Je suis crevé ; voilà des semaines que je suis sur un gros boulot qui n’en finissait pas, avec rebondissements, changements de cap, rien n’allait, il fallait recommencer, ça n’allait pas, ce n’était jamais comme il fallait, bref le tuc stressant, gonflant, et dont on ne voit jamais le bout. Ouf. Fini. J’ai dit à mon boss que j’étais sur les rotules et que je prenais deux jours. Et me voilà en thalasso à me faire masser et dorloter : c’est ça dont j’ai besoin, ne rien faire et laisser des spécialistes dénouer les tensions de mon dos, de mes épaules, de mon crâne. Programme avec soins divers le matin, et quartier libre l’après-midi, avec piscine chauffée, sauna, ou balades.
Cet après-midi, c’est piscine et sauna. Quand j’entre dans le sauna, avec juste une serviette autour de moi, il y a un couple d’une trentaine d’années. Manifestement, je les dérange : l’homme rabat promptement sa serviette sur ses jambes, masquant mal son érection, tandis que la femme réajuste sa serviette sur ses seins, que je n’ai pas eu le temps de voir, ne se rendant pas compte dans son geste qu’elle dévoile entièrement ses cuisses et sa jolie chatte. Je le lui indique discrètement, essayant de ne pas la gêner : elle me remercie d’un mouvement de tête, rougissante, se réajuste de nouveau, faisant davantage descendre la serviette en me souriant. L’homme est très gêné, il ne sait que faire de son érection qui ne faiblit pas, marmonne je ne sais quoi et sort. Je m’excuse auprès de la femme, je vous ai dérangés, désolé… Non, ne vous excusez pas, on s’amusait un peu, mais le sauna est public… il fait chaud, non ? Oui, c’est le principe du sauna… Je vais me rafraîchir, j’ai vraiment trop chaud… Et elle sort à son tour. Dommage, j’aurais bien aimé qu’elle reste, et qu’elle se rafraîchisse plutôt en laissant tomber sa serviette… Je me détends avec une bonne suée, puis sors à mon tour pour me baigner. Ils sont encore là , lui sur un transat, couvert d’un peignoir, et elle dans l’eau. Elle porte un maillot rouge assez minimaliste, j’adore. Je me baigne, lui souris dans l’eau en la croisant ; elle répond à mon sourire. Pas farouche, la fille, et pas discrète non plus. Le gars n’a pas l’air d’apprécier. Quand elle le rejoint, il y a manifestement une explication, je n’entends pas vraiment, mais le gars s’en va en lui disant de faire ce qu’elle veut, il s’en fout… Elle ne lui court pas après, elle prend tout son temps pour s’étendre, et elle sait très bien que je la mate. Quand je sors de l’eau à mon tour, elle se lève, ajuste sa serviette, enlève en-dessous son maillot – impossible de ne pas le voir – et passe très volontairement à côté de moi en me glissant, j’y retourne, j’adore le sauna…
Moi aussi, j’adore. Je me lève, passe ma serviette et retire mon maillot, et je la rejoins. Elle y est allé fort : il fait vraiment chaud. Elle comme moi sommes rapidement couverts d’une suée brûlante. Excusez-moi, ça vous gêne si je défais le haut, il fait vraiment chaud, minaude-t-elle ? Si ça me gêne, vous plaisantez, mais faites, faites-donc ! Et elle dévoile deux magnifiques obus, fermes et lourds, qu’elle caresse ostensiblement, comme pour faire glisser la sueur accumulée sur son cou. C’est très excitant, et elle le sait. Je ne me gêne pas : j’ai glissé une main sous ma serviette pour me branler. Elle regarde ma main, la bosse sous la serviette. Je peux voir, demande-t-elle ? Bien sûr, et je défais la serviette, dévoilant mon sexe qui grossit. Mmm, il a l’air doux. Vous voulez toucher ? Je peux ? Je vous en prie. Elle s’approche de moi, laissant totalement tomber sa serviette, et pose sa main sur ma bite, la caresse, la fait grossir. Je la regarde faire, puis je pose une main sur une de ses cuisses, et elle les écarte immédiatement, me laissant accéder à son clito déjà un peu gonflé. Je le masse, et je glisse un doigt dans sa fente détrempée. Elle miaule avec délice, une vraie petite salope en manque. Elle bouge alors, s’accroupissant à mes côtés pour venir prendre mon sexe dans sa bouche, en me laissant accéder à sa fente. Une suceuse de compétition ! Une fois que je suis bien dur, je la laisse dans cette position, je fais le tour et je l’enfile d’un coup, en levrette, en palpant ses gros seins sous elle. Elle gémit en tortillant du cul, je ne sais pas trop si c’est moi qui la prend ou elle qui s’empale. Ce qui est certain, c’est qu’elle est très chaude, et le sauna n’est pas la seule cause. Mais, comme elle le disait plus tôt, c’est un sauna public, il ne faut pas trop traîner, quelqu’un pourrait entrer. Elle me fait asseoir, vient s’accroupir sur ma bite, entame une danse effrénée pendant que je lui mords les seins, et nous jouissons rapidement l’un dans l’autre. Puis elle file en m’envoyant un baiser avec les doigts, et en m’indiquant qu’elle s’appelle Sandra.
Rapide, mais ça valait le coup. Quand je sors du sauna, Sandra a disparu. En revanche, il y a sur un transat une jolie quarantenaire au téléphone qui me regarde en souriant : elle sait très bien ce que nous venons de faire, et son sourire laisse peu d’équivoque sur ce qu’elle en pense. Elle a l’air de parler à son mari, qui en effet la rejoint bientôt. Tant pis, il y avait peut-être quelque chose à faire. Elle lui chuchote je ne sais quoi, il a l’air un peu surpris ; ils se lèvent, vont vers le sauna. Quand elle passe à côté de moi, elle me glisse : vous voulez bien faire le guetteur, je ne voudrais pas être surprise… Euh, oui, bien sûr, volontiers, si quelqu’un vient, j’essaierai de faire du bruit. Oui, s’il vous plaît. Ils ne sont pas très discrets, elle en tout cas, que j’entends crier des « Oui » de plus en plus forts, puis ils sortent au bout d’une petite demie heure. Le type évite mon regard, sans doute gêné par les manifestations bruyantes de sa femme, elle au contraire me chuchote : ça vous a plu ? J’aurais préféré en être, mais on ne peut pas tout avoir… Pourquoi, il suffit de savoir attendre. Oulà , voilà qui est prometteur. Une famille avec enfants arrive bientôt, puis un couple de septuagénaires… Il est temps de partir. Je rejoins ma chambre, lit un peu, et l’après-midi touchant à sa fin, je descends au bar pour prendre un apéro.
Le petit couple est là , mais pas réconcilié. Sandra me fait une œillade, il me fusille du regard. Je trouve ça plutôt drôle… Je m’installe tranquillement à une table, commande un whisky comme je les aime, bien tourbé, et surtout sans glace. Eux continuent à se chamailler. Les familles ne descendront que pour le repas, il n’y a là que les curistes en couple ou solitaires : deux femmes autour de la cinquantaine, en couple ou en amies, un homme plus âgé, soixante-cinq peut-être, le petit couple, deux autres plus loin, et bientôt arrive la quarantenaire avec son mari. Elle balaie la salle du regard, m’aperçoit, vient directement vers moi : ça ne vous dérange pas qu’on vous rejoigne pour l’apéro ? Je suis assez surpris, d’autant que son mari, s’il ne dit rien, ne semble pas tout à fait enchanté, mais après tout, on verra, ça peut être amusant. Ils font une cure tous les ans, ils adorent se faire soigner, et puis c’est l’occasion de rencontres… Son mari et elle – il ne dit toujours rien – adorent faire l’amour dans les saunas. Une fois, ils ont été surpris par une employée, qui les a rejoints : mémorable, n’est-ce pas chéri, elle avait des seins énormes, incroyables… Et vous n’avez jamais été surpris par un homme ? Si, mais pour l’instant, jamais aucun n’a participé, c’est dommage, j’adorerais. L’invitation est on ne peut plus claire. En principe, le sauna ferme à 19 heures, mais je suis bien certain que je saurai trouver comment y aller tranquillement plus tard, ça vous dit ? Elle est aux anges, et lui acquiesce, oui, ce sera avec plaisir. Vers 21 heures, je trouve comment entrer par derrière ; je vais dans leur chambre pour les prévenir ; Maud – elle s’appelle Maud et lui François – me répond derrière la porte qu’ils arrivent tout de suite, que je les attende devant l’ascenceur. Ils ne sont pas longs, tous les deux ne portent qu’un peignoir, ce n’est pas très discret mais on fera avec. L’ascenceur s’arrête – ce n’était pas prévu – au premier étage : c’est Sandra, en larmes, qui vient se s’engueuler avec son crétin de mari. C’était leur voyage de noces, et ça part en eau de boudin. Quand elle voit Maud et François ainsi vêtus, elle comprend vite, et cela lui redonne le sourire : je peux venir avec vous, s’il vous plaît ? François a l’air émoustillé, Maud amusée, c’est ok, plus on est de fous. Nous voilà quatre à nous glisser dans le hall, à prendre furtivement l’escalier de service, puis à contourner l’entrée principale de la piscine et du sauna, pour entrer par derrière. Il n’y a pas de lumière, et il n’est pas question d’allumer. Traverser la piscine dans le noir, c’est assez fun, on distingue assez mal mais j’ai repéré les lieux. On se glisse enfin dans le sauna, et je trouve à l’extérieur comment le mettre en marche. La lumière du sauna s’allume, mais je ne crois pas qu’on puisse deviner de dehors. La chaleur s’installe, et Maud et Sandra sont rapidement nues : pas le même profil. Sandra n’est pas très grande, mais elle a des formes : ses seins, dont j’ai déjà parlé ; un cul magnifique, rond, on a envie d’y plonger ; et des cheveux très courts, nuque dégagée. Maud est plus grande, plus fine : des seins en poire, un ventre plat très entretenu et une touffe taillée au-dessus de ses longues jambes ; une longue chevelure brune, bouclée. Je me dénude aussi, précédant François. Lui bande déjà , et a à peine fini de se mettre à poil qu’il écarte déjà les cuisses de Sandra pour la goûter. Moi je suis encore mou, et j’embrasse Maud dans le cou, pendant qu’elle se touche en regardant son mari lécher Sandra. Tout va très vite : Sandra a envie de jouir, et elle écrase la tête de François sur sa chatte ; Maud, compatissante, a pris le sexe de son mari dans sa bouche, et elle l’avale avec appétit, pendant que je l’enfile par derrière. Et la chaleur monte, nous sommes tous trempés et dégoulinants sous l’effet conjugué du sauna et du sexe. Sandra a relevé la tête de François et pris sa bite entre ses seins : elle le masse avec art. Moi, j’ai changé de trou : j’encule Maud avec délice, et elle aime ça, criant sa joie comme tout à l’heure. François se retient de jouir, pour venir prendre son épouse par devant ; c’est dingue comme elle est accueillante : François devant, moi derrière, et Sandra maintenant qui lui lèche les seins ou lui bouffe la bouche. Une femme comme je les aime, une femme qui aime le sexe et ne s’en cache pas. Elle est la première à venir, suivie de son mari. Moi, je me garde un peu, il faut bien que quelqu’un s’occupe de Sandra. Et elle y compte aussi, venant s’empaler sur moi par derrière, et offrant sa chatte à une Maud encore affamée. Petite séance à quatre de haute intensité : je lui inonde le cul et elle gicle sa mouille par devant sur la tête éberluée de Maud, qui n’a jamais encore vu de femme fontaine. Nous remontons joyeux, un peu bruyants mais tant pis. Maud demande à Sandra si ça va aller : elle ne sait pas, elle nous dira demain matin.
Au petit déjeuner, je ne trouve ni Maud ni François ; moi, je dois bientôt partir en soins quand je vois Sandra arriver seule : son crétin de mari a fait ses valises, il s’apprête à rentrer seul. Comment peut-on être aussi con et laisser seule une nana aussi gourmande ? Elle me demande de l’aider. L’aider à quoi, à rompre ? Non, à le faire rester. En lui disant quoi ? à quel point tu es bonne ? je ne crois pas qu’il est prêt à entendre ça… Bon, je vais essayer, mais je ne te promets rien. Je le trouve dans le hall, il a l’air prêt à me casser la gueule… Je ne lui mens pas, mais je lui dis aussi que s’il veut savoir comment faire jouir sa femme, et éventuellement s’il veut en niquer d’autres, il ferait bien de réfléchir. Et je lui donne rendez-vous dans ma chambre à 15 heures… On verra bien. Je pars en soins, en envoyant à Maud et Sandra un sms pour caler un rdv dans ma chambre à 14h30.
14h20 : Maud toque à ma porte. Je lui explique la situation. Elle me dit que pourquoi pas, mais que ce sera sans François, parti marcher seul – il ne fait pas la gueule, il aime marcher seul, c’est tout. Mais Sandra ne vient pas : on attend, et en attendant elle me fait une pipe d’anthologie. Elle aime le goût du sexe des hommes, elle aime vraiment tout dans le sexe… 15h. 15h15. Personne. 15h30 : on frappe. Je vais ouvrir en peignoir, Maud est nue sur le lit, elle se caresse. C’est Sandra et son mari. Il a l’air à la fois réticent et curieux, et quand il découvre Maud dans sa splendeur, Maud les cheveux épanchés sur ses seins, Maud la chatte ouverte et luisante, il est un peu scotché mais manifestement très intéressé. Elle l’attire à lui, le déshabille doucement, aidée par Sandra que je prends soin de ne pas toucher pour l’instant. Se trouver ainsi entre deux femmes, la sienne et une superbe inconnue, se trouver ainsi caressé, branlé, sucé, c’est une première pour lui et l’intensité de l’excitation est telle qu’il m’oublie bien vite. Il a plongé entre les cuisses de Maud, chaudes, accueillantes, ouvertes, il hume son odeur, lèche ses secrétions, caresse la douceur de cette peau si intime, et Sandra s’est placée sous lui pour venir le prendre dans sa bouche. Elle se retrouve donc allongée sur le dos, jambes ouvertes et offertes, et je n’y résiste pas, j’y plonge à mon tour. Mais sans doute ai-je plus d’entraînement que lui : Sandra gémit bien vite sous ma langue et mes doigts, alors que Maud, peut-être plus exigeante aussi, ne semble pas grimper si vite. Sandra l’encourage alors, relâchant son organe turgescent, à venir prendre Maud, à la pénétrer, à la besogner, comme elle sait que son mari sait faire. Maud n’y voit aucun inconvénient, et quand elle sent venir en elle ce sexe assez gros, très tendu, elle pousse un petit cri d’étonnement et de plaisir qui nous ravit tous. Là , il est plus à son aise, et encouragé par les petits cris de Maud, comme par l’intense excitation qu’il connaît, on sent qu’il prend son pied et qu’à ce rythme, il va aussi faire monter Maud au septième ciel – Sandra me chuchote qu’il n’a pas jusqu’ici connu d’autre femme qu’elle, et qu’elle est très contente que, justement pour leur voyage de noces, elle puisse lui offrir cela. Elle oublie de dire qu’en même temps, elle est assez contente que je la branle par derrière, et de sentir ma bite contre sa cuisse ne lui déplaît pas… Maud commence à crier de plus en plus fort, elle aime les assauts un peu brutaux du novice, elle aime sentir sa chatte remplie, et elle aime aussi se donner en spectacle, manifester bruyamment sa jouissance. Et ses cris sont joyeux, ce sont des cris de plaisir et d’extase, ce sont des cris excitants et intenses. Sandra est trempée sur ma main qui la branle, et je sens aux mouvements de sa vulve qu’elle aime voir Maud jouir. Je la fais se pencher et la prend par derrière, tandis que son mari, enhardi par son succès, mais qui a su se retenir, frotte son gland à l’entrée du délicieux cul de Maud, et celle-ci l’encourage de la voix et des mains, écartant ses fesses avec un naturel et même, dans ce moment qu’on pourrait croire obscène, avec une élégance surprenante. Que sa femme se fasse prendre par un autre lui importe peu maintenant, que tentée par Maud maintenant dilatée par le gros sexe de son mari, Sandra m’invite à son tour à l’enculer, et qu’elle gueule des obscénités – et là , croyez-moi, c’est sans l’élégance de Maud, c’est plutôt du genre, oh oui, vas-y, défonce-moi le fion, putain, vas-y, je veux sentir ta grosse bite, oh putain, vas-y, plus fort… vous voyez le genre – tout cela il ne l’entend plus. Il ahane dans le cul de Maud, il pousse aussi fort qu’il peut et les cris de Maud ne laissent aucun doute sur l’orgasme qui la bouleverse, qui la secoue jusqu’aux yeux chavirés, et c’est une sorte de chorale, entre les cris de Maud et les obscénités de Sandra, et le rut guttural et féroce de son mari, qui gicle soudain puissamment dans le cul puis sur les fesses de Maud. Mais je n’en ai pas fini quant à moi, et il me faut encore plusieurs assauts dans le cul si rond de Sandra pour l’éclabousser à mon tour de ma jouissance. Nous sommes tous trempés, épuisés, couverts de sperme ou de cyprine, et si François rentrait maintenant de sa promenade, nul doute qu’il regretterait d’être ainsi parti seul. Maud propose, puisque le couple de Sandra s’est reformé, que nous prenions l’apéro ensemble ce soir. Je ne sais pas si elle a d’autres projets, et elle n’en dit pas davantage, avant de filer avec Sandra sous la douche. Douche joyeuse à les entendre, et peut-être même coquine.
Vers 19 heures, je descends pour l’apéro. Je trouve Sandra, qui me dit que Maud a emmené son mari et François au sauna, par l’entrée secrète… Nous nous sourions, et nous allons les rejoindre. Nous les trouvons déjà en action : Maud se fait pénétrer par les deux hommes en même temps, elle est déchaînée, elle crie son plaisir et quand elle nous voit arriver, la joie qui illumine son visage est un beau message d’accueil. Je suis jalouse, nous dit Sandra : je n’ai jamais eu deux hommes en même temps comme ça. Qu’à cela ne tienne, à peine Maud a-t-elle bruyamment joui que François se dégage de son anus pour venir prendre celui de Sandra, que j’ai déjà bien chauffée. Et son mari vient la prendre par devant, ne voulant pas la voir prise par deux hommes sans y participer. Je tiens la chandelle… enfin, ce n’est pas totalement exact, car Sandra me fait signe de m’approcher pour me sucer : trois d’un coup. Maud admire son appétit, et se caresse en nous regardant : elle est d’une beauté renversante. Cette femme aime le sexe comme jamais je n’ai vu une femme aimer le sexe, elle est totalement libérée, mais n’est jamais vulgaire : elle est l’élégance même, la classe à tout moment. Et tandis que Sandra, qui m’a relâché pour gémir pendant que son orgasme monte, et que les deux hommes qui la saillent ont échangé leurs positions, Maud s’approche de moi pour me branler entre ses mains, puis contre ses seins. C’est d’une incroyable douceur, c’est à la fois tendre et intense, et elle me fait venir sur elle à une vitesse inattendue, qui nous fait rire tous les deux.
Nous décidons d’aller dîner en ville, et chacun rejoint ensuite sa chambre, c’est-à -dire que je me retrouve seul. Maud et François partent le lendemain matin, et Sandra me dit qu’eux aussi, ils partiront tôt, et qu’il faut qu’ils se reposent, ils ont de la route… Je redescends au bar, tant pis, je vais siroter tout seul, comme le célibataire que je suis. A cette heure, je suis seul. La barmaid m’apporte un armagnac, me demande si je désire autre chose – je lui dirais bien oui, à cette jolie black, mais rien dans son attitude n’y engage vraiment – et retourne au bar. Puis elle revient vers moi : il faut que je vous dise, l’utilisation du sauna, c’est seulement jusqu’à 19 heures, après, c’est interdit… Euh, oui, bien sûr, pourquoi me dites-vous ça ? Vous savez très bien pourquoi je vous le dis : je n’ai pas l’intention d’en parler à la direction, mais vous arrêtez, ok ? Là , je risque le coup : et de nous mater, ça vous a plu ? Vous vous foutez de moi ? je n’étais pas là pour mater, mais pour ranger, pour bosser, alors vos parties de jambe en l’air de bourges au sauna, j’en n’ai rien à foutre. Ok, ok, pardon, on vous a dérangé dans votre travail : je peux faire quelque chose pour me faire pardonner ? Oui, vous pouvez : 1. vous ne recommencez pas et 2. vous venez avec moi pour m’aider à nettoyer vos cochonneries. J’ai proposé, et je suis un peu coincé, je la suis. C’est vrai qu’on n’a pas été sympa, et qu’on a laissé un joyeux bordel. Je nettoie donc le sauna pendant qu’elle s’occupe de la piscine, et quand j’ai fini, je suis trempé. Elle aussi, et comme elle porte un débardeur blanc, ses nichons sont très visibles, avec leurs aréoles brunes foncées, à travers le tissu. J’ai le regard un peu hypnotisé : Oh, ça vous suffit pas, la baise de tout à l’heure. Franchement, puisque vous demandez, non, ça ne me suffit pas, et pardon, mais vous avez des seins splendides ! Ni une ni deux, elle retire le débardeur en me lançant de façon assez agressive : ça va, là , vous voyez bien ? Superbes, franchement superbes, ça tient tout seul, c’est ferme, ça vous lance comme un défi, et ce genre de défi, moi, j’adore… Je m’apprête à toucher, j’avance la main, et je me prends une gifle claquante et sonnante. Wouh, elle a de la poigne, j’en suis quasiment déséquilibré. Je crois qu’elle ne s’est pas rendue compte de la force avec laquelle elle m’a giflé, mais la rougeur de ma joue l’indique clairement. Pardon, je ne voulais pas vous gifler aussi fort, mais putain, vous cherchez, là ; vous me promettez, vous direz rien, je pourrais me faire virer, moi. Je promets, après tout, elle a raison, je cherche un peu… Ok, mais on peut se reposer, maintenant, un petit sauna ? Elle n’en revient pas, elle me regarde avec surprise, puis éclate de rire : vous lâchez jamais vous ? Ben, quand une nana me plaît, non, je ne lâche pas… Allez, après tout, pourquoi pas… Et elle se désape totalement et démarre le sauna. Je fais pareil, et je bande déjà comme un âne. Elle me regarde, siffle d’admiration, et me demande : c’est moi qui vous fais cet effet, ou vous êtes toujours comme ça ? Toujours comme ça, ce serait douloureux, non, c’est vous. Elle commence à trouver ça amusant, semble-t-il… J’en profite, je m’assois à côté d’elle et je me paluche tranquillement. Besoin d’aide, me dit-elle ? Ben, je dis pas non. Elle me prend dans sa main, il commence à faire chaud, me crache sur la bite et entame des mouvements de haut en bas. Elle regarde mon sexe, l’apprécie, prend son temps, mais quand je tente un mouvement vers elle, elle me dit non. Elle veut faire à sa guise, je laisse aller. Au bout d’un moment, la sueur glissant sur mon torse, entre ses seins, sur ses cuisses, et mon sexe étant tendu à rompre, elle m’enjambe et vient tranquillement s’empaler sur moi. Bon sang, sa chatte est serrée, c’est dingue ! Je prends sa poitrine dans ma bouche, je lui lèche les tétons, et elle, légèrement vers l’arrière, commence une danse effrénée sur moi, elle monte, descend, va à son rythme, de plus en plus vite, de plus en plus fort. J’ai mal au sexe tant elle est serrée, mais c’est en même temps assez incroyable comme sensation. J’ai enculé Maud et Sandra, mais ce sexe est plus serré encore, je n’imagine même pas ce que serait son cul… Et soudain elle se cambre, violemment, sans un bruit, dans un silence si différent de la jouissance explosive de Maud, tous ses muscles sont contractés, mon sexe dans un étau brûlant, compressé, et ce spasme dure plusieurs minutes, ses yeux sont révulsés, ses mains crispées sur mes épaules. Puis elle se détend et redescend doucement, revenant à elle, les yeux adoucis, souriante. Je… j’ai joui, je crois… Oui ma belle, c’est sûr, et pas qu’un peu… Elle se relève, s’aperçoit avec surprise que mon sexe est toujours tendu, presque violet, dur… Vous, vous n’avez pas joui, oh, je suis désolée… Et elle se penche vers moi, prend mon sexe entre ses obus splendides, et à chaque fois qu’il sort, elle le lèche et attrape le gland dans sa bouche. Je suis tellement excité qu’il ne faut pas très longtemps pour que je jouisse sur ses seins, mon sperme blanc s’étalant sur sa peau si noire. Je jouis dans un long râle, c’est assez fort, assez inattendu. Nous nous reposons un instant, rangeons un peu et quittons furtivement le sauna. Il est tard, nous nous séparons sans un mot, je ne sais même pas comment elle s’appelle…
Au petit déjeuner, je croise Maud et François ; les jeunes mariés sont déjà partis, Maud me glisse le numéro de Sandra et le sien, m’embrasse tendrement et me demande si c’était bien, avec Anissa. Je la regarde un peu stupéfait… Ben, qu’est-ce que tu crois, que je suis née de la dernière pluie ? Mais comment sait-elle ? Je comprends quand Anissa, puisque c’est son prénom, vient me servir un café et tutoie Maud en lui souhaitant un bon retour. Ben oui, mon gars, j’adore aussi les belles filles, et Anissa, tu en conviendras, c’est une belle fille ! Ils filent rapidement. Il me reste une journée et une soirée avant de rentrer à mon tour. Anissa revient vers moi pour me glisser qu’elle termine à neuf heures – elle a « fait la nuit », donc a la journée libre – et que si ça me dit, elle peut me rejoindre, pas dans le sauna bien sûr, mais dans ma chambre, en début d’après-midi.
Je ne vous raconte pas cet après-midi… je vous dis juste que son cul est en effet plus serré encore, qu’elle me l’a offert alors qu’il était encore vierge, et que j’ai aussi son numéro : je crois qu’on va se revoir, avec Maud et Sandra aussi…
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