Suite tantrique

Récit érotique écrit par Odan le 07-09-2023
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Catégorie Partouzes-Orgies

Lucie et moi venons d’effectuer un voyage de noces en Inde, où nous avons été initiés aux pratiques tantriques (voir le récit : Voyage de noces tantrique). De retour, Alexis, ami et témoin de notre mariage, nous a demandé des détails, que nous ne lui avons pas donnés. Sa femme, Florence, amie et témoin également, était très gênée. Elle a avoué à Lucie que, sexuellement, leur couple n’allait pas bien. Lucie se demande si nous devons les aider.

Le pour : Florence comme Alexis sont des amis. Le contre : Florence est un peu coincée, et Alexis, derrière ses airs de « j’aime parler cul Â», l’est probablement davantage encore. La preuve, Florence a été capable de parler de ses problèmes à Lucie, alors qu’Alexis ne m’en a pas touché un mot : ça aurait probablement nui à sa supposée virilité. Et si « les aider Â» doit mener à ce qu’on se fâche, ce n’est pas très utile.

Lucie pense qu’on pourrait commencer par Florence seule, moi je crois que soit on les aide ensemble, soit pas. Et Lucie d’imaginer ce qu’on pourrait faire et comment… Depuis qu’on est rentré, Lucie a fait des emplettes : plusieurs godes, un double, un superbe en bois (celui-là, acheté là-bas), un souple, un avec ceinture ; un martinet à souples lanières en cuir ; des boules de geishas ; et un adorable vibromasseur avec télécommande, qu’elle m’a d’abord caché… Elle fait des plans : Florence adorerait, je pense ; oh, je vois bien Alexis ainsi ; tu crois qu’on pourrait leur faire ça ? Elle fantasme à mort.

Hier, quand je suis rentré, elle prenait l’apéro avec Florence. Elles avaient ouvert une bonne bouteille et l’avaient sérieusement entamée : autant dire qu’elles étaient joyeuses. Mais mon arrivée les a fait murmurer, messes basses, rires et chuchotements. Je sens bien que Lucie est en train de prendre les choses en main, et que je vais être mis devant le fait accompli. En même temps, avant qu’on se connaisse, c’étaient des amis à elle : elle fait ce qu’elle veut. J’en parle à Lucie sur l’oreiller : a-t-elle envie de Florence ? en a-t-elle envie juste pour elle ? pour Florence ? pour nous deux ? avec Alexis ? A sentir combien son sexe mouille quand je lui en parle – je ne parle jamais à Lucie sans la toucher en même temps, c’est un principe depuis notre retour – j’ai la réponse à la première question. Oui, elle a envie de se taper sa copine d’enfance. Je ne peux pas lui en vouloir. Florence, c’est un peu le contraire de Lucie : Lucie a une petite poitrine menue, avec des pointes très sensibles et très dures quand elle est excitée ; je ne sais rien des pointes ou des excitations de Florence, mais elle a une poitrine lourde, opulente ; Lucie est extravertie – surtout depuis notre voyage – joyeuse ; Florence est réservée, parfois triste ; Lucie est très peu sportive, bien que fine et élancée ; Florence est ultra-sportive, musclée, tonique, bien que beaucoup plus en chair. Leur entente de toujours est une sorte de complémentarité. Les seins de Florence me font fantasmer depuis longtemps, et j’imagine son cul, ses fesses fermes et rondes, ses formes rebondies… Bon, on va se taper Florence. Avec moi ? Oui, avec toi… Et Alexis ? Alexis, c’est sûr, il fantasme sur Lucie. Plus d’une fois, je l’ai vu reluquer ses petits seins, alors qu’elle ne porte presque jamais de soutien-gorge. Peut-être qu’il faudrait que Lucie s’en approche seule. Ou avec Florence ? On ne sait pas. On verra bien, le week-end prochain, on va dans la maison de leurs parents. Ah bon ? Oui, je ne t’avais pas dit ? Non, tu ne m’avais pas dit, tu sais très bien que tu ne me l’avais pas dit, tu viens de le décider avec Florence, mais je savais que tu me mettrais devant le fait accompli, et ce n’est pas grave, je t’aime, surtout quand tu minaudes comme ça en prenant ma queue gonflée dans ta bouche. Oui, c’est ça, suce-moi bien à fond, pompe-moi pour que je te dise oui, et attendant, histoire de t’agacer quand même un peu, je vais imaginer que j’ai les seins de Florence à portée de la main, oui, tu vois, ça me fait bander grave. Aïe, non mais, tu m’as mordu ! Alors là, tu vas le payer. Je te retourne, je te fesse, je te chauffe les fesses, dommage que le martinet soit trop loin, tu en profiterais pour t’échapper. Oui, je sais que tu adores ça, quand tu as le cul rougi, ce n’est pas la peine d’écarter les fesses, je le vois bien, ton délicieux petit trou, et tiens, je vais y fourrer ma langue. Putain ce que j’adore te lécher, ce que j’adore quand tu mouilles comme ça, arrête de bouger, je te tiens, je ne vais pas te lâcher, d’ailleurs, si tu continues je t’attache. Tu crois que je plaisante ? Et voilà Lucie entravée, les poignets attachés au montant du haut du lit, couchée sur le ventre, et les jambes écartées, chacune attachée à un montant bas. Elle ne s’est pas vraiment débattue : elle sait ce que je vais faire, sa vulve dégouline d’envie, elle se trémousse du cul. Eh bien non. Je la laisse comme ça, je la regarde rugir d’envie, et je viens juste me branler au-dessus d’elle, sans la toucher, me branler en lui parlant des seins de Florence, ses gros seins lourds, ses seins que j’imagine balloter si je la prenais en levrette, ses seins que je prendrais à pleines mains, et mon sexe est gros de cette vision, tendu comme si je pouvais le faire glisser entre ces seins, le faire aller et venir dans ce délicieux fourreau, le faire… et voilà, j’ai tout giclé sur ton dos, ma chérie, tu as senti la chaleur de mon sperme ? Je vais te détacher pour que tu puisses nettoyer tout ça…

Finalement, on décide qu’on va s’y prendre plus « classiquement Â», dans l’acception la plus courante du tantra, en commençant par des massages, même si ce n’est pas vraiment ce que Chandra nous a appris (voir le récit : Voyage de noces tantrique). On dira à Alexis et Florence que durant notre voyage, on nous a initiés à des massages un peu osés, et qu’on peut évidemment le leur proposer : Lucie s’occuperait d’Alexis et moi de Florence, soit dans des pièces séparées, soit dans la même, selon leur préférence. Florence a très envie de dire oui, mais elle hésite : elle voudrait que Lucie soit présente, mais elle ne sait pas si elle souhaite la présence d’Alexis. En fait, je crois que ce n’elle n’ose pas dire, ce que peut-être même elle ignore elle-même, c’est qu’elle préférerait que le massage lui soit fait par Lucie. Quant à Alexis, il est toujours coincé dans ses attitudes bravaches : il fait semblant d’être enthousiaste, ok, tous ensemble, mais l’idée que je touche sa femme ne lui plaît pas plus que ça. En revanche, l’idée qu’on changerait les masseurs, Lucie avec Florence et moi avec Alexis, là, il y est carrément opposé. Nous tombons en fin de compte tous d’accord : on fera comme on a dit, je masse Florence et Lucie masse Alexis ; ce sera dans la même pièce ; et on fera ça chez eux, afin qu’ils soient davantage en confiance. On se prépare, huiles parfumées, vêtements de lin légers pour nous, bougies parfumées, ambiance : ils veulent du kitsch, on va leur en donner, et on verra bien où tout cela nous mène. Nous les laissons se préparer aussi, et s’installer sur les tables de massages que nous avons installées. Allongés sur le ventre, une serviette sous la tête, une autre sur les fesses. Pendant qu’ils s’installent, je caresse Lucie qui n’a évidemment rien mis sous son ample jupe. Elle est déjà excitée par la situation, et ma caresse vient recueillir sa mouille que je goûte avec délice. Au moins, si Florence et Alexis ne nous laissent pas aller où nous voulons, on sait qu’on pourra se rattraper tous les deux ! Je commence par les pieds de Florence, la plante des pieds, les chevilles, les pieds, c’est un endroit très érogène qu’on oublie trop souvent : ça prépare tout le corps à la suite. Et pour pouvoir les masser comme je l’entends, je soulève chaque jambe successivement, les écartant imperceptiblement, sans même que Florence, que ce début de massage semble détendre, s’en rende compte. Lucie commence au contraire par la nuque et les épaules d’Alexis. Et sentir les mains de Lucie sur lui semble lui plaire ; il en oublierait presque que je touche Florence… Lucie et moi avançons au même rythme, complices. Elle s’occupe du dos d’Alexis, des épaules ; elle s’est placée devant lui, de sorte que son ventre s’appuie sur la tête d’Alexis, et chaque fois qu’elle va chercher loin dans le dos, elle s’appuie davantage sur sa tête. Moi, je suis passé aux mollets, avec à chaque fois, comme précédemment, une jambe relevée ; et chaque fois que je la repose pour passer à l’autre jambe, l’écartement augmente doucement. La serviette sur les fesses de Florence n’a pas bougé, mais si je me penche, je peux deviner l’entrejambe. Lucie s’attaque au bas du dos ; elle a tourné autour d’Alexis, elle est maintenant sur le côté, et son massage, qui insiste en descendant le long de la colonne, s’aventure parfois sous la serviette, sur le haut des fesses. Tout cela est pour l’instant très sage ; ce sont des mouvements relaxants, et on sent bien qu’Alexis comme Florence se relâchent, ne pensent plus à rien, ils sont dans le laisser-aller que Lucie et moi visons. Je remonte le long des jambes de Florence, je lui masse les cuisses. Elle est musclée, et mon massage est vigoureux ; je fais rouler ses muscles sous mon coude. Une cuisse, l’autre cuisse ; un muscle, l’autre muscle ; l’extérieur de la cuisse, l’intérieur de la cuisse. Le massage est si systématique que le passage des mains à l’intérieur, les deux mains, en écartant les jambes, paraît absolument naturel. Et quand je retire la serviette pour que le mouvement s’amplifie sur chaque fesse, c’est dans le seul mouvement du massage, et mon geste ne provoque aucune réaction chez Florence. Quand Lucie fait de même, du bas du dos vers les fesses, chez Alexis, celui-ci a un mouvement net. Lucie et moi nous regardons en souriant : il bande, et sa queue est écrasée sous son corps, il cherche à la dégager… Je reviens sur les cuisses de Florence, mes mains remontent d’un mouvement continu de l’arrière du genou aux fesses, la cuisse prise à pleine main, le pouce à l’intérieur. En arrivant sur les fesses, je m’appuie sur les pouces pour que la main opère sur la fesse un large mouvement tournant. De la sorte, les deux pouces se rejoignent presque en venant masser les grandes lèvres, puis en remontant le long de la raie. Florence ne bouge pas. On la croirait endormie si on ne voyait pas son sexe s’humidifer. Mon mouvement est insistant, il vise à faire céder les tensions du dos dans les fesses, il vise aussi à écarter davantage encore ces jambes encore fermées. Et le mouvement des mains de Lucie, sur le cul d’Alexis, est insistant aussi ; et chaque fois qu’une main glisse entre les jambes, Alexis bouge, comme s’il cherchait la caresse que Lucie ne lui prodigue pas encore. Je remonte sur le dos, et pour la première fois, Florence réagit, dans une sorte de soupir de soulagement ; Lucie descend sur les cuisses ; nous nous croisons. Quand j’atteins la nuque de Florence, Lucie est aux chevilles d’Alexis. Nous leur demandons de se retourner, sans avoir remis les serviettes. Florence se met sur le dos, ne sachant si elle doit avec ses mains cacher sa magnifique poitrine ou son entrejambe ; je lui prends les bras pour les positionner le long du corps, et elle se laisse faire. Alexis se demande comment cacher son érection, mais renonce à son tour, tout rouge. Et le massage reprend, mais cette fois-ci, Lucie et moi attaquons du même côté. J’étire le cou de Florence, puis je masse la nuque, les épaules… Lucie fait de même avec Alexis. Ils n’osent pas se regarder. Je me penche au-dessus de Florence pour lui masser les seins, d’abord en faisant rouler la chair, puis en massant plus précisément les pointes. Lucie se penche sur Alexis pour lui masser les pectoraux. Nos mouvements sont proches. Alexis ne peut ignorer, à la façon dont Lucie est penchée sur lui, les pointes de ses seins sous le tissu, qu’elle balade juste au-dessus de ses yeux… Il ne se rend pas compte que les mouvements de sa queue en disent longs de son excitation. Et Florence ne peut davantage ignorer que ce qui s’appuie contre sa tête, quand je lui masse les seins, c’est bien mon sexe… Nous descendons vers les ventres, les nombrils, évitons les sexes mais reprenons les cuisses. Lucie est obligée, plusieurs fois, d’écarter la queue durcie d’Alexis, et chaque fois, elle la prend mais la relâche ; je suis obligé, plusieurs fois, de frôler les lèvres de Florence, son clitoris, et chaque fois ce n’est qu’un frôlement. Puis les jambes. Mais cette fois, nous leur demandons, à tous les deux, de les relever et de les tenir avec leurs mains. Nous devons masser l’arrière des cuisses et l’entrejambe, dans cette position. Vue imprenable sur les anus fermés, sur le scrotum d’Alexis, sur le sexe serré mais bien humide de Florence. Lucie se penche et lèche doucement les boules d’Alexis, qui ne comprend pas ce qui se passe, et Lucie s’est déjà relevée. Il reste interdit, interrogatif, tandis que le massage reprend, mais selon un rythme différent : Lucie lui a fait reposer les jambes, bien écartées, et masse l’entrejambe et les bords des testicules en remontant vers le ventre, et en tournant autour du sexe. Cela a pour effet d’accroître nettement son érection. Et quand elle verse sur la queue dressée d’Alexis une huile tiède, parfumée, il relève la tête stupéfait avant de voir se refermer sur son sexe les deux mains de Lucie, doucement, mais fermement aussi. Pendant ce temps, les jambes de Florence relevées, j’ai largement massé et enduit d’huile ses lèvres, mes doigts ne cessant de glisser vers l’intérieur, avant d’atteindre son clitoris gonflé. Et quand je lui repose les jambes, en les écartant, j’aperçois son regard troublé, un peu hagard. Je me place alors sur le côté, et tandis que d’une main, je reprends un rapide et intense massage du clitoris, qui la fait trembler vivement, de l’autre, je reprends le massage de sa superbe poitrine. Elle a vraiment de très beaux seins, fermes, ronds, voluptueux, avec des aréoles maintenant totalement excitées, un peu granuleuses. Je me penche et en prends une en bouche, déclenchant un gémissement chez elle. Alexis serait jaloux, s’il n’était si concentré sur le massage des boules et de la queue que lui prodigue Lucie, en le regardant bien droit dans les yeux. Nous ralentissons nos caresses, d’un accord commun non préparé : je m’approche de Lucie et la déshabille, pour le plus grand plaisir d’Alexis, accoudé, le sexe tendu, avide ; et elle me dévêt à son tour, découvrant mon sexe grossi sans qu’il soit tendu. Florence n’ose pas vraiment regarder ce qui se passe ; c’est assez drôle, elle est réellement pudique, contrairement à Alexis, mais sans doute beaucoup plus libre au fond que lui. La suite nous le prouvera. Lucie revient vers Alexis, elle reprend son massage, mais laisser les mains d’Alexis se balader sur elle : il est surexcité. A ce rythme, il va lui gicler dessus avant qu’elle ait entamé quoi que ce soit ; heureusement qu’elle sait le calmer. Je reviens vers Florence, et relevant ses jambes, je viens m’asseoir face à elle, mon sexe positionné contre le sien. Non pas à l’entrée du sien, mais plutôt de façon à la masser avec ma tige, à frotter son clitoris, à faire intensément monter son excitation. Lucie grimpe à son tour sur Alexis, s’assoit sur lui en plaquant sa bite contre son ventre, et son sexe vient se frotter au sien, ses lèvres l’enserrent sans le laisser entrer. Elle se frotte elle aussi. Nous les menons de nouveau, ainsi, à un extrême degré d’excitation, mais en contrôlant les choses. Et de nouveau, nous ralentissons le rythme avant de nous relever et de nous écarter. Maintenant, précise Lucie, nous allons nous occuper de vous à tour de rôle ; l’autre pourra regarder s’il le souhaite. L’idée que Lucie se joigne à moi pour la caresser enchante Florence, je le sais ; et inversement, l’idée que je me joigne à Lucie pour le caresser déplaît franchement à Alexis. Il nous le dit ; il préférerait, s’il doit être caressé par deux personnes, que ce soit par Lucie et Florence. Sinon, lui répondons-nous en chÅ“ur, Lucie et moi, que Florence ni n’est là pour ça, ni ne saurait le faire comme nous l’entendons. C’est donc à lui de choisir : ce que nous lui proposons, ou rien. Florence a peur que tout s’arrête, alors même qu’elle est prête de voir ses désirs se réaliser ; et aussi pudique soit-elle, elle a franchi une étape de lâcher-prise sur laquelle elle ne veut pas revenir. Elle encourage donc son époux à nous suivre, et se laisser aller. Nous leur indiquons aussi – et cela suppose, nous le savons, une confiance entière – que leurs yeux seront successivement bandés. Alexis cède en maugréant ; il nous en veut, il m’en veut par avance… Florence ne veut pas trop montrer à quel point elle est enchantée, mais une fois les yeux d’Alexis bandés, elle nous adresse un sourire confiant qui montre assez sa satisfaction. Bravache néanmoins, Alexis veut bien commencer. Nous lui demandons de se coucher de nouveau sur le ventre, mais en glissant sous lui deux serviettes roulées, de façon à ce que, d’une part, il ait le cul nettement surélevé, et d’autre part le sexe accessible en dessous. Florence vient, sans que nous lui ayons rien demandé, murmurer quelques mots de réconforts à Alexis. Lucie s’installe derrière Alexis et commence, comme elle l’a déjà fait plus tôt, à lui lécher les fesses, l’anus, les bourses ; Alexis est tendu, il ne sait pas si c’est Lucie ou moi. Mais au fur et à mesure de la caresse, le plaisir montant fait céder son appréhension. Quand Lucie commence à lui doigter l’anus, sa réaction est de nouveau de se crisper. S’il ne participe pas, ça va être compliqué… Et quand elle présente devant sa rosette l’un de nos jouets – nous les avons amenés avec nous, évidemment – il se relève carrément, enlève le bandeau, et refuse que les choses aillent plus loin. Je ne l’ai même pas touché… Florence est désemparée : elle ne sait pas quoi faire, aurait voulu que les choses aillent plus loin, mais elle ne veut pas forcer Alexis. Lui est en colère, soi-disant contre nous, sans doute davantage contre lui, il se sent un peu ridicule. Nous les laissons seuls et passons dans la pièce à côté. Bon on fait quoi ? on se casse ? on essaye de reprendre tranquillement, comme si de rien n’était ? on change de méthode ? Je suis partisan d’arrêter, Alexis m’agace et je ne vois pas pourquoi on ferait des efforts s’il n’en fait aucun : il ne sait pas ce qu’il veut, il n’assume pas ses désirs. Lucie me suit. On revient vers eux pour leur annoncer notre décision. Florence est seule, en larmes. Ils se sont engueulés, elle ne sait pas quoi faire. On la consolerait bien, mais ce n’est peut-être pas le moment. Elle nous embrasse, sur la bouche, Lucie puis moi, et nous partons. Comme profs de tantra, pour l’instant, on a été mauvais. Dans la voiture, Lucie me dit que pour briser les résistances d’Alexis, il faudrait le fouetter un peu ! Nous rions de bon cÅ“ur.

Le soir, Florence et Lucie ont un long échange téléphonique. Les choses n’étaient pas folichonnes point de vue sexe, là, c’est le couple qui part à vau-l’eau… Alexis menace de la quitter, ne veut plus nous voir – des gros pervers, et en plus homosexuels, non mais t’as vu, ils voulaient m’enculer, et toi, tu disais rien, en fait, t’es une salope, c’est ça, t’es qu’une salope – délire complètement. D’autant plus que, il ne le sait peut-être pas, mais ça l’excitait vachement, de se faire chatouiller la rondelle : une grosse queue dans le fondement, il aurait adoré ! Partie remise… Mais Florence est défaite : Alexis, sous ses airs de gros beauf, est un type bien – nous le savons tous – et ils sont très attachés l’un à l’autre. C’est Lucie qui a la bonne idée : puisqu’Alexis fantasme sur elle, elle va s’en occuper toute seule… Elle l’appelle donc le lendemain, prétend que ni Florence ni moi ne sommes au courant, qu’elle voudrait qu’ils se parlent, etc. Et là, réaction qui prouve qu’il est moins nul qu’il n’en a eu l’air, il lui répond que, d’une part, il sait qu’il a été lamentable avec Florence, et que d’autre part il ne fera rien dans son dos. En réalité, on l’a bien compris, c’est ma présence qui le gêne… Nouveau rendez-vous est donc pris, entre Florence, Alexis et Lucie ; je ne serai pas là – enfin, en principe… Mais Lucie impose à Alexis deux règles : la « séance Â» se fera en cinq étapes – je crois que Lucie a des souvenirs de notre voyage – et à chaque étape, il sera libre de s’arrêter ; et Florence sera présente, en participant ou pas. Elle ne lui dévoilera cependant les étapes qu’au fur et à mesure Alexis accepte. Etape 1 : Lucie lui propose de reprendre le massage, mais en lui précisant qu’elle n’épargnera aucune partie de son corps, y compris donc celle qui semble le gêner ; le massage sera aussi anal. Alexis accepte, et le massage va donc à son terme. Elle l’amène à relâcher les murs qu’il a érigés autour de lui, elle l’encule copieusement avec un gros gode, tout en le suçant délicieusement, mais en l’empêchant absolument de jouir. Il sort de là avec la verge douloureuse, frustré et avide de continuer, le cul dilaté mais prêt sans doute à l’être davantage encore. Etape 2 : Lucie est une bonne fille. Elle pense que si elle lui en demande trop à chaque étape, il renoncera. Il faut donc que les satisfactions et les efforts demandés soient progressifs et alternés. Durant cette seconde étape, elle demande à Alexis d’apprendre ce qu’est un corps de femme, en l’explorant sous la direction des deux femmes qui seront avec lui, elle et Florence. Il a d’abord la réaction du mec très mec, il sait ce que c’est, il… et il se tait, ajoutant qu’il est un peu ridicule, et ok, il fera comme elle dit. Florence s’offre donc à lui – relation a priori très conjugale – mais il devra ne pas la pénétrer, et la faire jouir. Lucie lui montre comment le clitoris gonfle, le rend attentif aux pointes érigées des seins, à la fermeté même du sein quand Florence est vraiment excitée, elle lui apprend à caresser le petit trou de Florence, sans gadget, ce sera pour plus tard ; elle le guide doucement, échange avec Florence au fur et à mesure que sa jouissance monte, et quand celle-ci jouit enfin, comme elle n’a pas joui avec son mari depuis des lustres, quand elle jouit sous la bouche d’Alexis, sous sa langue, elle lance à Lucie un regard plein de reconnaissance. Et Alexis n’en revient pas de cette jouissance, des signes qu’il n’avait pas su repérer, de l’intensité atteinte. En fait, je ne t’ai jamais faite jouir ? demande-t-il penaud. Si, mais ça faisait longtemps… Et Lucie s’installe alors, c’est à son tour, mais elle ne le guidera pas, ce sera à lui de lire les signes… Comme il n’a toujours pas joui, et qu’il bande férocement, il se jette sur Lucie comme un affamé, après avoir recueilli le regard consentant de Florence. La fait-il vraiment jouir, Lucie atteint-elle la jouissance toute seule, comme elle sait le faire maintenant, en entrant en elle-même, comment savoir ? Du moins est-il certain qu’elle jouit, sans retenue, et qu’il en est à la fois émerveillé et rassuré. Mais davantage frustré encore… Et un peu honteux aussi : il s’aperçoit qu’il m’a exclu, alors qu’il vient de faire jouir Lucie, et qu’il se comporte donc encore de façon assez égoïste. Il demande donc à Lucie, en regardant aussi Florence, s’il est possible que je sois là aussi. Nous avions prévu mon retour, mais nous pensions que ce serait plus tard : ce sera là. Etape 3 : il est prévu de le faire jouir. Le voilà à cet égard rassuré. Mais Lucie va l’attacher, et utiliser l’un de ses jouets favoris, le petit martinet. A tout moment, il lui suffira de dire « non Â» et tout s’arrêtera ; mais Lucie lui explique qu’elle est elle-même passée par là, qu’elle a failli dix fois tout arrêter, et qu’elle regretterait infiniment de l’avoir fait, tant elle a découvert sa propre jouissance ce jour-là. Nous attachons donc Alexis, qui bande déjà – ou toujours… Nous n’avons pas l’outillage avec lequel Lucie a connu cette expérience… Nous nous contentons donc de l’attacher debout avec les bras vers le haut, une corde passée dans l’anneau du plafond sur lequel pend d’ordinaire un lustre. J’ai vérifié, c’est solide, mais il ne faudrait quand même pas qu’il se débatte trop, sinon il prendra du plâtre sur la tête ! Florence est curieuse, excitée. Et Lucie commence donc à caresser le corps dénudé d’Alexis avec les lanières de cuir. Il est un peu tendu, mais essaie de se laisser aller. A notre invitation, Florence prend son sexe dans sa bouche. Et elle le retire immédiatement, pour s’étonner qu’il n’a jamais été aussi gros, ni aussi dur. Puis elle le reprend, gourmande. Lucie tourne autour d’Alexis, les lanières glissent sur les épaules, reviennent sur le torse, glissent sur les cheveux de Florence, les fesses d’Alexis. Elle lui demande d’écarter un peu les jambes ; il s’exécute… un premier petit coup léger, sur les fesses, et Florence le maintient en elle, un second léger, les fesses vaguement rosies, le regard d’Alexis troublé, ne sachant s’il a mal ou pas, ce qu’il faut faire… Lucie vient près de Florence, elles partagent un moment le sexe d’Alexis, tour à tour, ou coincé entre les bouches des deux femmes qui finissent dans un langoureux baiser, langues mêlées. Un troisième coup de martinet, sur les cuisses, plus ferme, plus vif, plus douloureux, mais Lucie tient les bourses d’Alexis et l’empêche de jouir. Elle remonte vers sa poitrine, l’embrasse à son tour, le martinet frôlant le ventre. Elle mêle sa langue à la sienne, encore mouillée de la salive de Florence, et un coup de martinet entre les jambes, qui remonte vers les fesses, entre les fesses. Alexis est crispé et attentif, mais il est entré dans le jeu, il guette ses sensations davantage qu’il ne s’inquiète de ce qu’on pourrait en penser. Florence se glisse dans son dos, elle caresse ses fesses, prend ses couilles par derrière. Lucie s’écarte, caresse les joues avec les lanières de cuir, fouette légèrement la poitrine, les mamelons, elle y va tout doucement. Elle flatte le sexe d’Alexis avec la main, et Florence claque brutalement l’une des fesses, avec sa main, puis l’autre. Alexis est très surpris, mais la chaleur provoquée par cette fessée l’excite, que ce soit Florence qui l’a fait l’excite, il aime ça, il se cambre, comme s’il en redemandait. Lucie se met à genoux pour entamer une fellation dont elle a le secret – elle le fera jouir exactement quand elle voudra, je connais les pouvoirs de sa langue et de ses lèvres – et demande à Florence de le fouetter plus vivement, le dos et les fesses. Florence prend donc le martinet, mais elle n’ose pas trop le faire. Je prends sa main qui tient le martinet et guide le geste. Alexis se cambre, son sexe est prisonnier de la bouche de Lucie, il est à la fois prêt à jouir et à crier, prêt à dire non et encore ; le second claquement lui zèbre les fesses, en même temps que la langue de Lucie s’est enroulée sur sa tige ; le troisième claquement lui zèbre les cuisses, en même temps que les lèvres de Lucie se sont refermées sur son membre ; le quatrième claquement lui zèbre le dos, il est brûlant de l’impact des lanières de cuir, en même temps que Lucie l’a complètement avalé, et qu’elle déglutit sur lui. Je retiens Florence, pas de cinquième coup, pas tout de suite, tandis que Lucie a glissé un doigt entre les fesses d’Alexis, et que je lui donne par derrière un gode dont je sais qu’elle va se servir, un gode en bois ramené d’Inde, très doux, très lisse, mais assez large, et que j’ai enduit d’une huile tiède. Et tandis que Lucie l’introduit dans l’anus d’Alexis, qui ne fait rien pour l’en empêcher, qui brûle au contraire de le sentir au fond de lui, tandis qu’elle lui comprime les testicules pour qu’il ne jouisse pas, tout en continuant son extraordinaire fellation, j’invite Florence à aller prendre la bouche de son mari avec la sienne. C’est pris ainsi, le cul empli d’un bois préalablement chauffé à l’huile, la langue bataillant dans sa bouche avec celle de Florence, et le sexe enserré dans la bouche de Lucie qui lui a lâché les couilles, qu’il jouit enfin, qu’il explose littéralement, qu’il se contracte de tous côtés dans la venue du coït, à tel point qu’il faut que je le maintienne et le détache rapidement pour qu’il n’arrache pas le plafond. Alexis se remet doucement de sa formidable éjaculation, dont les lèvres de Lucie témoignent. Et il s’interroge sur les étapes suivantes… Ne brûlons rien, lui dit Lucie. Il va encore falloir apprendre, avec ta femme. Tu l’as faite jouir tout à l’heure avec ta langue, tu vas maintenant la prendre, de tous les côtés, mais personne ne contrôlera ta jouissance. Si tu viens trop vite, tant pis pour toi. Et si elle ne jouit pas, si elle ne jouit pas de partout, du vagin, du clitoris et de l’anus, il n’y aura pas de cinquième étape. Tant pis pour toi. Nous allons nous rafraîchir, manger et boire un peu avant cette quatrième étape, c’est nécessaire pour nous tous. Ce temps de pause est bienvenu pour Lucie, comme pour Florence et Alexis. Je prépare tout pendant qu’ils se douchent, et ils trouvent en sortant un repas léger. Etape 4, Florence, que j’ai préalablement massée avec une huile parfumée, attend Alexis. Elle est nue, allongée sur le lit ; décidément, j’adore ses seins lourds, le grain particulier de sa peau. Alors qu’elle a beaucoup fantasmé sur Lucie, je sais en la massant qu’elle n’est pas insensible au contact de ma main, je sais qu’elle a vu mon regard sur elle, et qu’elle est flattée de ce qu’elle sait mon désir. Lucie et moi sommes nus également, mais nous ne participerons pas, ni n’interviendrons ; rien ne nous empêche de nous caresser l’un l’autre en les regardant. Alexis est nu également, et Lucie l’a « préparé Â» en le huilant. Il est très excité, trop, il le sait bien. Pour se calmer, il commence donc par caresser Florence et la lécher, mais en maintenant son sexe à distance. Il nous regarde comme s’il cherchait un assentiment, un conseil, mais nous nous ne lui renvoyons que des sourire rassurants, mais qui ne disent rien de ce qu’il faudrait faire ou non : il n’y a d’ailleurs pas de programme à suivre, sinon celui du désir de l’autre, écouter le désir de l’autre. Quand il pense que Florence est assez excitée – elle l’est en fait depuis bien longtemps, et il suffit de voir combien son sexe est humide pour s’en rendre compte – il se place sagement devant elle en missionnaire. Mais Florence a le droit de le guider, et elle relève si haut les jambes, plaquées contre ses seins, que la position est radicalement modifiée. Il entre en elle si facilement qu’il en est surpris lui-même ; Florence écarte ses fesses autant qu’elle peut, elle gémit déjà, elle est à fond et si excitante qu’elle va finir par le faire gicler. Mais Alexis a compris certaines leçons, il se retient, il comprime lui-même sa verge à la base, il ralentit le mouvement quand nécessaire, attentif à faire monter Florence mais aussi à se contrôler. Tant et si bien qu’il apprend aussi à accélérer quand nécessaire, et c’est enchaînant plusieurs pénétrations profondes, intenses, qu’il obtient le premier orgasme, vaginal, de Florence. Il se retire donc et la laisse doucement redescendre, mais n’oublie pas de caresser le clitoris très érigé de Florence. Je crois que je ne l’ai jamais vu aussi sorti : on dirait une petite verge, qu’il ferait bien de mordiller. Elle est prête à partir de là, mais il ne le sait pas… Sa caresse n’a guère d’effet, et Florence redescend plutôt. Aussi prend-elle les choses en mains, plaquant la tête de son mari sur son ventre en feu, et obtenant – nous sommes bons princes, ça comptera – un fulgurant orgasme qui la fait crier très fort. Alexis en aurait peur si Florence ne le maintenait ainsi fermement. Quand elle le relâche, il est surpris mais heureux. Le spectacle de ces deux-là est beau à voir : ils s’aiment, se sont réconciliés, sont en train de se trouver sexuellement comme ils n’avaient jamais su le faire auparavant, et le bonheur de l’un d’avoir fait jouir l’autre montre assez son amour profond. Son sexe lui fait sans doute mal tant il est tendu, mais il n’y pense pas, concentré seulement sur la jouissance de sa femme. Florence lui demande de la laisser un peu, elle a besoin de reprendre son souffle, des forces, de se remettre. Elle n'a pas encore l’habitude d’orgasmes successifs, c’est épuisant. Alexis en profite pour débander un peu aussi, ce qui doit le soulager. Lucie se doigte seule depuis un moment, je sais qu’elle n’a pas besoin de moi, et que si c’était le cas, elle me le dirait. J’aime la voir ainsi monter, j’aime la voir libre avec son corps, si désirable, si belle. Et le regard d’Alexis sur elle montre que le spectacle lui plaît aussi. Ainsi qu’à Florence, qui se lève pour l’embrasser, mais Lucie la repousse. Pas avant que tu aies encore joui, ma chérie, pas avant qu’il n’ait pris ton adorable cul. Florence sourit, revient vers Alexis ; va-t-elle le faire s’étendre et s’empaler dessus, va-t-elle se placer en levrette et écarter ses fesses. Elle choisit la seconde position, lascive, incroyablement excitante. Ses fesses rondes sont jouissives à voir, si ce n’était à Alexis de la prendre, j’irai bien y fourrer ma bite qui durcit, et que Lucie caresse négligemment, sachant très bien ce qui m’excite là. Alexis prend de l’huile et en enduit l’anus de sa chérie, doucement, en tournant, puis en faisant entrer un doigt. Il est encore maladroit, mais Florence se laisse faire avec plaisir et désir. Elle ne devrait pas être longue à venir, tant en réalité elle n’est pas complètement redescendue de son orgasme précédent. Mais le problème d’Alexis, actuellement, c’est plutôt de ne pas jouir. Il hésite à entrer, sent qu’il va craquer, se retire ; il a besoin de se calmer, alors que Florence gémit d’être pénétrée. Aussi décide-t-il de la prendre d’abord avec ses doigts, de faire monter le plaisir de Florence sans exciter aucunement le sien. Et cette première pénétration, même si elle est inattendue pour Florence, comble une partie de son attente. Il s’y prend plutôt bien, elle bouge sur ses doigts, elle trémousse du cul, elle ouvre sa rondelle autant qu’elle peut. Et quand, enfin calmé, il place son pénis à l’entrée de l’anus de Florence, quand enfin il la pénètre, assez facilement, et qu’il s’enfonce, elle explose rapidement, inondant ses cuisses de mouilles, dans un bruit peu élégant mais si révélateur de gargouillis. Et Alexis l’enfonce, il la prend, il la bourre, il la pilonne, si bien qu’elle jouit longuement, les jambes tremblantes sous le poids de son mari, sous ses assauts répétés. Ils s’écroulent enfin, repus de sexe, et quand Alexis sort de l’anus de Florence, il n’a toujours pas joui. Les deux femmes, Lucie et Florence, viennent le délivrer, en alternant leurs langues, leurs mains, leurs cheveux même… Son éjaculation survient enfin dans un râle puissant, une éjaculation épaisse, très blanche, crémeuse, qui éclabousse les cheveux de Florence malgré la main de Lucie qui a essayé de la retenir… Alexis a traversé vainqueur l’étape 4, il est heureux, fatigué mais heureux. Et Lucie lui annonce tout de suite que la dernière étape, l’étape 5, est remise au lendemain : il faut qu’il soit reposé, il faut qu’il dorme. Le lendemain, nous nous retrouvons tous, rafraîchis, reposés : Etape 5… Lucie explique le déroulé. Ce sera d’abord un massage, lent, long, qui aura pour objet de mener Alexis au bord de la jouissance sans jamais la permettre ; puis il sera attaché, et doucement fouetté, afin de mener son excitation à un degré d’intensité plus haut encore ; puis son corps sera totalement exploré… Alexis la regarde d’un air interrogateur… Totalement exploré, ça veut dire y compris ton anus, et par des moyens divers… Des moyens divers ? Des doigts, des godes, et un vrai sexe de chair, qui te mènera à l’orgasme en même temps que ton sexe explorera également un anus, le mien, ajoute-t-elle. L’idée de prendre le petit cul de ma femme a l’air de le réjouir, celle que je le prenne – il a bien compris que ce serait moi – un peu moins, mais il n’est plus totalement rétif, comme il l’avait été. Et Florence ? Ne t’inquiète pas, elle aura son rôle à jouer, et si ton initiation est bientôt terminée, la sienne n’a pas vraiment commencé, même si elle sera sans doute moins longue. La séance commence donc, et Alexis est massé pendant près d’une heure, huilé, chauffé, excité, branlé, sucé, pétri, malaxé… Quand Lucie lui demande de se lever pour être attaché, il n’imagine pas que son excitation puisse aller plus loin. Les caresses de plumeau, et celles du cuir ensuite, sur sa peau, ses tétons, des fesses, son sexe même, lui apprennent bien vite que l’excitation semble ne pas avoir de limite. Il est hagard, les yeux exorbités, il salive, son sexe est tendu comme jamais, c’est un membre de douleur et de désir, il brûle sous les coups et l’envie, son cul est dilaté, et quand Lucie, par vérification, vient le doigter, elle constate qu’il est prêt. Toujours attaché, elle le gode donc avec un engin nervuré, pendant que Florence a pris son sexe en bouche. Il ne sait plus que faire, où aller, il voudrait bouger mais ne le peut, il voudrait jouir mais en est toujours empêché ; puis Lucie enlève le gode, et c’est mon sexe chaud, lisse et dur, qui le pénètre alors : son expression montre assez le plaisir qu’il y prend, il a relâché toutes ses appréhensions, ses résistances, et comme les deux femmes se partagent sa queue dans un long baiser, il rugit de plaisir. Son anus est chaud, accueillant, il sent mon membre au fond de lui, l’impression n’est pas du tout la même qu’avec un gode, il sent toutes les vibrations de mon sexe dans son ventre, et elles se répercutent dans les bouches accolées de Lucie et Florence. Nous le détachons alors : Lucie se met à quatre pattes, les fesses écartées, pour qu’il la pénètre ; je me place derrière lui et l’encule à nouveau. Florence, allongée sous nos corps, lèche alternativement mes bourses, celles d’Alexis, et le clitoris de Lucie. Placée telle qu’elle est, j’ai une vue magnifique et particulièrement excitante sur sa poitrine, ses magnifiques obus excités. Lucie veut que je décide du moment de la jouissance : je vais donc à mon rythme, laissant mon sexe grossir encore dans ce fourreau serré, et quand je décide de venir, je m’enfonce de plusieurs coups puissants, intenses, presque violents, avant de tout lâcher dans le cul d’Alexis. Il n’en faut pas davantage pour qu’il explose à son tour dans celui de Lucie, qui jouit instantanément, libérant un puissant jet de cyprine sur le visage de Florence. La pauvre ! Elle nous a tous vus jouir, elle y a participé, mais personne ne s’est occupé de son excitation. Qu’à cela ne tienne : après une pause nécessaire, je fais signe à Alexis de venir près de son épouse. Et tandis que Lucie l’a préparée, huilée elle aussi, et caressée, je demande à Alexis de s’allonger sur le dos. Nous allons prendre Florence en double, et Lucie saura ajouter à cette pénétration intense ce qu’il faut de piment et de piquant pour que Florence sache pourquoi elle est venue. Durant nos assauts, pour lesquels des variations auront lieu – Florence est d’abord empalée sur la bite d’Alexis, lui tournant le dos, pendant que je prends son vagin de face ; Florence chevauche Alexis de face, pendant que je l’encule de dos – Lucie sait tenir en haleine ou les seins de Florence, ou son clito excité, elle sait lui prendre la bouche, ou lui donner son clito à sucer. Les deux sexes d’homme se frottent presque l’un à l’autre à travers la fine paroi de chair, et Alexis comprend vite le rythme alterné qu’il convient de prendre pour pénétrer sa femme plus profondément, pour l’amener plus loin dans la jouissance. Maintenant qu’il a dépassé ses blocages, c’est un partenaire précieux et inventif. Et Florence crie son plaisir, nous demande de la bourrer, emploie des mots crus inconnus dans sa bouche, Florence se lâche très vite, au-delà de ce que j’aurai cru. A sa demande, nous lui faisons d’abord une double pénétration vaginale, et Alexis en jouit de sentir mon sexe et le sien ainsi bloqués dans le vagin devenu étroit de Florence. Mais alors qu’il va jouir, Lucie le retient en tenant fermement ses boules serrées. Car Florence n’en a pas fini : elle veut aussi une double anale. Lucie refuse, plus tard, ce ne serait pas sage, ils vont te déchirer. Mais Florence est tellement dilatée qu’elle nous avale sans que personne y trouve à redire. Et quand, stimulé par cette double pression, Alexis lâche tout son foutre au fond de son ventre, Florence hurle sa jouissance. Lucie sait que je me suis retenu, elle sait pourquoi. Et quand Florence est remise de cet orgasme ravageur, et des multiples pénétrations qu’elle a subies, elle vient prendre ma bite entre ses seins, et me prodigue cette caresse sur laquelle je fantasme depuis si longtemps, la peau de ses seins serrée sur mon sexe tendu, cette douceur particulière. Elle presse ses globes autour de moi, et chaque fois que mon sexe émerge de cet antre de délices, sa langue vient en lécher le bout tendu, rougi. Et chaque fois son regard croise le mien, dans l’attente de ma jouissance qui monte, qui monte irrésistiblement. Et quand je sais que je vais jouir, que mon sexe va expulser un puissant jet de sperme brûlant, je le lui indique d’un regard, et loin de s’écarter, elle plonge et prend mon chibre dans sa bouche, afin d’avaler toute la semence que je vais répandre. Cette sensation de chaleur dans sa bouche me fait jouir vivement, intensément. Enfin, je m’écroule à ses côtés, ivre de cet orgasme qu’elle m’a procuré. Lucie revient alors vers nous et nous rafraîchit, tandis qu’Alexis a préparé une collation bienvenue.



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07-09-2023 0 1387

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