Et plus le temps passait, plus nos jeux érotiques prenaient consistance avec comme fil rouge nos appels téléphoniques; quand au fin fond de la nuit nous évoquions d'autres baises, d'autres envies, d'autres possibilités de faire. La chatte de gourmande, son cul, ses seins,son corps étaient aptes à de belles choses et de fil en aiguille, au plus fort de nos jouissances téléphoniques, je lui faisais état que je rêvais de beaux jouets pour ses orifices. Nous évoquions alors des godemichets, des vibromasseurs, des plugs et nous en fîmes l'acquisition d'une belle collection. D'ailleurs, c'est Gourmande qui fit, seule, la première démarche d'achat d'un beau godemichet vibrant dans un sex-shop de province. Mais vraiment, à la longue, j'estimais que c'était insuffisant pour la combler comme il se doit. Moi je l'imaginais avec du plus gros dans sa chatte car si elle prenait son pied avec ma queue et les jouets disponibles, ils avaient tous à peu près la même circonférence. C'est ainsi qu'un soir de baise, après un 69, elle demeura dans cette position tête bêche, se mettant sur le côté, chatte offerte et me tendit deux godes. « Mets les dans ma chatte » me dit-elle alors qu'elle embouchait ma queue qui se dressa de plus belle à son invite. Elle s'appliqua à me sucer comme jamais pendant que je lui fourrais son Con des deux godes. C'était chose aisée et j'adorais son initiative quand sa main se posa sur la mienne comme pour m'intimer de les lui enfoncer loin. Elle mouillait tellement que j'ai encore en mémoire la bonne odeur de son sexe qui emplissait la chambre. J'avais une vision de son sexe que je dilatais et que je prenais profondément. Quelle belle Salope elle se plaisait à être à s'écarteler comme si elle voulait aussi que mon regard la pénètre. Notre désir commun était au summum de son expression et alors nous nous exprimions oralement et physiquement librement et sans tabous. « Tu aimes que je sois ta Salope, ta Chienne et moi j'aime que tu sois Mon Maître ». De tels propos, réfléchis et volontaires qui sortaient de la bouche de cette femme du monde étaient bien preuves que tout un chacun est en droit d'attendre mieux et plus en matière de sexe. Je n'avais rien exigé d'elle et elle s'offrait ouvertement à d'autres expériences. Je le prenais ainsi et comme depuis notre première fois je la savais perfectible, il était évident que j'allais prendre des directives pour la faire devenir ce qu'elle souhaitait être, Une vraie Salope de Chienne.
On bandait et on bande encore à échanger téléphoniquement, par Skype et autre et autant en visionnant le super album photo que nous avons constitué comme les vidéos de nos débauches. Gourmande prenait de plus en plus d'initiatives, se voulant aussi meneuse de nos jeux. On était loin de sa réserve naturelle et de sa timidité et elle me le démontra lors d'un déplacement dans un pays limitrophe de la France. Nous y étions pour une compétition avec d'autres amis qui ignoraient tout de notre relation et auxquels nous ne donnions aucune liberté de penser que nous étions amants. Nous logions tous à la même enseigne et l'intimité état plutôt restreinte. Un soir, à table, assis près d'elle, j'avais glissé ma main dans son dos, puis dans son pantalon pour lui caresser les fesses en direct. Même si surprise au départ, Gourmande se serrait plus fort contre moi comme pour m'encourager. Elle aimait ça et me le démontrait dans sa respiration accélérée quand mon majeur prit possession de sa raie culière. J'aimais tout comme elle cette situation alors que nous discutions à bâtons rompus avec nos amis qui étaient loin de se douter de ce que nous faisions. A un moment, n'y tenant plus, elle me souffla d'aller l'attendre dans le fourgon que nous avions loué le temps de notre séjour, un magnifique Mercédés Vito. Il était garé assez loin de notre lieu de vie et dans une zone d'ombre prononcée. Gourmande me rejoint rapidement et à peine montée, elle sort ma queue hyper tendue de mon survêtement, me regarde et me dit « Laisse toi faire et va jusqu'au bout ». Elle m'a sucé avec une telle conviction, un tel professionnalisme, que je ne fus pas long à gicler dans sa bouche experte. Qu'il était bon de la sentir déglutir avec satisfaction quand elle avalait mon foutre. Elle se montrait fière et heureuse de la réalisation de cette bien belle fellation. Il me fallait, moi aussi, lui faire preuve de reconnaissance et c'est à l'arrière du Vito que je la couchais à même le plancher, lui plantais ma queue d'un coup dans sa chatte inondée et la fit jouir en quelques va et vient même si elle ne put libérer ses cris de jouissance. Je l'accompagnais en arrivant en même temps qu'elle mélangeant nos foutres au plus profond de son vagin qui se contractait comme pour me faire prisonnier. Ce séjour nous obligea à nous baiser en silence mais ce qui nous importait, c'était de pouvoir le faire encore et toujours. C'était plaisant de baiser avec nos amis si proches de nous même si nous devions nous mordre les lèvres pour ne pas dévoiler notre relation. Comme toujours, après chaque baise, Gourmande me suçait que je sortais de sa chatte ou de son cul.
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