Hélène 4

Récit érotique écrit par Odan le 13-08-2023
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Catégorie Partouzes-Orgies

Rendez-vous est donc pris. Le week-end suivant, nous avons convenu de partir faire connaissance en louant un gîte sur l’île de Ré. Alice et Louis arriveront en premier, s’occuperont des clés et des formalités, et Hélène et moi viendrons les rejoindre, avec victuailles et boissons. Hélène est très excitée toute la semaine à cette idée ; j’avoue que moi aussi. Mais la semaine est sage, j’ai du travail, Hélène en cherche – vraiment cette fois-ci – mais ne trouve rien qui lui convienne, et ses enfants sont là. Ils m’acceptent petit à petit, mais les choses ne sont pas simples, et ils doivent d’ailleurs partir avec leur père pour plusieurs semaines. Son compagnon vient les reprendre samedi matin, cherche un prétexte pour faire des reproches à Hélène, le trouve, ça s’éternise, elle s’énerve… Il part enfin avec les enfants. Nous allons être en retard, je déteste ça, même si Hélène a à l’égard du temps un rapport beaucoup plus distendu que le mien. Et Hélène se sent coupable : elle a l’impression de ne pas faire ce qu’il faut pour ses enfants, de les avoir abandonnés. Bref, nous sommes tous les deux d’humeur assez maussade au moment de partir. Le voyage est silencieux, presque tendu. J’ai le sentiment qu’elle m’en veut comme si j’étais responsable de sa situation, ce qui non seulement me paraît injuste, mais encore m’agace au plus haut point : ce con – parce que rien de cela ne serait arrivé sans son attitude minable de mec largué – est en train de nous gâcher un moment attendu avec délice. Mais il fait beau, la route est tranquille, et quand nous franchissons le pont de Ré, les nuages, dans tous les sens du terme, se sont éloignés. Nous prenons la direction qu’indique le GPS, jusqu’au gîte en question. J’ai à peine le temps de me garer devant la maison, abritée de la route par une belle haie de lauriers, qu’Alice surgit pour nous accueillir, nue. « Nous sommes derrière la maison, à la piscine, venez vite, nous crie-elle ! Â» Hélène lui saute dans les bras, elles s’embrassent et disparaissent aussi vite qu’Alice avait surgi… Je rentre les bagages, pose ce que nous avons amené dans la cuisine, et les rejoins enfin. Hélène a tout enlevé, et elle s’ébat déjà, nue à son tour, avec Alice, dans la piscine. Louis est allongé, nu aussi, beau mec, assez fin, les cheveux aussi noirs que ceux d’Alice, mais les yeux aussi sombres que les siens sont verts. Il regarde les filles dans l’eau, et Hélène se montre nue comme si tout cela était complètement naturel. Je suis plus réservé, plus lent… Mais le spectacle est délicieux. Les deux femmes chahutent en riant, elles se caressent l’une l’autre en passant, frôlement de seins ou de cuisses, mains baladeuses, fesses rebondies, éclaboussures de l’eau dans les cheveux, cris de nouveau, rires, et Å“illades vers les deux hommes, l’un nu et allongé, dont le sexe ne laisse aucun doute quant à l’intérêt qu’il prend à ce qu’il voit, et l’autre encore revêtu d’un bermuda, moi, plus en retrait, pas encore pleinement dans la situation. Je me contente de faire le voyeur, elles sont belles et excitantes, il fait chaud et la lumière éclate dans la splendeur de l’après-midi.

Hélène ne veut pas brusquer les choses, mais je vois bien son regard gourmand sur le sexe maintenant dressé de Louis, qui se caresse doucement, la verge haute, tendue, décalottée, tandis qu’Alice, qui vient de sortir de l’eau, s’approche de son mari et sans attendre davantage, le prend en bouche, le suce délicieusement, comme elle ferait d’un sorbet rafraîchissant. Louis s’étire langoureusement sous la caresse que lui prodigue son épouse, en regardant Hélène, qui sort à son tour de l’eau, s’ébroue pour nous éclabousser, et sa beauté nous atteint de plein fouet : Dieu qu’elle est belle ainsi, désirante et désirable, l’eau lui glissant entre les seins, faisant briller les quelques poils de son sexe encore sage, son regard étincelant de provocation et de jeunesse, de sauvagerie encore rentrée. Elle rejoint Alice auprès de Louis, et elles s’échangent sa tige humide et rigide, la lèchent successivement, puis à deux… La tension monte d’un cran, et je retire ce bermuda maintenant trop serré, mon sexe jaillissant faisant assez clairement état du caractère très excitant de la situation. Hélène, qui m’a vu venir, se redresse, vient vers moi… et me jette à l’eau ! Louis m’y rejoint rapidement, ainsi qu’Alice et Hélène. La piscine est devenue soudain bruyante, et la fraîcheur de l’eau, dont on pouvait attendre qu’elle calme les esprits… et le reste, semble au contraire donner des idées à tous. Alice, sous l’eau, a saisi mon sexe dans sa bouche ; moi je doigte Hélène par derrière, tandis qu’elle branle vigoureusement Louis qui tentait de sortir de l’eau. Alice reprend son souffle en s’appuyant sur le bord de la piscine ; Louis en profite pour venir la prendre par derrière, pendant qu’Hélène lui caresse le cul, et peut-être, je ne vois pas bien, a-t-elle glissé un doigt dans son anus. Et je viens flatter à mon tour le postérieur d’Hélène, qui écarte les cuisses sans pudeur aucune pour que je la prenne. Le clapotis des sexes et celui de l’eau se mêlent. Alice est assise sur le bord, les jambes totalement relevées, et Hélène lui mange littéralement le sexe ; Louis est passé derrière Hélène et la pilonne sans ménagement ; debout au bord de la piscine, je me fais sucer par Alice. Allongé sur la terrasse chauffée par le soleil, je vois Hélène venir s’empaler sur moi, ses seins fièrement dressés et provocants, et Louis s’insinue derrière elle : elle crie son plaisir lorsque les deux sexes sont en elles, lorsque nous ajustons nos rythmes ; et Alice caresse les bourses de son homme à chaque fois que c’est possible. Louis change de position, il glisse son sexe contre le mien, sensation étrange pour moi, nouvelle, pas désagréable, c’est chaud et tendu, ça vibre, et nos deux sexes entrent dans celui d’Hélène totalement distendu : elle semble en apnée, les mains crispées, et quand Alice vient poser son sexe sur mon visage pour que je la dévore, et qu’elle prend en même temps un sein d’Hélène en bouche, j’entends Hélène crier sa jouissance comme jamais, parler plusieurs langues étrangères en même temps, hululer et feuler ; c’est si fort que Louis en jouit sur place, déclenchant, avec ses saccades de sperme, ma jouissance. Quand nous nous séparons, il est nécessaire à la fois de se rafraîchir, et la douce d’extérieur est un plaisir réel, et de manger. Nous nous installons nus en riant, en commentant, en dévorant.

Hélène, épuisée, s’endort ensuite rapidement à l’ombre, et Alice la rejoint. Elles sont sublimes, enlacées et assoupies. Louis commente avec moi nos exploits, me parle de son plaisir de nous connaître, et de cette expérience qui est nouvelle pour lui comme pour nous. Surprise, il m’apprend que sa sÅ“ur, qui a une dizaine d’années de moins que nous, doit nous rejoindre dans la soirée, avec son nouvel amant. Je pose quelques questions et j’apprends qu’en réalité, c’est une sÅ“ur adoptive, d’origine asiatique, et que le nouvel amant est un afro-américain rencontrée dans l’avion. Voilà qui promet ! Nous nous éclipsons pour ranger les affaires, chacun dans sa chambre – enfin, on verra… –, puis décidons de laisser les filles pour faire quelques courses supplémentaires. Notre retour ne se passe pas exactement comme prévu : d’abord, Louis, qui est un dragueur incroyable, a pris deux Hollandaises en stop, et leur propose de se joindre à nous. A l’arrière de la voiture, elles s’embrassent goulûment, laissant augurer une suite fort joyeuse. Quand nous arrivons, les filles ne sont plus à la piscine, mais il y a du bruit à l’étage : Dexter, l’américain, une sorte de monstre culturiste, a empalé Alice et la pilonne en la soulevant, tandis qu’Hélène, entre ses cuisses, lui lèche le cul et les bourses, et que Liu, accroupie, mange la chatte d’Hélène. Nos deux Hollandaises ne se le font pas dire deux fois. Elles sont déjà nues et se jettent dans la mêlée : que faire, sinon les rejoindre ? Impossible de dire quelles chattes je pénètre, qui gémit, qui me caresse, à qui sont ces seins, qui cette langue, ce sexe d’homme dans ma bouche, inattendu mais si excitant, ce cul dilaté devant moi, ce clitoris que je mords presque ; impossible de dire qui parle, en hollandais, en anglais, en français, en… je ne sais pas quoi, ça doit être Hélène. Je suis plus ivre que si j’avais bu, plus épuisé que si j’avais fait un marathon : combien de fois avons-nous joui les uns et les autres, dans quels bras me suis-je endormi, quelles jambes m’ont enlacé ? A mon réveil, l’odeur de sexe et de sueur est forte. J’ai la tête sur le ventre de l’une des Hollandaises, Anja je crois, qui est dans les bras de Dexter ; Dexter a le sexe demi-mou, c’est-à-dire un braquemart gigantesque, qu’Alice suce doucement, sans même le réveiller. Les autres ne sont pas là. Hélène est dans la piscine avec Liu et l’autre Hollandaise (Marie), Louis a disparu. Il s’occupe en réalité de préparer de quoi récupérer… Hélène et Liu sont déjà très complices : quand je m’approche d’elles, elles me regardent en murmurant je ne sais quoi et en riant. A son regard, je sais qu’Hélène projette je ne sais quoi qui me fait immédiatement bander ! Mais c’est clair, on ne va pas tenir le week-end à ce rythme. La soirée est plus calme, chacun rejoint sa chambre, les Hollandaises repartent… Nous entendons rapidement Liu gémir sous les coups répétés de son géant. Dans la chambre voisine, Louis et Alice ont entendu aussi, et semblent s’y mettre doucement. Hélène ne veut pas, elle prétend ne pas pouvoir, elle se contente de me sucer en s’arrêtant à chaque fois sans me faire jouir ; c’est insupportable et délicieux, mon sexe me fait mal. Alice commence à gémir de plus en fort, j’entends Louis lui dire des mots crus, elle semble adorer ; nous n’entendons plus Liu, seulement le rythme du marteau-piqueur… Puis Alice jouit bruyamment, suivie d’un râle de Louis qui ne trompe pas. Le marteau-piqueur… Hélène continue de me pomper, en m’empêchant de jouir, en m’interdisant d’accélérer. La douleur augmente. Le marteau-piqueur. Et soudain, le silence ; Hélène a relevé la tête, elle écoute, j’écoute ; le silence… Et doucement, un gémissement de plus en plus fort, une sorte de miaulement, doux mais continu, dont l’intensité augmente jusqu’à être un cri, sans interruption, de plusieurs minutes. Nous saurons dorénavant que quand Liu atteint le plus fort de l’orgasme – et elle ne l’avait donc pas atteint dans l’après-midi – c’est ainsi, c’est ce cri, c’est cette déchirure. Hélène m’a tout doucement repris dans sa bouche, et elle a glissé un puis deux doigts dans mon anus, et me fait enfin jouir, libérant une insupportable tension, et une dose de sperme que je ne soupçonnais pas après de tels ébats. Je me remets doucement, et Hélène vient se glisser contre moi : « Dexter repart dans quelques jours, Liu ne sait pas où dormir, je lui ai dit qu’elle pouvait rester chez nous autant qu’elle le voudrait, puisque les enfants ne sont pas pour quelques temps Â». Nous y voilà…



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13-08-2023 0 902

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