J’ai une cinquantaine d’années. Divorcé, père de deux enfants, aujourd’hui jeunes adultes, je vis en célibataire endurci, profitant d’une situation financière plus que satisfaisante : j’ai fait fortune dans la high-tech, et ai décidé récemment de tout vendre pour prendre une retraite très confortable, dans la maison que j’ai achetée sur la côte. Grande piscine, vue sur la mer et les champs d’oliviers, le bruit des cigales et la paix… Plus de stress, plus de coups de fils interminables, plus de mails, rien que la paix, le silence, le soleil, et si j’ai envie de voir du monde, soit je descends vers St Tropez, soit j’invite. Et avec mes moyens, j’ai plus d’« amis » qu’il ne m’en faut. Je les tiens un peu à distance…
Il y a un mois, mon fils m’a appelé : il voulait fêter les vingt-cinq ans de sa chérie, et inviter plein de gens chez moi… C’est un principe, je ne refuse rien à mes enfants. Donc j’ai accepté, mais en précisant que je ne bougeais pas, et que j’étais chez moi, pas l’inverse. Toute une joyeuse bande de jeunes a donc commencé à débarquer dès le jeudi soir, pour la fête du samedi. Mon fils, Antoine ; sa chérie, Léa, jolie blonde filiforme ; la meilleure amie de Léa, Abigail, une opulente rousse ; deux copains d’enfance, Luc et Mattéo. Et le vendredi, les ont rejoints la sœur de Mattéo, Alexandra, une brune flamboyante ; le meilleur copain d’Antoine, Hervé, que je connais depuis toujours. Tous se sont occupé des préparatifs, avant l’arrivée d’une quinzaine d’invités supplémentaires le lendemain. Le vendredi soir, tandis que je me baignais dans la piscine, Abigail et Alexandra sont venues me rejoindre : elles voulaient se détendre un peu, m’ont demandé si elles pouvaient se joindre à moi, et comme je suis d’un naturel accueillant, je me suis rapidement retrouvé entouré des deux filles en maillot qui chahutaient dans l’eau. Abigail, ça valait le coup d’œil : de vrais beaux gros seins, larges, avec des aréoles si dessinées qu’elles transperçaient son maigre maillot. Un vrai plaisir, une vraie nature, une rousse à taches de rousseur, à peau laiteuse déjà presque rouge alors qu’elle s’était protégée du soleil. Et alors Alexandra, la chevelure déployée sur la splendeur de sa jeunesse, la peau mate et subtilement bronzée, admirablement prise dans un une pièce noir, échancré sur ses longues jambes, une sorte de fente au milieu des seins, une pièce de tissu dessinée sur elle ! Très vite, elles se sont évidemment amusées à m’arroser, alors que j’étais sorti m’allonger sur un transat, puis m’ont forcé à revenir avec elles dans l’eau, en me bousculant à qui mieux mieux. Luc et Mattéo ont rapidement rappliqué, au son de la joyeuse bande. Au bout de dix minutes, tous étaient dans l’eau, sauf Antoine, parti faire les dernières courses urgentes avec Hervé. Ils avaient beaucoup bossé pour tout préparer : je me levais pour leur préparer un apéro sympa, qu’ils puissent se détendre.
J’étais donc à m’affairer dans la cuisine quand Léa a surgi derrière moi. Depuis toujours, elle me tutoie et m’appelle papa pour s’amuser. Dis-donc, papa, c’est nouveau ça, tu allumes mes copines ? Je me retourne vers elle l’air amusé… Tu ne confonds pas, tu es sûre ? C’est pas plutôt tes copines qui sont venues me rejoindre ? Ouais, bon, si tu veux, mais je suis un peu jalouse. Jalouse ? Comment ça, jalouse ? Ben oui, moi, tu me regardes toujours comme si j’étais transparente, alors que j’ai bien vu qu’Alexandra et Abigail, c’était autre chose… Je ne crois pas que tu sois jamais venue te jeter sur moi, d’une part, et d’autre part, ce serait un peu curieux, tu ne crois pas ? que je fasse de la concurrence à Antoine… Léa rougit un peu, puis ajoute : oui, ben quand même, essaie de ne pas oublier que je suis une femme… et elle s’éclipse en dandinant du cul. C’est vrai qu’avec son petit maillot minimaliste, elle a un très joli cul… et ses tout petits seins, avec l’eau fraîche, qui dardent leurs pointes sous le tissu, c’est assez excitant aussi. Je retrouve toute la joyeuse bande dans l’eau pendant que je sers à boire avec quelques tapas. Les garçons sont les premiers à sortir : à voir les bosses de leurs slips de bain, aucun doute que la tenue des filles leur a fait de l’effet. Et les filles ne se font pas prier pour leur faire remarquer ! Directes, elles se moquent de Luc et Mattéo qui ont l’air carrément gênés. C’est Abigail qui fait les commentaires les plus drôles, et comme les garçons ne savent plus où se mettre, elle finit par sortir de l’eau, retire son haut de maillot et vient agiter ses fabuleuses loches sous leur nez, à la plus grande joie d’Alexandra, qui lui emboîte immédiatement le pas en défaisant le haut de son une-pièce. Léa me regarde, comme si elle craignait que je ne sois fasciné par ces deux paires de seins, quand les siens sont si menus. Et il faut dire que ces seins sont magnifiques, ceux d’Abigail, si lourds et blancs, parsemés de taches de rousseur, et ceux d’Alexandra, parfaitement tenus, au galbe incroyable. Mais il y a dans les pointes dressées de ceux de Léa un charme auquel je suis sensible. Je la regarde en souriant, elle m’en sait gré. Les filles se rhabillent en s’esclaffant, et elles ne manquent pas elles aussi de jeter un regard vers moi : beaucoup moins gêné que les garçons, pas rouge du tout… J’apporte à boire aux garçons : tenez, vous avez l’air d’avoir chaud… Et aux filles : ça vous rafraîchira peut-être aussi. Je réserve le dernier verre à Léa : tiens, ma jalouse. Elle rosit de mon emploi du possessif…
Antoine et Hervé reviennent, la soirée est très sympa, très agréable, et tout le monde part se coucher tôt : demain sera une grosse journée. La maison est grande, mais je n’ai pas de chambre pour tout le monde : j’ai mis les filles d’un côté dans un grand lit pour trois, et les garçons dans une sorte de dortoir improvisé. J’ai gardé ma chambre. Il reste une chambre libre mais elle sert pour l’instant à entasser tout le matériel nécessaire pour la fête du lendemain. Comme il fait chaud, je dors avec la porte-fenêtre grande ouverte sur le jardin ; les chambres sont à l’étage. Le bruit des chahuts de l’étage se calme vite : les garçons ont l’air très sages, les filles bavardent un peu – la chambre est-dessus de la mienne et leur fenêtre est ouverte – et c’est bientôt le silence. Les grillons et les cigales rythment la nuit, au loin, on peut entendre le ressac. Je m’endors vite, et me réveille, comme toujours, très tôt. Il doit être quatre heures : j’adore ce silence et la profondeur de la nuit. Je me prépare comme toujours un café très noir que je viens boire dans le jardin, à la fraîcheur. Comme il y a du monde, j’ai enfilé un boxer alors que je reste nu d’ordinaire. Assis sur un banc, je regarde la mer et les oliviers dans la nuit, tandis que les premières lueurs du jour rosissent doucement le ciel. Il y a quelqu’un derrière moi, je le sais, je le sens, qui s’est levé tôt aussi… C’est Léa. Elle m’a entendu, ou ne dormait pas, je ne sais pas. Alors papa, tu ne dors pas ? Non, c’est mon heure de réveil habituel. Je ne me suis pas retourné, et Léa s’approche de moi et pose ses mains sur mes épaules. Tu t’es préparé un café ? Oui, tu en veux ? Oui, je veux bien. Je me lève pour aller le lui chercher, et m’aperçois alors qu’elle est nue. Je m’arrête un instant, la regarde sans pudeur de haut en bas, passe un doigt sur la pointe dressée d’un sein ; elle frissonne sans s’écarter. Je vais dans la cuisine, prend un café et un châle : Tiens, j’ai pris un châle avec ton café, tu as l’air d’avoir froid, lui dis-je en plaisantant. Oui, tu ne veux pas me réchauffer, papa ? et elle vient coller ses petits seins contre moi, profitant de ce que j’ai les mains occupées pour venir soupeser mes couilles dans le boxer. Je ne lui renverse pas tout dessus, mais c’est limite. S’il te plaît, me dit-elle en regardant mon air réprobateur, c’est mon anniversaire, tu peux bien me faire un cadeau. Tiens, prends ton café et couvre-toi : si quelqu’un descendait, tu serais gênée, non ? Elle obtempère en faisant une moue de petite fille déçue, mais je sais qu’elle va y revenir. Je m’assois de nouveau sur le banc, et elle vient s’asseoir… à califourchon sur moi. Elle a placé le châle sur ses épaules, mais son sexe est collé au mien et seul le boxer les sépare. Et comme la petite garce sait y faire, ses mouvements sur moi ont tôt fait de faire bander. Et elle s’excite toute seule en faisant glisser sa chatte presque ouverte sur ce mandrin bandé. Je la soulève, et la porte, accrochée à moi, jusque dans ma chambre. Là , je la dépose silencieusement sur le lit, et à peine allongée, elle relève les jambes en les écartant, totalement indécente, parfaitement excitante, en me fixant dans les yeux. La seule façon de s’en débarrasser, je la connais, c’est d’en finir vite : je retire mon boxer et mon sexe surgit comme un ressort de sa boîte. Il n’est pas très long mais large et épais. Excitée comme elle est déjà , je ne perds pas de temps en inutiles préliminaires : je l’enfile d’un coup, et elle referme immédiatement ses cuisses sur mon dos, pour me sentir bien au fond d’elle. Je ne sais pas ce que mon fils ne lui fait pas, mais elle a faim… Je la bourre rapidement, et je sais qu’elle va venir vite. Elle sait être discrète, et réprime comme elle peut ses halètements, ses soupirs, ses gémissements. Tout de même, avec toutes ces fenêtres ouvertes, je ne suis pas certain qu’on soit très silencieux… Surtout quand je pousse mon sexe bien au fond, d’un mouvement presque brutal, et qu’elle peine à réprimer le cri de jouissance qui semble sortir de son ventre. Elle se crispe autour de moi, son sexe comme agglutiné au mien, secoué de spasmes qui sont comme une bouche chaude sur la tige chaude qui la remplit. Mais je vois bien que ces spasmes sont contrôlés, elle sait comment me masser de l’intérieur, et bientôt je gicle puissamment au fond de sa chatte. Nous restons ainsi enlacés un instant, puis elle défait l’étreinte de se jambes, se dégage, nettoie rapidement le sperme qui lui coule entre les cuisses, caresse mon sexe encore gluant et s’éclipse aussi vite qu’elle était apparue en minaudant un : merci papa ! C’était assez jouissif, même si je m’inquiète un peu pour Antoine… Je me lave rapidement, et retourne au jardin reprendre un café. Le ciel est maintenant orange et rose, le jour se lève. Mais sur le banc, il y a quelqu’un, qui ne peut pas ne pas nous avoir entendus ! C’est Abigail, qui se tourne vers moi en souriant, et avec un doigt sur les lèvres, m’indique qu’elle saura rester muette. Elle ne porte qu’un déshabillé assez transparent, et décidément, chacune de ses tenues montre davantage qu’elle ne cache. Je viens m’asseoir à ses côtés. Elle me murmure que Léa en rêvait depuis longtemps, que tout le monde le sait ; tout le monde ? comment ça, tout le monde ? Oui, Alex, moi, Léa, on se dit tout… Et puis, vous ne savez pas, mais Léa avait une revanche à prendre : il y deux mois, elle a surpris Antoine avec moi, alors elle lui a promis de se venger et que s’il disait la moindre chose, quelque vengeance qu’elle choisisse, elle le quittait. Donc Antoine est prêt à tout accepter, moi, je la joue discrète, enfin, comme je peux, et Léa se laisse aller. C’est bien, elle en a besoin. Oui, mettons, mais je reste le père d’Antoine, et ce n’était pas très classe de ma part. Vous n’aviez pas trop le choix, et puis le seul moyen pour que ça paraisse naturel, à mon avis, c’est de ne pas vous contenter de Léa… et pendant qu’elle parle, elle s’allonge sur le banc, pose sa tête sur mes cuisses, la bouche à hauteur de la bosse qui s’est faite entre temps dans mon boxer, et commence à jouer avec ses mains et sa langue. Voilà une matinée qui s’annonce particulière ! je la laisserais bien faire, mais le jour se lève vraiment, on commence à entendre du bruit, et Alexandra et Léa descendent ensemble. Abigail se relève et rejoint les autres. Les garçons ? Non, ça ronfle abominablement, on dirait un train de marchandises ! Alors café ? Je rejoins les filles, mais décidément, tout est étrange ce matin… Elles me regardent toutes en riant, m’offrent un café et se font des clins d’œil qui m’indiquent assez qu’il n’y a pas qu’Abigail qui soit au courant de mes frasques avec Léa. Alexandra est au courant aussi, et son regard sur moi me ferait frémir si j’avais vingt ans… Nous buvons un café chaud, et il faut réveiller les garçons : on attend encore du monde, et il faut que tout soit prêt.
La journée est intense en préparatifs, en rigolades aussi, les garçons tournent autour des filles, les filles des garçons, et les invités arrivent au fur et à mesure. Moi, je reste à l’écart de toute cette agitation : je suis le vieux qui reçoit, et plus il y a de jeunes qui font du bruit, plus je trouve tout cela vraiment bruyant, et plus je goûte ma solitude habituelle… Je veille donc à ce que tout se déroule comme Antoine et Léa le souhaitent, j’accueille, je jette un œil, je ravitaille, mais je ne me mêle pas trop. J’exfiltre un malotru ivre, je refuse des voisins qui pensaient que c’était table ouverte, je débarrasse, je nettoie, j’indique les toilettes… Vers deux heures du matin, ça commence à partir ou à s’étaler, et il faut préciser à certains ou certaines que les chambres ne sont pas en accès libre… Vers trois heures, ça s’effondre pas mal, il est temps de faire du ménage. Hervé est avec moi à raccompagner poliment, mais aussi à indiquer que la voiture, là , non, et on trouve quelques conducteurs sobres… C’est Mattéo qui conduira, Luc n’étant pas en état. Les filles et Hervé resteront là . Vers cinq heures, terminé, ceux qui devaient partir sont partis, ceux qui devaient rester sont couchés. Je fais un dernier tour, je ferme des portes, je ramasse des sacs oubliés, et je vais enfin me coucher.
C’est du moins ce que je croyais. Je me déshabille dans le noir, je vais prendre une douche rapide avant de m’allonger. Mais il y a quelqu’un dans mon lit ! Alors que je crois d’abord qu’il s’agit d’une méprise, que quelqu’un de trop ivre s’est endormi là par mégarde, je suis rapidement détrompé par la voix d’Abigail, qui sait très bien où elle est. Chut, vous n’allez pas réveiller tout le monde ! On n’allait quand même pas, pour l’anniversaire de Léa, laisser les tourtereaux séparés ! Comment ça, on ? Qui ça, on ? Je suis là aussi me murmure Alexandra, que je n’avais pas encore vue. Ah, oui, elle est là aussi ! Elle vient de retirer le drap qui les couvrait toutes deux, et elles sont là , allongées, à peine éclairées dans la pénombre par un léger rai de lumière, nues. Et je suis devant elles, debout, nu aussi, le sexe au repos au sortir de la douche. Abigail veut s’en saisir mais je recule légèrement : non, les filles, vous êtes superbes, parfaitement tentantes, mais il est cinq heures du mat, je suis debout depuis plus de vingt-quatre heures, et je suis épuisé. Faites-moi un peu de place, et s’il vous plaît, laissez dormir le vieux bonhomme… Elles me regardent en souriant, mi-déçues, mi-étonnées – elles n’ont sans doute pas l’habitude qu’on leur dise non. Mais elles acquiescent et me font une place entre elles, une sorte de cocon paradisiaque : deux jeunes femmes nues, très belles et très différentes, qui viennent immédiatement, l’une comme l’autre, se caler sur moi. La chaleur de leurs corps contre le mien, les seins voluptueux d’Abigail écrasés contre mon torse à droite, le bras d’Alexandra sur mon ventre et ses cheveux sur mon épaule : quelque chose de très tendre, pas encore sexuel, dont on sent bien que ça pourrait le devenir, mais qui reste simplement sensuel et doux. Je m’endors ainsi, bercé par le murmure des filles qui s’éteint rapidement. A mon réveil, quelques heures plus tard, le soleil bien levé et la lumière baignant la chambre, mon sexe est dans sa position matinale : fier et dressé. Les filles dorment encore mais de les voir ainsi, apaisées, confiantes et abandonnées, ne participe certes pas à faire descendre mon érection. Je caresse machinalement ma hampe, et les bruits de la chambre du dessus semblent en harmonie avec ce mouvement : Antoine et Léa sont réveillés, mon fils semble vouloir se faire pardonner ses incartades, et Léa vouloir comparer les prouesses du fils après celles du père. Ce bruit réveille bientôt Alexandra, qui sans rien dire remplace ma main par la sienne, puis se glisse le long de mon corps, épanche sa longue chevelure sur moi, et saisit mon sexe entre ses lèvres. Dieu que cette fille est belle ! Voilà longtemps que je n’avais pas vu une fille aussi parfaitement faite, aussi admirablement souple et féline, fine et charnue en même temps. Sa bouche se ferme sur mon membre et l’aspire, elle lèche avec application la longueur de mon sexe, me relâche et me reprend, et de temps en temps, dégage ses cheveux afin de planter ses yeux dans les miens, de vérifier sur mon visage l’effet de ses lèvres sur moi. Et elle me fait de l’effet ! Nos mouvements, quoique légers, réveillent alors Abigail, qui s’étire en me souriant, regarde son amie me pomper divinement, et avec un naturel désarmant, glisse une main entre ses cuisses et commence à se masturber. La lumière sur ses seins tachetés, la chevelure noire d’Alexandra, le sexe rose entr’ouvert d’Abigail, déjà humide entre ses doigts, la peau mate et bronzée d’Alexandra, tout cela forme une symphonie de peau et de chair soudain rehaussée par les cris de Léa, dans la chambre du dessus. Nous sourions tous les trois de l’orgasme bruyant, attentifs aux gémissements d’Antoine qui suivent. Alexandra a lâché mon sexe et glissé sa tête entre les cuisses d’Abigail. Elle est affalée sur moi pour atteindre l’entrejambe de son amie, de sorte que son ventre repose sur mon ventre, et que c’est sans difficulté que mes mains caressent ses fesses musclées, puis écartent ses jambes pour une caresse plus intime. J’atteins rapidement son anus, et un peu plus loin son sexe déjà bien humide, et son clitoris dressé d’excitation. Nous entamons une sorte de danse à trois, Abigail s’étant légèrement décalée pour prendre ma bouche avec la sienne. Mais c’est Alexandra la plus habile à ce jeu-là , je le sens bien à la respiration bientôt hachée, irrégulière, d’Abigail, contrainte de reprendre son souffle. J’en profite pour prendre un de ses seins dans ma bouche, en pincer le téton durci, et cette nouvelle caresse augmente encore le plaisir montant de notre rousse. J’ai lâché Alexandra, et nous sommes tous les deux concentrés sur le corps lascif et totalement obscène d’Abigail, offerte, ouverte, entière à son plaisir. Elle est rapidement secouée par un spasme qui la traverse depuis le tremblement des jambes jusqu’à sa bouche ouverte, comme si elle cherchait un air dont elle était privée. Son orgasme est silencieux, superbe mais silencieux. Et quand Alexandra relève la tête, elle est trempée de la mouille abondante de son amie. Abigail met plusieurs secondes à se relâcher, puis s’apaise et rouvre les yeux qu’elle avait fermés, nous regarde avec une sorte de fierté mêlée de reconnaissance, et vient nous embrasser à tour de rôle. J’ai quant à moi repris les fesses d’Alexandra entre mes mains, et celle-ci se laisse faire, sans bouger : elle aime mes mains sur elle, elle a écarté ses jambes afin de me donner libre accès à son intimité. Elle sent toujours mon sexe écrasé sous son ventre, elle ne s’en occupe pas… Abigail s’est assise et nous regarde, nous contemple : je la savais un peu voyeuse, elle le confirme, et c’est assez excitant en fait. Je me déplace légèrement, dégageant mon sexe et me plaçant de telle sorte que je peux prendre Alexandra à deux mains. Elle-même m’aide dans mon mouvement, et relève ses jambes. La chair de son sexe est rouge, gorgée de sang et de plaisir, ses lèvres vives palpitent sous mes doigts, son clitoris est entièrement sorti, petit sexe dressé et appel à la caresse. Mais elle en veut davantage, se relève, puis vient s’asseoir sur moi, enfilant mon sexe dressé dans le sien, et elle commence alors une danse folle sur moi, ses cheveux en désordre autour d’elle, ses seins pointant vers moi comme un défi, se balançant au rythme de ses montées et de ses descentes, les yeux fermés, concentrée sur son plaisir, attentive aux sensations qui la traversent, au contact de ma chair dans la sienne, au frottement de ma verge dans sa vulve, de ma verge tendue, épaisse, qui la remplit, et chacun de ses mouvements alternés de droite et de gauche cherchent à me serrer davantage en elle, à me faire prisonnier de sa fente absolue, à atteindre comme une fusion de nos corps. Abigail sourit en nous regardant, impressionnée je crois de la furie déchaînée d’Alexandra sur moi, qui ne retient plus rien, qui gémit et prononce des mots inaudibles, qui ne sait plus où elle est, qui me griffe sans le savoir, qui est belle comme jamais dans l’amour. Un léger bruit attire mon attention et je m’aperçois que Léa et Antoine ont aussi entendu Alexandra, et qu’ils sont descendus. Ils sont dans l’entrebaillement de la porte, nus, se tenant par la main, à regarder leur amie abandonnée à son plaisir. Je leur souris, et Abigail, qui les a vus aussi, va les chercher. Alexandra est ailleurs, elle n’a vu personne, elle n’est que ce corps de femme sur le mien, elle est entière à l’orgasme qui monte et la fait maintenant crier. Abigail embrasse goulument Léa, comme dans un geste de réconciliation, et Antoine s’est un peu écarté, le sexe dressé devant ce spectacle, mais Léa ne le lâche pas, et descend vers son membre, entraînant Abigail avec elle. Généreusement, elle lui offre ce sexe qui a failli les séparer, et c’est ensemble qu’elles s’en saisissent. Quant à moi, je soulève les fesses d’Alexandra pour la pénétrer plus avant encore, tandis qu’elle s’effondre presque sur moi en jouissant et en criant, avec une puissante giclée de cyprine sur mon ventre. Mais je suis loin d’en avoir fini avec elle, et je la retourne, la prenant par derrière, et présentant mon sexe toujours dressé à l’entrée de son cul magnifique. Mon fils est embouché par Abigail, et a saisi les jambes de Léa pour venir la lécher ; Alexandra, à la fois submergée par l’orgasme et de nouveau consciente, écarte ses fesses pour m’accueillir en elle, et je pousse doucement mon membre dans son anus qui se dilate, dans son anus qui me serre mais s’ouvre devant moi, dans son anus dans lequel je suis entré maintenant, si chaud, si vibrant, et Alexandra a glissé une main sur son clitoris, et elle s’excite pour jouir de nouveau de façon fulgurante, tous ses muscles serrés sur moi à m’en faire mal, criant de nouveau sa jouissance. La chambre est un spectacle étonnant. Léa, debout, maintient la tête d’Antoine entre ses jambes ; Abigail, allongée aspire goulument le sexe tendu d’Antoine. Alexandra, allongée sur le ventre, une main entre ses jambes, crie son plaisir tandis que je la laboure par derrière. Il ne manquait qu’Hervé qui, alerté par ces cris de plaisir, se branle maintenant dans l’entrée de la chambre, arborant devant nous un sexe magnifique, d’une grosseur que je ne soupçonnais pas chez un garçon si frêle. Léa l’a vu, et elle fait signe à Hervé de s’approcher, pour prendre ce sexe entre ses deux mains. Je sens que je vais jouir, et je me retire du cul d’Alexandra pour gicler dans son dos de puissants jets de sperme, qui s’étalent jusque sur ses cheveux. Cette fille est une splendeur dans l’amour, dans l’orgasme. Elle tremble en gémissant encore, se retourne à moitié, les yeux cernés de plaisir, saisit la scène autour de Léa, sourit, me regarde, et vient nettoyer mon sexe ramolli avec sa bouche. Antoine n’en peut plus de la bouche d’Abigail, mais il ne veut pas jouir en elle, craint la réaction de Léa, et se dégage donc. Léa en profite pour lui présenter ses fesses en levrette, et saisir le sexe d’Hervé dans sa bouche. C’est la pauvre Abigail qui se retrouve délaissée, mais elle s’écarte et prend son plaisir seule, en regardant. Alexandra m’a lâché, et se love contre moi, amoureusement. Nous restons étendus ainsi, à regarder le plaisir monter chez les uns et les autres. Hervé jouit rapidement sur le visage de Léa, qui est si surprise qu’elle éclate de rire, et les contractions de son rire font exploser Antoine en elle. Elle rejoint bientôt son amant dans l’orgasme, tandis qu’Abigail s’est introduit une main entière dans le vagin, et qu’elle est là tremblante, les yeux révulsés dans le plaisir. Alexandra reposée sur moi, nue et si belle, la regarde avec une infinie tendresse. J’aime comme ces amis s’aiment, j’aime la liberté qu’au-delà des querelles ils ont trouvée, et Léa revenue à elle nous déclare combien cet anniversaire restera inoubliable. Elle nous embrasse chacun à tour de rôle, sur la bouche, finissant son tour de lit par Antoine, puis nous demande de rester là , nus, enlacés, pendant qu’elle va préparer un café.
Antoine ne veut pas la laisser seule, et part vite la rejoindre. Abigail, impressionnée je crois par la taille de l’engin d’Hervé, veut y goûter et se glisse vers lui. Alexandra reste sur moi, je l’ai prise dans mes bras, mes mains sur ses seins que je caresse, sur ses seins si beaux et dont déjà les pointes s’érigent à nouveau. Elle se laisse faire, et saisit tendrement mon sexe dans ses mains, comme pour me rendre la caresse que je lui prodigue. Quand Léa et Antoine reviennent, ils restent un moment interdit devant la scène qu’ils découvrent : Hervé est étendu sur le dos, Abigail empalée sur lui ; Alexandra s’est mise en levrette, afin que je la prenne à nouveau, et elle lèche les couilles d’Hervé à chaque fois que les mouvements d’Abigail lui permettent de le faire. Cette fille est une furie : elle sait serrer les muscles de son vagin presque aussi fort que l’étaient auparavant ceux de son anus, et elle sait aussi ce qu’elle veut, mon sperme eu fond de son ventre, ma chaleur en elle. Léa pose le café sur le sol, vient vers moi m’embrasser : papa, quelle forme ! Antoine de nouveau bandé s’approche d’Abigail, qui se saisit immédiatement de son sexe en bouche. C’est Alexandra qui vient la première, de nouveau en criant, et sa jouissance provoque la mienne. Nous nous effondrons épuisés : combien de fois a-t-elle joui, combien de fois m’a-t-elle fait jouir ? Je ne sais plus trop la suite, qui est venu, qui a crié… Vers midi, nous décidons qu’il faut manger, et qu’un brunch réparateur s’impose : ce sera nus, au bord de la piscine. Et c’est un brunch joyeux mais sage. Nous sommes tous repus de sexe, étonnés de cette liberté entre nous, et nous avons vraiment faim. Nous sommes tous fatigués aussi, et l’après-midi sera pour la plupart consacré à la sieste. Une sieste un peu bruyante du côté d’Antoine et Léa, Hervé est parti avec Abigail, et Alexandra s’endort – vraiment, profondément – contre moi. Le soleil décline, je me lève doucement pour me baigner seul dans la piscine, prendre la fraîcheur de l’eau, la sentir glisser contre moi. Quand j’en sors, Alexandra m’a rejoint sur la terrasse avec une bouteille de vin et des verres, et s’est allongée sur un transat. Cette fille me surprend : par sa beauté, absolument hors-norme, et je ne suis pourtant pas un perdreau de l’année ; par sa liberté, moins démonstrative et agressive que celle d’Abigail, mais sans doute plus réelle : contrairement à son amie, je crois qu’elle ne cherche pas à prouver quelque chose à quiconque, elle prend simplement son plaisir comme elle l’entend ; par sa tendresse aussi : elle est tendre avec tous, et là aussi, aucun agressivité, aucune quête de reconnaissance ou de je ne sais quoi, juste une tendresse et une amitié réelles et profondes. Elle me regarde sortir de l’eau en souriant, me propose un verre de vin. Elle n’a guère de mérite au fait qu’il soit bon – il vient de ma cave – mais le choix est judicieux… Les autres nous rejoignent bientôt, avec un clin d’œil appuyé de Léa vers Alexandra et moi… Antoine m’annonce qu’ils vont partir après le dîner : on t’a assez embêté, et même si on s’est tous – toi compris – bien amusés, je sais qu’il est temps de te rendre à ta solitude. Tous, y compris Alexandra, acquiescent, et tous me remercient de mon accueil. Toutes les filles m’embrassent sur la bouche, dans de longs baisers langoureux, et si celui d’Alexandra n’est pas plus appuyé que celui d’Abigail – ce n’est guère possible, en fait, tant Abigail se jette sur mes lèvres comme la misère sur le pauvre monde – il est à la fois plus tendre et plus intime.
Une heure plus tard, je suis de nouveau seul, dans le calme de la soirée. Tranquille. Je goûte cet état comme un délice : le délice des sens repus et apaisés, celui du soir qui tombe et d’une harmonie avec la nature (c’est plus facile, dans une grande maison ensoleillée avec une belle vue sur la mer !), celui d’un esprit qu’aucune inquiétude ne vient troubler. Je sais les gens heureux autour de moi, j’ai vu mon fils et son adorable amie se réconcilier, j’ai goûté les plaisirs de la chair et de la tendresse. J’écoute des partitas de Bach en contemplant le crépuscule.
Le lendemain, Antoine m’appelle pour me remercier encore, j’entends Léa pas loin qui crie de m’embrasser, tout le monde est bien rentré. Il va bientôt voir sa mère – avec laquelle je n’ai guère de contacts sans que nos rapports soient pour autant mauvais – et me donne aussi des nouvelles de sa sœur, qui est à l’étranger. La conversation ne dure guère, Léa l’attend, il doit y aller. Je m’occupe de nettoyer et de ranger la maison : toutes ces journées de fête ont laissé un joyeux fouillis. Il faut aussi que j’aille faire des courses, le frigo est vide, et je ne suis pas partisan des diètes… Je ferme donc la maison en début d’après-midi pour aller au ravitaillement… Je vais en profiter pour traîner un peu, je dois passer dans une galerie où j’ai vu de jolies choses… Je rentre tard, la nuit tombe déjà . Et tandis que je vide le coffre de la voiture, je m’aperçois qu’Alexandra est là : comme la maison était fermée, elle a fait le tour et s’est installée sur un transat au bord de la piscine ; en m’attendant, elle s’est baignée, puis s’est allongée et s’est assoupie. Je la réveille doucement. Son visage se tourne vers moi, souriant : ah, tu es rentré ? Oui, je suis rentré ; tu as faim ? Oui, elle n’a rien mangé de la journée. En fait, à peine rentrée à Paris, elle s’est dit qu’elle était idiote, et a pris un train dans l’autre sens. Puis le temps de trouver un taxi… Elle n’a pas mon numéro, n’a pas pu m’appeler, et ne voulait pas demander à Antoine… Je l’écoute en préparant un poisson que je mets à griller ; je vais chercher une bouteille de blanc frais, il y a toujours cela à la cave… Elle sort des assiettes et des verres, et installe une jolie table sur la terrasse. J’espère que ça ne t’embête pas que je sois revenue si vite, et sans te demander… ne dis rien, laisse-moi parler d’abord, après tu me répondras. Ok, je ne dis rien. J’ai adoré faire l’amour avec toi, me dit-elle ; il m’arrive de baiser comme une furie, mais là , c’était autre chose, tu vois, c’était vraiment faire l’amour, il y avait une complicité qu’on n’a pas toujours, une adéquation de ton corps et du mien. Et j’ai adoré jouir sur toi… J’ai aimé aussi nos ébats à plusieurs, et ces échanges entre nous tous, mais franchement, ça faisait longtemps qu’un sexe d’homme ne m’avait pas transporté comme le tien, et plus que tout, c’est de te sentir en moi qui m’a fait jouir. Ne t’inquiète pas, ce n’est pas une demande en mariage, j’adore ma liberté et je n’ai pas du tout l’intention d’y renoncer, mais si ma liberté n’entravait pas la tienne, ce serait… orgasmique ! J’avoue que moi aussi, cette fille m’a fait jouir comme peu l’ont fait. Je connais notre différence d’âge, je sais que nos ébats multiples avec mon fils et ses amies ne pouvaient vraiment durer, mais sa proposition me plaît. Je suis attaché aussi à ma liberté, lui dis-je, et parfois même à ma solitude. Mais tu as une réserve, oui, une réserve dans ton absolue liberté, qui me plaît assez. Je veux dire qu’il y a des gens qui t’empêchent d’être seul – tu vois, je ne crois pas qu’on puisse être seul avec Abigail, elle serait toujours trop là – alors que je ne sens pas cela chez toi. Et puis ta douceur me fascine assez. Donc oui, on ne va pas s’épouser, mais cette maison t’est ouverte, tu viens quand tu veux, et même si tu n’as pas le temps de prévenir, tu n’en as pas besoin, tu es chez toi et on ne prévient pas quand on rentre chez soi ! Son visage, soucieux quand elle a eu fini de parler, s’éclaire au fur et à mesure de ma réponse, et nous trinquons à cet étrange contrat que nous venons de passer. Je nous sers le poisson, à peine relevé d’un jus de citron et accompagné de quelques artichauts marinés. Nous mangeons en silence ce repas simple, elle me regarde quand elle relève le nez de son assiette, mais ne dit rien, attendant peut-être que je reprenne la parole. Mais je ne dis rien non plus. De même que j’ai apprécié d’être seul – pas très longtemps – j’apprécie sa présence et le fait qu’elle ne trouble pas ma solitude, qu’elle l’accompagne. Nul besoin de parler. Sa présence et sa chaleur, notre intimité autour de cette table. Je débarrasse les assiettes, remplit son verre et le mien, et nous allons nous asseoir côte à côte sur le banc. Elle pose sa tête sur mon épaule, avec une simplicité et un naturel qui me charment. Puis c’est toujours silencieusement, une fois nos verres finis et la nuit totalement tombée, que nous rentrons dans la maison et dans ma chambre. Elle retire la robe sous laquelle elle ne porte rien – elle l’avait remise après son bain – et s’allonge en silence en me regardant me dévêtir. Je la rejoins, nu à mon tour, et m’arrête un instant la contempler. Elle est allongée, légèrement adossée à la tête du lit. Sa longue chevelure brune tombe sur le côté droit, recouvrant son épaule et une partie du sein ; elle a une jambe étendue et l’autre pliée, les mains posées sur ses cuisses. Et elle me regarde avec une tranquillité déconcertante, comme si sa présence ici avait été de toujours, comme si sa place était ici, dans ce lit, à me regarder venir vers elle. C’est à la fois surprenant – je ne la connaissais pas il y a quelques jours – et infiniment normal : son corps appelle le mien, et cette chimie particulière nous dépasse tous deux. Nous ne faisons que répondre à quelque chose de très animal et de très doux, une harmonie, une cohésion, une communion. Je la rejoins donc, écartant doucement la jambe repliée, pour venir embrasser son sexe qui me fait face, lécher sa fente qui m’est offerte ; et elle se laisse faire, fermant les yeux pour goûter pleinement cette caresse que je lui prodigue. Ma langue remonte le long de sa fente, atteignant son clitoris puis redescendant vers sa vulve, et elle m’aide en relevant haut sa jambe pour dégager l’accès à son intimité. Elle s’ouvre entièrement à moi, et ma langue la prend comme un petit sexe, je la goûte et m’en délecte, je la fouille et mes doigts viennent aider ma langue, viennent l’un titiller son anus, l’autre son clitoris, pendant que je pousse ma langue en elle, et qu’elle gémit d’être prise ainsi, se froissant les seins avec ardeur. Je lui fais l’amour avec la bouche, je dévore son sexe offert en sachant où insister, où lui donner du plaisir, comment faire monter sa jouissance, et elle est totalement offerte, totalement vulnérable, entièrement confiante en mes mains et ma langue, en mes dents et mes doigts. La faire jouir ainsi est terriblement excitant, j’adore ce sentiment de la prendre entièrement, j’adore son abandon, et sentir son corps trembler doucement, entendre sa respiration devenir plus saccadée, plus haletante, sentir frémir ses muscles, sentir qu’elle perd peu à peu le contrôle, que ce sont maintenant des spasmes qui la traversent, entendre son gémissement qui ne vient plus de la gorge mais du ventre, qui devient rauque, puis l’entendre exploser dans un cri, mais un cri long, un cri qui va de pair avec ses cuisses serrées sur ma tête, à la faire exploser, avec ses cuisses soudain tendues et toujours si chaudes, si douces. Elle met plusieurs minutes à redescendre, à desserrer son étreinte, puis me regarde avec ses yeux chavirés : il ne faut pas que tu fasses ça, tu n’as pas le droit… je ne veux pas tomber amoureuse. Bon, comme tu veux, c’est promis, je ne le ferai plus… Dorénavant, tu auras droit à la grosse brute d’un certain âge ! Elle sourit, se glisse contre moi, enserre mon sexe entre ses mains : oh oui, un vieux brutal, j’adore, tiens, mets-moi donc cette chose-là où tu voudras ! Il ne faut pas me dire des choses comme ça non plus, je risque d’y prendre goût ! Mais pour l’instant, je me contente de glisser mon sexe entre ses seins, et elle vient les prendre à pleines mains et les serrer autour de moi. A chaque fois que mon sexe dépasse de ce fourreau merveilleux, elle le lappe avec la langue, en me regardant dans les yeux, comme un défi. C’est chaud et doux, c’est velouté et fragile, j’aurais presque peur d’en déchirer la peau si fine. Mais elle a repris la main : elle me renverse sur le dos et sa bouche vient me prendre. Elle m’avale sur toute la longueur, me masse les testicules et l’anus en même temps, puis quand elle me juge assez dur, assez tendu, assez excité, elle vient s’empaler sur moi en me tournant le dos, et je contemple ses fesses et son dos qui me chevauchent, qui me montent. Mais elle sait ce qu’elle veut, et bientôt elle se relève, et c’est son anus qu’elle présente à mon sexe dressé. J’y entre sans difficulté, tant sa mouille enduit déjà mon sexe. Elle ne dit rien, elle monte et descend, contracte ses muscles, m’enserre avec une science que je lui connais maintenant. Elle contrôle mon plaisir, le fait monter, l’arrête, le reprend. La science qu’elle a de mon corps me surprend, la précision avec laquelle elle ajuste ses muscles sur moi, la façon dont elle se saisit de mon sexe, dont son corps et le mien semblent en résonance, en écho… Et avec une impitoyable et insupportable lenteur, avec des délices infinis, elle me fait jouir en elle, elle me fait exploser dans son fondement, elle me fait gicler de puissantes et brûlantes saccades de sperme qui l’inondent, et qui bientôt couleront sur ses cuisses, liquide blanchâtre sur ses cuisses bronzées et mates… Elle se dégage et me libère, s’allonge à mes côtés brièvement, m’embrasse très tendrement avant d’aller se nettoyer, puis revient et s’endort dans mes bras en un instant. Nous avons peu parlé, mais notre entente est intuitive, immédiate. Et au matin, quand elle me rejoint sur la terrasse, m’enlaçant tandis que je contemple le soleil levant, écrasant ses seins nus contre mon dos, c’est un sentiment de plénitude qui m’envahit. Je ne sais combien de temps cette histoire durera ni où cela nous mènera, et ça m’est bien égal : pour la première fois peut-être de ma vie, je n’attends absolument rien de la vie que je n’aie.
Je me connecte ou je m'inscris