05 – Union incestueuse…
Germaine, qui lorsque le doigt de Julien était venu frôler l’orifice de sa vulve avait ressenti un frémissement de plaisir, fut heureuse que ce dernier l’interroge ; cela l’aiderait dans sa leçon d’initiation.
– C’est normal, mon chéri, tenta-t-elle d’expliquer... Lorsque tu es excité, ta bitte devient toute raide, alors que nous aussi les femmes, quand on est excitées, nous avons quelque chose qui devient tout raide. Mais ça, je te l’expliquerais plus tard. Pour ce qui est d’être toute mouillée, là aussi, quand on est excitées notre sexe produit un liquide plus ou moins important, selon notre état d’excitation... En ce moment, je mouille beaucoup parce que tes caresses m’ont énormément excité... Tu m’as donné envie de faire l’amour... Ce liquide qui sort de mon sexe fait office de lubrifiant pour que ta bitte puisse glisser facilement dans ma chatte. Tu comprends ?
– Oui maman !
Dans ces explications, Julien, de plus en plus excité, n’avait retenu qu’une chose : sa mère avait émis l’hypothèse qu’il puisse enfoncer sa bitte dans son minou, même si elle avait prononcé le mot « chatte »…
– C’est pour cela qu’il ne faut jamais faire l’amour à une fille si elle ne le veut pas, continuait sa mère ! Ça la ferait trop souffrir !... Tu ne le feras pas, mon chéri !... Tu me le promets !
En fait, Germaine se doutait bien que du fait de son handicap psychologique, jamais Julien ne pourrait fréquenter sérieusement une fille. Mais ce qu’elle voulait en insistant ainsi, c’est que son fils vienne, lors d’une excitation par trop violente, à tenter de forcer une fille et à la violer. Elle ferait tout pour que cela n’arrive jamais, même si pour cela, elle se devrait de subvenir à tous les désirs sexuels de Julien aussi souvent que celui-ci en aurait besoin. C’était là le rôle qu’elle s’était attribué, même si cela lui était interdit par la morale.
Tout en écoutant d’une oreille attentive les explications que sa mère lui enseignait, Julien n’avait pas cessé de fureter entre les grandes lèvres sexuelles nichées au centre de l’abondante toison rousse. C’est presque accidentellement qu’il enfonça entièrement son majeur dans l’ouverture suintante d’un suc onctueux. L’humidité extrêmement chaude qui enserra son majeur l’étonna. Ne sachant pas trop ce qu’il devait faire, il décida d’agiter son doigt, le faisant coulisser entre les grandes lèvres sexuelles, à la manière d’un membre viril, tel qu’il avait vu lors de séances vidéo chez son copain Robert.
– Maman !
– Quoi mon chéri ?
– Les grands au collège, ils disent, que lorsque l’on met son... sa... queue.
Malgré les encouragements de sa mère, Julien avait encore du mal à prononcer les mots queue ou bitte, alors qu’il les utilisait pourtant couramment avec ses copains de son âge.
– Qu’est-ce qu’ils disent tes copains, mon chéri, demanda Germaine amusée par les réticences de Julien à appeler son sexe autrement que zizi.
– Ils disent que lorsque l’on met sa queue dans le minou d’une fille, elle a un bébé !...
Plutôt égayée par l’affirmation de son fils, Germaine décida de lui expliquer le plus facilement possible les mystères de la vie :
– Ça peut arriver, mais ce n’est pas une obligation... Ton sperme contient des petites graines, qu’on appelle des spermatozoïdes. Quand tu jouis dans le ventre d’une fille, ces spermatozoïdes peuvent trouver d’autres graines qui apparaissent dans le ventre des filles à certains moments dans le mois. On les appelle les ovules. Lorsque l’un de tes spermatozoïdes rencontre un ovule alors là, la fille peut tomber enceinte et avoir un enfant...
Comme Julien semblait plongé dans ses pensées, inquiète, Germaine l’interrogea à son tour.
— Il y a quelque chose qui te tracasse ?
— Ce matin, tu as avalé mon… jus. Tu vas avoir un enfant ?
Comprenant le trouble qui ébranlait Julien et ne désirant pas que ce dernier, dont le cerveau avait de la peine à comprendre certaines choses, ne se traumatise plus que de raison, Germaine s’empressa de le rassurer.
— Non, mon chéri. Le fait d’avaler ton sperme n’a aucune importance pour ce genre de problème… Pour que j’aie un enfant de toi, il faudrait que tu jouisses dans ma chatte… Mais dans ce cas-là, maman sait comment faire pour éviter d’avoir un bébé. Je prends des pilules qui empêchent que tu me fasses un enfant... Voilà, tu es rassuré ?... Vient m’embrasser mon cœur !
Oubliant alors ses interrogations, Julien se précipita sur les lèvres que lui offrait sa mère, contre lesquelles il plaqua les siennes, rassuré et heureux d’en savoir davantage sur la conception des bébés ; et surtout de pouvoir partager son savoir avec ses copains. Ils allaient en être jaloux.
Comme sa mère tentait d’accrocher sa langue, Julien l’aida en glissant son organe dans la bouche accueillante qui s’offrait à lui. De nouveau, un long baiser unit la mère et le fils ; baiser plein de passion amoureuse, aussi bien pour l’un que pour l’autre.
Germaine, plus experte dans l’art du baiser que son fils, encore novice, entreprit d’explorer la bouche de Julien, afin de crocheter habilement la langue de celui-ci. Ses anciennes dispositions revenaient peu à peu au fil du baiser incestueux échangé avec son garçon. Sa langue retrouvait sa souplesse et son agilité d’antan. Etroitement enlacés, la mère et le fils échangèrent leurs salives parfumées dans un baiser plein de ferveur.
Lorsqu’il s’était jeté en direction des lèvres que sa mère lui offrait, Julien dans sa précipitation s’était retrouvé allongé sur le corps de cette dernière, son torse écrasant la magnifique poitrine à demi dénudée. Dans ce mouvement, son membre viril durci percuta le pubis féminin, à peine recouvert par la légère chemise de nuit.
Percevant de nouveau la raideur de la virilité de son fils contre son bas-ventre, Germaine, dont le désir la travaillait toujours autant, ressentit un long frisson voluptueux lui parcourir le corps.
— Mon pauvre chéri, tu as toujours envie, murmura-t-elle à l’oreille de Julien... Maman va te soulager, tu veux bien ?... Laisse-moi faire !
Bien décidée à mener les ébats érotiques à sa manière, Germaine repoussa son fils sur le côté, le forçant à s’allonger sur le dos au centre du lit quelque peu dévasté.
Attentif à la suite des évènements, Julien demeura immobile. Spectateur intéressé, il suivit d’un œil intéressé les faits et gestes de sa mère.
Julien disposé à sa guise, Germaine dont le cœur battait la chamade, à l’idée de ce qu’elle avait l’intention d’entreprendre, murmura d’une voix enjôleuse :
— Laisse-toi faire mon chéri !... Maman va te faire du bien...
Plus que jamais prête à remplir son rôle d’initiatrice, Germaine enjamba son fils, tout en lui faisant face. Fixant avec tendresse le visage d’angelot de son gamin, elle s’agenouilla de part et d’autre de ses jambes, les cuisses largement écartées de par sa position. Souriant avec complicité à son « petit homme », elle se pencha sur le bas-ventre de celui-ci pour baisser le pantalon du pyjama qui lui cachait encore cette merveilleuse verge qu’elle désirait.
Tel un gourdin monté sur ressort, la longue bitte libérée de la contrainte du pantalon se redressa prestement. Bien qu’étant maintenant habituée à la longueur impressionnante de la queue de son gamin, Germaine ne put s’empêcher de fixer avec émotion le long pal de chair qui oscillait doucement à quelques centimètres de son visage. Une bouffée de chaleur la submergea. Lorsqu’elle avait découvert cette particularité sexuelle chez son fils, elle n’en avait pas cru ses yeux, n’ayant connu d’autre sexe masculin que celui de son mari. Elle ne pouvait admettre qu’il puisse exister une telle différence de taille ; d’autant plus que Louis, le père de Julien, même s’il n’était pas pourvu d’un membre aussi long que celui de son fils, l’avait toujours comblé sexuellement...
Affolée par le bourgeon de chair qui semblait la narguer, Germaine referma ses doigts autour du pieu charnel fièrement érigé. Et dans un mouvement plein de douceur, elle entreprit de branler son rejeton avec énormément de plaisir. Retrouvant ses automatismes d’antan, elle s’efforça, en faisant coulisser la peau mobile sur le pourtour du gland, à donner le maximum de volupté à son fils chéri. Une double satisfaction la motivait ; en plus de procurer du plaisir à Julien, elle éprouvait elle-même un vif ravissement à sentir la douceur du membre viril dans le creux de sa main.
Etendu sur le dos, Julien avait fermé les yeux afin de se concentrer sur le plaisir qui lentement le gagnait. Cette délicieuse masturbation dont il était l’objet l’affolait, même s’il aurait aimé qu’elle soit plus rapide. Comme lorsque sa mère l’avait branlé pour la première fois, il dut convenir que cette caresse intime était nettement meilleure pratiquée par une main étrangère. Sa mère en partenaire expérimentée contrôlait savamment la progression de son plaisir qui évoluait depuis son bas-ventre... Lorsque son camarade René, lors de leurs jeux érotiques l’avait branlé, le plaisir qu’il en avait ressenti, s’il avait été des plus agréables, n’avait rien de comparable avec celui que sa mère lui procurait présentement... Mais impatient d’atteindre la jouissance que sa mère s’ingéniait à retarder, Julien tenta d’y parvenir en agitant ses reins, lançant désespérément sa queue au-devant de la main maternelle.
Comprenant la hâte de son fils à atteindre la jouissance, Germaine cessa soudainement sa caresse pour presser fortement ses doigts à la base du gland, freinant ainsi la montée de l’éjaculation libératrice.
— C’est bon mon chéri ? Interrogea-t-elle... Tu aimes que maman te branle ?...
— Ouuii ! Réussit à grogner Julien déçu par l’interruption de la sensuelle caresse.
— Essaye de te retenir... Tu verras, ce sera meilleur après...
Heureuse du plaisir qu’elle prodiguait à son « petit homme », Germaine maintint sa pression à la base du gland, attendant que l’excitation diminue au creux des couilles de Julien. Cependant, à sentir entre ses doigts ce sexe masculin tendu accentua le désir, qui tel un crabe lui dévorait les entrailles. Entre ses cuisses, sa chatte ruisselante de cyprine réclamait l’introduction de cette verge qu’elle pressait. Son vagin se liquéfiait comme pour faciliter cette pénétration tant désirée.
— Moi aussi, je suis bien mon chéri... J’aime avoir ta queue dans ma main… Tu me donnes envie…
Une idée traversa soudain l’esprit de Germaine : faire constater à son fils ce qu’elle avait tenté de lui expliquer auparavant. Retroussant prestement sa chemise de nuit, elle dénuda son bas-ventre :
— Tu veux voir, proposa-t-elle ?
Les yeux braqués sur l’affolant triangle aux reflets roux, qui s’offrait à sa vue, Julien s’empressa d’avancer une main en direction de l’entrecuisse maternel. Sachant où il fallait chercher, il trouva sans peine la longue faille sexuelle blottie au cœur de son abondante toison, dans laquelle il enfonça la totalité de son majeur tendu.
Le corps soudainement parcouru d’un frémissement érotique, Germaine se força à rester maîtresse d’elle-même, afin de se soustraire à cette onde voluptueuse qui prenait possession de ses entrailles :
— Tu sens comme je suis mouillée, questionna-t-elle d’une voix soudainement changée ?...
— Heu, oui bégaya Julien, ne sachant pas trop ce qu’il devait faire.
— C’est parce que je me suis excitée à te branler… Tu m’as donné envie de faire l’amour... Comme je te l’ai dit, quand tu as des désirs sexuels ta queue devient toute dure, tu bandes ! Chez nous les femmes quand on a des envies sexuelles, notre sexe produit un liquide, on mouille. Comme tu peux le constater.
Ayant parfaitement compris la leçon, Julien qui avait été excessivement surpris de percevoir sous son doigt fiché dans la vulve maternelle, cette abondante humidité, entreprit de frotter les parois vaginales à l’aide de sa phalange.
— Huumm, c’est bien, mon chéri, acquiesça Germaine ravie de l’initiative de son fils !... Tu me fais du bien. Continue !...
Sous les encouragements que lui prodiguait sa mère, Julien éprouva un immense bonheur. Puisqu’elle avait l’air d’apprécier la caresse qu’il lui dispensait, il appuya plus fortement ses attouchements contre les chairs gorgées de liqueur ardente ; ce qui déclencha immédiatement un nouveau soupir de contentement de la part de sa mère. Prenant de plus en plus d’assurance Julien fouilla plus profondément le vagin maternel à l’aide de son majeur, cherchant à procurer plus de plaisir à sa tendre partenaire. Mais alors qu’il se concentrait à perfectionner ses attouchements à l’intérieur de la chatte maternelle, Julien se rendit compte tout à coup combien son majeur naviguait aisément à l’intérieur de la grotte sexuelle. Cette constatation déclencha alors chez lui une certaine réflexion. Puisque la chatte dans laquelle son doigt s’agitait semblait si vaste, elle pourrait sans problèmes accepter son index en plus de son majeur. Aussi se persuada-t-il qu’il pourrait ainsi apporter plus de plaisir à sa mère.
Aussitôt sa décision fut prise. Certain d’avoir raison, Julien accola alors son index à son majeur ; et à l’aide de ses deux doigts joints, il continua son exploration vaginale. Un feulement rauque le récompensa de son initiative, l’incitant même à mieux fourrager dans le sexe féminin de plus en plus trempé.
– Julien !... Oh oui, c’est bon, mon chéri !...
Malgré l’intense désir qu’elle avait de pouvoir s’empaler sur ce membre raidi qu’elle pressait dans sa main, Germaine ne pouvait se soustraire au merveilleux plaisir que lui procurait son fils. Celui-ci se montrait un élève appliqué. La preuve en était qu’il avait de lui-même jugé bénéfique pour améliorer sa caresse, d’introduire ce second doigt à l’intérieur de sa chatte.
Mais alors qu’elle se laissait envahir par une douce euphorie sexuelle, Germaine ressentit soudain un frisson d’une intense sensualité lui traverser le corps ; depuis ses entrailles jusqu’à sa poitrine douloureuse. Julien sans le savoir venait de frôler une zone particulièrement érogène de son vagin. Peut-être ce mystérieux point G, que certains sexologues informaient comme étant à l’intérieur du vagin de toutes les femmes, le siège représentant une zone de grande sensibilité. Stimulé, ce mystérieux point G permettrait d’obtenir excitation sexuelle et plaisir impétueux.
Au violent tressaillement qui secoua le corps de sa mère, accompagné d’un gémissement aigu, Julien réalisa que cette dernière venait de ressentir un nouveau plaisir manifeste. Cherchant à comprendre la raison de cette soudaine extase, il essaya de passer ses doigts à l’endroit qui avait déclenché ce sursaut voluptueux chez sa mère. Comme il tâtait la face interne du vagin du bout de ses doigts, un nouveau soubresaut, suivi d’un râle de plaisir, lui apporta la preuve qu’il venait de découvrir là un point sensible. Fier de sa découverte, il insista alors sur cette partie de l’anatomie vaginale qui avait le pouvoir de déclencher une telle réaction chez sa mère. Oubliant son propre désir, il s’efforça de procurer un maximum de plaisir à sa complice sexuelle.
Chaque tressaillement qui agitait le corps maternel, en raison de ses attouchements, apportait à Julien une énorme satisfaction. Il découvrait soudain qu’il pouvait éprouver énormément de joie à procurer du plaisir ; peut-être même plus qu’à vraiment en recevoir.
La chatte dans laquelle il agitait ses doigts débordait littéralement d’un liquide chaud et onctueux. Au collège, les grands avaient l’habitude de raconter aux plus jeunes, dont il faisait partie, que leurs conquêtes féminines mouillaient sous leurs caresses. Sans vraiment en comprendre le sens, il était certain que ces derniers racontaient des salades. Mais devant l’afflux de cyprine qui s’échappait de la vulve de sa mère, il dut s’avouer que jamais il n’aurait imaginé un pareil débordement ; sa mère mouillait de façon insolente. La chaude liqueur vaginale lui poissait les doigts et la totalité de la paume.
Sous cette voluptueuse caresse que son fils pratiquait à l’intérieur de son sexe, Germaine prit conscience qu’insidieusement celui-ci l’amenait à la jouissance ; de longs frémissements de plus en plus rapprochés lui irradiaient les entrailles, pour se propager dans tout son corps. Un véritable ruisseau s’écoulait de sa chatte adroitement fouillée, lui trempant l’intérieur des cuisses avant de poisser la main qui la menait inexorablement à l’orgasme.
Ne désirant pas jouir aussi rapidement ni de cette façon, Germaine bloqua d’une main déterminée le poignet de Julien.
— Arrête mon chéri, réussit-elle à articuler... C’est trop bon... Devant l’air étonné de son fils, elle précisa :
— Si tu continus, tu vas me faire jouir… Attends un moment, j’ai prévu autre chose…
Saisissant alors le bas de sa chemise de nuit, elle fit rapidement passer la fine lingerie par-dessus sa tête, offrant sa généreuse nudité aux yeux émerveillés de son fils. Cependant afin de se dénuder, Germaine avait dû lâcher le poignet de Julien qu’elle immobilisait, rendant ainsi sa liberté de mouvement à ce dernier.
Se sentant soudainement libéré, Julien, s’empressa de reprendre ses attouchements à l’intérieur de la chatte maternelle. Retrouvant immédiatement cette zone qui avait le pouvoir d’affoler sa mère, il se hâta de la masser de nouveau à l’aide de ses deux phalanges accolées.
Comme elle faisait voler sa nuisette par-dessus sa tête, Germaine ressentit une onde voluptueuse d’une intensité foudroyante la traverser la faisant se cambrer convulsivement. Profitant de l’occasion qui se présentait à lui, Julien avait pernicieusement reprit ses diaboliques pressions au sein de son vagin, déclenchant cette extraordinaire houle de plaisir.
– Aaahhh, non !... Chéri arrête !... Je t’en prie, enlève ta main... Non !... Arrête !... Noonn chéri !...
Victime de sa soudaine folie érotique, Germaine se saisit de nouveau du poignet de son fils qui s’activait entre ses cuisses, pour le repousser vivement, le forçant à retirer ses doigts de son vagin en fusion. Alors, prise d’une crise d’hystérie sexuelle incontrôlable, elle repoussa vivement Julien, le forçant à s’étendre sur le dos à même le lit dévasté.
— Ferme les yeux, demanda-t-elle… Tu ne les ouvriras que lorsque je te le dirai !... D’accord ?... C’est une surprise… Et surtout, tu laisses tes mains où elles sont !
D’abord surpris par la réaction de sa mère, Julien décida d’obéir.
— Oui, maman, acquiesça-t-il, ne sachant trop à quoi s’attendre.
Fixant l’orgueilleuse verge tant désirée Germaine se positionna vivement au-dessus, plaçant les grandes lèvres juteuses de sa vulve face au gland dilaté. Elle se força cependant à respirer calmement afin d’apaiser son cœur qui battait à cent à l’heure sous l’émotion qui la gagnait. Elle allait faire l’amour à son fils chéri ; elle allait offrir à son « petit homme » sa première véritable jouissance vaginale.
— Ne bouge pas mon chéri, conseilla-t-elle d’une voix enrouée.
— Je peux ouvrir les yeux, questionna Julien toujours aveugle à ce que sa mère entreprenait.
— Non, pas encore mon chéri... Laisse-moi faire !... Je te le dirais…
Plus que jamais prête à remplir son rôle d’initiatrice, Germaine fixa avec tendresse le visage de son fils chéri. Excitée, elle lança sa main droite entre ses cuisses afin d’empoigner le membre viril tendu, qu’elle plaça en position verticale. Resserrant ses doigts autour de l’organe sexuel masculin, elle surprit une certaine tension dans le membre ; tension due au regain de désir de l’adolescent.
Terriblement émue à la pensée de ce qu’elle s’apprêtait à accomplir, elle se plaça de façon à ce que les grandes lèvres de sa vulve lubrifiée viennent recouvrir le gland dilaté. Alors, elle s’accroupit lentement, s’empalant avec un plaisir infini sur le pieu de chair démesuré. La lente et voluptueuse pénétration du gland à l’intérieur de sa chatte en émoi lui procura immédiatement un ineffable plaisir. Elle perçut l’avancée de l’énorme bourgeon de chair à l’intérieur de ses chairs intimes. Lorsque les grandes lèvres de sa vulve se retrouvèrent plaquées au pubis de son fils, Germaine réalisa avec excitation qu’elle venait d’engloutir la totalité de la bitte démesurée de son garçon. Le gland avait atteint le fond de son vagin, heurtant le col de l’utérus ; chose qu’elle avait cru totalement impossible le soir où elle avait découvert avec stupeur la longueur peu ordinaire du membre de son fils... Ce soir-là elle avait songé, perturbée par cette découverte, qu’une femme ne pouvait accepter dans son sexe un engin d’une telle dimension. Or présentement, elle expérimentait ce qu’elle avait cru impensable. Un émoi la saisit : c’était la première fois depuis le décès de son mari qu’un membre masculin la pénétrait, et ce membre était celui de son fils chéri. S’immobilisant afin de mieux ressentir ce pieu de chair au plus profond de son vagin, elle interpella son jeune partenaire :
— C’est bon, tu peux ouvrir les yeux, mon chéri…
Julien avait ressenti un manchon brulant entourer son sexe, ce qui lui avait procuré une sensation des plus agréables. Immédiatement, il pensa que sa mère avait pris sa queue dans sa bouche, comme elle l’avait fait plusieurs fois depuis quelques jours. Aussi, lorsqu’après autorisation il ouvrit les yeux, il demeura surpris de découvrir sa mère assise sur son bas-ventre, alors qu’il s’attendait à la découvrir occupée à le sucer. Mais les seins ronds et blancs au centre desquels les tétons érigés semblaient le narguer attirèrent irrémédiablement son regard. Les deux masses de chair lui semblèrent particulièrement gonflées par rapport à ce dont il s’en souvenait, lorsque sa mère lui avait permis de les palper.
Cependant, une interrogation le tira de sa contemplation : d’où provenait cette chaleur qui embrassait sa queue, puisque sa mère ne l’avait pas en bouche ? Baissant son regard jusqu’à son bas-ventre où il pensait voir son membre viril, il demeura sidéré en découvrant la toison cuivrée de sa mère plaquée conte sa chair. Dans un éclair de lucidité, il comprit enfin la raison de cette moiteur qu’il ressentait au niveau de son sexe : ce dernier se trouvait complètement enfoui dans la chatte maternelle. Sa mère s’était empalée sur sa bitte… Complètement abasourdi par ce qu’il découvrait, il ne réussit qu’à bégayer d’une voix interrogative :
— Maman….
— Oui, mon chéri ?... Tu es bien ?... Laisse-toi faire, je vais te donner du plaisir… Tu sens bien ma chatte autour de ta queue ?...
Dès qu’elle avait décidé de mener les ébats sexuels à sa manière, Germaine savait exactement ce à quoi elle s’attendait. Elle voulait, non seulement connaître la jouissance, mais elle désirait surtout apporter le maximum de plaisir à son fils chéri, tout en l’initiant aux jeux de l’amour. Pour mener à bien cette mission, elle avait choisi la position qu’elle affectionnait à l’époque des relations amoureuses avec le père de Julien. Cette posture lui permettait de mieux percevoir le membre viril à l’intérieur de son vagin, et vu la longueur de la virilité de son fils, elle était certaine qu’elle allait se délecter.
Attentif à ce qui allait se passer ; fixant avec concupiscence les seins ballotant, aux larges aréoles roses, Julien se concentra sur cette moiteur torride qui lui enveloppait le membre. C’était comme si un manchon embrasé se fondait autour de sa verge. Il ne se souvenait pas avoir ressenti ce genre de sensation lorsque sa mère le suçait. Aussi décida-t-il de rester immobile, laissant sa mère mener les ébats comme elle le désirait. Fort de ses résolutions, il fut quand même surpris par le soudain mouvement du fourreau brûlant le long de son membre viril. La sensation fut si brutalement agréable, qu’il ne put empêcher tout son corps de réagir. Comme aspiré par le sexe féminin qui avait englouti sa verge, son bas-ventre se projeta brusquement en avant ; et malgré sa décision de demeurer impassible, il laissa échapper un gémissement de plaisir. Gémissement qui n’échappa pas à Germaine :
— C’est bon, mon chéri ?... Tu aimes, interrogea-t-elle curieuse ?
Un grognement fut la réponse à sa question, preuve de l’état euphorique dans lequel Julien s’enfonçait. Posant alors ses deux mains sur le torse de son fils, Germaine continua son déhanchement érotique, massant lentement la longue bitte à l’aide des parois de son vagin détrempé. Tout en se procurant une merveilleuse félicité, Germaine focalisa son attention sur le visage de son « petit homme », surveillant la montée du plaisir chez ce dernier. Malgré son désir de profiter au maximum de la merveilleuse queue enfouie dans son sexe, elle avait décidé d’apprendre à Julien à contrôler la montée de son plaisir. Mais le frottement voluptueux du gland contre les parois juteuses de son vagin l’obligeait à faire des efforts considérables pour garder elle-même le contrôle de ses sens. Plus elle agitait sa croupe, se pénétrant profondément, plus elle sentait la chaude liqueur vaginale s’écouler de sa chatte dilatée. La cyprine brûlante lui engluait l’intérieur des cuisses, avant certainement de tremper les couilles de son fils. Elle ruisselait, comme si au plus profond de son vagin une vanne avait été ouverte, libérant des flots d’un liquide bouillant.
Le massage affolant de sa verge par la vulve aux parois ardentes ne tarda pas, malgré sa résolution à rester impassible, à agiter le bas-ventre de Julien au rythme de la chevauchée sensuelle de sa mère. Attiré par les seins gonflés qui ballotaient d’une façon considérablement érotique, suivant les mouvements saccadés de la danse amoureuse, il lança ses deux mains dans leur direction pour les saisir avec émotion.
Sous cette prise en main de ses mamelles enflées, Germaine éprouva une vive satisfaction ; elle espérait que Julien empoigne ses seins pour les malaxer. Mais elle ne voulait pas le demander à l’ado, désirant que ce dernier prenne de lui-même cette initiative. Aussi lorsque les doigts de Julien se refermèrent autour de ses doudounes gonflées par le désir, la satisfaction la poussa à s’exprimer :
— Ils te plaisent mes seins, mon chéri ?... Tu les aimes ?...
— Oh oui, s’exclama Julien au comble du bonheur en serrant plus fortement la chair satinée.
— Moi aussi j’aime que tu me les caresses, précisa Germaine dont les tétons s’étaient automatiquement durcis sous l’attouchement… Frotte bien les bouts comme je te l’ai appris !
Tout heureux de démontrer son savoir-faire, Julien s’empressa alors de masser les mamelons à l’aide de ses paumes, de nouveau étonné de constater combien les tétons au centre de leur aréole étaient durs et fermes. Ayant compris combien sa mère appréciait cette caresse, il s’appliqua à frictionner activement cette partie des seins ronds et gonflés, éprouvant lui-même un indicible plaisir.
Cependant tout en s’appliquant à procurer du plaisir à sa mère, Julien ne pouvait ignorer la chaleur qui enveloppait sa verge, celle-ci devenait même de plus en plus ardente, lui semblait-il. Cette tiédeur humide l’amenait peu à peu à la jouissance. Sous les ondes voluptueuses, de plus en plus rapprochées, qui lui parcouraient le bas-ventre, il crispa ses doigts dans les seins qu’il flattait. Dans un violent effort de tout son être il tenta de retarder l’éjaculation qu’il sentait prendre possession de son bas-ventre et de ses couilles :
— Maman ! Réussit-il à gémir dans un appel à l’aide désespéré.
Au son de la voix de son rejeton et surtout à la vue de son visage crispé, Germaine comprit qu’il se trouvait au bord de l’explosion orgasmique. Elle se devait d’intervenir pour empêcher cette éjaculation précoce qui risquait de perturber son fils pour peut-être longtemps. Elle immobilisa immédiatement le mouvement de ses hanches, cessant les sensuels va-et-vient de sa vulve le long du dard qui la fouillait.
— Calme-toi mon chéri, conseilla-t-elle... Voilà, je ne bouge plus... Respire bien à fond...
Recevant le message que sa mère tentait de lui faire passer, Julien mit toute sa volonté à refréner ce fabuleux plaisir qui l’avait subjugué, fermant même les yeux afin de mieux se concentrer. Dans la chambre, un silence pesant régna, seulement perturbé par la respiration haletante de Julien… Peu à peu, il sentit tous ses muscles se détendre. La tension au niveau de son sexe s’estompa lentement, pour bientôt laisser place à un bien-être apaisant. Se sentant de nouveau prêt à reprendre le sensuel ballet érotique, Julien agita avec précaution son bas-ventre, désireux de ne pas réveiller trop vite cette jouissance à laquelle il venait d’échapper.
Percevant un certain affaiblissement du membre viril à l’intérieur de son vagin, Germaine comprit que son fils venait de se rendre victorieux de cette terrible épreuve qu’était la résistance à la jouissance. Elle avait réussi à prouver à Julien qu’il pouvait se montrer maitre de son désir, si fort fût-il. Bien sûr, ce n’était qu’un début, l’ado avait encore beaucoup d’efforts à faire, mais elle en était certaine, il deviendrait un amant exceptionnel ; elle ferait tout pour cela, étant particulièrement intéressée. Si comme elle le désirait, Julien restait auprès d’elle, elle serait toujours présente pour apaiser ses besoins sexuels chaque fois que ceux-ci se montreraient par trop pressants, mais elle comptait bien profiter aussi de la merveilleuse bitte lorsque le désir viendrait agacer sa chatte.
— Ça va mieux, mon chéri, interrogea-t-elle ?...
— Oui, maman, s’empressa de répondre Julien, pas peu fier de lui.
— Tu vois que tu peux apprivoiser ton envie si tu le veux.
Comme Julien semblait avoir recouvré son calme, Germaine décida de reprendre sa sensuelle chevauchée érotique : d’abord lentement afin de ne pas affoler trop vite son jeune partenaire. Le torse toujours penché en avant, elle s’arrangea pour frôler de ses seins outrageusement gonflés, le visage de Julien, attentif à contrôler son désir.
— Embrasse mes seins, demanda-t-elle... J’aime quand tu suces les bouts...
Du fait de sa position, Julien n’eut alors qu’à ouvrir la bouche pour aspirer le mamelon que sa mère s’empressa de lui introduire entre les lèvres. Retrouvant ses instincts de nourrisson : ces instincts qui sommeillent en tout homme, il entreprit de téter le sein qui lui emplissait la bouche, aspirant le téton raidi tout en pressant le mamelon de ses lèvres. Dans un réflexe de bambin, il entoura le torse de sa mère de son bras, écrasant ainsi le sein à la chair satinée contre son visage. Cependant malgré la douce euphorie qu’il éprouvait à téter cette mamelle gonflée tel le bébé qu’il était redevenu, Julien sentit de nouveau le manchon brûlant du sexe de sa mère lui enserrer la verge. Le plaisir momentanément apaisé irradia brutalement ses entrailles.
Inconsciente de l’état d’excitation dans lequel son jeune partenaire sexuel se trouvait, Germaine ressentait, sous la succion de son mamelon, une onde de plaisir l’envahir ; c’était là une caresse qu’elle avait toujours appréciée, et qui lui procurait une douce félicité… Lors de ses ébats amoureux avec son mari, ce dernier qui connaissait cette zone particulièrement érogène ne se privait pas de la stimuler, la rendant folle d’excitation. Aujourd’hui, le fils avait pris la place du père et la succion, si elle était plus maladroite, n’en était pas moins fort voluptueuse. Le corps parcouru de frissons sensuels, Germaine accentua son déhanchement, faisant ainsi coulisser plus rapidement sa chatte le long du membre viril tendu. Toutes les terminaisons sexuelles de son vagin dispensaient les ondes voluptueuses, créées par le frottement incessant du gland contre les parois de sa chatte exacerbée.
Sentant le plaisir l’envahir, Germaine songea à un attouchement particulier qu’elle appréciait lors des relations amoureuses d’antan. Saisissant les poignets de Julien, occupé à téter goulument ses tétons durcis, elle força celui-ci à poser ses mains sur sa croupe en mouvement :
— Caresse mes fesses, murmura-t-elle d’une voix chavirée.
Les rondeurs jumelles de sa croupe étaient elles aussi une partie de son anatomie qui pouvait lui procurer un plaisir immense lors de rapport sexuel... Là encore, son défunt mari savait l’amener progressivement à l’orgasme en jouant sur les terminaisons érogènes de ses fesses.
Percevant sous ses paumes les rondeurs jumelles fermes et si douces, Julien ressentit un immense émoi. Il pouvait palper cette partie de l’anatomie féminine qui le faisait fantasmer le soir dans son lit. En avait-il contemplé des croupes féminines sur les revues qu’il échangeait avec ses camarades de collège. Que de fois s’était-il endormi en songeant qu’il pétrissait entre ses doigts ses masses rondes séparées par la longue raie des fesses. Sa mère lui permettait d’assouvir son rêve. Bouleversé, il entreprit de masser la croupe maternelle, la malaxant, la pétrissant entre ses doigts vifs. C’était la première fois qu’il pouvait ainsi palper les fesses d’une femme, et que cette femme soit sa mère, la personne qui chérissait le plus au monde ne faisait qu’accroitre son plaisir. Sans cesser pour autant de téter avidement les mamelons gonflés qui lui emplissaient la bouche, il pressa les chairs élastiques entre ses doigts.
Le malaxage de ses fesses, même s’il manquait de douceur, apporta à Germaine un véritable sentiment de bonheur. Un flot de souvenirs lui revint en mémoire. Elle se rappela, émue, combien son mari savait l’amener irrémédiablement à la jouissance par le simple fait de lui bichonner le derrière. Si les caresses que Julien lui prodiguait n’avaient pas la sensualité de celles de son père, elles n’en étaient pas moins fort agréables. Associées aux succions de ses mamelons et surtout aux va-et-vient de la longue verge à l’intérieur de son vagin ces palpations fessières l’amenaient inexorablement vers la jouissance :
— Oui, c’est bien mon chéri, encouragea-t-elle en frottant ses tétons raidis à même le visage de son rejeton... Tu me fais du bien... Et toi mon cœur ?... Tu es bien dans mon minou ?... J’aime avoir ta queue, dans ma chatte tu sais... C’est si bon... Je sens ton gros bout jusqu’au fond de chatte... Hhuuummm !... C’est un régal...
Comme le plaisir prenait de l’ampleur à l’intérieur de ses entrailles, Germaine accéléra le mouvement de son bassin, s’empalant avec de plus en plus de frénésie sur le long pieu de chair qui l’empalait intimement. Les successives intromissions de la verge dans sa chatte gorgée de cyprine ne tarèrent pas à lui arracher des râles de plaisir :
— Oui !... Oh oui !... Ooui !... Encore !... Oh oui, j’aime ta bitte, Oouuiii !... Oh, je te baise, mon chéri... Maman va te vider les couilles... Je vais te faire jouir !... Oh oui... Tu vas décharger ton sperme dans le con de maman... Tu vas me remplir la chatte... Ooohhh... Chéri, c’est trop bon !....
Complètement passif, subissant le déchaînement sexuel de sa mère, Julien n’en revenait pas du langage trivial employé par cette dernière. Jamais il n’avait entendu celle-ci prononcer la moindre vulgarité, bien au contraire ; elle se faisait un devoir de le reprendre chaque fois qu’il émettait une grossièreté... Ce n’était plus la même personne qu’il avait en face de lui. La femme qui le chevauchait et se déhanchait avec fougue sur son bas-ventre en émettant des obscénités n’avait rien de commun avec sa mère si bien élevée. Mais surtout, Julien remarqua que sa mère semblait transfigurée, comme si la volupté qu’elle ressentait la rendait plus belle encore : sa chevelure rousse, libre de toute entrave lui faisait comme une auréole. Ses seins ronds restaient étonnamment fermes malgré les mouvements saccadés qu’elle effectuait pour se pistonner le vagin.
Subissant les assauts répétés des tétons durcis, avec lesquels sa mère lui fouettait le visage, Julien n’en continua pas moins de malaxer les chairs fermes de la croupe maternelle. Empoignant à pleine main les rondeurs jumelles, il s’ingénia à les écarter largement l’une de l’autre avant de les relâcher vivement, jouant avec. Chaque resserrement des deux globes charnus arrachait un gémissement de plaisir à sa mère transformée en amazone lubrique. De la chatte investie par sa verge, un véritable torrent chaud et visqueux, se répandait sur son pubis et ses couilles.
Au rythme auquel sa mère menait la chevauchée, Julien comprit qu’il ne pourrait retenir très longtemps cette jouissance qu’il sentait prendre possession de ses attributs sexuels. D’autant plus, que prise d’une frénésie érotique, sa mère se démenait de plus en plus sauvagement le long de sa queue enfouie en elle. Entièrement couchée sur lui, lui écrasant le visage de ses seins gonflés, elle agitait sa croupe avec une telle frénésie, qu’il avait du mal à poursuivre le malaxage des fesses qui s’agitaient en tous sens.
— Oh, putain que c’est bon, grogna soudain sa mère à son oreille… Ta queue est merveilleuse… Oh oouuii… Elle me défonce la chatte… Oui… Je sens ton nœud tout au fond de mon ventre… Jouis, mon chéri… Décharge ton sperme au fond de mon con… Ça ne fait rien… Fais-moi un enfant… Oohh oouuii…
Faisant des efforts désespérés afin de contenir l’éjaculation qu’il sentait prête à jaillir de son gland vigoureusement massé par les chairs brûlantes du vagin incandescent, Julien réussit à empaumer les deux masses jumelles du fessier maternel. S’y cramponnant fermement il les écarta l’une de l’autre comme il le faisait depuis le début ; mais comme il s’apprêtait à les relâcher, une pensée l’accapara. Sur des revues qui circulaient en cachette au collège, il y avait vu des photos où des femmes se faisaient prendre par-derrière ; elles se faisaient enculer, comme aimaient expliquer les grands, toujours prêt à montrer leur soi-disant savoir. Ce souvenir érotique incita Julien à tenter une expérience. Glissant le majeur de sa main droite dans le profond sillon qui séparait les globes charnus, il explora la chaude vallée humide à la recherche de l’orifice anal.
Très vite, malgré les violents soubresauts qui agitaient le postérieur maternel, Julien frôla l’objet de sa prospection. D’abord surpris de découvrir combien les abords du cratère intestinal étaient humides, il appuya sa phalange contre l’orifice anal. Aussitôt il sentit son doigt s’enfoncer entièrement dans l’anus, comme aspiré, il demeura stupéfait : jamais il n’aurait imaginé que ce soit si facile d’enculer une femme. La réaction à cette intrusion fut immédiate. S’immobilisant soudainement Germaine s’exclama :
— Julien !... Qu’est-ce que tu fais ?
Tout attentionnée à la montée du plaisir à l’intérieur de ses entrailles ; plaisir, qu’elle sentait sur le point d’envahir la totalité de son corps, Germaine avait soudain ressenti un choc émotionnel extrême. Julien venait d’enfoncer l’un de ses doigts dans son cul. Décontenancée par l’initiative de son fils, auquel elle ne s’attendait, elle s’immobilisa les entrailles torturées. Comment Julien, son « bébé », avait pu se permettre une telle audace ? Comment son garçon, handicapé psychologiquement, dont l’âge mental ne dépassait pas les douze ans, avait pu songer à ce genre de pénétration ? Il faudrait qu’elle ait une explication avec lui, pensa-t-elle. Mais comme cette introduction anale lui procurait un plaisir insolite, mais oh combien sublime, elle rejeta ses questions pour s’abandonner au bien-être que lui procurait cette sodomisation digitale. Il y avait si longtemps qu’un doigt, autre que le sien, n’était venu se loger en cet orifice !
Affolé par la réaction inattendue de sa mère, Julien s’immobilisa à son tour, son majeur fiché dans le cul maternel. Présumant qu’il n’aurait pas dû oser cette introduction, il se prépara à recevoir des reproches mérités de la part de sa partenaire de mère. Peut-être même que celle-ci allait le chasser de son corps, l’obligeant à regagner sa chambre, l’abandonnant avec son désir toujours présent. Aussi, doucement, avec beaucoup de précautions, il tenta de retirer son doigt du cul qu’il avait outrageusement investi.
— Oh, non !... Reste, gémit Germaine au comble du bonheur... Laisse ton doigt où il est... J’aime trop... Continue... Ramone-moi le cul, mon chéri... C’est trop bon...
Abasourdi par les demandes surprenantes de sa mère et surtout par ce langage imagé que celle-ci employait depuis le début de leur relation sexuelle, Julien s’empressa de satisfaire les souhaits de cette dernière, heureux de ne pas être admonesté comme il l’avait craint. D’un geste d’abord timide, il entreprit de faire coulisser son majeur dans le cul maternel. La réaction fut immédiate. Tendant passionnément sa croupe au-devant du doigt qui l’enculait, sa mère l’encouragea d’une voix précipitée et toujours dans ce langage fleuri qui le surprenait.
— Oh oui, mon chéri !... Tu encules ta maman !... J’aime ça... Continue !... Plus vite, mon chéri... Va plus vite. Bien à fond !...
Puisqu’elle le lui demandait avec tant d’insistance, Julien agita son doigt dans l’orifice anal qui s’était largement relâché, avec plus d’audace. Chaque pénétration de son majeur dans le cul accueillant arrachait un gémissement à sa partenaire sexuelle. Écraser sous le corps maternel, le visage enfoui entre les seins moites, Julien tâcha néanmoins d’améliorer cet attouchement qui semblait tant plaire à sa chère maman. Il n’en revenait pas ; comment une femme, et sa mère en l’occurrence pouvait ressentir un tel plaisir à cette introduction anale ? Dans ses fantasmes les plus osés, seul le sexe féminin faisait partie de ses désirs, jamais il n’avait imaginé enfoncer sa queue ailleurs que dans ce sanctuaire magique. Mais à constater combien sa mère appréciait cette pénétration particulière, Julien fut pris d’une idée érotique ; demander à sa chère maman qui depuis deux jours accédait au moindre de ses désirs, surtout si ceux-ci touchaient au sexe, de pouvoir remplacer son doigt par sa bitte. Pouvoir l’enculer, comme disaient les grands au collège. Il ne se doutait pas que son nouveau désir n’allait pas tarder à se concrétiser.
Dès que le doigt pervers de son fils s’était enfoncé entre ses fesses, Germaine s’était complètement immobilisée afin de mieux retrouver les sensations procurées par cette pénétration anale. Cette pénétration qu’elle n’avait plus ressentit depuis le décès de son mari. Seul son époux, le seul homme qu’elle avait connu, avait accédé à son orifice secret, après l’avoir longuement préparé à ce genre de pénétration. Peu à peu des sensations sexuelles qu’elle croyait à jamais oubliées se propagèrent dans ses entrailles et dans le creux de ses reins. Un plaisir qu’elle n’avait plus connu depuis la mort de Louis se saisit de ses organes génitaux, la faisant doucement onduler du bassin...
— Huumm, c’est bon... Continue mon chéri… Tu fais du bien à maman…
Mais bientôt, cette félicité sexuelle qui l’envahissait sournoisement l’amena à désirer une autre pénétration, plus forte, plus puissante. Une pénétration hors nature qu’elle n’osait toutefois pas imposer à son fils, ne sachant comment ce dernier se prêterait à cet accouplement pervers.
Tâchant de chasser ce pernicieux désir de son esprit, Germaine se redressa afin de se retrouver à la verticale sur le bas-ventre de sa jeune monture... Impatiente d’atteindre enfin cette jouissance qu’elle percevait dans ses entrailles, elle reprit sa sensuelle chevauchée sexuelle. Avec un plaisir intense, elle sentit le gland congestionné frictionner de nouveau les parois spongieuses de son vagin. Mais le fait de changer de position avait obligé Julien à retirer son doigt d’entre ses fesses et à abandonner son exploration anale. Devant l’air interrogateur de celui-ci, qui la fixait étonné, elle le rassura :
— Laisse faire maman, mon chéri... Maman va te donner beaucoup, beaucoup de plaisir... Tu veux jouir dans le minou de maman ?
N’attendant aucune réponse de son jeune partenaire qui fixait médusé les lourds fruits de chair de sa poitrine, Germaine accéléra sa chevauchée érotique, se pistonnant le vagin avec exaltation. Chaque pénétration de la longue verge à l’intérieur de sa chatte déclenchait dans son corps un foisonnement de frissons sensuels. Son corps n’était plus qu’une pelote de nerfs à vif. Très vite le plaisir prit possession de ses organes sexuels, la faisant haleter.
— Oh chéri, c’est bon... Oh oui !... Je suis bien... j’aime... Oh oui, j’aime... Oh chéri... chériii… je sens ton gros bout au fond de mon ventre... Et toi, mon cœur, tu aimes que maman te fasse l’amour ?
Complètement transporté sexuellement, Julien subissait les assauts de sa mère avec béatitude. De sa verge voluptueusement massée par les chairs torrides de la chatte maternelle, le plaisir se répartissait dans son bas-ventre. Malgré les efforts qu’il faisait pour retarder l’éjaculation qu’il pressentait, il se sentait incapable de contrôler longtemps la montée de la jouissance. Heureusement, son sauvetage vint des abondantes sécrétions vaginales de la chatte dans laquelle sa verge était plantée.
Alors qu’elle se démenait passionnément, accentuant le va-et-vient de sa croupe, Germaine perçut soudain un vide à l’intérieur de son vagin affamé. Du fait de sa chevauchée effrénée qu’elle menait, la queue sur laquelle elle se pilonnait s’était échappée de sa chatte liquéfiée :
— Oh, elle s’est échappée, tenta-t-elle de plaisanter.
Lançant vivement une main entre ses cuisses, elle empoigna la verge gluante de ses sécrétions vaginales :
— Pouah !... Ta queue est toute poisseuse, ironisa-t-elle !...
Mais au moment où elle s’apprêtait à replacer le gland toujours aussi gonflé entre les grandes lèvres de sa vulve, une pensée perverse lui traversa l’esprit. Lorsque Julien, à sa demande, avait fait naviguer son doigt dans son cul, des sensations qu’elle avait cru oubliées s’était réanimées lui procurant un plaisir depuis longtemps atone. Il ne fallut alors qu’un dixième de seconde à Germaine pour mettre en application son idée. Il lui suffit pour cela de repousser légèrement la verge gluante sur l’arrière afin de faire coïncider le gland avec l’ouverture secrète de sa croupe ; cet orifice mystérieux tellement prisé par les hommes. Lorsqu’elle sentit le bourgeon de chair frôler son anus, elle s’appuya alors fortement sur ce corps ovoïde pour le faire pénétrer à l’intérieur de ses intestins. Copieusement lubrifié par les abondantes émissions vaginales, l’anus accepta sans aucune résistance l’intromission du gland volumineux. Un
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