Entre Gourmande et moi, le téléphone, internet et les logiciels de communication par webcam allaient être d'une importance capitale au fil du temps et en fonction de notre éloignement du moment. C'est par téléphone que nous avons mis en place l'élaboration de multiples fantasmes, l'instrument permettant des discussions spontanées sur des thèmes tournant autour du sexe, de nos envies, de nos attentes. La base de discussion étant que j'avais été conquis par toute la générosité dont elle avait fait preuve lors de notre première baise mais qu'il fallait corriger quelques petits points de détails. D'abord, je constatais que Gourmande avait eu un petit complexe à se montrer nue sans doute parce que bien en chair plus que timide. De propos en propos, toujours au téléphone, je la rassurais quand à son physique, car il était vrai que j'aimais les femmes bien en chair et que mon intérêt pour elle n'était pas feint. De même, établir une pénombre en éteignant les lumières était chose à proscrire car si je la désirais ce n'était pas pour qu'elle ne se montre pas. Mot après mot, échange après échange, discussion après discussion nous profitions de mes nuits au travail pour nous dire des propos de plus en plus intimes et c'est ainsi que je parvenais à la persuader de prendre les meilleures dispositions pour peut être se caresser en même temps que nous nous parlions, alors que de mon côté je lui faisais part que j'avais sorti ma queue et que je me branlais en l'écoutant. Je ne vous dis pas comment son souffle s'accélérait à écouter ma narration d'une situation précise alors qu'elle me communiquait aussi des frissons en sachant qu'elle avait sa main à sa chatte et se faisait du bien. D'ailleurs me disait-elle, elle ne se masturbait pas avant de me connaître et que j'arrivais à lui faire prendre conscience que c'était un acte tellement bon que s'en priver était une ineptie dont elle se sentait fautive maintenant.
Elle utilisait des termes un peu désuet pour nommer nos sexes et pour les actes que nous avions pratiqué. Alors je l'ai inscrite à ma bonne école de manière à ce que sa « poupoune » devienne sa chatte, son con, sa figue, son abricot, sa moule ; que la prendre par derrière soit « encule moi » ou venant de moi, « je vais t 'enculer ». Que dire « fais moi l'amour » me convenait mais que je préférais de loin l'entendre dire « baise moi ». De fil en aiguille, nous reparlions de la trilogie de ses orifices comblés, car disait-elle, il lui fut bon d'être prise partout même si je n'avais pas beaucoup coulé dans sa bouche. Il faut dire que pour clore la soirée, après lui en avoir mis plein la chatte et le cul, je m'étais un peu tari sur la quantité de foutre délivré au final.
Pour ne rien gâcher de nos futurs plaisirs, je lui enseignais aussi la pertinence d'utiliser des termes assez crus pour mieux apporter à l'excitation et c'était le cas quand je lui disais « suce moi la bite », « mord ma queue » ou quand la regardant droit dans les yeux je lui disais « je vais te bouffer ta chatte », « boire à ta fente », « te sucer le clito ». Il était indéniable que cela lui procurait de réels frissons et que la grande quantité de mouille qui lui poissait la chatte et la raie des fesses en était preuve flagrante. Bonne élève, Gourmande assimilait vite mes sollicitations et y répondait quasi instantanément. Ainsi j'avais exigé d'elle qu'elle soit totalement nue, où qu'elle fut chez elle quand elle me téléphonait. C'était ainsi que je voulais qu'elle s'apprécie et qu'elle s'accepte avec ses formes, ses supers gros nichons, ses fesses somptueuses, son embonpoint, bref que c'était pour cela que je bandais pour elle. Je dois avouer que je n'avais plus de temps à perdre, et que moi, sexagénaire et elle septuagénaire, ou bien on s'adonnait à combler tous nos manques ou bien on s'ennuyait dans une relation où le sentiment d'amour, même si il devait exister, ne prendrait pas le pas sur une sexualité débordante et débridée que je voulais concrétiser. alors que nous avions chacun eu, une vie sans doute pas idéale ou très aboutie, en matière de cul.
Vint notre deuxième rencontre physique une quinzaine de jours plus tard. Pour dire à quel point je l'avais fait évoluer, j'avais exigé qu'elle vienne me récupérer à la gare proche de chez elle en jupe et sans culotte. Elle avait été impatiente et était arrivée à la gare une bonne demie heure avant que mon train arrive à destination. Ce fut un chouette moment et le début d'un changement chez elle. Je constatais qu'elle s'était un peu maquillée, portais un corsage qui mettait sa poitrine en avant, un foulard noué autour de son cou et une jupe qui lui arrivait à mi-cuisse. Échange de baisers de retrouvailles et ma main qui se glisse entre ses cuisses qu'elle écarte volontiers. Elle ne porte pas de culotte et mon majeur, conquérant, s'insère entre ses grandes lèvres. Sa fente est chaude et sa vulve trempée de coulées torrentielles comme si à l'instant où je la doigtais sur le parking de la gare avec plein de gens autour de nous, une vanne de cyprine s'était ouverte au fond de son vagin.
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