JAMAIS TROP TARD (3)

Récit érotique écrit par portois1954 le 24-12-2019
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Catégorie Couple

Pour cette première nuit avec elle, j'ai baisé Gourmande à de multiples reprises, la faisant déborder de mouille et de foutre que je déversais dans tous ses orifices. Après chaque jouissance partagée et à ma demande, elle me suçait la queue, la maintenant raide et vigoureuse. Je continuais à lui caresser le ventre, les seins, la chatte et de temps en temps, je lui faisais abandonner la position confortable qu'elle avait adopté pour me sucer, c'est à dire tête posée sur mon bas ventre, pour lui prendre sa bouche et sa langue sur lesquels j'aimais à trouver l'odeur et le goût de ma bite. Elle aime à téter mon gland, forçant un peu pour avaler ma hampe qu'elle trouve grosse et longue. J'adore vraiment car elle salive abondamment et je ressens de belles sensations humides sur mes couilles. Gourmande paraît insatiable, et confiante maintenant se laisse aller à des confidences qui me démontrent sa reconnaissance. Elle qui s'était presque interdite de sexe du fait de son veuvage, de son âge, de son embonpoint ne croyait tout à fait ce qui lui arrivait. Et pourtant me dit- elle, je viens de jouir comme je ne l'avais jamais fait ni ne l'imaginais possible. Nous restâmes un long moment allongés, parlant de ce qui venait de se passer. Elle s'étonnait de s'être tellement donnée, elle un peu ingénue des choses du sexe malgré une union et des maternités. Elle disait avoir un peu peur de mon jugement du lendemain et s'attendait à ce que je me cantonne à cette première fois. De toute la durée de notre discussion, je lui fourrais la chatte de quasiment tous mes doigts, seul mon pouce titillait son clitoris et ainsi j'entretenais une coulée permanente dans sa fente. Elle mouillait si abondamment que parfois j'avais l'impression qu'elle urinait un peu. Serait-elle femme fontaine en plus d'être clitoridienne, vaginale, anale et bonne suceuse ? Dès lors et pour m'en convaincre, je savais que ce ne serait pas la dernière fois que la baiserai quand bien même elle s'en persuadait. La nuit était bien avancé maintenant et il me fallait rentrer chez moi à quelques dizaines de kilomètres. Gourmande m'accompagna jusqu'à sa porte d'entrée, nue sous son peignoir et pendant que je lui donnais un baiser, j'empaumais sa chatte à pleine main en la fourrageant de mon majeur et de mon index joints. Elle était toute chaude et il m'était bien agréable de la baiser dans ce flot de nos foutres mélangés qui coulaient maintenant qu'elle était debout.

Mon retour chez moi, fut agréable. Je me remémorais la soirée, les frissons et toutes les jouissances multiples connues par Gourmande, son cul profond et chaud qui était autant trempé que sa chatte et que j'avais fourré pendant de longs instants sans qu'elle ne se plaigne, ses beaux gros seins et ses larges aréoles avec des tétons qui eux aussi s'étaient dressés en bandaison. Je humais mes doigts et appréciais l'exquise odeur noisette que sa chatte y avait laissé. Qu'il avait été bon de la baiser cul et chatte de ma bite et de mes doigts et d'en conserver les miasmes olfactifs comme une empreinte indélébile qui a coup sur allait me faire fantasmer et bander avant notre prochaine rencontre. Je rentrais chez moi heureux de cette soirée mémorable car cela faisait bien longtemps qu'au niveau sexualité, je n'avais connu de telles satisfactions même si une autre nana partageait ma vie.

Avec Sophie, ma compagne du moment, nous n'étions plus en harmonie et au fil des jours nous nous étions éloignés, avec une pauvre sexualité. Ce soir là, me glissant auprès d'elle dans notre lit, je bandais fort et vint me coller contre ses fesses. Dans son sommeil, elle ronronna et se colla contre mon bassin. Ma queue tendue n'eut aucun mal à trouver sa fente dans laquelle je m'enfonçais et après quelques va et vient, je déversais en elle le peu de foutre qui me restait. Une baise à la pépère après celle que je venais de connaître avec Gourmande me confirmait que l'épisode Sophie touchait à sa fin. Je m'endormis satisfait de l'avoir fourré encore tout moite des coulées de Gourmande.

Le lendemain, j'envoyais un bonjour par sms anodin à Gourmande, histoire de ne pas lui donner l'impression que j’empiétais de trop sur sa liberté. Elle me répondit par un msg de remerciements et ses propos disaient ce qu'elle était encore toute surprise d'avoir oser mais qu'elle ne pouvait qu'être satisfaite de tout ce qui s'était passé. Ne pouvant lui parler librement, je lui proposais de l'appeler de mon bureau le soir même. Je travaillais de nuit comme responsable dans un grand service d'état et disposais d'un bureau, de suffisamment de temps et de discrétion pour pouvoir lui parler. Elle accepta bien sur et c'est ainsi qu'allait débuter une relation forte basée sur des échanges téléphoniques libertins, des sms coquins, de partages de fantasmes, de confidences sur nos personnalités, nos projections de vie future, de jeux sexuels et de scénario plus fous les uns que les autre, de jouissances après masturbations au téléphone. Bref, une chose était évidente, je détenais en elle une femme en retard de sexe et j'avais de beaux projets pour en faire une Maîtresse idéale.


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24-12-2019 0 2508

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