, Germaine, les genoux douloureux, se redressa de dessous la table et s’installa sur le banc, à la place que son fils avait occupé. S’appuyant contre le mur, dans son dos, elle songea à ce qu’elle venait de vivre : à ce qu’elle venait d’accomplir. Elle avait sucé son fils, elle lui avait taillé une « pipe » comme on disait vulgairement. Et pour qu’il soit entièrement comblé, elle avait accepté qu’il lui décharge sa semence dans la bouche. A retrouver le goût du sperme sur sa langue, avait procuré à Germaine un plaisir intense… Un plaisir qu’elle n’avait plus connu depuis des années : que de fois avait-elle fait jouir son défunt mari de la sorte. Cela avait toujours été des moments d’intenses extases pour tous les deux.
Certes, ce qu’elle venait d’accomplir s’apparentait à de l’inceste, elle en était consciente. Mais d’un autre côté, elle avait procuré à son fils qu’elle adorait, un plaisir que peu de mère aurait eu le courage d’accomplir. Qui, du fait de son handicap, pouvait lui apporter cette félicité sexuelle… Et si cela devait se reproduire, elle agirait de la même manière… Rien ne pourrait l’empêcher de procurer du contentement à son fils chéri. Même si elle devait accomplir des actions que la morale réprouve.
Mais, alors qu’elle était à réfléchir sur son comportement vis-à-vis de son fils, Germaine réalisa qu’une douce chaleur lui irradiait l’entrecuisse. Totalement occupée à faire découvrir les plaisirs sexuels à Julien, elle en avait négligé les signaux que son sexe tentait de lui faire parvenir. Aussi, l’excitation à l’encontre de Julien quelque peu retombée, Germaine se polarisa sur ses propres sensations corporelles. Investigatrice, elle glissa sa main droite le long de son ventre, ébouriffant au passage les bouclettes rousses de son pubis. Lors de ses mouvements pour se glisser sous la table, la ceinture de son peignoir s’était dénouée, laissant son vêtement entrebâillé. Furetant parmi les replis de sa vulve en émoi, elle n’eut aucun mal à dénicher, entre ses grandes lèvres sexuelles, son bouton d’amour déjà étrangement érigé. Vraie petite bitte, son clitoris se dressait en attente d’un attouchement précis.
Ne pouvant résister aux messages, que le désir lui faisait parvenir depuis son vagin en effervescence, Germaine insista de son index sur son bouton d’amour, le massant plus frénétiquement. Chaque frottement de son bourgeon vulvaire déclenchait de longs frémissements voluptueux à l’intérieur de ses entrailles. Des ondes de plaisir qui prenaient naissance depuis le fond de son vagin embrasé pour atteindre ses seins douloureusement enflés. Pressée d’atteindre à son tour l’orgasme qui la délivrerait de cet embrasement de ses sens, Germaine accentua les palpations de son clitoris.
Ce bouchonnage soutenu de son bouton d’amour déclencha chez Germaine un soudain afflux de cyprine, qui prenant naissance au plus profond de son vagin, imbiba les parois de sa chatte, avant de s’écouler en un mince filet, de sa vulve palpitante. Cet écoulement vaginal amena Germaine à modifier ses attouchements. Abandonnant la masturbation de son clitoris exacerbé, elle plongea son index accolé à son majeur entre les grandes lèvres de sa chatte béante. Habilement, retrouvant instinctivement ses habitudes d’adolescente, elle frotta de ses phalanges, la paroi supérieure de sa vulve. Elle s’était très vite rendu compte, à l’époque, combien le frottis de cette partie de son sexe lui procurait du plaisir, pouvant même lui faire atteindre la jouissance. Aussi ne se priva-t-elle pas pour frictionner cette section si érogène de sa vulve. Des spasmes voluptueux ne tardèrent pas à agiter son bas-ventre, lui fournissant une douce euphorie…
M
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