JAMAIS TROP TARD 7

Récit érotique écrit par portois1954 le 24-12-2019
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Catégorie Couple

De toujours bonne volonté, il fut aisé de convaincre Gourmande de passer à des jeux qui seraient bienfaisants pour elle et hyper bandants pour moi. Ici, je vais donc conter un peu tout ce que à quoi elle s'est soumise au fil du temps. J'ai en mémoire un départ pour des vacances sur une île de Charente-maritime où elle possède une petite maison. Au départ, je lui avais demandé de s'insérer des boules de geishas bien au fond de son vagin car je voulais qu'elle les garde pendant tout le trajet. Sur la route, bien entendu, on a profité d'une aire de repos pour joindre l'utile à l'agréable, c'est à dire un temps d'arrêt de récupération et pour qu'elle me suce copieusement. Rien de tel pour se sentir plus léger. Avant de repartir, après un passage par les toilettes de l'aire de repos. Juste avant de monter en voiture, je m'assurais de bien enfoncer les boules de geishas dans sa chatte. Mes doigts se poissèrent de sa riche mouille. Je les humais les lui fit sentir aussi avant de les sucer. Nous fîmes le reste du trajet en devisant sur nos futures journées et sur la bonne façon de profiter de nos corps et de son île. Croyez bien que Gourmande était plus que disposée à tout tenter pour me satisfaire. C'était nos premières vacances ensemble et elle comptait bien en garder des souvenirs impérissables. D'ailleurs, depuis, où que nous allions, et nous sommes des grands voyageurs, nous avons marqué tous les lieux fréquentés de nos empreintes sexuels. Chez elle par exemple, il n'y a pas une seule pièce qui n'a été exploitée et où, lorsqu'elle est seule, elle peut se remémorer les belles séances qui s'y sont produites et où son corps vibrait à se faire prendre totalement ; avec toujours en point d'orgue une longue sodomie qui lui procure des jouissances expressives et des cris qu'elle étouffe en mordant son oreiller. C'est pareil sur son île. Elle ne porte quasiment jamais de culotte, toujours prête à se faire toucher et doigter. J'aime bien aussi, pendant une pêche à pied, à peine éloignés de ceux de sa famille, attendre le moment propice pour profiter qu'elle s'accroupisse dans un trou d'eau pour pisser et là empaumer sa chatte pour ressentir la coulée chaude de son urine. Trop bon d'être en symbiose et complices sans que personne ne se doute de notre grande satisfaction du moment. C'est de cette façon que Gourmande se révéla être aussi femme fontaine et il n'y a pas plus beau spectacle que de la voir se munir de son dong, debout, jambes bien écartées, se baiser jusqu'à déverser à flots continuels un doux mélange de foutre et de pisse. Il est plus que bandant de la voir arracher le dong de sa chatte quand elle atteint le paroxysme de la jouissance, penchée en avant, cul offert comme en attente de se faire défoncer. Elle aime ces jouissances répétées et simultanées, moi dans son cul pendant qu'elle se fourre avec un vibro. Il est phénoménalement bon de crier en même temps alors que son utérus gonflé d'avoir été cogné comprime ma queue dans son fourreau. Une anecdote coquine a entraîné pour elle un usage autre que culinaire de légumes. En effet, quelqu'un de passage avait ramené ds courgettes énormes et plaisantant avait dit à Gourmande, en plaisantant « non ne rêve pas ». Il me vint l'idée que si elle ne pouvait rêver de se mettre une aussi grosse courgette, rien ne l'empêchait de faire usage de légumes plus adaptés et je la savais capable de bien faire. Le soir même, nous parlons de la faisabilité de la chose et bien entendu, Gourmande adhère à l'idée, plus que jamais éloignée de sa sexualité à minima d'avant. Il lui revint donc de faire l'acquisition de courgettes et autres légumes susceptibles de pouvoir la combler. Le marché saisonnier local proposait de beaux étals où trouver ce qu'il fallait. Gourmande ramena des courgettes de tailles différentes dont la plus petite était un peu plus grosse en circonférence que ma queue. Les autres allant en augmentant de diamètre et de longueur. Avec patience, lubrification et envie, elle les prit une à une sans difficultés. Qu'il était bon d'être le Maître de cérémonie de son initiation vers de plus belles défonces. Je l'avais installé confortablement, fesses au bord du lit, jambes écartées, caméra branchée pour nous filmer et positionné devant elle entre ses jambes, je lui avais insérer chaque courgette une à une. Ma queue coulait d'être si fortement excitée de voir ses grandes lèvres s'écarter et envelopper la courgette qui disparaissait dans sa chatte. J'étais à son écoute tandis qu'elle me regardait faire, les yeux illuminés et reconnaissants du plaisir ressenti pour cette première fois. Nous savions alors que nous n'étions qu'au début d'une belle conquête de sa chatte et que sans viser des exploits, il y avait la place pour que sa chatte se dilate encore plus. De là vint aussi, lors de nos habituels discussions téléphoniques, que je puisse un jour la « fister ». Gourmande ne savait pas en quoi cela consistait et quand je lui expliquait le mode opératoire de mettre ma main entière dans sa chatte, là encore elle ne s'en offusqua pas et la tonalité de sa voix, sa respiration accélérée me prouvait qu'elle se projetait déjà dans cette réalisation.

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24-12-2019 0 2238

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